Le quotidien ou l'enfer de nos forces de l'ordre

Sept à huit du 25 novembre 2012

Allez voir la réaction du crs qui dit avoir des ordres pour laisser le trafique de drogue se faire (à partir de la 11ème minute)

Cesar14 a écrit:Sept à huit du 25 novembre 2012

Allez voir la réaction du crs qui dit avoir des ordres pour laisser le trafique de drogue se faire (à partir de la 11ème minute)

La hiérarchie est responsable de la situation que nous vivons.

Assemblée nationale : Gilbert Collard est intervenu en commission des lois ce mercredi 28 novembre, à propos de la légitime défense policiaire dans le cadre d'une discussion générale sur l'usage de la force armée.

Il pose les bonnes questions et a une parfaite analyse de la situation particulière de nos FDO.

Zabou18 a écrit: Il pose les bonnes questions et a une parfaite analyse de la situation particulière de nos FDO.

Je me doutais que cela te mettrait un peu de baume au coeur

Triste anniversaire:


Aix : l'émotion toujours forte un an après l'homicide du policier de la Bac


Éric Lalès est atteint par une rafale de kalachnikov le 28 novembre 2011, après des cambriolages


Ce fut comme un séisme. Suivi de douloureuses répliques. Dans la nuit du 27 au 28 novembre 2011, dans un froid glacial, Éric Lales et son coéquipier étaient arrosés de rafales de kalachnikov, à Vitrolles. Cet équipage de la brigade anticriminalité, en poste au commissariat d'Aix, poursuivait un commando lourdement armé qui venait de cambrioler des commerces, d'abord à Saint-Martin-de-Crau puis à Aubagne. Le troisième et dernier avait eu lieu à Venelles.

Et puis, les répliques. Dix jours plus tard, dix longs, très longs jours, Éric Lales, atteint à la tête, décédait à l'hôpital, à Marseille, après plusieurs interventions des équipes médicales. Un an s'est écoulé, "mais c'est comme si c'était hier", confie un jeune policier aixois.

À l'hôtel de police, personne n'a oublié. Personne. Le commissaire central Jean-François Jaffuel, très affecté et très impliqué l'an dernier, l'évoque également : "Après tout cela, il y a eu quelques mois d'un mal-être fort pour les hommes de la Bac, qui ont continué leur travail et ont retrouvé leur dynamisme sur la voie publique. Plusieurs policiers ont choisi de quitter la Bac nuit, qui s'est reconstituée au fil du temps."

Le patron des policiers aixois d'ajouter : "On garde son souvenir en tête mais les gars sont repartis sur le terrain... Il y a aussi eu un vrai accompagnement de son coéquipier." Très entouré, celui-ci a repris son travail dans une activité de voie publique en tenue. Au commissariat, les équipes parlent souvent de leur collègue. "On vit avec ça." Alexandre Molina, responsable communication d'Unité police : "Le souvenir d'Éric reste présent dans l'esprit des fonctionnaires d'Aix et au-delà. Que son nom soit inscrit au tableau d'honneur de la cour du commissariat suscite beaucoup d'émotion."

"Pas de droit à l'oubli"

Cette absence de droit à l'oubli, l'avocat des parties civiles, Me Molina, la met en avant. "Les parties civiles prennent acte de l'interpellation et de l'incarcération de l'ensemble de ceux qui paraissent sérieusement impliqués dans la commission de ce crime. Le père et la mère d'Éric Lales, sa compagne et ses deux enfants, son coéquipier, attendent avec résolution que justice soit rendue", explique aussi Me Emmanuel Molina, qui porte leurs voix.

"Le fonds de garantie a été saisi dès l'origine, en particulier eu égard à la situation de détresse des deux petites filles." Elles sont aujourd'hui âgées de 7 et 9 ans. "Nous attendons donc l'aboutissement de ces démarches." Me Molina, qui assiste et représente également Christophe, le policier qui conduisait la voiture, coéquipier et ami d'Éric Lales, ajoute : "Sa disparition tragique et criminelle ne saurait occulter la douleur et le sentiment d'injustice aiguë vécus par Christophe, qui fait preuve d'un courage exemplaire et qui tente de se reconstruire progressivement avec l'aide de sa famille et de ses équipiers".


http://www.laprovence.com/article/actualites/aix-lemotion-toujours-forte-un-an-apres-lhomicide-du-policier-de-la-bac

bruniquel a écrit:

Zabou18 a écrit: Il pose les bonnes questions et a une parfaite analyse de la situation particulière de nos FDO.

Je me doutais que cela te mettrait un peu de baume au coeur

Je vais certainement lui écrire pour le remercier.

Marion s'implique aussi.

je suis femme de policier et mon mari était en fonction a Lyon en brigade anti criminalité
mutation loin de notre ville TRANQUILLE de la Rochelle dans un quartier très proches des non moins connues minguettes
c'est là que pour la première fois de ma vie j'ai connu
la peur,le racisme anti blancs et anti flics,les vols,les agressions verbales et physiques sur mes enfants
et c'est la,moi ,fille d'une famille droite et de droite que j'ai commencé a voter front national,a aller aux meetings et que ,si ici nous sommes en sécurité par rapport a l'immigration,rien ne m’empêchera de voter encore et encore bleu marine suivie de toute ma famille d'ici et de métropole
le ver est dans le fruit en france et jamais je ne voterai a gauche même si l'on m'en prie a genoux

Un gendarme blessé par balles


Un gendarme a été blessé par balle, au pied, ce matin à la Chapelle-Saint-Mesmin (dans le Loiret), par un homme que des militaires du peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG) d’Orléans étaient venus interpeller à son domicile, a-t-on appris de source judiciaire.

L'adjudant de 33 ans, qui se trouvait en première ligne, une fois la porte enfoncée, a eu le pied transpercé par une balle tirée avec une carabine 22 long rifle.

L’agresseur a été immédiatement maîtrisé par les autres militaires et n’a pas eu le temps de faire feu une deuxième fois.

Dans le petit meublé, les enquêteurs ont retrouvé deux autres armes à feu. Ils ont également mis la main sur du matériel informatique provenant d’un cambriolage commis dans une résidence de Chaingy, une localité voisine. C’est dans le cadre d'une enquête sur un vol, perpétré le 2 décembre dernier, que les gendarmes étaient venus l'interpeller.

Cet homme de 30 ans est bien connu de la justice pour avoir été condamné à une dizaine de reprises pour des vols et des violences. Il a été placé en garde à vue pour vol aggravé et tentative de meurtre, selon le procureur de la République d’Orléans. Il pourrait être présenté demain soir à un magistrat en vue de son placement en détention provisoire.

Le gendarme blessé a été opéré au centre hospitalier de la Source. Ses jours ne sont pas en danger.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/12/12/97001-20121212FILWWW00754-loiret-interpellation-1-gendarme-blesse.php

70 policiers mobilisés pour interpeller 3 hommes dans des camps de gitans


De gros moyens ont été employés ce jeudi matin pour interpeller trois individus dans les camps de gens du voyage de Ginestous et Saint-James, au nord de Toulouse. 70 hommes ont été mobilisés pour cette opération qui fait suite à l’agression de deux policiers par des gens du voyage dans la nuit de mardi à mercredi.

L’interpellation des trois individus s’est déroulée vers 6h du matin, sous le projecteur d’un hélicoptère. Des CRS ont sécurisé les abords des deux camps pendant que les policiers sont intervenus, avec l’aide du GIPN et des hommes de la Brigade de recherche et d’intervention.

Deux policiers roués de coups dans la nuit de mardi à mercredi
Dans la nuit de mardi à mercredi, deux policiers toulousains ont été roués de coups et sévèrement blessés à l'entrée du camp de gens du voyage de Ginestous.

Quelques instants plus tôt, trois policiers d’une brigade de nuit du commissariat central avaient pris en chasse une voiture qui roulait tous feux éteints et dont le conducteur refusait d’obtempérer.

Les forces de l’ordre ont intercepté le véhicule à l’entrée du camp de Ginestous et interpellé le conducteur. Le passager a quant à lui pris la fuite et est revenu accompagné d’une vingtaine d’individus. Les résidents des lieux ont alors défoncé les portes de la voiture de police, brisé des vitres et «libéré» le conducteur interpellé en extirpant les policiers de leur voiture. Un des policiers a alors été roué de coups au sol. Il souffre d'un traumatisme crânien. Un deuxième homme a été plus légèrement blessé au visage.

Trois individus interpellé ce jeudi matin

Le chauffeur du véhicule, qui s'était enfui menottes au poignet, a été interpellé ce matin. Il est âgé de 19 ans. Deux autres individus, âgés d'une cinquantaine et d'une trentaine d'années, ont également été arrêtés. Il sont soupçonnés d'être impliqués dans les violences commises contre les policiers. Ces trois hommes ont rejoint en garde à vue un quatrième, déjà interpellé et soupçonné de rébellion.


http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/17/1538490-70-policiers-mobilises-pour-interpeller-3-hommes-dans-des-camps-de-gens-du-voyage.html

Sans compter la batterie d'avocats que notre " justice " va dépêcher au chevet de ces pauvre gens du voyage.
Gens du voyage qui ne voyagent plus guère que grâce ou à cause de leurs opérations frauduleuses et répréhensibles (je ne vous ferai pas la liste, pas la peine, on la connaît dans les grandes lignes).

Gendarmes. Devoir de mémoire pour un métier dangereux


Aujourd'hui, les gendarmes rendront hommage à leurs camarades tués en service au cours de l'année passée. « Un devoir de mémoire pour un métier dangereux », commente le général Giorgis, commandant la région de gendarmerie de Bretagne.



Huit gendarmes sont morts en mission en 2012. Une année plutôt clémente, par rapport aux périodes précédentes où le chiffre se situait autour de onze décès. « Pourtant, les violences contre les gendarmes ne semblent pas diminuer, bien au contraire », constate Alain Giorgis. Les violences routières bien sûr, dont les conséquences sont souvent tragiques pour les services chargés de la sécurité. « Mais ce sont surtout les violences liées à la rébellion ou aux tentatives de fuite qui ont tendance se multiplier. Elles sont souvent le fait de déséquilibrés ou de personnes alcoolisées qui ne se contrôlent plus ».

Vermine et maladie

L'uniforme en imposerait-il moins qu'autrefois ? Peut-être. Toujours est-il que les violences verbales, les bousculades ou les coups de poing font aujourd'hui partie du quotidien des gendarmes quand il ne s'agit pas de réactions hostiles pouvant causer la mort, au volant d'une voiture par exemple. Les militaires assistent aussi à l'émergence de risques auxquels ils n'avaient pas été confrontés depuis bien longtemps, comme la contamination par la vermine ou la maladie. « Cette année, on a pu craindre que la gale se communique à nos hommes, au cours d'une interpellation », témoigne l'officier. « Plus grave, les gendarmes de Saint-Brieuc ont arrêté un groupe de malfaiteurs des pays de l'Est, tous atteints de tuberculose ». Les militaires bretons auront aujourd'hui une pensée particulière pour l'adjudant Éric Thetio, de la brigade motorisée de Ploërmel (56), tué sur la route, le 21 novembre dernier, à l'âge de 39 ans. Ceux qui se retrouveront dans la cour d'honneur de la caserne Margueritte de Rennes auront aussi un mouvement d'amitié à l'égard de leur collègue qui vient de reprendre son service voici quelques jours après avoir été grièvement brûlé par un cocktail Molotov, au mois d'octobre, alors qu'il intervenait auprès d'une mère famille dont le fils était pris d'un accès de fureur. Autre forcené : ce jeune suicidaire d'Auray (56) qui a réussi à se tuer d'une balle après qu'elle a frôlé la tête d'un gendarme qui tentait de le maîtriser.

Tenues salvatrices

« Deux motocyclistes, volontairement percutés par des fuyards, s'en sont sortis avec des blessures légères », note aussi Alain Giorgis. « Ils étaient équipés des nouvelles tenues de sécurité que nous venions de recevoir ». Sans ces combinaisons avec airbag, sans doute auraient-ils succombé à la violence des chocs qu'ils ont subis. « Nous attendons maintenant les nouvelles tenues de maintien de l'ordre pour nos gendarmes mobiles », poursuit le général. « Il s'agit de vêtements ignifugés, une protection dont nous avons particulièrement besoin en ce moment avec nos effectifs mobilisés à Notre-Dame-des-Landes où les activistes n'hésitent pas à lancer des bombes incendiaires sur les forces de l'ordre ».


http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/cotesarmor/gendarmes-devoir-de-memoire-pour-un-metier-dangereux-18-02-2013-2008660.php

Paris: 2 policiers tués dans un accident


Deux policiers ont été tués et un troisième blessé ce matin dans un accident survenu dans le nord de Paris sur le périphérique, annonce le porte-parole du ministère de l'Intérieur. Ils participaient à une course-poursuite, précise la place Beauvau.

Le 4x4 - une Range Rover - qui a percuté le véhicule policier avait été pris en chasse peu de temps auparavant, a indiqué la même source. Selon les premiers éléments de l'enquête, cette voiture, occupée par deux hommes, avaient été prise en chasse au niveau de la porte Maillot en raison de multiples infractions au code de la route. Roulant à vive allure sur le périphérique, elle a semé cette première équipe avant de percuter, dans des circonstances qui restent à déterminer, une autre voiture de la BAC qui avait été avertie, a-t-on précisé.

L'accident s'est produit vers 6 heures ce matin sur le périphérique intérieur entre la porte de Clignancourt et la porte de la Chapelle. Les deux occupants du 4x4 ont été interpellés, l'un d'entre eux étant toutefois soigné dans une ambulance sans que la gravité de ses blessures ait été précisée, a-t-on ajouté.

Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, "se rendra dans la journée auprès des camarades des policiers tués", a indiqué le porte-parole du ministère. "Le ministre présente ses condoléances aux familles et aux proches des policiers et souhaite que toute la lumière soit faite sur les circonstances exactes de ce drame".


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/02/21/97001-20130221FILWWW00376-paris-2-policiers-tues-dans-un-accident.php


Condoléances aux familles, proches et collégues de ces deux policiers.

Si cet accident avait été commis par un gaulois,même sans le faire exprès,et qu'il avait bu trois bières avant,je ne vous dis pas ce qu'il aurait subi.
"Heureusement" il s'agit de vladimirs en voiture volée,un fait divers d'une telle banalité.
En allant plus loin,les avocats moisis et la mère taubira vous diront que cela fait "pratiquement" parti de leur culture,il que la prison est inefficace,ne fera qu'augmenter le risque de récidive et...bla,bla
Réhabilitons les bagnes,et larguons-les par avions au dessus et qu'ils se démerdent pour vivre.

Je salue la mémoire de ces deux hommes.

Deux collégiens âgés de douze ans et demi et treize ans ont été présentés aujourd'hui à un juge de Mulhouse pour leur responsabilité présumée dans l'attaque d'une voiture de police à coups de cocktails Molotov, a-t-on appris auprès du parquet.

Ils devaient être mis en examen pour violences sur personnes dépositaires de l'autorité publique, dégradation en réunion de biens d'utilité publique et embuscade.

Un groupe d'une dizaine de jeunes avaient tendu un guet-apens à la police, dimanche après-midi, en mettant le feu à des poubelles dans le quartier Drouot, classé en zone de sécurité prioritaire.
A l'arrivée d'un véhicule des forces de l'ordre, ils avaient lancé deux engins incendiaires contre le parebrise qui avait cependant résisté. Les fonctionnaires n'avaient pas été blessés.
Les deux mineurs devaient être remis en liberté à l'issue de leur mise en examen dans l'attente de leur comparution devant un juge des enfants qui pourrait prendre à leur égard des mesures éducatives.

Ni l'un ni l'autre ne risque en revanche la prison. "Ce n'est pas une question de choix mais une question de droit", a souligné le vice-procureur de Mulhouse, Ariane Combarel. Le plus âgé ne peut être incarcéré faute d'avoir, à 13 ans, des antécédents judiciaires et le plus jeune, déjà connu pour trafic de stupéfiants, ne peut l'être, n'ayant pas passé la barre des treize ans.

Trois autres mineurs qui avaient été interpellés le jour des faits ont été remis en liberté. Cet événement survenait quelques jours après une nouvelle série de mises en examen concernant l'attaque début janvier d'un tramway, également à coups de cocktails Molotov, dans le quartier des coteaux à Mulhouse.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/02/26/97001-20130226FILWWW00679-collegiens-poursuivis-pour-avoir-attaque-la-police.php


Encore des petits anges!

Petite anecdote, c'est du tout chaud.

Ce soir, contrôle d'identité, alcootest tout ça. Ok, pas de problème. Je tique juste car le monsieur en uniforme se la joue un poil inspecteur Harry à mon goût, à croire qu'il venait d'arrêter Ma Dalton en personne. A peine courtois. Roulant des mécaniques. Forcément, risque zéro.

Deux heures plus tard, je contacte la gendarmerie parce que mon voisin, français de nationalité certes, mais originaire d'outre méditerranée, un de plus au compteur, a encore fait des siennes pour au moins la 752ème fois et pas qu'un peu !

La gendarmerie refuse tout net de se déplacer. Oui, oui, vous avez bien lu. En substance, le message est le suivant : démerdez vous ma petite dame, on n'en a rien à carrer. Tas de nuls !

C'est simpliste, je vous l'accorde, mais, là, pour le moment et j'ai bien peur qu'en ce qui me concerne cela ne perdure, les flics, les gendarmes, me sortent par les trous de nez. N'est-ce pas du reste le ressenti de la majorité de la population, enfin celle qui n'a rien à se reprocher ? Les autres, dormez tranquilles, il ne peut rien vous arriver.

Marre !

Ah bon? La majorité des citoyens ont marre des policiers?

Bizarre, car de plus en plus nombreux sont ceux qui les soutiennent.

Petite anecdote, il y a encore eu deux policiers, pères de famille, morts en service et le troisième est dans un état critique.

Il y a un nouveau sport en France : foncer sur les FDO.

Sedna, on ne peut faire une généralité sur un exemple...J'aurais moi-même des tas d'anecdotes contradictoires à raconter...Mais je comprends que tu sois exaspérée! J'ai vécu pendant un an dans un quartier chaud de la banlieue lyonnaise, où les racailles s'en donnaient à coeur-joie en toute impunité....

Comme dans toute profession détenant " un peu de pouvoir " vis à vis du public, si on a la malchance de tomber sur un c.., c'est insupportable! Ca ne doit pas faire oublier les centaines d'autres qui font leur travail plus que correctement, et parfois au péril de leur vie, comme le souligne Zabou!

C'est vrai que la fronde vis à vis de la maréchaussée est une tradition gauloise, mais ça doit rester bon enfant.....

Blanche d'Issy a écrit:C'est vrai que la fronde vis à vis de la maréchaussée est une tradition gauloise, mais ça doit rester bon enfant.....

Tout à fait!

Moi aussi, j'ai vécu dans les quartiers sensibles, il y a bien des fois où j'ai appellé la police et elle ne s'est pas déplacée. Bien souvent, parce qu'ils n'étaient pas assez nombreux.

De plus, ils recoivent des ordres pour éviter les déplacements (faut surtout pas provoquer les malfrats...).

Ah oui, j'ai oublié : il faut faire des économies de carburant.

Zabou18 a écrit:Deux collégiens âgés de douze ans et demi et treize ans ont été présentés aujourd'hui à un juge de Mulhouse pour leur responsabilité présumée dans l'attaque d'une voiture de police à coups de cocktails Molotov, a-t-on appris auprès du parquet.

Ils devaient être mis en examen pour violences sur personnes dépositaires de l'autorité publique, dégradation en réunion de biens d'utilité publique et embuscade.

Un groupe d'une dizaine de jeunes avaient tendu un guet-apens à la police, dimanche après-midi, en mettant le feu à des poubelles dans le quartier Drouot, classé en zone de sécurité prioritaire.
A l'arrivée d'un véhicule des forces de l'ordre, ils avaient lancé deux engins incendiaires contre le parebrise qui avait cependant résisté. Les fonctionnaires n'avaient pas été blessés.
Les deux mineurs devaient être remis en liberté à l'issue de leur mise en examen dans l'attente de leur comparution devant un juge des enfants qui pourrait prendre à leur égard des mesures éducatives.

Ni l'un ni l'autre ne risque en revanche la prison. "Ce n'est pas une question de choix mais une question de droit", a souligné le vice-procureur de Mulhouse, Ariane Combarel. Le plus âgé ne peut être incarcéré faute d'avoir, à 13 ans, des antécédents judiciaires et le plus jeune, déjà connu pour trafic de stupéfiants, ne peut l'être, n'ayant pas passé la barre des treize ans.

Trois autres mineurs qui avaient été interpellés le jour des faits ont été remis en liberté. Cet événement survenait quelques jours après une nouvelle série de mises en examen concernant l'attaque début janvier d'un tramway, également à coups de cocktails Molotov, dans le quartier des coteaux à Mulhouse.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/02/26/97001-20130226FILWWW00679-collegiens-poursuivis-pour-avoir-attaque-la-police.php


Encore des petits anges!

Suite:

Cocktails molotov contre une voiture de police à Mulhouse : 6 adolescents mis en examen

Six adolescents, âgés de 12 à 16 ans, ont été mis en examen, dont un écroué après l’attaque dimanche d’un véhicule de police à coups de cocktails molotovs dans un quartier sensible de Mulhouse.


Le soir des faits, quatre adolescents avaient été interpellés. Six autres ont été interpellés mardi et mercredi dans le cadre de cette enquête, a précisé une source proche de l’enquête.

Au total, six adolescents ont été mis en examen, et trois autres pourraient encore se voir signifier ultérieurement leur mise en examen dans ce dossier, a-t-on ajouté de même source.

Cette nouvelle attaque était intervenue quelques jours à peine après la mise en examen de quatre jeunes dans le cadre de l’attaque, début janvier, d’un tramway mulhousien, également à l’aide de cocktails molotovs.

Les incidents se sont multipliés ces derniers mois dans les quartiers sensibles de Mulhouse, visant pompiers ou policiers, ou même un tramway. Depuis début janvier, des CRS ont été dépêchés en renfort à Mulhouse pour y faire face.


http://www.republicain-lorrain.fr/france-monde/2013/03/01/cocktails-molotov-contre-une-voiture-de-police-a-mulhouse-6-adolescents-mis-en-exame

Policier traîné par une voiture à Cran-Gevrier : le chauffard arrêté... en train de dealer


La nuit dernière, vers 3h30 du matin, un banal contrôle de police a dégénéré à Cran-Gevrier. Avisant, à proximité de la caserne du 27e BCA, un véhicule statique avec plusieurs personnes à bord, un équipage de la brigade anticriminalité du commissariat d'Annecy a décidé de procéder à un contrôle, se portant à la hauteur de la voiture.

Les fonctionnaires dénombraient alors cinq individus à l'intérieur du véhicule, tous connus et rapidement identifiés visuellement par les policiers.
L'un d'entre-eux sortait alors du véhicule pour contrôler le conducteur, un jeune homme de 21 ans, déjà auteur de plusieurs refus d'obtempérer, lorsque ce dernier démarrait la voiture, et prenait la fuite, entraînant le policier qui tentait de l'en empêcher sur une vingtaine de mètres.

Deux individus présents dans la voiture ont été retrouvés par les policiers plus tard, dans la nuit et entendus comme témoins ce matin au commissariat.

Le conducteur de la voiture activement recherché a quant à lui été arrêté ce jeudi, à 15h30, par les policiers. Il était alors en possession d'une demie-savonnette de résine de cannabis et d'environ 300€ en liquide, probablement issus de la vente de stupéfiants. Et ce, malgré les événements de la nuit passée.


http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2013/02/28/haute-savoie-cran-gevrier-annecy-un-policier-traine-par-une-voiture-sur-une-vingtaine-de-metres

sedna a écrit:Petite anecdote, c'est du tout chaud.

Ce soir, contrôle d'identité, alcootest tout ça. Ok, pas de problème. Je tique juste car le monsieur en uniforme se la joue un poil inspecteur Harry à mon goût, à croire qu'il venait d'arrêter Ma Dalton en personne. A peine courtois. Roulant des mécaniques. Forcément, risque zéro.

Deux heures plus tard, je contacte la gendarmerie parce que mon voisin, français de nationalité certes, mais originaire d'outre méditerranée, un de plus au compteur, a encore fait des siennes pour au moins la 752ème fois et pas qu'un peu !

La gendarmerie refuse tout net de se déplacer. Oui, oui, vous avez bien lu. En substance, le message est le suivant : démerdez vous ma petite dame, on n'en a rien à carrer. Tas de nuls !

C'est simpliste, je vous l'accorde, mais, là, pour le moment et j'ai bien peur qu'en ce qui me concerne cela ne perdure, les flics, les gendarmes, me sortent par les trous de nez. N'est-ce pas du reste le ressenti de la majorité de la population, enfin celle qui n'a rien à se reprocher ? Les autres, dormez tranquilles, il ne peut rien vous arriver.

Marre !

Je suis quand même d'accord avec sedna, il est insupportable de voir des représentants des FDO de jouer les cow-boys dans des contrôles routiers tout à fait anodins, face à des automobilistes qui, malgré être en règle dans une majorité des cas, et des gens honnêtes.
Ils le voyent rapidement: une quinquagénaire blanche qui s'arrête gentiment à la moindre sollicitation de la police n'est pas un danger et il est alors insultant pour elle de se voir traiter pire que les délinquants qu'on ne traite d'ailleurs plus.
Car oui, ces petites , il faut leur donner du MOOSSIEUR, pratiquement sous peine d'avoir les assos sur le dos.
J'ai moi aussi quelques anecdotes assez agaçantes.
Y'a trois, quatre ans, 23h ou minuit, en hiver, je roulais sur une grande voie déserte éclairée, large, mais malheureusement un peu au-dessus de la limite.
Comme par hasard, deux flics, sur cette voie déserte, à croire que c'est un endroit où on peut piéger les automobilistes facilement, bref, permis, assurance, il me parle de me verbaliser, je lui réponds de faire son travail, ce qu'il fait de bonne grâce (il attendait sûrement que je me mette à genoux pour le supplier, il s'est trompé de client) mais on dirait qu'il cherchait à me faire perdre mon calme, en me demandant si je comprennais que j'allais perdre des points et dans la façon de se comporter.
J'avoue qu'il commençait à me chauffer un peu et je me suis dit qu'il cherchait peut être à occuper une cellule de son commissariat pendant cette longue soirée d'hiver.
Depuis, si je peux éviter les contrôles, et m'y soustraire (je suis pourtant parfaitement en règle) et mon épouse aussi est stressé et outrée de l'attitude et de la fermeté, alors qu'ils évitent soigneusement les racailles qui les insultent copieusement.
Nous ne sommes pas là, nous, honnêtes gens, pour servir de défouloir à ces fonctionnaires qui se consolent en nous pourrissant, tout en nous faisant la morale en même temps que les poches.
Et j'ose espérer effectivement que ces fonctionnaires-là sont une minorité à pratiquer.
Malheureusement les exemples ne sont pas rares.