Le quotidien ou l'enfer de nos forces de l'ordre

Six policiers agressés à Sceaux

Six policiers ont été "légèrement blessés" ce midi après avoir été pris à partie par trois hommes dans un magasin de Sceaux (Hauts-de-Seine).


Vers 12H35, cinq policiers de la Sûreté territoriale basés à Sceaux (Hauts-de-Seine), en civil et hors service, ont été reconnus et pris à partie par les trois hommes "défavorablement connus des services de police", alors qu'ils effectuaient leurs courses dans un magasin Simply Market, a expliqué la préfecture des Hauts-de-Seine, dans un communiqué.


Deux des trois agresseurs ont sorti un tournevis et l'un d'eux a blessé un policier à l'omoplate droite, lui causant une entaille peu profonde, selon la préfecture. Une bagarre a alors éclaté entre les agresseurs et les policiers, rejoints par des renforts du commissariat de Sceaux et de la Sûreté territoriale, au cours de laquelle cinq autres fonctionnaires ont été blessés légèrement.


Les trois hommes, deux originaires de l'Essonne et un du Val-de-Marne, ont été interpellés alors qu'ils prenaient la fuite et placés en garde à vue.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/06/25/97001-20120625FILWWW00649-six-policiers-agresses-a-sceaux.php

Et pendant que gendarmes, policiers nationaux et municipaux que ces petites frappes ne craignent nullement subissent, notre cher ministre de l'intérieur propose:


Manuel Valls veut interdire le tutoiement aux policiers

Manuel Vals a demandé lundi aux policiers de proscrire le tutoiement dans leur mission, signe du respect que le nouveau ministre de l’Intérieur veut imposer aux forces de l’ordre.



« Je demande que les policiers s’astreignent à une certaine distanciation professionnelle en conservant leur sang-froid en toutes circonstances et en proscrivant le tutoiement », a expliqué le ministre de l’Intérieur dans un discours prononcé lors du baptême de la 62e promotion de commissaires de police de l’Ecole Nationale Supérieure de Police de Saint-Cyr-au-Monts-D’or, près de Lyon.



« Inflexible sur la déontologie »



Manuel Valls s’est déclaré « inflexible quant au respect des règles de déontologie », tout en disant comprendre les policiers. « Je sais bien que ce n’est pas toujours facile face à l’adversité la plus arrogante, aux insultes, à l’irrespect, aux caillassages, et même qu’il existe des tutoiements plus respectueux dans le ton que certains vouvoiements », a-t-il dit.



Il a également fait référence à l’actuel débat sur les contrôles d’identité, que le gouvernement entend accompagner d’un récépissé pour éviter leur multiplication.



« Non motivés ou proportionnés, le risque existe que certains contrôles ne fassent qu’alimenter le ressentiment d’une partie de la population », a poursuivi le ministre l’intérieur. « Il y a des comportements anti-sociaux à réguler ou à combattre, mais seule la minorité des jeunes de nos quartiers qui en est responsable doit en répondre. »



En finir avec la « politique du chiffre »



Manuel Valls a réitéré sa volonté de rompre avec la « politique du chiffre » du précédent gouvernement, qu’il a qualifié de « travers statistiques qui ont dérivé ». « Cela n’a pas grand sens de déterminer en début d’année un pourcentage de baisse de la délinquance à obtenir impérativement ou un taux d’élucidation global à atteindre », a-t-il dit. « Je veux mettre en oeuvre une culture de l’efficacité. »


Le ministre de l’Intérieur a par ailleurs fixé à septembre la date des créations des premières « zones de sécurité prioritaires » qui figurent dans le programme de campagne de François Hollande. Ces zones consisteront à mettre en place une action de sécurité renforcée « sur des territoires bien ciblés, caractérisés par une délinquance enracinée et de fortes attentes de la population ».

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Manuel-Valls-veut-interdire-le-tutoiement-aux-policiers_39382-2090637_actu.Htm

Chers amis,

Un gendarme vient de nous écrire. Il réagit au meurtre de deux de ses collègues par un multirécidiviste à Collobrières.

Il faut lire son texte jusqu’au bout, c’est un témoignage exceptionnel, en intégralité ci-dessous. Car le meurtrier n’aurait jamais dû être en liberté : si la peine plancher avait été prononcée, deux femmes, deux gendarmes seraient encore en vie aujourd’hui.

Laurence Havel
******

Bonsoir à tous les membres de l’association ainsi qu’à ceux qui font qu’elle existe.

Je souhaitais évacuer l’immense peine qui m’envahit depuis l’annonce du décès de mes deux collègues féminins gendarmes.

Je ne peux m’empêcher d’être en colère et d’avoir le goût du sang dans la bouche. Il n’y a plus aucune limite chez cette partie de la population qui semble avoir acquis ses valeurs dans un univers virtuel ; mais tellement réel pour les familles de leurs victimes !

J’apprends que Abdallah Boumezaar pourrait être mis en examen avec sa compagne. Il était incarcéré jusqu’au mois de septembre dernier ! Il s’agit d’un multirécidiviste incontrôlable qui bénéficie de l’abandon d’une justice étouffée par un pouvoir politique bien-pensant ! Quel est l’intérêt d’une information judiciaire face à de tels actes ? Demander à des gendarmes d’auditionner des membres de sa famille afin de pouvoir dire que c’est un adulte qui a connu une enfance difficile ? Lui trouver des circonstances atténuantes ou un début d’explication à son acte barbare ? Dépenser une fois de plus l’argent du contribuable pour influer sur la décision de la cour d’assises ? Connaître, à travers des expertises et contre-expertises, les angles de pénétration des balles avec lesquelles il a tué les gendarmes ? Avec un peu de chance les délais des expertises lui permettront de ressortir avant son jugement et de pouvoir fuir ; voire faire de nouvelles victimes pour devenir une star du petit écran !

Le ministre de l’intérieur nous explique que la nation va rendre hommage à nos deux collègues décédées alors que dans le même temps M. HOLLANDE souhaite abolir les peines plancher qui « sont contraires au principe de l'individualisation des peines». La justice publique est venue brider la justice privée en lui promettant d’être dissuasive et de protéger l’individu. Où en sommes-nous aujourd’hui ? 90€ pour un dépassement de 6 km/H en agglomération avec un système de recouvrement plus onéreux que la créance et une violence galopante épargnée par un pouvoir condescendant...

Je suis chef de groupe enquêteur en unité de recherches au sein de la gendarmerie nationale (l’Institut pourra relayer vos messages car je me suis clairement identifié auprès de lui et il a pu vérifier mon appartenance à l’institution). Je sors de mon devoir de réserve et de mon anonymat pour crier ma colère. Je suis âgé de 40 ans et cela fait maintenant 18 ans que j’accompagne les victimes. Je me suis investi corps et âme durant plusieurs années de mon existence pour mon métier et au détriment de ma famille. Je ne regrette aucun de ces moments offerts aux victimes et à leur famille. Aujourd’hui je ne me reconnais plus dans ce système régenté par les statistiques et qui permet aux délinquants de faire partie du paysage audiovisuel entre deux sujets d’information au journal télévisé ; quand ce n’est pas entre deux publicités !

Nos représentants ont le devoir de nous protéger des prédateurs qui menacent la cité. Je me tourne vers chacun d’entre vous messieurs et mesdames nouvellement élus. Rappelez-vous que vous avez promis de défendre les intérêts et de garantir les droits de chacun de vos concitoyens. Comment pouvez-vous tolérer et permettre de telles choses qui durent maintenant depuis de si nombreuses années ! Les policiers et les gendarmes sont-ils en guerre ? Doivent-ils mener le combat de la paix publique seuls ? Ne serions-nous pas en droit de brûler des voitures ou des containers à poubelles pour être entendus à notre tour ? Est-ce ainsi que vous apportez votre soutien aux garants des libertés individuelles ?

Je croise les doigts régulièrement pour que l’un de mes proches ne soit pas victime d’un tel individu car je sais que cela aura pour conséquence de m’anéantir. Dois-je prendre les armes pour protéger ceux qui me sont chers ?

Je crains malheureusement que notre justice ne soit de plus en plus défaillante dans les années à venir. J’invite donc toute personne, qui aura pris connaissance de ce mail, à rejoindre l’Institut pour la justice et à inviter les membres de son entourage à faire de même.

Ma colère et mon inquiétude ne sont malheureusement pas apaisées à l’issue de ce message mais mes pensées vont aux proches de mes deux collègues décédées.

Je laisse ce texte à la pertinence de l’Institut qui pourra en faire l’usage le plus opportun à ses yeux.

Un citoyen qui veut croire

***

Vous aussi, vous pouvez agir en transmettant ce message à tous vos contacts et en signant nos pétitions adressées aux pouvoirs publics.

Si vous n'avez pas encore participé à notre grand référendum sur la Justice, faites-le dès maintenant en cliquant ici:

http://petitions.institutpourlajustice.com/referendum/video.html?utm_source=email_2206&utm_medium=lien_email&utm_campaign=referendum

Nous avons créé une vidéo spéciale sur les dysfonctionnements les plus révoltants de la Justice.

Il y a quelques jours, nous avons rassemblé plus de 260 000 signatures contre le laxisme de la justice des mineurs. Si vous n’avez pas encore signé la pétition, vous pouvez le faire en cliquant ici:

http://petitions.institutpourlajustice.com/mineurs_recidivistes/video/index.html?utm_source=email_2206&utm_medium=lien_email&utm_campaign=mineurs_recidivistes

Et pour ceux qui souhaiteraient adhérer ou faire un don à l’association, merci de cliquer ici:

http://www.institutpourlajustice.com/dons/steps/montant?utm_source=email_2206&utm_medium=lien_email&utm_campaign=don

Avec tous mes remerciements pour votre action. Ensemble, nous pouvons faire la différence.

Pour les victimes. Pour nos enfants et nos petits-enfants.

Laurence Havel
Secrétaire nationale de l’Institut pour la Justice

http://news.institutpourlajustice.com/E21062012135950.cfm?WL=392&WS=1622147_2321313&WA=737

C'est la valls à deux, quatre temps ou cent ans???
- Voulez-vous, s'il vous plait, arrêter de nous agresser, poignarder, caillasser, sans raison?
- " va ni...r ta m..e,fi.s de P..e,e..%µ$.
C'est vraiment dissuasif. C'est sûr.
BRAVO!!!!!

Bonjour,

Valls n'est qu'un clown propulsé à ce poste de ministre par ses potes, il n'a ni les capacités ni les compétences pour prétendre à être ministre de l'Intérieur!
Lui et la Taubira vont mettre la France dans l'ordre du chaos.

ça s'appelle aussi MARIONNETTE, et les fils sont tirés par les autres!!! GRRR

Un homme armé, qui avait ouvert le feu sur les forces de l'ordre à Nîmes, a été blessé au ventre par un policier la nuit dernière, a indiqué à l'AFP Yannick Janas, Directeur départemental de la sécurité publique du Gard par intérim. Une enquête a été ouverte par l'Inspection générale de la police nationale pour déterminer avec exactitude les circonstances du tir du policier, a-t-il précisé.

Selon les premiers éléments, pour une raison restant à déterminer, cet homme, connu des services de police, cagoulé et armé d'un fusil à pompe ainsi que d'un revolver, avait commencé par menacer des gens autour de lui. Des policiers de la brigade anti-criminalité (BAC) qui passaient à proximité sont alors intervenus et une course-poursuite s'est engagée à pied dans les rues de la ville.

Pendant cette poursuite, l'homme a ouvert le feu à trois ou quatre reprises et a aussi tenté de stopper un véhicule qui passait afin de s'en emparer, selon M. Janas. L'individu a encore tiré et un des policiers, qui s'est senti en danger, a répliqué une seule fois et touché le forcené dans le ventre, a expliqué le DDSP. Blessé, l'homme a été hospitalisé. Ses jours ne sont pas en danger, a encore indiqué le commissaire divisionnaire Janas.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/06/27/97001-20120627FILWWW00580-un-homme-arme-blesse-par-un-policier.php

Notre pays devient le far-west. Et bien entendu, enquête sur les circonstances...

Un contrôle d’identité a dégénéré, mardi en fin d’après-midi, sur la place de la Brèche. Un autre adolescent de 16 ans s’est rebellé

Deux adolescents âgés de 14 et 16 ans ont été déférés, hier, au parquet de Niort. Présentés dans la foulée à un juge des enfants, l'aîné a été mis en examen pour des faits de rébellion, le benjamin pour violences volontaires commises sur un représentant de la force publique. Placés sous contrôle judiciaire, tous les deux devront pointer régulièrement au commissariat niortais, avec leurs parents, avant de répondre de leurs actes devant le tribunal pour enfants le jeudi 27 décembre prochain.

Retour sur les faits : mardi, vers 18 h, deux policiers qui patrouillent sont insultés par un groupe composé d'une dizaine de jeunes, place de la Brèche. Les fonctionnaires décident de procéder à un contrôle d'identité. Certains adolescents présentent une carte de bus en guise de papiers, d'autres n'en ont tout simplement pas.
Certains sont plus agressifs que d'autres. La patrouille décide d'emmener trois d'entre eux au commissariat pour des vérifications d'usage. Le jeune homme de 16 ans se rebiffe. Les agents doivent le calmer. C'est alors qu'intervient le garçon de 14 ans : il étrangle par-derrière l'un des deux policiers, qui recevra un coup de poing au passage. Finalement appréhendé, le duo est placé en garde à vue, tandis que le troisième larron, également escorté jusqu'au poste, est mis hors de cause.
La durée de l'interruption totale de travail (ITT) du représentant de l'ordre blessé, touché aussi à la main gauche dans l'altercation, n'a pas encore été évaluée.

" Un cap a été franchi "

Mais plus que les violences proprement dites, ce qui inquiète aujourd'hui les policiers, c'est « l'escalade », peste Jean-Pierre Favreau, secrétaire départemental adjoint du syndicat Unité SGP Police Force ouvrière. Lui-même motard pour la police nationale à Niort, il avait eu maille à partir avec cette bande « il y a un mois ». La même qui est impliquée, notamment, dans l'agression d'un chauffeur de bus des Transports de l'agglomération niortaise (TAN) en mars dernier.
« Un cap a été franchi : un mineur de 14 ans qui agresse un policier, ce n'est pas commun », acquiesce le commissaire principal Olivier Mottu, directeur départemental de la sécurité publique (DDSP). De fait, la décision du tribunal pour enfants sera « importante. Nous attendons une réponse appropriée », déclare sobrement Patrick Charles, au nom du syndicat Alliance.

http://www.lanouvellerepublique.fr/Toute-zone/Actualite/Faits-divers-justice/n/Contenus/Articles/2012/06/29/Niort-un-policier-frappe-par-un-mineur-de-14-ans#

Deux policiers ont été blessés, dimanche matin à Angers, alors qu’ils intervenaient auprès d’un groupe de jeunes alcoolisés.


Peu après 2 h du matin, dans la nuit de samedi à dimanche, deux policiers en patrouille repèrent un jeune homme en train d’uriner contre la façade d’un immeuble, à proximité de la place Imbach, dans le centre-ville d’Angers.

Ils interviennent pour lui faire des remontrances. Le jeune rejoint un groupe d’une dizaine de personnes et c’est là, qu’un autre jeune se met à les injurier.

Ivresse publique et manifeste

Les policiers se rendent compte qu’il est saoul et veulent l’interpeller pour ivresse publique et manifeste.

Deux jeunes gens se rebellent et frappent un premier policier, puis le second. Projetés à terre, ils sont frappés à coups de pied au visage et au corps.

Traumatisme crânien et côte cassée

Des policiers sont appelés en renfort et interpellent les deux jeunes agresseurs, âgés entre 25 et 30 ans, domiciliés à Angers.

Les policiers blessés sont transportés au centre hospitalier par les ambulances des sapeurs-pompiers. L’un souffre d’un traumatisme crânien et l’autre d’une côte cassée. Ils bénéficient d’une interruption temporaire de travail de 6 et 10 jours.

En garde à vue

Les deux jeunes agresseurs ont été placés en garde à vue, au commissariat d’Angers. Mais ils n’ont pas encore pu être entendus, du fait de leur alcoolisation. Ils ont été reconnus par leurs victimes et des témoins. Leur audition se fera dans la journée, après une prolongation de leur garde à vue.

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Deux-policiers-serieusement-blesses-a-Angers_40774-2094516------49007-aud_actu.Htm

Toutes ces attaques dont les forces de l'ordre sont victimes donnent le vertige et la nausée !

Les faits se déroulent vendredi vers 17 h à proximité du palais des expositions de Perpignan. Tandis que de nombreuses voitures circulent au pas, prises dans un ralentissement de la circulation, un témoin est intrigué par le comportement d'un individu qui fait des allers-retours et semble agité. Et, à y regarder de plus près, il remarque que cet homme est en possession d'une arme. Il donne donc l'alerte auprès des services de police et fournit la description de l'inconnu, facilement reconnaissable avec son maillot de football. Les hommes de la brigade anticriminalité (BAC) du commissariat sont alors dépêchés sur les lieux et repèrent rapidement le suspect. Or, quand les trois agents s'approchent de lui et déclinent leur qualité, l'individu sort aussitôt son arme, qui serait un pistolet d'alarme de calibre 9 mm avec lequel il les braque.

Tout se passe alors très vite. Les policiers, grâce à leur sang-froid, réussissent à le maîtriser, à le désarmer et à l'interpeller sans qu'aucun blessé ne soit heureusement à déplorer.



Le suspect a été aussitôt placé en garde à vue. Au cours de son audition, il aurait reconnu sa rébellion. Mais ce n'est pas tout. Agé de 40 ans, il serait loin d'être un inconnu de la justice. Selon les premiers éléments, il serait sorti depuis peu de prison après avoir purgé une peine de plusieurs années pour des affaires de vols sous la menace d'un couteau et autres violences. Il aurait entre autre été condamné pour un vol à main armée dans un hôtel à Perpignan. Enfin, il aurait expliqué qu'au moment de son arrestation il fomentait un nouveau braquage dans un hôtel à Canet.

Il a rapidement été vu par un médecin expert qui a conclu qu'il souffrait de troubles psychiatriques qui l'auraient d'ailleurs déjà conduit en établissement spécialisé. Il a fait l'objet d'un placement d'office et un nouvel examen devrait être pratiqué afin de déterminer s'il est ou non pénalement responsable de ses actes.

http://www.lindependant.fr/2012/07/10/le-suspect-sort-un-pistolet-et-braque-trois-policiers,151559.php

On ne donne pas les moyens aux forces de l'ordre pour se protéger correctement.
Comment un policier peut-il protéger ses compatriotes si il ne peut pas se protéger lui- même ??
Donnez-leur plus de moyens pour se défendre et là ils pourront enfin nous défendre !!
Ne laissons pas la vermine prendre le pouvoir, combattons-la de toutes nos forces !!
Vite, Marine au pouvoir !

Ils sont les plus à même (les flics) de se rendre compte et de rendre compte à la population(celle qui en est encore à se mettre leurs oeillères chaque matin, en se bouchant le nez, parce que cela commence à puer vraiment) de la vraie réalité de l'état de délabrement social, culturel de notre pays.
Pourtant,ils ne bougent pas.
Ils nous faudra donc encore attendre et régresser encore (jusqu'au point de non-retour je pense pourt ma part).
Ce travail de négation, de sape du pays a très bien bien marché, malgré quelques sursauts ici et là, et continue d'ailleurs à fonctionner maintenant en roue libre,les gens étant bien conditionnés.
Il suffit parfois d'écouter certaine petite remarque ou phrase toute faite, on voit l'étendue du mal qui nous ronge de l'intérieur, comme un cancer généralisé, les gens s'attendent maintenant à y " passer ".
Ce sont eux qui doivent bouger, et la population suivra.
L'inverse, je n'y crois pas.
Messieurs de la police, du courage, si vous souhaitez vraiment sauver votre pays.
De toutes façons, vous n'avez pas vraiment le choix. NOUS NE L'AVONS PLUS.

Sirène de police, vrombissement de moteurs et crissements de pneus: c'est une scène digne d'une série américaine qui s'est jouée mardi soir, du faubourg du Vigan à Jarlard. Tout démarre vers 22h40, place Pelloutier. Une patrouille de police remarque un scooter qui roule sans plaque d'immatriculation. Les fonctionnaires veulent le contrôler mais le jeune pilote prend la poudre d'escampette. Sur un scooter 50 cm3 sans doute débridé, le cyclomotoriste met les gaz par le boulevard Valmy, les rues Séré-de-Rivières, Lavedan, des Carmélites, Marcel-Ricard... faisant fi des stops, sens interdits et autres priorités, il manque de renverser plusieurs piétons. C'est miracle qu'il ne percute pas un mobilier urbain ou un véhicule en stationnement.

4 policiers blessés

Il faut dire que la police est à ses basques. Route de Millau, des équipages du roulement et de la brigade anticriminalité réussissent à barrer la route au fuyard. Celui-ci ne va pas hésiter à foncer délibérément sur un fonctionnaire de la BAC, en jetant son scooter sur lui. Le policier sera blessé à la main. Ayant abandonné le scooter (on apprendra plus tard qu'il avait été volé il y a 15 jours à Réalmont), le garçon s'enfuit à pied. Il sera interpellé vers 23h30, rue des Agriculteurs, près de la voie ferrée. Mais là encore, les choses se sont mal passées. Trois policiers seront blessés, l'un en chutant lors de la course-poursuite et les deux autres lors de l'interpellation. Les quatre fonctionnaires se sont vu délivrer entre 2 et 8 jours d'incapacité de travail. Le jeune Albigeois a été trouvé en possession de trois petits morceaux de shit. Toujours en garde à vue hier soir, il devrait être poursuivi pour violences aggravées par deux circonstances (1), recel de vol et détention de stupéfiants.

(1) L'usage d'une arme par destination, en l'occurrence le scooter, et le fait de s'en prendre à des personnes dépositaires de l'autorité publique.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/07/19/1402775-albi-il-fonce-sur-la-police-avec-un-scooter-vole.html

Chronique tout à fait " normale "
A l'échelle du pays, rien qu'en scooter ,sur quelques jours, ce sont des CENTAINES de deux-roues qui sont volés et qui circulent sur la voie publique.
Et on n'a pas besoin de " l'apprendre plus tard ", on n'en doute pas une seconde que tous ces Vladimirs qui se déplacent en scoot sont des véhicules volés pour la grosse majorité.
Je suppose que je n'apprends rien à personne.

Zabou18 a écrit:Un homme armé, qui avait ouvert le feu sur les forces de l'ordre à Nîmes, a été blessé au ventre par un policier la nuit dernière, a indiqué à l'AFP Yannick Janas, Directeur départemental de la sécurité publique du Gard par intérim. Une enquête a été ouverte par l'Inspection générale de la police nationale pour déterminer avec exactitude les circonstances du tir du policier, a-t-il précisé.

Selon les premiers éléments, pour une raison restant à déterminer, cet homme, connu des services de police, cagoulé et armé d'un fusil à pompe ainsi que d'un revolver, avait commencé par menacer des gens autour de lui. Des policiers de la brigade anti-criminalité (BAC) qui passaient à proximité sont alors intervenus et une course-poursuite s'est engagée à pied dans les rues de la ville.

Pendant cette poursuite, l'homme a ouvert le feu à trois ou quatre reprises et a aussi tenté de stopper un véhicule qui passait afin de s'en emparer, selon M. Janas. L'individu a encore tiré et un des policiers, qui s'est senti en danger, a répliqué une seule fois et touché le forcené dans le ventre, a expliqué le DDSP. Blessé, l'homme a été hospitalisé. Ses jours ne sont pas en danger, a encore indiqué le commissaire divisionnaire Janas.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/06/27/97001-20120627FILWWW00580-un-homme-arme-blesse-par-un-policier.php

Notre pays devient le far-west. Et bien entendu, enquête sur les circonstances...

On n'apprend pas à tirer aux policiers
Sur un homme armé qui vous tire dessus, la seule bonne balle à lui coller est celle de tête (moins de risque et ça évite les frais hospitaliers).
Un de mes amis est gendarme: en battue aux grands animaux, il loupe tout (pan pan et ça court toujours). Je lui ai souvent dit que si tous les gendarmes sont tous comme lui, les bandits sont tranquilles, ils ne craignent pas grand chose !

Si on fait le compte de tout ce qui se passe dans ce pays depuis un mois, les cheveux se dressent sur la tête.

Hier et avant-hier, c'était dans les banlieues ou à la périphérie des grandes villes. Parfois à l'intérieur des villes.

Aujourd'hui, le mal gagne la France profonde.

Papounet a écrit:Si on fait le compte de tout ce qui se passe dans ce pays depuis un mois, les cheveux se dressent sur la tête.

Ce n'est pas plus que ce qu'il se passait il y a 3 ou 6 mois. Ca fait longtemps que c'est comme ça.

UnGarsDeLaMarine a écrit:

Ce n'est pas plus que ce qu'il se passait il y a 3 ou 6 mois. Ca fait longtemps que c'est comme ça.

Exact, et tout ce merdier n'a fait qu'empirer au fil des ans depuis l'arrivée tonton en 81

Des années que le mal progresse ,évidemment, et puisqu'aucune réponse n'est apportée, pire que nos dirigeants UMPS minimisent à l'extrême, mentent même à la populace, qui pour une partie, est même contente qu'on lui mente (les fous).
Comme cela, les autruches pourront se dire sans presque se mentir: " ON SAVAIT PAS "
Bon, là où ce raisonnement de l'autruche coince, c'est au moment de l'égorgement (car seules les autruches avec des moyens pourront au moment critique s'enfuir), le " ON NE SAVAIT PAS " ne sera plus d'aucune utilité.
Mais bon, ce n'est qu'un dur moment à passer.
Pour ma part, je ferai en sorte de ne pas avoir à le vivre.

Erg41 a écrit:

On apprend pas à tirer aux policiers
Sur un homme armé qui vous tire dessus, la seule bonne balle à lui coller est celle de tête (moins de risque et ça évite les frais hospitaliers).
Un de mes amis est gendarme: en battue aux grands animaux, il loupe tout (pan pan et ça court toujours). Je lui ai souvent dit que si tous les gendarmes sont tous comme lui, les bandits sont tranquilles, ils ne craignent pas grand chose !

Triste réalité...
De source sûre, les scéances de tirs sont comptabilisées.
De plus, par souci d'économie, le carburant est restreint donc moins de déplacements possibles.
Sans compter le parc automobile qui date.

Zabou18 a écrit:De source sûre, les séances de tirs sont comptabilisées.

Exact. J'ai également eu la même information.

En regard du nombre moyen de coups tirés par un membre de club de tir, les gendarmes ne s'entraînent presque pas.

On en reste sans voix.

bruniquel a écrit:

UnGarsDeLaMarine a écrit:

Ce n'est pas plus que ce qu'il se passait il y a 3 ou 6 mois. Ca fait longtemps que c'est comme ça.

Exact, et tout ce merdier n'a fait qu'empirer au fil des ans depuis l'arrivée tonton en 81

Ce n'est pas sous Giscard qu'on a voté le regroupement familial et la loi de 73 interdisant le droit à l'Etat de battre monnaie et le cèdant ainsi aux banques privées

Vrai pour le regroupement familial sous Giscard, mais " touche pas à mon pote " avec toute la merde qui a suivi, c'est bien dès le début du regne de Mitterrand.

bruniquel a écrit:Vrai pour le regroupement familial sous Giscard, mais " touche pas à mon pote " avec toute la merde qui a suivi, c'est bien dès le début du regne de Mitterrand.

Oui, bien sûr, je voulais juste préciser que la débandade datait même d'avant Miterrand, et que la droite de par ces choix fût tout aussi mortifère, sinon plus étant donné qu'elle a ouvert la porte en grand.

Il n'y en a pas un pour racheter l'autre.