Jupiter

Le CERN vient de confirmer aujourd'hui l'existence du boson de Higgs (ou boson BEH). C'est apparemment très important pour le savoir et la science.
Le boson de Higgs (ou boson BEH) = 125GeV avec un sigma de 4,9.


J'attends que nos spécialistes nous éclairent un peu plus.

(Pour être tout à fait franc, je n'ai pas compris un seul des mots que j'ai écris plus haut ! )

C'est pas compliqué, je t'explique.


Le boson de Higgs, également appelé boson scalaire3 ou boson BEH4, est une particule élémentaire dont l'existence permet d'expliquer la brisure de l'interaction unifiée électrofaible en deux interactions par l'intermédiaire du mécanisme de Brout-Englert-Higgs-Hagen-Guralnik-Kibble, proposé indépendamment en 1964 par Gerald Guralnik, C.R. Hagen et Tom Kibble5,6,7, Robert Brout et François Englert8, et Peter Higgs9.

Le boson BEH, quantum du champ de Higgs, confère une masse non nulle aux bosons de jauge de l'interaction faible (bosons W et boson Z), leur conférant des propriétés différentes de celles du boson de l'interaction électromagnétique, le photon.



Bon, un schéma vaut tous les discours :

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Tu vois, c'est simple en fait.

Pareil que toi, je comprends que dalle.

Cesar14 a écrit:C'est pas compliqué, je t'explique.


Le boson de Higgs, également appelé boson scalaire3 ou boson BEH4, est une particule élémentaire dont l'existence permet d'expliquer la brisure de l'interaction unifiée électrofaible en deux interactions par l'intermédiaire du mécanisme de Brout-Englert-Higgs-Hagen-Guralnik-Kibble, proposé indépendamment en 1964 par Gerald Guralnik, C.R. Hagen et Tom Kibble5,6,7, Robert Brout et François Englert8, et Peter Higgs9.

Le boson BEH, quantum du champ de Higgs, confère une masse non nulle aux bosons de jauge de l'interaction faible (bosons W et boson Z), leur conférant des propriétés différentes de celles du boson de l'interaction électromagnétique, le photon.



Bon, un schéma vaut tous les discours :

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Tu vois, c'est simple en fait.

Pareil que toi, je comprends que dalle.

Ah oui, merci !! C'est plus clair maintenant !!

J'ai un autre shéma:

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C'est de l'aspirine, parce que je n'ai rien compris à ce qui est écrit au-dessus.

D'après ce que j'ai compris : l'atome est composé de protons, eux même composés de quarks, reliés entre eux par des gluons. Les gluons sont des particules élémentaires. Ce qu'on ne sait pas, c'est d'où vient leur masse. La théorie est qu'elles se déplacent dans ce qu'on appelle le champs de Higgs, et que c'est là qu'elles acquerraient leur masse. Le boson de Higgs serait selon la théorie une particule composant le champ de Higgs, et qui permettrait ainsi la formation de la matière, et donc de l'univers.
Que quelqu'un me corrige si je me suis trompée parce que ce n'est pas évident de décrypter le langage des physiciens...

Le boson de Higgs est la dernière pièce du Modèle Standard de la physique des particules, un modèle théorique qui décrit les particules fondamentales et les forces qui contrôlent l' Univers.

Il a été théorisé dans les années 1960 par Edimbourg, et basé sur le physicien Peter Higgs. Mais jusqu'à présent, il s'est avéré impossible à cerner.

Les scientifiques viennent de découvrir une nouvelle particule ou des particules qui correspondent à la description d'un boson de Higgs, mais des recherches supplémentaires seront nécessaires pour déterminer s'il s'agit bien du boson de Higgs.

Les résultats en physique des particules sont classées sur une échelle de zéro à cinq "sigma".
En atteignant le niveau de quatre sigma de certitude, c'est que les scientifiques sont 99,9936 % confiants que la particule de Higgs existe dans la gamme de 125 GeV (GeV = giga-électrovolts) de masse.

Notre Soleil

Le Soleil est une étoile naine, composé de 75% d'hydrogène et 25% d'hélium. Moins de 1% est constitué d'oxygène et plusieurs autres éléments. Le diamètre du Soleil est d'1.400000 km, ce qui représente plus de 100 fois le diamètre de la Terre. Sa masse est environ 300.000 fois supérieure à celle de la Terre avec une température de surface d'environ 5500 ° Celsius.

La source d'énergie du Soleil est la fusion de noyaux d'hydrogène (protons) en noyaux d'hélium. (fusion nucléaire). Dans ce processus, une infime quantité de la masse est perdue et transformée en énergie. Le Soleil perd un demi-million de tonnes chaque seconde . Les effets de cette destruction de la masse pour donner de l'énergie, lui permettra de maintenir sa production actuelle d'énergie pour environ 5 millions d'années.

Pour cette longue période de temps, le Soleil est appelé étoile de la séquence principale, mais tout l'hydrogène en son centre sera converti en hélium. Le centre va se contracter et deviendra encore plus chaud, alors que la partie extérieure se dilatera et deviendra plus "fraîche". En fin de compte toutes les sources de production d'énergie arriveront à leur fin et le soleil va s'effondrer pour devenir une naine blanche.

Le Soleil, comme on le voit de la Terre, tourne autour de son axe une fois en un peu plus de 27 jours, et son activité se lève et tombe sur un cycle d'environ 11 années, la production de variations du champ magnétique de la Terre et des changements dans la haute atmosphère (l'ionosphère) affectent la transmission des ondes radio et les télécommunications à travers le monde. Ce cycle d'activité a été découvert par un astronome amateur allemand Heinrich Schwabe, à la suite d'observations effectuées entre 1826 et 1843.
Au début de chaque cycle, les tâches solaires se produisent à des latitudes élevées (environ 40 ° par rapport à son équateur).

Les tâches solaires sont des régions perturbées , et avoisinent une température d'environ 4800 ° C, elles apparaissent sombres par contraste avec la surface brillante alentours, dont la température est de 6000 ° C.
La durée de vie d'une tâche solaire peut être aussi courte que quelques heures à plusieurs mois.

Les tâches solaires peuvent apparaître seules ou en groupe, et leur taille peut être très variable. Les tâches solaires de grande taille sont parfois visibles à l'œil nu lorsqu'il est regardé à travers le brouillard, ou lorsque le Soleil est faible et rouge au lever ou au coucher du soleil.

La photosphère est le nom donné à la surface du soleil. La température de surface du soleil est d'environ 5500 degrés celsius, ce qui est relativement "frais" lorsqu'on sait que son noyau approche les 15.000.000 de degrés celsius !

La surface du Soleil peut être observée à travers un télescope et revêtir un aspect granuleux. Ces granulés sont les cellules de convection qui transportent l'énergie du dessous de la surface apparente.

Habituellement associées aux tâches solaires, les éruptions solaires représentent une augmentation de la luminosité des zones d'hydrogène et donne lieu à des éclats de rayonnement intense dans la région ultra-violet du spectre du Soleil, ce qui cause de brusques perturbations ionosphériques qui entraînent une déstabilisation des télécommunications sur l'hémisphère de la Terre éclairé par le soleil. Les fusées éclairantes aussi éjectées des flux de particules chargées électriquement, affectent le champ magnétique terrestre et ces tempêtes géomagnétiques causent des perturbations touchant l'aiguille d'une boussole.

AVERTISSEMENT
Ne regardez jamais directement le Soleil avec un télescope ou des jumelles sans filtres, matériels et équipements adaptés. C'est extrêmement dangereux et peut entraîner une cécité permanente. Il est également dangereux de regarder le soleil à l'oeil nu.


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Tempête solaire.

Y-a-t-il un grand architecte dans l'univers ?

Stephen Hawking

Albert Einstein, le père de la relativité générale

L'astrophysique au CEA

Le CEA participe depuis plus de quarante ans à presque toutes les missions de l'Agence Spatiale Européenne (ESA). Sa contribution majeure au développement d'instruments d'observation le place aux premières loges de l'exploration de l'Univers.

Merci Orion pour toutes les dernières vidéos, celle de Stephen Hawking, celles de Albert Einstein et celle du CEA. Ces vidéos nous entraînent bien au-delà de nos petits soucis quotidiens, et nous élèvent au-dessus de la médiocrité (presque) générale de notre époque.

Je plussoie Papounet

Les exoplanètes


Jusqu'à récemment, les scientifiques pensaient que notre système solaire était unique. C'est en 1995 que l'équipe de Michel Mayor a pu mettre en évidence le premier système extra-solaire. Découvert dans la constellation de Pégase à 48 années lumières de la Terre, l'ensemble fut baptisé Pégase 51B. Ce système est composé d'une géante gazeuse dont l'orbite est très proche de son étoile, elle effectue sa révolution en 4 jours. Avec une température avoisinant les 1000 °, il est bien évidemment impossible que la vie, telle que nous la connaissons puisse s'y être développée. Deux autres planètes ont été detectées au sein de ce même système mais elles n'ont pu être confirmées.

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Image d'illustration du système Pégase 51b

KEPLER 22 B

Située à 600 années lumières de la Terre, et découverte par le satellite Kepler de la Nasa, la planète Kepler 22b, découverte en 2011 orbite dans la zone habitable de son étoile, cette région qui permet la présence d'eau liquide indispensable à la vie telle que nous la connaissons. La planète fait 2,4 fois la taille de la Terre, les scientifiques ne savent pas encore si la planète a une composition essentiellement rocheuse, gazeuse ou liquide.

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Image d'illustration de Kepler 22b.

Des milliers d'exoplanètes dont certaines décrites comme potentiellement habitables ont été mises en évidence cette dernière décennie.

L'astéroïde Apophis

Apophis est un astéroïde géocroiseur, il croise l'orbite de la Terre 2 fois au cours de sa révolution. Découvert en 2004, mesurant 270 m de longueur et 27 millions de tonnes, pourrait rencontrer l'orbite de la Terre en avril 2029, avec une collision peu probable mais pas impossible. En 2005 les calculs de trajectoire ont repoussé l' échéance à 2036. Selon Leonid Sokolov, professeur à la faculté de mécanique céleste de l'université de Saint-Pétersbourg, le 13 avril 2029, Apophis s'approchera de la Terre à une distance d'environ 37 000 ou 38 000 kilomètres. Il peut entrer en collision avec la Terre le 13 avril 2036. D'autres chercheurs, dont les experts de l'Institut d'astronomie appliquée de l'Académie des sciences de Russie, considèrent cette collision comme peu probable.

Si le risque de collision avec la Terre a diminué d'après les nouvelles précisions, il susbiste un doute sur sa trajectoire précise lors de son passage près de la Terre. Patrick Michel, astrophysicien à l'observatoire de la Côte d'Azur indique qu'à seulement 600 mètres près, Apophis pourrait s'écraser sur Terre ou continuer sa course dans l'espace lors de son passage à 32 000 km de la Terre en 2036. Cet écart avec la Terre sera fonction des perturbations gravitationnelles qu'il n'est, pour le moment, pas possible de déterminer.

La communauté scientifique a insisté pour que des discussions soient engagées sur les moyens d'éviter une collision, dont l'impact aurait des conséquences semblables à 34000 bombes d'Hiroshima. Plusieurs moyens plus ou moins risqués pour dévier Apophis sont déjà envisagés : explosion, déviation, tracteur gravitationnel, satellite parasol.


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Astéroïde Apophis

Le vide quantique

Le vide est plein. Prenons une bouteille d'eau et vidons la : elle n'est pas vide, elle est remplie d'air. Le vide n'existe pas.

Le vide est en fait une réserve d'énergie. Des expériences ont montré qu'il est possible de faire naître des électrons du "néant". On peut donc admettre que l'Univers est né d'une infinie réserve d'énergie.

Voici un extrait du livre du Pr Cannenpasse-Riffard, Physique de la matière paru aux éditions Marco Pietteur :

La nature, on le sait, est en grande partie constituée d’espace vide puisque la masse des atomes est pratiquement concentrée dans de minuscules noyaux.

L’espace vide n’est pas identifiable au néant : en réalité, il est plein ! C’est un immense réservoir à particules. Cet état d’énergie minimum du vide est conçu comme un océan de particules virtuelles qui interagissent entre elles et confèrent au vide une certaine énergie potentielle.

Aucune affirmation, écrit à ce sujet le physicien J. A. Wheeler, ne semble plus capitale que celle-ci : le vide n’est pas vide. Le vide est le siège de manifestations physiques des plus violentes.

Le vide est l’état latent de la réalité, la matière ordinaire constituée de particules élémentaires en est l’état manifesté. En somme, la matière n’est rien d’autre qu’une manifestation du vide.

En physique classique, on pensait qu’il était toujours possible d’obtenir, dans une enceinte refroidie au zéro absolu (-273,15°C) un vide absolu, c’est-à-dire un espace débarrassé de toute matière, atome ou molécule et de tout rayonnement électromagnétique d’origine thermique.

Les physiciens ont compris qu’on ne pouvait jamais obtenir un vide dit classique et que même à la température absolument nulle, toute région de l’espace contient un rayonnement électromagnétique irréductible d’origine non thermique appelé rayonnement du point zéro.

Le vide quantique était considéré comme une abstraction purement théorique jusqu’à ce que des chercheurs mettent en évidence, de façon expérimentale, la réalité physique des fluctuations du point zéro, qui produisent des effets observables.

Hendrik Casimir a par exemple démontré qu’un champ électrique intense appliqué entre deux plaques conductrices séparées et parallèles, placées dans le vide, lui impose des fluctuations qui feront naître des électrons du néant.

Le Big Bang est le scénario qu’ont imaginé et admis la quasi totalité des physiciens parce qu’il s’accommode le mieux avec l’ensemble des observations astronomiques et astrophysiques. Cette théorie propose, grâce à l’apport des idées issues de la relativité et de la physique quantique, à l’union de l’infiniment grand et de l’infiniment petit, des réponses cohérentes aux questions les plus fondamentales comme la genèse de l’univers et l’origine de la matière.

Pour la physique moderne, l’univers serait né de l’existence extrêmement brève d’une densité très élevée du vide quantique.

Grâce à la simulation et à l’extrapolation des calculs théoriques, les physiciens ont pu remonter jusqu’à 10-43 seconde après l’explosion originelle.

10-43 seconde : ce nombre incroyablement petit est le temps de Planck. Il constitue le mur infranchissable au-delà duquel des notions aussi familières que le temps, l’espace, l’énergie, la température, la pression perdent toute espèce de sens.

Une réalité étrange se cache derrière ce mur, la réalité mystérieuse du vide quantique, théâtre d’un incessant ballet de particules dans un océan d’énergie illimité. Dès l’origine, ce bouillonnement d’énergie créatrice est là, présent dans le néant, immense, sans limite, sans commencement ni fin.
Tout ce que nous connaissons aujourd’hui, écrit le physicien John Wheeler, trouve son origine dans un océan infini d’énergie qui a l’apparence du néant. Le vide, l’état latent de la matière est donc à l’origine de tout ce qui existe, galaxies, étoiles, vous et moi.

Au sens purement astrophysique, l'Univers est imparfait. S'il y a bien un rêve qui hante l'humanité, c'est celui d'unité, ce rêve que le désordre du monde cache un degré de symétrie mathématique, une perfection étonnemment profonde. Mais il n'en est rien, l'asymétrie pourrait bien être la signature de toute chose. Il semblerait qu'elle soit liée à l'apparition du temps, de la matière et de la vie.
Ils sont rares les scientifiques qui parviennent à nous transporter jusque dans les méandres des origines, en nous montrant le fil logique qui relie le monde quantique jusqu'au monde biologique.

Tout provient d'imperfections fondamentales, d'asymétries primordiales, d'accidents violents et cataclysmiques, d'erreurs de duplications génétiques que nous appelons nous les erreurs de dame nature. Sans ces imperfections, ces disymétries, cette violence des phénomènes, l'Univers ne serait que rayonnement stérile.

La beauté du monde, de la vie telle que nous la perçevons est issue d'explosions, de collisions et autres évènements cataclysmiques, c'est un phénomène rare et précieux.

L'asymétrie s'est développée avec le temps, à mesure que l'Univers évoluait. Sinon, l'alternative nous place devant un Univers sorti de la soupe quantique avec excès de matière sur l'antimpatière, dans la proportion exacte.

Oui mais dans ce cas, l'excès de particule de matière positive serait dûe à une condition initiale inexplicable. D'autant que les physiciens préfèrent comprendre les mécanismes qui sont à l'oeuvre derrière les phénomènes naturels, alors comment expliquer le surplus de matière sur l'antimatière [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Orion a écrit:Au sens purement astrophysique, l'Univers est imparfait. S'il y a bien un rêve qui hante l'humanité, c'est celui d'unité, ce rêve que le désordre du monde cache un degré de symétrie mathématique, une perfection étonnemment profonde. Mais il n'en est rien, l'asymétrie pourrait bien être la signature de toute chose. Il semblerait qu'elle soit liée à l'apparition du temps, de la matière et de la vie.
Ils sont rares les scientifiques qui parviennent à nous transporter jusque dans les méandres des origines, en nous montrant le fil logique qui relie le monde quantique jusqu'au monde biologique.

Tout provient d'imperfections fondamentales, d'asymétries primordiales, d'accidents violents et cataclysmiques, d'erreurs de duplications génétiques que nous appelons nous les erreurs de dame nature. Sans ces imperfections, ces disymétries, cette violence des phénomènes, l'Univers ne serait que rayonnement stérile.

La beauté du monde, de la vie telle que nous la perçevons est issue d'explosions, de collisions et autres évènements cataclysmiques, c'est un phénomène rare et précieux.

L'asymétrie s'est développée avec le temps, à mesure que l'Univers évoluait. Sinon, l'alternative nous place devant un Univers sorti de la soupe quantique avec excès de matière sur l'antimpatière, dans la proportion exacte.

Oui mais dans ce cas, l'excès de particule de matière positive serait dûe à une condition initiale inexplicable. D'autant que les physiciens préfèrent comprendre les mécanismes qui sont à l'oeuvre derrière les phénomènes naturels, alors comment expliquer le surplus de matière sur l'antimatière [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Oui, comment ??

Mais c'est très sérieux, voyons Jupi

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Pour l'instant, on ne se l'explique pas [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Héhé, je vais réfléchir... Je l'aurais un jour... Je l'aurais

Je ne doute pas une seconde que ce soit très sérieux, Orion, bien au contraire...
Mais moi, j'ai décroché depuis longtemps (bien que je lise tout).
Je me suis arrêté...dans la Lune où j'y suis resté !!

L'électromagnétisme

L'électromagnétisme s'explique par la façon dont 2 forces, distinctes en apparence, peuvent être considérées comme la manifestation d'une seule force. Au début des années 1860, le physicien Ecossais Maxwell a établit les équations qui décrivent les phénomènes électromagnétiques. En mettant en évidence la connection mathématique unifiant l'électricité et le magnétisme, Maxwell obtient un résultat révolutionnaire ; la lumière est une onde électromagnétiqu oscillante qui se déplace dans l'espace. En un clin d'oeil, le lumière parcours l'équivalent de 7 fois et demie le tour de la Terre. Nous ne savons pas pourquoi elle est toujours identique, que la source soit en mouvement ou non, elle est toujours constante. Elle ralentit très légèrement en traversant les milieux matériels tels que l'eau ou l'air mais si peu qu'elle est une constante de la nature. Rien ne peut voyager plus vite que la lumière, sous des hypothèses physiques réalistes, cette règle apparaît comme immuable. La vitesse constante de la lumière est la pierre angulaire de la théorie de la relativité restreinte d'Einstein. En dépit de la relation qui réunit la force électrique et la force magnétique, il subsiste entre elles une différence fondamentale ; alors qu'il possible d'isoler des charges électriques positives et négatives comme un électron, on a jamais pu observer une charge magnétique isolée.

La Terre est un aimant gigantesque dont les pôles magnétiques Nord et Sud se situent presque au-dessus des pôles géographiques. Le champ magnétique Terrestre est généré au niveau du noyau, une boule de fer en fusion géante en rotation. La direction du champ magnétique dépend des aléas du mouvement de rotation du noyau, les pôles sont donc constamment en mouvement.


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L'orbite Terrestre

Notre système solaire est doté de propriétés sans lesquelles les formes de vie sophistiquées n'auraient pas pu évoluer. Les lois de Newton autorisent les orbites planétaires à décrire des cercles ou des ellipses (cercles écrasés). On décrit le degré d'écrasement d'une ellipse par l'excentricité, comprise entre 0 et 1. Une excentricité proche de 0 signifie que l'ellipse ressemble à un cercle et proche de 1 l'ellipse est très aplatie. L'excentricité de l'orbite terrestre est d'environ 2 %, elle suit donc une trajectoire pratiquement circulaire. La structure saisonnière du climat Terrestre est essentiellement déterminé par l'inclinaison de l'axe de rotation de la Terre par rapport à son plan orbital autour du soleil. En hiver dans l'hémispère Nord, l'inclinaison éloigne le pôle Nord du soleil. Si l'excentricité de l'orbite Terrestre était proche de 1, nos océans entreraient en ébullition au plus près du soleil et gèleraient au point le plus éloigné.

La périhélie définit le point le plus chaud lorsque la Terre se rapproche du soleil, et l'aphélie le point le plus froid, lorsqu'elle en est la plus éloignée.

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Magnifique post qui devrait être mis en valeur, car la science fait avancer le monde, plus que la politique.

Je suis ravi de trouver ici tous les fans de Discovery Science dont les émissions devraient être relayées sur une deux chaines que la plupart des citoyens peuvent capter.

On en prend plein les yeux et notre existence parait si petite et nos tracas si terre à terre.

Bravo à tous

Merci Pacha, nous nous efforçons de lutter, chacun avec ses moyens, contre la régression intellectuelle qui frappe notre pays.

Les alignements galactiques

Plus la date fatidique approche, plus j'en entend parler autour de moi, le 21 décembre, l'apocalypse arrive sous la forme d'un alignement galactique qui se produirait tous les 26000 ans

Non en fait, ça marche pas comme ça

La période des 26000 ans est celle de la précession, le déplacement de l'axe de rotation de la Terre par rapport au plan de son orbite. Ce changement de direction est provoqué par les forces de marée de la Lune et du Soleil sur le renflement équatorial de la Terre. Au cours du cycle de 26000 ans, l'axe de la Terre décrit la surface d'un cône à la manière d'une toupie. Ceci fait que l'étoile Polaire, qui est proche du pôle Nord céleste actuellement, ne le sera plus d'ici quelques milliers d'années.

Vu de la Terre, le Soleil apparaît projeté devant la Voie Lactée entre le 10 et le 30 Décembre, et il se projette sur le plan galactique vers le 21 décembre, mais ceci a lieu CHAQUE ANNEE. Le phénomène n'a donc rien d'exceptionnel en 2012. Dans l'alignement Terre-Soleil-Centre Galactique la distance du Centre Galactique au Soleil est 1.6 milliard de fois la distance Terre-Soleil. Et comme la force de la gravité varie comme l'inverse du carré de la distance, cet alignement n'a strictement aucune influence, on peut dormir tranquilles