Vladimir Poutine président de la Fédération de Russie et l'amitié franco-russe.

Le Cercle de Réflexion Interarmée est une association composée d'officiers généraux de l'armée de terre qui ont quitté le service actif. Ils se proposent de mettre en commun leur expérience et leur expertise des problèmatiques de défense, incluant leurs aspects stratégiques et économiques, pour donner leur vision des perspectives d'évolution souhaitable de la défense,

Ces ex-généraux français qui sont en faveur d'un rapprochement entre la France et la Russie, estiment que la France devrait renoncer aux exercices de l'OTAN à la frontière russe. Ils s'inquiètent de la participation de la France dans l'organisation de manoeuvres militaires, sous le nez des russes, lesquelles constitutent une erreur politique et une provocation irresponsable. Tout en dénonçant les ordres en provenance de Washington, ils s'expriment sur la libération de la France de l'emprise américaine. et la perte préoccupante de notre indépendance stratégique. Ils sont contre cette mentalité américaine de guerre froide dangereuse pour la paix mondiale et dénoncent ouvertement leur attitude de suzerain à l'égard des membres de l'alliance ainsi que leur hostilité injustifiée avec la Russie. Pour ces ex-généraux, le temps est venu de faire pression sur Washington et d'engager un dialogue stratégique avec la Russie.

A l'origine, l'OTAN devait être une alliance des nations européennes, destinée à renforcer leur défense devant une possible invasion Soviétique. Mais dès le début de sa fondation, l'OTAN a été contrainte d'accepter un commandement militaire américain et de lui obeir à la lettre. Aujourd'hui, l'OTAN ressemble beaucoup à une sorte de légion étrangere au service exclusif des intérêts américains. Afin de justifier de son existence et de ses dépenses, l'OTAN sous commandement des psychopathes du Pentagone, a désigné la Russie pacifique de danger principal pour l'Europe. Alors que le président Poutine parle de paix de coopération et de désarmement, l'OTAN qui ne cesse de renforcer son arsenal, fait gesticuler ses troupes aux frontières de la Russie. Organiser des mouvements militaires à la face d'un dirigeant comme le président Poutine, pourrait bien nous mener vers l'irréparable.

On ne provoque pas et on ne menace pas un pays comme la Russie, cxomme si le Pacte de Varsovie était toujours en existence, c'est dangereux et très irresponsable. Surtout après la chute de l'URSS alors que la Russie n'est plus une menace depuis longtemps. La sécurité de la France ne peut pas être abandonnée à une nation aussi belliqueuse que les USA. une nation qui se sert de l'OTAN comme un outil de domination. Les ex-généraux en question ont raison, il est grand temps de sonner le réveil de la France et de se rappeler que notre doctrine militaire est purement dissuasive, elle refuse toute bataille nucléaire. Il n'y a rien à attendre de l'U.E. qui est acquise entièrement à la domination américaine. Ne laissons le soin à personne, de nous embarquer à tout moment, et à nos frais, dans un conflit sans retour. Erigeons-nous contre le fait que la Russie soit mise faussement au ban comme agresseur, à un moment où notre diplomatie vise à un rapprochement avec cette grande nation amie de la France.

Jeudi 17 décembre 2020, 16ème grande conférence de -presse annuelle de Vladimir Poutine à Moscou. Cette année, en raison de la pandémie, la conférence se déroule par visioconférence.

Lors de sa grande conférence de presse annuelle, le président Poutine a rappelé que ce n'était pas la Russie qui se retirait d'accords internationaux et qui possédait tout un réseau de bases militaires à travers le monde. Répondant à une question d'un journaliste de la BBC, Vladimir Poutine lui a demandé pourquoi l'Occident prenait les Russes pour des cons. Il a commenté les prétentions de l'Occident à l'égard de son pays dans le domaine militaire. Il a également rappelé que les États-Unis s'étaient progressivement retirés de plusieurs ententes internationales, notamment du traité ABM (missile antibalistique) et de celui sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (FNI).

Le président Poutine répond au journaliste de la BBC qui lui a demandé si la Russie se sentait responsable de la détérioration des relations avec l'Occident : << Ensuite, ils sont sortis du traité "Ciel ouvert". Que nous reste-t-il ? je ne veux pas vous poser cette question, mais qu'a-t-on à faire dans ce contexte ? Laisser les choises telles qu'elles sont ? Vous en tant que pays de l'OTAN, vous allez survoler notre pays et tout transmettre au partenaire américain. Et nous, nous devons être privés de cette option pour le territoire américain ? Vous êtes intelligents, mais pourquoi vous nous prenez pour des cons ? Pourquoi vous considérez que nous ne pouvons pas analyser des choses aussi élémentaires ? >>

Par ailleurs, le Président russe a mentionné l'existence d'autres questions qui suscitent la préoccupation de la Russie, notamment l'éventuelle prolongation du traité New Start. Il a rappelé que États-Unis possédaient un vaste réseau de bases militaires à travers le monde ; << Répondez donc à votre question : qui est blanc et laineux, et qui est piquant et agressif. nous avons deux-trois bases de déploiement, d'ailleurs sur les axes à risque terroriste : au Kirghizstan, au Tadjikistan, en Syrie. Savez-vous quel est notre budget militaire ? 46 milliards.celui du Royaume-Uni est beaucoup plus important et aux États-Unis il est de 770 milliards >>.

Le Président Poutine se trouve dans sa résidence officielle de Novo-Ogariovo alors que les journalistes sont rassemblés dans le Centre du commerce international de Moscou. Le port du masque et des gants ainsi que la distanciation sociale sont obligatoires. La pandémie oblige, le nombre d'accreditations delivrees cette annee a ete divise par deux. En revanche, pour la première fois dans le cadre de cet évènement, Le Président repondra non seulement aux questions des journalistes, mais aussi à celles de ses citoyens.

La première question porte sur le bilan de l'année 2020. Le Président donne quelques statistiques. La pandémie a affecté tous les domaines de la vie, le PIB russe a chuté de 3,6% ce qui est inférieur aux indicateurs enregistrés dans l'Union Européenne et aux États-Unis. La chute du revenu reel devra chuter d'environ 3% à l'issue de l'année. Il affirme que la Russie est en passe de réduire considérablement sa dépendance au secteur des hydrocarbures. Le budget russe est aujourd'hui indépendant à 70% des revenus pétroliers.

Quelques-unes des questions-réponses que le Président Vladimir Poutine a abordé.

La Russie est prête à renouveler le traité New Start, la balle est dans le camp américain : << Si rien ne se passe, ce traité cesse son existence en février. Nous sommes prêts à poursuivre le dialogue tout en sachant que le Président élu Joe Biden, comme j'en ai eu l'impression, avait exprimé sa détermination à poursuivre le dialogue, a préserver ce document fondamental. Nous y sommes prêts >>.

Poutine invite la France à rejoindre le traité New Start sur les armes nucléaires : << Le Président russe considère que si la sécurité et la nécessité que la Chine rejoigne le New Start sont évoquées, d'autres puissances nucléaires, tels le Royaume-Uni et la France, doivent être prises en compte. Et de rappeler que des pays n'étaient pas officiellement considérés comme tels, alors que tout le monde sait qu'ils ont l'arme nucléaire >>.

Une nouvelle course aux armements a déjà débuté : La course aux armements a commencé apres la sortie des Etats-Unis du traité AMB, dans le cadre des négociations sur la limitation des armes stratégiques, affirme Poutine, ajoutant que dans cette optique, la Russie a dû prendre des mesures. << Une nouvelle course aux armements a déjà débuté. Nous ne voulons pas nous y laisser entraîner >>. Selon lui, le fait que la Russie dispose aujourd'hui d'armes hypersoniques à des incidences sur la situation mondiale. Il assure que tous les projets pour la mise au points de nouvelles armes seront menés à bien et dans le respect des délais initialement prévus.

La Russie va développer ses relations avec les pays arabes : Le Président a assuré que la Russie allait développer ses liens avec le monde arabe et islamique. << Les relations avec le monde arabe sont traditionnelles avec la Russie, c'était le cas de l'URSS comme celui de la Fédération de Russie. Nous avons des liens durables et de longue date remontant aux siècles passés. Aujourd'hui, ils ont même tendance à se resserrer. Nous tenons beaucoup à ces relations et allons les développer davantage >>.

Un journaliste de la BBC pose une question sur les tensions dans les relations entre la Russie et l'Occident : Evoquant l'affaire Navalny, Poutine appelle à donner à la Russie l'accès au dossier et à lui fournir des preuves. A la question de savoir s'il se sentait responsable de la détérioration des relations entre la Russie et l'Occident, le Président indique qu'il se sent responsable avant tout de ce qui se passe avec la Russie. Il ajoute que l'OTAN n'a pas tenu sa promesse d'éviter de s'élargir à l'est. la sortie de l'accord "Ciel ouvert" ainsi que le traité "New Start" venant à expiration début 2021.

Sur les caricatures religieuses et la liberté d'expression : Poutine répond que ceux qui agissent en violation des droits des croyants devraient s'attendre à une réaction en retour, mais que cette réaction ne doit pas être agressive. << Oter la vie d'autrui contredit les principes de toutes les religions, car c'est Dieu qui donne la vie et il n'y a que Lui qui puisse la reprendre >>.

Quelqu'un pose la question "Qui a empoisonné Navalny ? : << Personne n'avait d'intérêt à empoisonner Navalny >> affirme le Président. Concernant les accusations portées sur le Service Fédéral de Sécurité russe (FSB ex KGB), le Président estime que cela relève des services spéciaux américains qui ont pour objectif la vengeance qui vise à perturber le processus politique de la Russie. << Si la Russie avait voulu l'empoisonner, il serait mort >> a affirmé Poutine.

Pourquoi les hackers russes n'ont-ils pas aidé Trump a être réélu : << Les hackers russes n'ont jamais aidé Trump et n'ont jamais interféré dans la présidentielle américaine >>. Évoquant la lutte politique interne des États-Unis, Poutine estime que les accusations contre les hackers russes ont servi de prétexte pour ne pas reconnaitre la légitimité de Trump. Il a également espéré que Joe Biden travaillerait sur les relations russo-américaines.

Sur la question concrnant le gazoduc Nord Stream 2 : Le Président a affirmé que le projet sera achevé malgré la pression américaine. << La Russie continuera de construire le gazoduc Nord Stream 2 en Europe malgré toutes les sanctions des États-Unis >> Il espère que la nouvelle administration américaine respectera ses partenaires européens et reviendra aux principes de la concurrence.

Cette année, la grande conférence de presse de Vladimir Poutine a duré quatre heures et 29 minutes. Le Président russe a répondu à quelques 60 questions.

A la question sur l'origine du coronavirus, le Président Poutine a répondu : << Ce n'est pas le bon moment pour chercher des coupables mais pour conjuguer les efforts afin de sortir de la crise et aider les personnes en difficulté.>> Il a appelé à lever les sanctions imposées aux pays lourdement affectés par la pandémie. Il a précisé que la fermeture des frontières de la Russie est liée à la nécessité d'endiguer la pandémie et de protéger la population : << Dès que les médecins le permettront, les frontières seront ouvertes >> a promis le Président.

A la question de savoir s'il s'était fait vacciner, Vladimir Poutine a rappelé que l'administration de vaccins anti-Covid a à ce jour des restrictions d'âge. Il a promis de se faire inoculer dès que ce sera possible pour lui : << Je ne vois aucune raison pour ne pas se faire vacciner >> a-t-il indiqué.

Le Président a évoqué les capacités insuffisantes de production de la Russie qu'il envisage d'augmenter. Il prévoit de disposer de millions de doses dès le début de l'année. << En attendant, rien n'empêche de le produire sur des plateformes étrangères >> a-t-il estimé. Il a également mentionné qu'aucun cas grave provoqué par les effets secondaires du vaccin "Spoutnik V" efficace à 95%, n'a été enrégistré. << Aucun système de santé au monde n'a été à même d'affronter la crise du Covid-19. Au début de la pandémie en Chine et en Europe, la Russie a pu gagner du temps pour déployer rapidement des lits supplémentaires, construire des centres hospitaliers mobiles et requalifier des professionnels de la santé. La Russie se classe parmi les leaders mondiaux en nombre de tests. Elle a augmenté de 20 fois sa production de masques sur fond de pandémie >>.

Vladimir Poutine lors de sa visite à l'Eglise orthodoxe russe à Paris. Le président russe a visité le centre spirituel et culturel orthodoxe russe à Paris, qui comprend une nouvelle église orthodoxe russe.

Intervieweur : << Pouvez-vous nous dire, quand avez-vous commencé à croire en Dieu ? >>

Poutine : << C'est une question très intime. Vous savez, c'est très difficile d'en parler en public. Mais je pense que chaque personne est née avec une croyance en Dieu. Dans son âme. Il est né avec. Mais différentes personnes commencent à la comprendre à différents moments et dans différentes circonstances. Quoi qu'il en soit, par exemple pendant la Seconde Guerre mondiale, lorsque même les plus grands et les plus athées se sont levés dans les tranchées et ont attaqué, chacun d'entre eux a pensé à cela. J'en suis sûr. Il y a des gens qui comprennent cela sans qu'il y ait une situation extrême. Mais quand une personne se trouve dans une situation extrême, presque tout le monde y pense. >>

Intervieweur : << Un de plus : Vladimir Vladimirovitch, que faut-il sacrifier pour devenir président ? >>

Poutine : << Sacrifice ? Enfin, la vie personnelle. C'est inévitable. Cependant, il y a une très grande compensation. Tout est compensé par le fait de réaliser que vous faites un travail essentiel, unique, vraiment important, visant à améliorer le bien-être de millions de personnes et à renforcer la chose la plus importante dans la vie d'une personne : la Patrie. >>

Entretien de Noël entre le journaliste russe Kiselyev et le chef de l'église orthodoxe russe, Kirill.

Journaliste : << Votre Sainteté, non seulement le monde n'est pas en paix, mais il semble que le monde devienne fou. Et dans ce genre de conditions, vos paroles sont inspirantes. À cet égard, je voudrais partager ma contemplation. La Russie vivra tant qu'elle conservera ses traits distinctifs particuliers,. Dans quelle mesure est-ce le cas et, si oui, en quoi consiste cette spécificité ? >>

Kirill : << Bien sûr, chaque personne a ses propres traits distinctifs. Il n'y a pas deux personnes qui se ressemblent. Et c'est donc la même chose pour les pays. Et ce trait se forme sous l'influence de circonstances différentes. La nature spéciale de la Russie s'est formée sous l'influence de divers facteurs, sa taille, son climat, son histoire, etc. Il y a quelque chose qui est à la base de la majorité absolue des gens. Si ces personnes écoutent cette voix intérieure, que nous appelons la voix de la conscience, je pense que la caractéristique distinctive est que la Russie est un pays qui fait attention à la voix intérieure. de la conscience, même si cela a parfois créé des problèmes pour le pays. Je vais donner quelques exemples remarquables de cas où la conscience prend le dessus sur le pragmatisme : prenons la guerre de Crimée et la défense du christianisme. Certains téléspectateurs diront qu'il s'agissait d'un programme géopolitique. Non, les idées géopolitiques n'ont pas inspiré les gens à défendre les lieux saints et à défendre l'orthodoxie sur le territoire. C'était une question de conscience. Lors des guerres des Balkans sous Alexandre II, des milliers et des milliers de simples citoyens russes veulent se battre pour les frères slaves. Et à leurs côtés, des hommes pas si simples, des généraux, des membres de la famille tsariste. Etait-ce du pragmatisme ? Est-ce que quelqu'un irait mourir pour le pragmatisme > Jamais de la vie.  Ce mouvement pour faire face au danger est venu des gens qui écoutaient leur conscience. Et puis il y a eu Nicolas II avant la première guerre mondiale, pour défendre les frères serbes.Encore une fois, on pourrait dire que c'était du pragmatisme que de défendre les frères serbes.  Mais un peuple serait-il vraiment parti se battre si ce n'était qu'au nom du pragmatisme. Cet élément d'écoute de la conscience se manifeste clairement dans l'histoire de la Russie >>.

Journaliste : << Beaucoup considèrent que la Russie essaie de jouer un rôle disproportionné dans le monde. Et cela peut même comporter des risques pour notre pays. Pouvons-nous supporter cette Croix >>.

Kirill : << Vous n'avez pas le droit de refuser la Croix. C'est ce que nous enseigne l'Eglise orthodoxe. Si la Russie prend cette croix sur elle, alors Dieu lui donnera la force de la porter. Le plus important est ce dont nous venons de parler, à savoir que la dimension morale en politique ne doit jamais être gonflée par des objectifs véritablement et exclusivement pragmatiques qui sont éloignés de la morale. Si, dans notre politique, dans nos vies, dans nos structures sociétales, nous nous efforçons de faire triompher la justice, d'apaiser le sentiment moral des gens, alors il ne fait aucun doute que nous devrons porter une croix d'une manière ou d'une autre. Sans entrer dans les détails, il y a sans aucun doute des gens dans ce monde qui ne seront pas d'accord avec notre position. De telles personnes existent déjà. Mais je veux dire une fois de plus que si Dieu impose une croix, alors il donne à chacun la force de la porter. Et le fait même de porter cette croix a une énorme signification pour le monde entier, pour toute la communauté de l'humanité. Et quelle que soit la manière dont on essaie de présenter nos politiques, y compris la politique étrangère, sous un autre jour, elles seront attrayantes pour les gens tant qu'elles conserveront la dimension morale >>.

Après la chute de l'Union Soviétique, à l'Ouest, on pensait que ce n'était qu'une question de temps avant que la Russie ne devienne comme l'Occident. Au lieu de cela, le président Vladimir Poutine et l'église Orthodoxe russe ont rejeté l'Occident et ses valeurs décadentes.

Alors que l'Occident se noie dans le vice, le président Poutine fait tout en son pouvoir pour promouvoir des valeurs basées sur la famille, Dieu et le pays. Depuis qu'il est à la tête de la Russie, le président russe a adopté un discours politique interne, dominé par le thème du retour aux valeurs familiales traditionnelles. Il se bat durement contre les ennemis de la morale et les agents de l'influence occidentale. Vladimir Poutine qui a ramené son pays à sa gloire d'antan, est en opposition directe avec les valeurs non-traditionnelles émanant de l'Occident, lesquelles sont dépeintes comme étrangères et hostiles à l'Etat russe et à son identité.

Toutes les saloperies couramment acceptées et prônées en Occident : les transgenres, les travestis, les bisexuels, le fétichisme, l'exhibitionnisme, la pédophilie et la sodomie sont considérées en Russie comme des anomalies sexuelles et une menace pour la société. Le président Poutine considere les performances du groupe "Pussy riot" comme l'image parfaite de l'ennemi de la moralité, dangereux et anti-russe. Grâce à son intervention, aujourd'hui, les lois russes protègent farouchement l'institution du mariage entre un homme et une femme, qui est présentée comme nécessaire pour la protection des enfants.

Le peuple Russe est tout à fait conscience du fait qu'en Occident, le pouvoir politique a été accaparé par une minorité de pervers sodomites. La Russie, elle, est l'objet d'un extraordinaire renouveau chrétien et l'eglise Orthodoxe russe a pour meilleur ami le Président de la Fédération de Russie. Un grand chef d'Etat qui en Russie, est un symbole de la religion, du conservatisme et du patriotisme. Un chrétien qui depuis son arrivée au pouvoir, a fait construire 25 000 nouvelles églises en Russie. A noter que les jeunes qui ont grandi après le millénaire sont très orthodoxes, conservateurs, traditionalistes et anti-libéraux.

L'appel à un retour aux valeurs familiales traditionnelles, est un instrument important de régulation sociale en Russie. La famille revêt la plus haute importance pour les russes qui sont totalemewnt opposés a la menace du discours importé du féminisme occidental, la libération des LGBT, qui annonce la destruction de la moralité publique et du mariage traditionnel.

Qui aurait pu imaginer l'importance de l'église Orthodoxe russe aujourd'hui, après tant de grandes souffrances et d'innombrables martyrs victimes du communisme ? Quand on pense que dans les années soixante les chrétiens russes étaient traînés hors de l'église par leurs cheveux. Aujourd'hui, grâce au président Poutine, en Russie, les chrétiens sont libres et protégés.

Quand Vladimir Poutine affirme que l'iidée libérale est devenue obsolète, cette affirmation choque en Occident. Rien d'ètonnant d'ailleurs lorsque l'on sait que le libèralisme est l'idèologie occidentale dominante depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale en 1945. La position du prèsident russe est que la Russie a un type de civilisation spècifique et diffèrent, où la souveraintè l'emporte sur la dèmocratie, et où l'unitè et la stabilitè nationales l'emportent sur l'ètat de droit et les droits de l'homme. Il n'est donc pas favorable au libéralisme à l'occidentale, qu'il considere comme un défi fondamental pour son style de gouvernement.

Poutine qui veut faire passer le message qu'il existe une alternative au modèle de societé démocratique capitaliste de type libéral, ne manque pas une occasion de pourfendre l'idée libérale qui, selon lui, a dèpassè son but alors que l'opinion publique se retourne contre l'immigration de masse, l'ouverture des frontières et le muticulturalisme. Dans une conférence de presse, il a affirmé que les libéraux ne pouvaient pas simplement dicter quoi que ce soit à qui que ce soit, comme ils ont essayé de le faire au cours des dernières décennies. Il a pris note que dans les sociétés libérales européennes, les migrants peuvent tuer, piller et violer en toute impunité parce que leurs droits en tant que migrants doivent être protégés. Pour lui, accepter des millions de réfugiés en Europe, en provenance de territoires musulmans ravagés par la guerre, est une erreur cardinale. Il pense qu'au lieu de ne rien faire, chaque crime doit être puni et que les gouvernements libéraux n'avaient pas agi comme il se doit, pour rassurer et protéger les citoyens ; << L'idée libérale qui est devenue obsolète, est entrée en conflit avec les intérêts de l'écrasante majorité de la population >>.

Pour le président russe, les gouvernements libéraux ont poursuivi un multiculturalisme aveugle et insensé qui englobe, entre autres, la diversité sexuelle. Il a déclaré que les gouvernements libéraux dictaient des valeurs LGBT auxquelles s'opposaient des millions de personnes qui constituent le noyau de la population. Poutine qui est tres concerné avec la protection des enfants, n'accepte pas le fait que les LGBT prétendent que les enfants peuvent jouer cinq ou six rôles de genre : << Que Dieu nous en préserve, qu'ils vivent comme ils le souhaitent mais qu'ils restent éloignés de nos enfants car certaines choses nous semblent excessives. cela ne doit pas occulter la culture, les traditions et les valeurs familiales traditionnelles de nos populations >>.

Il y a beaucoup de vrai dans ce que dit le Président de la Fédération de Russie, qui pense que les idées libérales sont ineptes et tyranniques. Pour Poutine, la,limitation de manière stricte de l'intervention de l'Etat et le laisser faire où jouent librement les forces économiques qui, selon les libéraux conduit automatiquement à l'optimum, ne favorisent pas la prospérité et le bien-être huimain. C'est un sentiment anti-libéral auquel de plus en plus de monde adhère.

Dans leurs discours, les libéraux affirment souvent que la pauvreté aurait été vaincue grâce aux recettes libérales. Très bien, mais alors que faut-il penser de la réussite de la Chine qui doit davantage à la main de fer de l'Etat qu'à la main invisible du marché ? Que diantre, l'économie chinoise non-libérale semble avoir porté ses fruits en extirpant plus de 700 millions de ses citoyens de la pauvreté absolue. Il est donc cocasse d'attribuer au libéralisme les progrès enrégistrés par l'humanité entière. En Occident on a l'habitude de nous faire croire que le,libéralisme est une doctrine indispensable, à l'origine, nous affirment-ils, de merveilleuses prouesses. Non mais, vraiment, comme si seul le libéralisme pouvait sauver le monde.

Comment ces gens-la peuvent-ils nous affirmer que la doctrine libérale qui prône la libre concurrence, tout en prohibitant l'intervention de l'Etat dans l'économie, peut être responsable du succès chinois ? A rappeler que la Chine maîtrise sa monnaie nationale, contrôle le système bancaire et les marches financiers qui sont sous haute surveillance. Ou est donc le rapport entre la politique commerciale de la Chine et les dogmes libéraux ? C'est peut-être le libéralisme qui a inventé le commerce qui existait bien longtemps avant l'idée libérale ? Si un pays comme la Chine a f'ait d'énormes progrès depuis ces dernières décennies, ce n'est certainement pas grâce au libéralisme, bien au contraire. Car pour les libéraux, toute intervention de l'Etat serait nocive pour l'économie, c'est ce qu'ils croient mordicus. Pas étonnant que les oligarchies de ce monde qui sont assoiffées d'argent, préfèrent leur idéologie spontanée.

Vladimir Poutine a promis au peuple russe de conserver la souverainté et l'indépendance de la Russie, face à une Europe décadente. Pour ce grand chef d'Etat, l'amour de la Patrie est un moyen d'unir le peuple russe. Il a mis en avant la notion de valeur chrétienne, en se faisant le héraut d'une Russie conservatrice et traditionnelle, et apparaît être comme un rempart contre la décadence occidentale.

Vladimir Poutine ; << Les États-Unis ne sont plus un pays chrétien. Nous Européens, devons préserver notre culture >>.

Poutine : << regardez simplement ce qui se passe dans le monde. L'Inde, notre voisin de gauche, a une population de 1,2 milliard d'habitants, et la Chine en a une de 1,5 milliard. Les Etats-Unis continuent à recevoir de plus en plus d'immigrants ; et si je comprends bien, leur population chrétienne blanche est déjà dépassée en nombre. Les chrétiens blancs sont devenus une minorité, moins de 60 % maintenant.

Ce dont je parle, c'est que le monde connaît des changements dramatiques et globaux. Je ne dis pas que c'est une bonne ou une mauvaise chose, mais simplement que des changements globaux sont en cours. Vous avez dit que la Russie est un vaste territoire et qu'il en est ainsi de ses frontières occidentales à orientales, c'est un espace eurasien. Mais en ce qui concerne la culture, même la langue, le groupe linguistique et l'histoire, tout est sans aucun doute un espace européen car il est habité par des gens de cette culture.

Je dis cela parce que nous devons préserver tout cela pour rester un centre important dans le monde et je ne le dis pas au sens militaire ou autre. Nous ne devrions pas tout diviser sur la base de l'ethnicité et ne pas regarder en arrière en pensant, par exemple, à la guerre entre la France et la Russie en 1812-13, mais plutôt travailler vers l'avenir pour trouver des moyens de construire un avenir commun et suivre ce chemin commun. C'est ainsi que nous pourrons préserver ce vaste espace et ces peuples en tant que centre mondial, ce qui est important pour les relations avec les pays asiatiques et le continent américain. Si cela ne se produit pas, cela signifierait la division en associations quasi-nationales mineures d'États qui finiraient par perdre leur importance au sens mondial de centres indépendants. Préserver la culture ne signifie pas la détruire. Si nous la préservons, ce sera aussi un grand avantage pour le développement humain, car elle constitue une part importante de la culture mondiale et doit certainement être préservée.

Le 21 décembre au soir s'est réalisé le rêve de Dima, un petit garçon gravement malade de neuf ans de la ville sibérienne de Tcheliabinsk : il a joué au hockey sur glace avec le président russe Vladimir Poutine sur la place Rouge à Moscou dans le cadre de la campagne << Sapin des vœux >>.

L'enfant voulait pl,us que tout jouer au hockey sur glace au pied des murs du kremlin. Non seulement Dima a pu réaliser son rêve, mais encore, une fois sur la glace avec son père, il a vu arriver le Président Poutine en uniforme de hockey portant son numéro habituel, 11.

Le président Poutine a profité de l'occasion pour formuler son voeu le plus cher pour le Nouvel An : Une bonne santé à tous. Le président russe joue régulièrement dans des matchs de la "Ligue nocturne". Parfois, il a pour coequipiers, Serguei Choigou, le ministre de la Défense, ainsi que les légendaires hockeyeurs russes Pavel Bure et Alexei Kassatonov.

Selon un communiqué du service de presse du Kremlin, le Président Vladimir Poutine aurait félicité le Président élu Joe Biden pour sa victoire à la présidentielle. Il aurait exprimé sa certitude que les deux pays aient la possibilité de coopérer afin de favoriser la résolution de nombreux problèmes auxquels le monde fait face.

Le président Poutine qui croit fermement qu'une coopération basée sur le respect mutuel servirait les intérêts des populations des deux pays et du monde entier, aurait souhaité plein succès au Président américain élu, convaincu, concernant la possibilité réelle dont disposent la Russie et les États-Unis, et malgré les divergences qui existent entre les deux nations, de contribuer à la sécurité globale et à la stabilité ainsi qu'à la résolution de nombreux problèmes et défis. Le communiqué russe précise que le Président Poutine aurait dit : << De mon côté, je suis disposé à interagir et à entamer un dialogue avec vous >>.

Au lieu de parler de paix, d'amitié et d'échanges culturels et commerciaux, les psychopathes américains provoquent la Russie et ne parlent que de guerre. Ils semblent oublier que le nouveau sytème russe de missiles hyperpersoniques est invincible et invulnérable aux défenses américaines. Comme l'affirmait récemment Serguei Shoygu le ministre de la Défense russe : << Ils ne devraient pas s'amuser avec nous, cela ne vaut pas la peine d'engager un combat avec la Russie >>.

Malgré cet avertissement, un général américain a affirmé publiquement  << Nous avons un plan pour abattre le Kaliningrad russe. >>

Washington a l'habitude de parler au nom du monde entier, mais c'est ainsi que la Russie parvient à contrer la menace. Les images ont été filmées au printemps dernier. Les chasseurs Su-27 ont chassé les bombardiers américains de Kaliningrad.

Un des journaux étrangers a alors simplement expliqué que les bombardiers B 52 ont pratiqué une frappe nucléaire sur la Russie. Le général Jeff Harrigan, le commandant de l'armée de l'air américaine en Europe, a ouvert le débat et a déclaré aux journalistes que c'est ainsi que le Pentagone essaie de trouver les clés d'un ciel bien protégé à Kaliningrad : << Si nous devons détruire, par exemple, le système de défense aérienne intégré de Kaliningrad, qu'il ne fasse aucun doute que nous avons un plan pour cela. Nous sommes prêts pour cela. Nous révisons constamment nos plans. S'il s'agit de la mise en œuvre de ces plans, nous le ferons >>. Une telle déclaration belliqueuse semble plutôt sauvage et irresponsable de la part d'un homme de haut rang en uniforme.

Comme prévu, la réponse russe a été sévère. Le ministère de la défense et le ministère des affaires étrangères ont tous deux commenté la déclaration du général américain.

Maria Zakhanova, porte-parole du ministère des Affaires étrangères : << Nous considérons cela comme une menace. Deuxièmement, nous considérons ces déclarations comme totalement irresponsables. Les personnes intelligentes et avant-gardistes ne feront jamais de telles déclarations, réalisant qu'elles nuisent à la réputation de leur pays, elles représentent >>.

Selon Serguei Shoygu, le ministre de la Défense, le monde devient plus imprévisible et moins sûr : << Le retrait des Etats-Unis de deux importants traités de contrôle des armements en est la preuve. La foi des Etats-Unis dans leur supériorité en matière de puissance et la capacité à prendre des mesures déraisonnables à cause de cela est le principal facteur d'instabilité. L'Occident a créé il y a longtemps des modèles et des algorithmes pour renverser toute autorité légale qui leur serait inconvenante dans un pays quelconque. Naturellement, cela se fait sous la bannière de la promotion de la démocratie. Eh bien, le pays où ils ont apporté leur démocratie est aujourd'hui démocratique ? L'Irak ? L'Afghanistan ? La Libye ? ou peut-être l'ex-Yougoslavie, qui a été bombardée démocratiquement et divisée de force en six États en 1999 ? Des choses comme la souveraineté et l'indépendance après une intervention américaine sont hors de question >>.

A part les généraux psychopathes du genre Jeff Harrigan, qui rêvent d'une petite confrontation militaire avec la Russie, de son côté, Mike Pompéo le Secrétaire d'Etat américain, se permet d'affirmer que la Russie est ennemie des États-Unis. Ce fanfaron ignore qu'en temps de paix il n'y a pas d'ennemi mais rien que des adversaires. Quant à la presse américaine, la Russie serait parait-il un pays agressif. Pourtant, la Russie qui est une nation pacifique, n'a aucun plan d'agression contre qui que ce soit. En termes de dépenses militaires, la Russie se classe sixième au monde. Comment peut-on donc la qualifier de pays agressif ? Ce n'est pas la Russie qui est belliqueuse et qui menace de déclencher de nouvelles guerres. A ce sujet, il est intéressant de se référer à ce que disait l'ancien Président Jimmy Carter à Donald Trump au cours d'une conversation téléphonique : << Les États-Unis sont la nation la plus belliqueuse de l'histoire du konde. nous investissons toutes nos ressources dans la destruction massive >>. Et comme s'il voulait prouver cette affirmation accablante, le vice-président Mike Pence déclarait récemment aux élèves de l'Académie militaire de West Point : << C'est une quasi-certitude que vous allez vous battre sur un champ de bataille pour l'Amérique à un moment de votre vie. Vous dirigerez des soldats au combat. Ça arrivera. >> Il s'agit-là d'une attitude américaine qui signifie que la guerre est inévitable. Quant aux psychopathes du Pentagone, nous savons selon certains rapports et déclarations, qu'ils se préparent à la guerre contre la Russie et la Chine. On pourrait penser que le bon peuple américain se lèverait massivement contre une telle insanité qui menace la paix du monde. Il n'en est rien, c'est le silence total. Pas étonnant que les sondages mondiaux classent les États-Unis comme la plus grande menace à la paix mondiale. Un grand mouvement international pour la paix est plus que nècessaire aujourd'hui. Un puissant mouvement de masse qui puisse mettre un frein voire une fin à tant d'insanité qui menace la vie de nos enfants et de nos petits-enfants. Il est grand temps que les peuples du monde épris de paix, s'érigent contre les faiseurs de guerres et exigent de nos gouvernements qu'ils cessent de consacrer nos ressources à la guerre et à la destruction, mais au profit des besoins humains et à la protection de notre environnement. Guerre à la guerre, Vive la Vie et l'amitié entre les peuples.

Le président Poutine a donné une réception au Kremlin en l'honneur des 800 meilleurs diplomés des académies militaires russes, avant qu'ils se dispersent dans le pays pour rejoindre leurs affectations. A cette occasion il a dit aux jeunes officiers que ; << La chose la plus sacrée est notre devoir envers la mère patrie >>.

Comme le veut la tradition, le 1er janvier à minuit, le ciel de Moscou est illuminé par une série de feux d'artifices pour fêter le passage à l'année nouvelle. Bonne année à la Russie et au merveilleux peuple Russe ami de la France depuis trois siècles. Que la paix règne pour toujours entre nos deux nations, dans l'amitié, le respect mutuel et la compréhension.

Il y a quatre ans la Russie voyait Donald Trump d'un bon oeil car il semblait ouvert à de nouvelles relations et l'on pensait qu'il pouvait changer le système néfaste à de bonnes relations russo-américaines. Aujourd'hui, il n'en est plus de même car les relations entre la Russie et les États-Unis sont pires que jamais. Trump a imposé plus de sanctions à la Russie que n'importe quel autre président américain, par conséquent, il ne représente aucun avantage pour la Russie. A chaque fois qu'il impose de nouvelles sanctions, les relations ne font qu'empirer entre les deux nations. L'engouement basé sur la possibilité d'établir de meilleures relations n'y est plus. Le président Vladimir Poutine a déclaré au cours d'une interview que Trump ou Biden gagne, cela n'a aucune importance, qu'il était prêt à dialoguer avec n'importe président élu par le peuple américain. Il est tout à fait conscient qu'avec Joe Biden à la Maison Blanche, la confrontation ne fera que s'étendre. Cependant, il est disposé à travailler avec le nouveau président américain en dépit de sa rhétorique antirusse. Pour les Russes qui sont devenus passifs envers Trump, la campagne électorale américaine est un spectacle de mauvais goùt, une sorte de théâtre. Espérons que ces deux présidents sauront oeuvrer pour maintenir la paix dans le monde.

L'Estonie, un pays d'un peu plus de 1 million 200 mille habitants qui a toujours une affection particulière pour les nazis, revendique comme par hasard, une région de la Russie. L'Estonie qui a été alliée aux nazis a perdu ces territoires en 1945. Elle revendique alors qu'elle a accepté les conditions sur la délimitation de sa frontière avec la Russie.

Le président du parlement estonien Henn Polluaas, insiste pour que la frontière avec la Russie soit délimitée par le traité de Tartu de 1920, malgré l'existence d'un accord bilatéral de 2014 sur la frontière commune. Pour la petite histoire, le traité de Tartu de 1920 a accordé à l'Estonie une partie de la région russe de Pskov à l'est de la rivière Narva. Cependant, l'Estonie a perdu ces territoires à la fin de la Deuxième guerre mondiale. Ces territoires font désormais partie de la région de Léningrad, entourant la ville de Saint-Pétersbourg et limitrophe de l'Estonie et de la Finlande. Pour la Russie ce traité est caduc bien que les estoniens affirment qu'il est toujours en vigueur. A noter qu'en devenant membre de l'OTAN, l'Estonie a renoncé aux revendications territoriales et de préserver les frontières apparues après la Deuxième guerre mondiale.

Voila qui risque bien d'aggraver la tension avec la Russie et provoquer une confrontation globale. Lorsque l'on sait que les États-Unis considerent les pays baltes comme un instrument de pression sur la Russie, alors on peu en déduire qu'il s'agit là d'un nouveau coup monté par les américains et l'OTAN.

Le camp occidental avec les États-Unis en tête, parle d'une forte probabilité que la Russie intervienne dans la région de la baltique. On parle beaucoup de menace russe sur les pays baltes et de dissuader la Russie de les envahir. Vraiment, la Russie a autre chose à faire que d'envahir les insignifiants payx baltes. Ce n'est certainement pas l'intention de la Russie de s'engager dans une aventure qui ne comporte que des désavantages, et le pire résultat possible, c'est-à-dire, provoquer un échange stratégique avec les forces de l'OTAN. De plus, les pays baltes n'ont guère de valeur stratégique pour la Russie. La relation historique de la region Baltique avec la Russie est marginale. Les Etats baltes n'entrent pas dans la même catégorie que la Crimée ou l'Ukraine, lesquelles sont des régions que de nombreux Russes ont toujours considérées comme des parties essentielles de leur pays. Il n'y a absolument aucune menace dans les propos du président Poutine qui ne parle que de paix et de dialogue. Il n'a pas du tout l'intention d'envahir les pays baltes car il n'est pas dans une logique d'expansion. Donc, contrairement à ce que l'on voudrait nous faire croire, une attaque contre les pays baltes par la Russie est très faible. Désolé de décevoir les psychopathes du Pentagone qui passent leur temps à pointer le doigt vers la Russie en criant << Au loup ! >> tout en provoquant la Russie dangereusement.

Le président Vladimir Poutine est le plus expérimenté, le plus compétent et le plus talentueux  des leaders mondiaux. Il est aussi le plus responsable, car lui au moins porte la responsabilité de ses paroles. Peu de gens dans le monde peuvent se comparer à lui.

Le Président de la Fédération de Russie est un homme de paix et de dialogue, qui a la ferme conviction qu'une guerre nucléaire est impensable. Mais ne nous y trompons pas, car si la Russie ne cherche que la stabilité et la paix dans le monde, elle se réserve le droit d'utiliser son arsenal nucléaire, en réponse à l'utilisation de l'arme nucléaire contre son territoire. La Russie se réserve également le droit d'utiliser certains types d'armes nucléaires, dans le cas précis d'une invasion militaire de son territoire, dès lors que l'Etat russe serait menacé.

Ces dernières années, les dispositifs visant à limiter la course aux armements et à éviter les erreurs de calculs aux conséquences potentiellement dévastatrices pour le monde, sont tombés les uns après les autres. Les États-Unis ont pris la décision de s'en retirer, accusant et prétextant que la Russie en avait violé les dispositions.

Les insensés du Pentagone ont récemment levé le voile sur une nouvelle posture nucléaire américaine, laquelle affirme la nécessité de doter les forces américaines d'armes nucléaires de faible puissance afin, disent-ils, d'être en mesure de répondre à la doctrine russe. Les psychopathes du Pentagone et les docteurs "Folamour" qui y occupent une place prépondérante, ont fait le dangereux pari que si les États-Unis étaient engagés dans une guerre nucléaire "limitée" avec la Russie, celle-ci n'oserait pas répliquer.

Oh, les fous !

Le président Poutine a portant été clair à ce sujet. Il a exprimé qu'un échange nucléaire limité n'était qu'une utopie, que tout échange nucléaire résulterait dans une déflagration apocalyptique totale, avec les conséquences que nous connaissons pour l'humanité entière.

Quand on entend des politiciens affirmer que leur arsenal nucléaire est de meilleur condition que celui es russes ou des chinois, il y a de quoi s'inquiéter. C'est effrayant de penser à ce qui se passe dans les demi-cervelles de ces psychopathes. Le moins qu'on puisse dire, c'est que cette stratégie démentielle donne des sueurs froides. Cette mentalité est dangereuse et stupéfiante. Toute folie guerrière orgueilleuse et fanatique, est ignoble. Quelle saine nation peut être prête à sacrifier sa population à l'autel de son arrogance mégalomane, et commettre ainsi le plus grand crime de l'humanité ?

En ce qui nous concerne, la doctrine nucléaire américaine contredit nettement notre politique de dissuasion nucléaire, dont l'emploi ne peut être que forcé et considéré comme une mesure extrême. C'est également l'avis éduqué du président Poutine. En fait, la doctrine nucléaire américaine entraînerait NOTRE pays et la plupart des pays européens, dans une guerre nucléaire totale, en cas de frappes de représailles russes. On peut donc constater l'ampleur du danger qui nous guette si nous continuons à suivre aveuglément les américains dans leur délire.

Allons-nous accepter la vitrification de NOTRE pays ou n'est-il pas grand temps de nous désolidariser de ces aventuriers et faiseurs de guerre ? Qui aura les couilles de nous faire sortir de l'OTAN sous commandement américain ?

Merci aux sanctions de l'Union Européenne, la Russie fait preuve chaque année d'une résurgence spectaculaire dans le domaine de l'agriculture. L'embargo décidé par l'Occident en 2014, n'a pas empêché l'essor de l'agriculture russe, bien au contraire. Le président Vladimir Poutine a fait de ce secteur une priorité nationale. Le résultat de cette décision stratégique est absolument stupéfiant : la Russie, aujourdh'ui, a atteint le niveau d'autosuffisance alimentaire.

La Russie détruit les marchandises européennes. Avec cette mesure, le président Vladimir Poutine entend décourager les importations en provenance de l'Europe.

Durant la guerre froide, l'URSS avait déjà des complexes ferroviaires lance-missiles dans son arsenal. En réponse au programme américain "Prompt Global Strike", la Russie a mis en opération, un train de conception d'une nouvelle version du train lance-missiles baptisé "Margouzine". Le train nucléaire voyage discrètement et en permanence à travers l'immensité russe. Il est difficile à distinguer de trains ordinaires de marchandises et de passagers qu'il cotoie en permanence sur les voies, ce qui en fait une cible pas facile à repérer. De plus, il est invisible des satellites espions. Les wagons de ce train ressemblent à des wagons frigorifiques ordinaires. Chaque train est doté de six missiles RS-24 capables chacun d'emporter 4 têtes, cela représente 24 têtes thermonucléaires par train capable chacune de rayer une grande ville de la surface du globe. Le RS-24 qui atteint une vitesse de l'ordre de mach 20 est impossible à intercepter. Il a une précision de l'ordre de 50 mètres après un vol de plus de 10 000 kilomètres. Le train nucléaire russe, représente une option au déploiement américain en Europe.

Les Russes sont prêts.
Les Chinois sont prêts.
Les américains branlants sont prêts
La France va en subir toutes les conséquences.

La Sainte Russie célèbre la naissance du Christ avec un chant de Noël à couper le souffle. Joyeux Noël Orthodoxe à tous nos amis Russes et paix sur terre aux hommes de bonne volonté.