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un collaborateur de L'Elysée a frappé un manifestant - Page 4 Empty Re: un collaborateur de L'Elysée a frappé un manifestant

Mer 1 Aoû 2018 - 12:32
Ziggy a écrit:Face à cette affaire ou pour une fois tous les partis sont d'accord , ne pourrait il pas y avoir une ligue commune demandant la démission de ce gouvernement ?

Non seulement tous les partis sont d'accord, mais il ne faut pas oublier que Macron a expliqué qu'il était le "seul responsable" des actes illégaux commis par Benalla. Des actes délictueux et criminels qui actuellement tombent sous le coup de la loi. Macron n'est rien d'autre qu'un arrogant et un fanfaron dont le comportement est détrimental aux valeurs de la République. Il ne faut pas s'attendre à ce que Macron démissionne, cependant, on pourrait déclencher une procédure de destitution.
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un collaborateur de L'Elysée a frappé un manifestant - Page 4 Empty Re: un collaborateur de L'Elysée a frappé un manifestant

Mer 1 Aoû 2018 - 20:03

Sébastien Chenu sur les Motions de censure

1 août 2018
(Source)



Sébastien Chenu rappelait quelques vérités au gouvernement à l’occasion du débat sur la motion de censure.

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un collaborateur de L'Elysée a frappé un manifestant - Page 4 Empty Affaire Benalla : des auditions de policiers contredisent la version de l'Elysée

Jeu 2 Aoû 2018 - 10:06

Affaire Benalla : des auditions de policiers contredisent la version de l'Elysée


Affaire Benalla : nos réponses aux six questions les plus posées pour éclaircir ce dossier

Orange avec AFP, publié le mercredi 01 août 2018 à 21h00

Dans leurs procès-verbaux consultés par Le Monde, trois policiers mis en examen présentent Alexandre Benalla comme l'homme de confiance d'Emmanuel Macron. Une version tout à fait différente de celle livrée par les proches du président.

Jusqu'où ira cette "affaire Benalla" ? Après les violences lors des manifestations du 1 er mai place de la Contrescarpe.

Après les nouvelles vidéos impliquant l'ancien chargé de mission de l'Elysée au jardin des Plantes dans d'autres faits de violences. Après la perquisition à son domicile juste avant laquelle un ami d'Alexandre Benalla a "mis en sécurité" certains objets dont des armes. S'ajoutent désormais les déclarations de policiers, mis en examen pour "violation du secret professionnel" et "détournement d'images issues d'un système de vidéo-protection" qui viennent contredire les propos de l'Elysée au sujet d'Alexandre Benalla.

"L'homme de confiance"

On reproche à ces trois policiers, très expérimentés et haut-placés dans la hiérarchie policière, d'avoir transmis les images des caméras de la Préfecture de police afin "d'aider" l'ex-chargé de mission à préparer sa défense. Leurs versions des faits diffèrent sensiblement, mais tous s'accordent sur un point : ils n'auraient jamais agi de la sorte si Alexandre Benalla ne leur était pas apparu comme l'homme de confiance du président de la République.

Face aux enquêteurs, il y a le haut- gradé Laurent Simonin. Trente années de carrière dont plus de quinze au sein de la direction de l'ordre public et de la circulation à la Préfecture de police, il est contrôleur général et chef d'état-major adjoint. Il y a aussi Jean-Yves Hunault, officier de liaison à l'Elysée. Il venait de passer dix ans à la direction de l'ordre public et de la circulation et "avait pour mission d'assurer un lien étroit entre l'Elysée et la PP, tout en s'occupant de " l'entourage" de l'Elysée", précise Le Monde. Et puis, il y a Maxence Creusat, jeune commissaire dont les déclarations ont le plus retenu l'attention, car elles reviennent avec plus de précisions sur le rôle d'Alexandre Benalla au sein du dispositif de sécurité présidentiel.

Pour un ancien du GSPR, Benalla "perturbait" la sécurité du présidentpar BFMTV


"Depuis l'élection de M.Macron, les chefs du groupe de sécurité de la présidence de la République [étaient] ostracisés par la présence de M. Benalla", aurait-il déclaré aux enquêteurs, selon les informations du journal. "Lors des déplacements (...), [il communiquait] les souhaits et les volontés du président." D'après ce policier de la DOPC, en poste depuis 2011, M. Benalla était, en outre, destinataire, "au quotidien, des télégrammes et notes confidentielles".

"Pour nous, Benalla [représentait] Macron pour tous les sujets sécurité"

Plus précis encore, le policier donne des exemples des situations dans lesquelles il a vu Alexandre Benalla en action, au plus près du président de la République : "quand le chef de la DOPC, du GSPR et M. Benalla [étaient] ensemble sur un service d'ordre, et que le président communiquer une volonté en matière de sécurité (...), il M. Benalla sur son téléphone". Lors de la descente des Champs-Elysées du bus de l'équipe de France de football, "plusieurs témoins" auraient été impressionnés de son "lien direct téléphonique avec le président de la République afin de caler le timing", relate Le Monde. "Pour nous, M. Benalla [représentait] Macron pour tous les sujets sécurité."

Ces déclarations contredisent les explications fournies par l'entourage d'Emmanuel Macron et notamment le secrétaire général de l'Elysée Alexis Kohler. Devant la commission d'enquête du Sénat, le 25 juillet dernier, il avait affirmé que "la sécurité du président de la République [était] toujours assurée par le commandement militaire ou le GSPR" et qu'Alexandre Benalla "n'avait pas de responsabilités les concernant", assurant que la présidence n'employait pas "de vigiles privés pour assurer la sécurité du chef de l'État".

"Il le connaissait de vue"

Plus gênant encore, le chef de cabinet de Gérard Collomb, Jean-Marie Girier, avait affirmé lundi à la commission d'enquête du Sénat sur l'affaire Benalla que son ministre ne connaissait de l'ex-collaborateur d'Emmanuel Macron "ni son nom, ni son prénom, ni ses fonctions", confortant des déclarations du ministre. "Il le connaissait de vue", a affirmé ce proche du ministre de l'Intérieur et ancien directeur de campagne d'Emmanuel Macron. Lors de son audition Gérard Collomb avait rappelé aussi à plusieurs reprises qu'il avait "croisé" Alexandre Benalla mais pensait qu'il était "policier". Difficile à croire à la lumière de ces nouveaux témoignages.

SOURCE Orange/AFP


Peut-être un jour connaîtrons nous la vérité?
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Jeu 2 Aoû 2018 - 10:23

Une nouvelle photo compromettante mise en ligne

sputnik, le 1er août 2018
(Source)


Alors qu’Alexandre Benalla, ancien chargé de mission à l’Élysée, a toujours affirmé n’avoir procédé à aucune interpellation lors des manifestations du 1er mai dernier à Paris, une photo publiée récemment par la banque d’images Alamy vient démentir ses propos.

L'affaire Benalla continue à faire couler beaucoup d'encre avec la récente diffusion par les médias de vidéos des interpellations. Maintenant c'est la banque d'images Alamy qui publie, à son tour, une photo montrant Alexandre Benalla et Vincent Crase lors des interpellations le 1er mai au Jardin des Plantes.

https://twitter.com/pascalriche/status/1024511694415036416/photo/1

Sur la photo en question on peut voir un jeune homme le bras tordu, tandis que deux autres personnes se trouvent derrière lui pour l'immobiliser. On voit également une troisième personne se trouvant à proximité.

Il est possible de reconnaître l'ex-employé de LREM, Vincent Crase, qui porte une matraque télescopique à la main, lui aussi mis en examen.
Le visage dissimulé sous une capuche, Alexandre Benalla semble également être présent sur la photo car une vidéo publiée récemment sur le Web l'avait déjà montré portant la même tenue, le même jour, au même endroit.

Le troisième homme, qu'on peut également voir sur la photo, est Philippe Mizerski, commissaire à la direction de l'ordre public et de la circulation, chargé ce jour-là d'accompagner Alexandre Benalla.

Auparavant, l'ex-collaborateur d'Emmanuel Macron avait affirmé qu'il n'avait jamais procédé à aucune interpellation.
Alexandre Benalla, collaborateur du Président de la République française, dont le licenciement a été annoncé le 20 juillet, avait été filmé le 1er mai à Paris en train de frapper des manifestants alors qu'il était présent en tant qu'observateur auprès des forces de l'ordre. M.Benalla a été ensuite placé le même jour en garde à vue pour violences et usurpation de fonction.

Avec l’affaire Benalla, l’impopularité de Macron bat des records
Son domicile à Issy-les-Moulineaux a été perquisitionné le 21 juillet au matin. Le 22 juillet, le parquet de Paris a annoncé la mise en examen pour « violences en réunion » d'Alexandre Benalla et des quatre autres protagonistes filmés en train de frapper des manifestants le 1er mai.

Le Président Macron a affirmé le 24 juillet, devant des membres du gouvernement et des députés de la République en Marche, que les faits qui s'étaient produits le 1er mai étaient une « trahison » et que le seul responsable de la situation était lui-même.

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Macron : la dérobade du fanfaron !

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Macron affaibli la fonction présidentielle !
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un collaborateur de L'Elysée a frappé un manifestant - Page 4 Empty Rebondissement supplémentaire

Jeu 2 Aoû 2018 - 11:18

De nouvelles révélations pourraient mettre en doute la défense d'Alexandre Benalla et de l'Elysée

1 août 2018, 19:50
De nouvelles révélations pourraient mettre en doute la défense d'Alexandre Benalla et de l'Elysée
©️ Stephane Mahe Source: Reuters
Alexandre Benalla et Emmanuel Macron le 24 février 2018

Nettoyage express avant perquisition, projet de réorganisation du GSPR ou nouvelle photo montrant une nouvelle interpellation d'un manifestant par Benalla : trois récents éléments permettraient de mettre en doute la défense de l'ex-chargé de mission.

Quel a été le rôle d'Alexandre Benalla lors des événements du 1er mai et quelles sont ces véritables missions auprès de l'Elysée ? Tout reste flou. Le mystère s'épaissit d'autant plus avec les dernières informations dévoilées par la presse. Si Alexandre Benalla atteste qu'il s'est cantonné au rôle d'«observateur», sans procéder à aucune interpellation, un nouveau cliché vient contredire cet élément de défense. Une photo de l'agence Alamy montre Alexandre Benalla, aux côtés de Vincent Crase (employé de La République en marche) et du policier de la Direction de l'ordre public et de la circulation (DOPC), Philippe Mizerski. Les trois hommes sont photographiés en train de se saisir d'un homme, visiblement un manifestant.

   Une nouvelle photo de la joyeuse équipée des “simples observateurs” de l’Elysée, nos pieds nickelés Benalla et Crase. 1er mai, jardin des plantes. https://t.co/JLDbkMYAKApic.twitter.com/VrTACi6RZV— Pascal Riché (@pascalriche) 1 août 2018

Par ailleurs, Le Canard enchaîné donne des détails plutôt troublants de la perquisition au domicile d'Alexandre Benalla, le 20 juillet au soir. Tout d'abord, les policiers, ne parvenant à ouvrir la porte d'entrée, font appel à un serrurier qui ne réussit pas, non plus, à déverrouiller la porte. Le Canard enchaîné écrit ainsi : «Avec une incroyable désinvolture, ils apposent, en guise de scellé, un simple autocollant sur la porte d'entrée.»
Perquisition ubuesque et armes non-déclarées

Le serrurier et les policiers reviennent le lendemain. Et miracle, ils arrivent cette fois-ci à crocheter la serrure. Mais oh surprise ! Le coffre, censé être le réceptacle supposé de tout un arsenal d'armes d'Alexandre Benalla, était vide. Les policiers auraient ainsi demandé à l'ancien chargé de mission de l'Elysée les raisons de ce nettoyage. Il aurait simplement avancé l'intervention d'un «ami», les policiers ne cherchant pas à en savoir plus. Le Monde donne plus de détails, avec cette question posée par un policier lors de la garde-à-vue : «Pouvez-vous nous dire où se trouvent cette armoire et ces armes ?», demande un enquêteur. «Aucune idée», aurait répondu Alexandre Benalla. Le Canard enchaîné dévoile qu'après la révélation de cette turlupinade par le syndicat de police Vigi auprès d'un juge, Alexandre Benalla aurait alors remis ses armes à la justice. Lors de cette visite policière à Issy-les-Moulineaux, les policiers auraient également trouvé un gyrophare bleu ou une rampe lumineuse de police.
Lire aussi
Alexandre Benalla au Touquet le 11 juin 2017, illustration Suspension de Benalla en mai : était-il en Bretagne ou à l'Assemblée nationale ?

Par ailleurs, lors d'une perquisition le 25 juillet dans le bureau d'Alexandre Benalla, situé à l'Elysée, les policiers auraient découvert, selon Le Monde, «une proposition de plan de transformation organisationnelle des services», notamment la réorganisation de la sécurité présidentielle. Une note qui serait datée du 5 juillet. Cela pourrait éventuellement remettre en cause toute rétrogradation interne d'Alexandre Benalla, évoquée par le porte-parole de l'Elysée Bruno Roger-Petit le 19 juillet.

Enfin, les procès verbaux d'audition auxquels Le Monde a eu accès révèlent que, contrairement à ce qu'il avait dans un premier temps affirmé, Vincent Crase était bien armé d'un Glock 17 le 1er mai. Il s'agissait, selon ses propres déclarations citées par le quotidien, d'une arme appartenant à La République en marche : «Cette arme n’est pas à mon nom, elle appartient à LRM, elle est réservée pour la défense du site LRM».

Toujours selon les informations très détaillées du Monde, une visite de courtoisie de la police judiciaire aux locaux d'En marche ! aurait également permis d'établir qu'il y avait deux autres pistolets au siège du parti. Selon le journal, aucun des trois Glock n'est déclaré car la demande de Vincent Crase à la gendarmerie était incomplète. Joint par L'Obs, Christophe Castaner a affirmé que ces informations étaient fausses à sa «connaissance» : «Ce ne sont pas des informations et à ma connaissance aucune "arme non déclarée" ne se trouve dans les locaux d'En Marche !. Il n'y a d'ailleurs pas eu de perquisition, mais un déplacement de la police judiciaire dans le cadre de l'enquête. Et il n'y a eu aucune saisie dans ce cadre.», a-t-il fait savoir.

SOURCE RT France

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Jeu 2 Aoû 2018 - 12:58
Impliqué dans la formation d'une police parallèle au service de Macron, Alexandre Benalla n'a rien trouvé de mieux à dire qu'il est l'objet de racisme !?! En effet, Benalla se dit victime d'un complot "raciste" parce qu'il est musulman. Il a notamment déclaré : << Dans la haute hiérarchie policière, il y a des gens qui gèrent leurs intérêts, leur carrière, et que j'ai dérangés. Par ma faute, je leur ai donné une occasion ; ils ont sauté dessus pour m'écarter. J'ai souvent vu des officiers ou des hauts fonctionnaires ne pas supporter qu'un jeune rebeu leur fasse des recommandations. >>

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Jeu 2 Aoû 2018 - 20:21
Chevalier du Temple a écrit:Impliqué dans la formation d'une police parallèle au service de Macron, Alexandre Benalla n'a rien trouvé de mieux à dire qu'il est l'objet de racisme !?! En effet, Benalla se dit victime d'un complot "raciste" parce qu'il est musulman. Il a notamment déclaré : << Dans la haute hiérarchie policière, il y a des gens qui gèrent leurs intérêts, leur carrière, et que j'ai dérangés. Par ma faute, je leur ai donné une occasion ; ils ont sauté dessus pour m'écarter. J'ai souvent vu des officiers ou des hauts fonctionnaires ne pas supporter qu'un jeune rebeu leur fasse des recommandations. >>

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Ven 3 Aoû 2018 - 7:21

Les coulisses d’une perquisition ubuesque

parisien, le 1er août 2018
(Source)


La lecture des procès-verbaux de garde à vue d’Alexandre Benalla révèle les conditions grotesques dans lesquelles s’est déroulée la perquisition à son domicile d’Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine).

Alexandre Benalla ne s’est guère montré coopératif lors de la perquisition de son domicile d’Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine). L’ancien protégé du Chef de l’Etat a même revendiqué d’avoir en partie fait le ménage avant le passage des enquêteurs.

Même s’il autorise formellement les policiers à se rendre à son appartement, Alexandre Benalla assure qu’il n’en a pas les clés. Seule son épouse, qui, dit-il, se trouverait à l’étranger, en aurait la possession. Et il refuse de donner son numéro de téléphone.

En ce 20 juillet au soir, le transport sur les lieux est donc cocasse. Le serrurier sollicité par les policiers de la brigade de répression de la délinquance aux personnes (BRDP) ne peut pas se déplacer. Et même si le parquet de Paris autorise les enquêteurs à rentrer y compris par la force, l’opération nécessite du matériel lourd compte tenu de la robustesse de la porte. Les policiers sollicitent alors leurs collègues d’Issy-les-Moulineaux qui n’ont pas les moyens nécessaires. Pas plus que l’équipage de la brigade anticriminalité averti. De guerre lasse, à 21h05, les enquêteurs apposent un scellé provisoire.

Avec un serrurier cette fois, ils se représentent le lendemain matin à 6h35 et constatent « l’intégrité du scellé ». La perquisition permet la découverte de différents objets - une médaille de la gendarmerie, des gyrophares…- mais pas de l’armoire forte où sont censés se trouver les trois pistolets et le fusil à pompe du chargé de mission.

Soupçons de dissimulation de preuves

« Pouvez-vous nous dire où se trouvent cette armoire et ces armes ? », interroge le capitaine de la BRDP. « Aucune idée, réplique Benalla, elle a dû être emmenée dans un lieu par une personne mais ce n’est pas moi qui me suis occupé de cela. » Et le chef de cabinet adjoint de l’Elysée d’assumer sans fard d’avoir demandé à un mystérieux tiers de les saisir. « C’était simplement par mesure de sécurité », explique-t-il en justifiant sa peur d’un vol par… la présence de journalistes aux abords des lieux.

Cette légèreté ulcère le syndicat de policiers Vigi, partie civile dans le dossier. Par l’entremise de leur avocat, le syndicat a demandé à la juge d’instruction qu’elle sollicite du parquet l’autorisation d’enquêter sur des soupçons de dissimulation de preuves. Pour les plaignants, le scellé – un autocollant — aurait pu être remplacé et le coffre déplacé pendant la nuit. Alexandre Benalla a finalement rapporté lui-même ses armes le 30 juillet.

À noter que les perquisitions dans le cadre de l’enquête ont également permis de découvrir trois pistolets dans les locaux de La République en marche.

**

Macron : président de la faiblesse du discernement !

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Ven 3 Aoû 2018 - 9:51
CoqGaulois a écrit:
Chevalier du Temple a écrit:Impliqué dans la formation d'une police parallèle au service de Macron, Alexandre Benalla n'a rien trouvé de mieux à dire qu'il est l'objet de racisme !?! En effet, Benalla se dit victime d'un complot "raciste" parce qu'il est musulman. Il a notamment déclaré : << Dans la haute hiérarchie policière, il y a des gens qui gèrent leurs intérêts, leur carrière, et que j'ai dérangés. Par ma faute, je leur ai donné une occasion ; ils ont sauté dessus pour m'écarter. J'ai souvent vu des officiers ou des hauts fonctionnaires ne pas supporter qu'un jeune rebeu leur fasse des recommandations. >>

La bonne vieille théorie du complot raciste est une ficelle que les musulmans utilisent lorsqu'ils décident d'attaquer la police.

C 'est fou le nombre d'individus pris la main dans le pot de confiture qui se présentent comme victime du racisme alors que nous ne sommes nous "que" victimes de délinquants.
Ils n'ont honte de rien.
Comment un musulman peut-il être accepté dans une loge maçonnique ?
Oui, c'est vrai le fait de soulever des lièvres implique des relents de racismes.
Étrangement ce sont toujours les mêmes qui sont racistes, suivez mon regard.
Il y a fort à parier qu'après une accalmie de quinze jours les affaire reprennent.
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Ven 3 Aoû 2018 - 14:36

Demi-réponses, mystères et dénégations : ces zones d'ombre qui subsistent dans l'affaire Benalla

2 août 2018, 17:22



Malgré les nombreux articles parus dans la presse à propos de l'affaire Benalla, les commissions d'enquête parlementaires et l'entretien accordé par le principal intéressé à TF1, des interrogations demeurent et appellent de nouvelles réponses.

Alors que la commission d'enquête de l'Assemblée nationale achève ses travaux et que la majorité cherche visiblement à éteindre l'incendie politique du scandale Benalla, certains médias français comme Le Monde et Le Canard enchaîné continuent pourtant d'agiter le chiffon rouge en assénant une révélation après l'autre. Un constat s'impose : des zones d'ombres demeurent dans cette première grande affaire embarrassante pour le gouvernement dit du «nouveau monde».
Benalla et le GSPR : histoire d'une «police parallèle» ?

Les députés qui ont participé à la commission d'enquête ont à de nombreuses reprises interrogé les différents responsables du gouvernement et de la hiérarchie policière au sujet de la sécurité du président : quel est lien entre Alexandre Benalla et le groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR) ? N'avait-il réellement aucune autorité (même tacite) sur ses membres ? A l'instar de l'Insoumis Eric Coquerel, certains ont même évoqué une «police parallèle».

Une vidéo révélée par le syndicat UNSA Police le 22 juillet sur les réseaux sociaux montrait Alexandre Benalla à l'aéroport de Roissy tenir des propos virulents à un membre des forces de l'ordre qui accréditerait l'idée selon laquelle il avait au moins un ascendant vis-à-vis des services de sécurité. Après la perquisition de son bureau à l'Elysée, le journal Le Monde, qui a eu accès à des informations de source judiciaire, a fait état de documents qui semblent également conforter la thèse selon laquelle Alexandre Benalla avait au moins un droit de regard sur la réforme annoncée du GSPR.

Depuis l'élection de Macron, les chefs du GSPR étaient ostracisés par la présence de monsieur Benalla

Par ailleurs, les procès verbaux que Le Monde s'est procurés après la mise en examen de trois policiers semblent montrer qu'Alexandre Benalla prenait directement ses ordres d'Emmanuel Macron et que chacun en avait conscience au sein du GSPR. Un policier interrogé lors de sa mise en examen affirme ainsi : «Depuis l'élection de monsieur Macron, les chefs du groupe de sécurité de la présidence de la République étaient ostracisés par la présence de monsieur Benalla». Selon les informations du quotidien issues de ces procès verbaux, le chargé de mission du cabinet élyséen communiquait «les souhaits et les volontés du président» lors de ses déplacements et était destinataire, «au quotidien, des télégrammes et notes confidentielles», ce qui confirme une information du Canard enchaîné.

#AffaireBenallaMacron#Benalla allait-il diriger un nouveau #GSPR réformé et moins dépendant de la #police ?

➡️ https://t.co/dA9BBX2q1Spic.twitter.com/zmyS3fwqr7— RT France (@RTenfrancais) July 22, 2018

Le policier précise qu'il existait un «lien direct téléphonique» entre le président et Alexandre Benalla, notamment lors du retour des Bleus à Paris : «Pour nous, monsieur Benalla [représentait] Emmanuel Macron pour tous les sujets de sécurité».

Pourtant, le secrétaire général de l'Elysée présentait une version assez différente devant la commission d'enquête du Sénat, le 26 juillet : Alexis Kohler avait ainsi soutenu que «la sécurité du président de la République [était] toujours assurée par le commandement militaire ou le GSPR» et qu'Alexandre Benalla «n'avait pas de responsabilités les concernant». Alexis Kohler avait également précisé : «Nous n'employons pas de vigiles privés pour assurer la sécurité du chef de l'Etat».
Malgré les scellés, l'appartement de Benalla a été nettoyé avant la perquisition

Alexandre Benalla ne s'est pas montré particulièrement coopératif lors de sa garde à vue, selon les informations du Parisien. Quand on lui a demandé de perquisitionner son domicile à Issy-les-Moulineaux, il a déclaré ne pas en avoir les clés, expliquant qu'il fallait les demander à sa compagne qui se trouvait à l'étranger, tout en refusant de communiquer son numéro de téléphone. Les policiers ont donc entrepris de forcer la porte mais n'y sont pas parvenus et ont dû apposer des scellés en attendant de trouver le serrurier qui pourrait les aider dans cette entreprise.

Pouvez-vous nous dire où se trouvent cette armoire et ces armes ? – Aucune idée.

Mais quand la police revient le lendemain pour ce faire, elle constate «l’intégrité du scellé», avant de s'apercevoir que certains objets ont disparu de l'appartement, notamment l'armoire forte où était censés se trouver trois pistolets et un fusil à pompe. Le capitaine de la brigade en charge du dossier interroge alors Alexandre Benalla : «Pouvez-vous nous dire où se trouvent cette armoire et ces armes ?» Réponse de l'intéressé : «Aucune idée. Elle a dû être emmenée dans un lieu par une personne mais ce n’est pas moi qui me suis occupé de cela.» Le chargé de mission de l'Elysée admet cependant que ce nettoyage a été réalisé à sa demande, selon les informations du Parisien et se justifie : «C’était simplement par mesure de sécurité.»

Suspension de #Benalla en mai : était-il en #Bretagne ou à l'#AssembléeNationale ?#AffaireBenalla
➡️ https://t.co/fSXbJyIu5fpic.twitter.com/nS7sP9b8OR— RT France (@RTenfrancais) August 1, 2018

Le syndicat de police Vigi, partie civile dans le dossier, a demandé que la juge d'instruction sollicite le parquet pour une autorisation d’enquêter sur des soupçons de dissimulation de preuves. Selon eux, le scellé aurait pu être remplacé et le coffre déplacé pendant la nuit. Par qui ? Dans quel but ? Les réponses à ces questions devront attendre.
Les avantages d'un simple chargé de mission ?

Concernant les avantages dont aurait joui Alexandre Benalla dans le cadre de sa collaboration à l'Elysée, certaines interrogations ont trouvé des explications un peu courtes et d'autres sont toujours sans réponses.

Premièrement, le chargé de mission du cabinet de la présidence a voulu éteindre toute polémique sur le plateau du 20h de TF1 le 27 juillet en annonçant son salaire et a admis «un contrat [...] rémunéré 6 000 euros net», précisant : «C’est le salaire de tous les chargés de mission», soit près de 7 800 euros en brut. Une estimation toutefois pas si éloignée de celle qui avait circulé dans les médias et qui faisait état d'une rémunération de 10 000 euros... Mais d'éventuelles primes n'ont pas encore été évoquées.

Patrick Strzoda dément «fermement» le salaire de 10 000 euros et «toutes les rumeurs» qui ont circulé sur les avantages de Monsieur #Benalla

⚡️ EN CONTINU :
➡️ https://t.co/GanmVxlFGVpic.twitter.com/LmDXAAKbwF— RT France (@RTenfrancais) July 24, 2018

Par ailleurs, concernant le logement d'Alexandre Benalla, le doute subsiste encore sur son adresse réelle : allait-il bénéficier d'un appartement au sein de la résidence Alma sur le Quai Branly à Paris, comme l'avait avancé Le Monde ou résidait-il à demeure à Issy-les-Moulineaux ? Les deux en même temps ? L'intéressé a simplement confirmé la rénovation du logement qui lui avait été proposé par le directeur de cabinet Patrick Strzoda, mais il s'agissait selon lui d'«un appartement de 80 mètres carrés, pas 300 comme ça a été dit». Cette information a également été corroborée par une enquête de Mediapart.

De même, Alexandre Benalla bénéficiait-il d'une voiture de type Renault Talisman avec chauffeur, équipée d'options réservées à la police ? Ce point avait particulièrement fait enrager les membres des forces de l'ordre qui peinent souvent à maintenir leur flotte de véhicules en état de marche.

L'Elysée a confirmé à la presse que le simple chargé de mission s'était présenté à la fourrière Chevaleret à Paris le 27 juillet pour récupérer ce véhicule géré par le commandement militaire du palais de l'Elysée, tout en précisant qu'Alexandre Benalla l'avait fait «de sa propre initiative». La fourrière aurait refusé de le lui remettre.

Cerise sur le gâteau : selon une information de Valeurs actuelles publiée ce 2 août, Alexandre Benalla aurait en outre bénéficié d'un passeport diplomatique qui lui aurait été délivré le 24 mai 2018, soit quelques jours seulement après la fin de la sanction dont il aurait écopé à la suite de son comportement place de la Contrescarpe le 1er mai. Pour mémoire, selon la version de l'Elysée, la carrière d'Alexandre Benalla venait de subir un coup dur et il avait été rétrogradé.
Des trous dans le CV de Benalla ?

Enfin, le parcours d'Alexandre Benalla avant son arrivée à l'Elysée avec Emmanuel Macron ne laisse pas d'interroger. S'il a été établi que l'ancien ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg ne l'avait gardé à son service qu'une semaine en 2012 à cause d'un accident de circulation après lequel celui qui était à l'époque chauffeur aurait commis un délit de fuite, le doute demeure sur les occupations d'Alexandre Benalla entre cette période et 2015.

Comme l'a révélé un article du Monde, «on retrouve enfin ce très jeune homme au Journal officiel au printemps 2015. Par arrêté du premier ministre de François Hollande, ce titulaire d’un master de droit est admis dans la quarantaine d’étudiants et de jeunes professionnels de moins de 35 ans autorisés à suivre la session "jeunes" de l’Institut des hautes études de la sécurité et de la justice (IHESJ)». Le quotidien précise : «[Alexandre Benalla] a travaillé plusieurs années pour le groupe Velours, spécialisé dans la sécurité privée et fondé par d’anciens policiers. D'après le registre du commerce marocain, il devient le codirigeant d’une antenne montée par l’entreprise à Casablanca, en octobre 2015, qui cesse vite son activité avant d’être dissoute en 2017.»

Wallerand de Saint-Just (@wdesaintjust), invité du #JT#AffaireBenalla : «Cela me rappelle les dérives de François #Mitterand au début de son septennat»#Benalla#Macron#MotiondeCensure#RassemblementNational

Toute l'#actu par #RTFrance :
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Sam 4 Aoû 2018 - 9:07

Certains se demandent s’il ne faudrait pas gober la propagande macroniaise … ils hésiteraient, soi-disant, entre une affaire d'État et une affaire d'été …

À la façon du python, Macron tente d’étouffer l’affaire Benalla-Macron.

Il essaie d’échanger une affaire d'État contre un simple maillot de bain, un parasol et un sorbet, contre un seau et une pelle …

N’infantilise pas un peu les français ? Ne prendrait-il pas tous les français pour des sots ?

Des deux côtés, le réveil va être terriblement brutale !!!


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Sam 4 Aoû 2018 - 9:18
Alexandre Benalla s'est-il vraiment mis en scène sur Tinder en utilisant l'image du président ?

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Dans son édition du 3 août, le magazine people Closer affirme avoir retrouvé le compte Tinder d'Alexandre Benalla. Selon le journal, l'ancien chargé de mission de la présidence mettait en avant sa proximité avec le président de la République.

Le magazine people Closer, publié ce 3 août, dévoile des images du profil qu'Alexandre Benalla aurait utilisé sur la célèbre application de rencontres Tinder. Si l'ancien chargé de mission de l'Elysée, qui devait se marier le 21 juillet, a certes le droit à une vie privée, certaines questions peuvent cependant être posées quant à sa responsabilité en tant que proche conseiller en sécurité d'Emmanuel Macron.

Ce qui m'étonne, c'est qu'il puisse avoir eu à connaître des décisions concernant la sécurité du président

Car selon les informations du magazine Alexandre Benalla se serait mis en scène sur le réseau de rencontres en utilisant une photo où on le voit en compagnie d'Emmanuel Macron et de Donald Trump. Selon Closer, Alexandre Benalla aurait choisi le pseudonyme de «Mars» pour figurer sur Tinder. Et le magazine de relever, non sans quelque malice, que la planète Mars est celle qui précède Jupiter dans le système solaire.
La sécurité du président aurait-elle pu en pâtir ?

Les éléments révélés par Closer pose la question de la sécurité du chef de l'Etat : un collaborateur affichant sa proximité avec le président ne serait-il pas susceptible d'être approché par des individus aux intentions moins aimables qu'une simple rencontre amoureuse ?

Alain Le Caro, créateur du Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR), avait déploré le 21 juillet sur FranceInfo l'implication réelle ou supposée du chargé de mission de l'Elysée dans la sécurité du chef de l'Etat français : «Ce qui m'étonne, c'est qu'il puisse avoir eu à connaître des décisions concernant la sécurité du président. [...] On peut très bien concevoir qu'il connaisse l'organisation des voyages, puisqu'il était adjoint au chef de cabinet et qu'à ce titre, il pouvait avoir à connaître des dispositifs de sécurité. Mais jamais, en aucun cas, devoir s'immiscer dans l'organisation-même de la sécurité.»

S'il a été établi qu'Alexandre Benalla ne faisait pas partie intégrante du GSPR, l'audition du colonel Lionel Lavergne qui dirige actuellement ce groupe a cependant permis de confirmer que le chargé de mission avait participé à des groupes de travail sur la réorganisation des «mousquetaires du président», ainsi que les avait surnommé Alain Le Caro dans son ouvrage du même nom paru en 2017.

SOURCE RT France


Ils sont partis en vacances, mais les informations continuent à sourdre. Cela n'a pas tendance à se tarir, bien au contraire.
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Sam 4 Aoû 2018 - 14:59
Alexandre Benalla alors âgé de 18 ans, intègre en 2009, la réserve de la gendarmerie, en tant que brigadier de réserve opérationnelle, un grade de base chez les gendarmes, se retrouve à l'âge de  26 ans, lieutenent-colonel spécialiste de la réserve citoyenne. Il y a vraiment de quoi s'interroger sur cette promotion qui est certainement la plus rapide de l'armée française. En tant que spécialiste, il devait dans le cadre de son travail, travailler avec des généraux et autres officiers supérieurs de tout grade. Vraiment, il y a de quoi rester pantois !

Je prends deux exemples afin de montrer à nos amis forumeurs comment on devient lieutenant-colonel de gendarmerie dans NOTRE pays. Voici par exemple, comment notre héros national, le,lieutenant-colonel Arnaud Beltrame a obtenu son grade : En 1995, il commence sa carrière dans l'armée de terre comme aspirant. Puis, il intègre l'Ecole militaire de St Cyr Coëtquidan. En 1999, il sort major de sa promotion et rejoint l'Ecole des officiers de la Gendarmerie dont il sort à nouveau major en 2001. En 2003, il intègre l'escadron parachutiste d'intervention pour une période de trois ans. En 2005, il sera engagé dans des missions de protection à Bagdad. En 2007, Arnaud Beltrame est décoré de la croix de la valeur militaire. Il rejoint ensuite le 1er régiment d'infanterie de la Grade républicaine, comme commandant de compagnie en charge de la sécurité de l'Elysée pendant quatre ans. En 2014, il commande la compagnie de Gendarmerie d'Avranches. En 2017, il est nommé officier adjoint du groupement de l'Aude qui est spécialisé dans le contre-terrorisme.

Je voudrais également parler d'un autre lieutenant-colonel de la gandarmerie, qui commandait le prestigieux GIGN en 2004. Je veux dire le lieutenant-colonel Frédéric Gallois, un homme qui après Bac+5 a fait lui aussi l'Ecole militaire de St Cyr. Un homme qui possède 2 masters, moults stages commandos, 1000 nsauts en para, expert dans de multiples sports de combat et qui a passé de nombreux tests avant de recevoir ses galons de lieutenant colonel.

Voila ce que cela demande normalement pour devenir un officier supérieur de notre Gendarmerie nationale.
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Sam 4 Aoû 2018 - 15:55
Chevalier du Temple a écrit:Alexandre Benalla alors âgé de 18 ans, intègre en 2009, la réserve de la gendarmerie, en tant que brigadier de réserve opérationnelle, un grade de base chez les gendarmes, se retrouve à l'âge de  26 ans, lieutenent-colonel spécialiste de la réserve citoyenne. Il y a vraiment de quoi s'interroger sur cette promotion qui est certainement la plus rapide de l'armée française. En tant que spécialiste, il devait dans le cadre de son travail, travailler avec des généraux et autres officiers supérieurs de tout grade. Vraiment, il y a de quoi rester pantois !

Je prends deux exemples afin de montrer à nos amis forumeurs comment on devient lieutenant-colonel de gendarmerie dans NOTRE pays. Voici par exemple, comment notre héros national, le,lieutenant-colonel Arnaud Beltrame a obtenu son grade : En 1995, il commence sa carrière dans l'armée de terre comme aspirant. Puis, il intègre l'Ecole militaire de St Cyr Coëtquidan. En 1999, il sort major de sa promotion et rejoint l'Ecole des officiers de la Gendarmerie dont il sort à nouveau major en 2001. En 2003, il intègre l'escadron parachutiste d'intervention pour une période de trois ans. En 2005, il sera engagé dans des missions de protection à Bagdad. En 2007, Arnaud Beltrame est décoré de la croix de la valeur militaire. Il rejoint ensuite le 1er régiment d'infanterie de la Grade républicaine, comme commandant de compagnie en charge de la sécurité de l'Elysée pendant quatre ans. En 2014, il commande la compagnie de Gendarmerie d'Avranches. En 2017, il est nommé officier adjoint du groupement de l'Aude qui est spécialisé dans le contre-terrorisme.

Je voudrais également parler d'un autre lieutenant-colonel de la gandarmerie, qui commandait le prestigieux GIGN en 2004. Je veux dire le lieutenant-colonel Frédéric Gallois, un homme qui après Bac+5 a fait lui aussi l'Ecole militaire de St Cyr. Un homme qui possède 2 masters, moults stages commandos, 1000 nsauts en para, expert dans de multiples sports de combat et qui a passé de nombreux tests avant de recevoir ses galons de lieutenant colonel.

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La dernière possibilité est de se faire pistonner par Macron et là plus aucune qualité ni formation ne sont nécessaires et la promotion est immédiate. La république exemplaire est une mafia!
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Dim 5 Aoû 2018 - 7:35

Motions de censure : le quarté des pires arguments de la macronie

marianne, le 1er août 2018
(Source)


Ce mardi 31 juillet, l'Assemblée a débattu puis rejeté les deux motions de censure déposées par l'opposition en marge de l'affaire Benalla. Cet exercice démocratique a indigné nombre de piliers de la majorité et du gouvernement, qui ont usé d'arguments pour le moins douteux pour le critiquer.

Après-midi d’exception au palais Bourbon : au lieu de se livrer aux traditionnelles et compassées questions au gouvernement, Edouard Philippe a dû batailler. L'opposition a en effet soumis au vote deux motions de censure. S'ils ont été rejetés par une très large majorité des députés, les deux textes ont néanmoins donné lieu à une organisation des débats peu habituelle : Christian Jacob (LR) et André Chassaigne (PCF) ont tous deux disposé d'un bon quart d'heure pour assaillir le gouvernement de critiques, avant que chaque président de groupe ne s'exprime à son tour. Et, à l'instar de Valérie Rabault (PS) ou Jean-Luc Mélenchon, beaucoup ont condamné sévèrement et dans le détail la manière dont le gouvernement s'était comporté dans l'affaire Benalla.

Il n'en fallait pas plus pour exaspérer les partisans du président de la République, davantage habitués à une Assemblée docile. Et pour condamner l'attitude de l'opposition, les macronistes ont été piocher des arguments parfois très, très loin… Voici les quatre gagnants de ce festival.

Aurore Bergé mouline contre « les populismes »

Députée LREM des Yvelines et sniper attitrée de la majorité, Aurore Bergé n'a pas digéré ce qu'elle appelle « l'obstruction » de l'opposition mais surtout, le fait que la France insoumise et le Parti communiste votent en faveur de la motion de censure déposée par la droite, tout comme les députés du Rassemblement national. Loin d'y voir le salutaire « dépassement des vieux clivages » qu'elle avait applaudi quand il était prôné par Emmanuel Macron, Aurore Bergé a expliqué sur BFMTV, la mine grave, que « des digues ont sauté » et que l'opposition allait devoir « expliquer l'alliance avec l'extrême gauche et l'extrême droite ».

Maniant l'injure (« imposteurs et tartuffes »), l'ancienne membre de LR renvoie tous les partis d'opposition, de la France insoumise au Rassemblement national en passant par le PS et Les Républicains, dans un même sac « populiste ». Et Aurore Bergé ne prête à la motion de censure qu'une seule intention : « Tenter de déstabiliser nos institutions ». À quoi bon, en effet, traiter toutes les critiques développées lors des discours à la tribune sur la manière dont l'exécutif a géré le cas d'Alexandre Benalla, quand on peut simplement verser dans le complotisme ?
 
Brune Poirson perd son temps à l'Assemblée

Les vacances d'été des membres du gouvernement débutent ce vendredi 3 août. Et visiblement, Brune Poirson n'en peut plus d'attendre. La secrétaire d'Etat au ministère de la Transition écologique n'a pas supporté de passer son mardi après-midi à subir les discours de l'opposition. « Je suis dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale depuis 4 heures pour entendre des amis de circonstances parler théorie du complot et fake news », s'est-elle lamentée sur Twitter. « Pas un mot sur le fond, sur les vraies urgences : lutte contre le dérèglement climatique, le chômage, la pauvreté… ». D'un autre côté, il aurait été étonnant qu'une motion de censure déclenchée par l'affaire Benalla donne lieu à des envolées lyriques sur la préservation de l'environnement…

Brune Poirson n'en démord pas : comme Emmanuel Macron, elle pense que l'affaire Benalla est une « tempête dans un verre d'eau ». « Imaginez-vous êtes partis en congés en vous déconnectant entièrement, se figure-t-elle. En rentrant, vous découvrez le dépôt de 2 motions de censure, pas à cause d’un différend économique, de santé ou écologique. Mais pour une dérive certes inacceptable mais individuelle d’un homme de 26 ans ! ». Sauf que si l'opposition se met à déposer des motions de censure sur chaque désaccord « économique, de santé ou écologique » avec le gouvernement, Brune Poirson va y passer tous ses mardis !

Laurianne Rossi, une mémoire de poisson rose

Laurianne Rossi a fait une entrée fracassante dans le hit-parade des analyses politiques improbables : la députée LREM des Hauts-de-Seine a été choquée par le fait que le PS signe une motion commune avec les Insoumis et les communistes. D'après l'élue macroniste, on assisterait là au « dernier reniement », au franchissement du « pas ultime » par le parti à la rose, qui romprait ainsi « avec la social-démocratie et la culture de gouvernement ». « Je pense à ses militants (dont j'ai été), je pense à M. Rocard », poursuit la députée macroniste, théâtrale.

Membre du PS pendant quatre ans de 2007 à 2011, Laurianne Rossi n'en a manifestement pas profité pour faire un tour aux archives… Elle aurait sinon appris que bien avant cette motion de censure, socialistes et communistes ont longtemps travaillé ensemble, pendant le gouvernement du Front populaire entre 1936 et 1938, mais également en bâtissant le Programme commun en 1972 et lors des premières années au pouvoir de François Mitterrand. Les gouvernements Pierre Mauroy 2 et 3 comptaient en effet pas moins de 4 communistes dans leurs rangs… ainsi que Michel Rocard, justement.

Benjamin Griveaux récupère à tour de bras

Benjamin Griveaux est remonté encore plus en amont dans l'histoire, en convoquant carrément Jean Jaurès ! Le porte-parole du gouvernement a remarqué que la date d'examen des motions de censure correspondait avec celle de la mort de cette figure de la gauche, assassinée le 31 juillet 1914 par un nationaliste partisan de la guerre. Et il n'a pas hésité à convoquer l'icône sans vergogne, pour justifier... de ne pas trop s'attarder sur l'affaire Benalla : « Il ne faut avoir aucun regret pour le passé, aucun remords pour le présent, et une confiance inébranlable pour l’avenir ». Et Benjamin Griveaux de comparer les combats macronistes à Jaurès, qui a « payé de sa vie son combat pour la justice et le progrès ». « Ce combat, nous le continuerons inlassablement », conclut le porte-parole de l'exécutif, bravache.

**

Macron : l’aimant à médiocrité !

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Dim 5 Aoû 2018 - 9:35
CoqGaulois a écrit:
Chevalier du Temple a écrit:Alexandre Benalla alors âgé de 18 ans, intègre en 2009, la réserve de la gendarmerie, en tant que brigadier de réserve opérationnelle, un grade de base chez les gendarmes, se retrouve à l'âge de  26 ans, lieutenent-colonel spécialiste de la réserve citoyenne. Il y a vraiment de quoi s'interroger sur cette promotion qui est certainement la plus rapide de l'armée française. En tant que spécialiste, il devait dans le cadre de son travail, travailler avec des généraux et autres officiers supérieurs de tout grade. Vraiment, il y a de quoi rester pantois !

Je prends deux exemples afin de montrer à nos amis forumeurs comment on devient lieutenant-colonel de gendarmerie dans NOTRE pays. Voici par exemple, comment notre héros national, le,lieutenant-colonel Arnaud Beltrame a obtenu son grade : En 1995, il commence sa carrière dans l'armée de terre comme aspirant. Puis, il intègre l'Ecole militaire de St Cyr Coëtquidan. En 1999, il sort major de sa promotion et rejoint l'Ecole des officiers de la Gendarmerie dont il sort à nouveau major en 2001. En 2003, il intègre l'escadron parachutiste d'intervention pour une période de trois ans. En 2005, il sera engagé dans des missions de protection à Bagdad. En 2007, Arnaud Beltrame est décoré de la croix de la valeur militaire. Il rejoint ensuite le 1er régiment d'infanterie de la Grade républicaine, comme commandant de compagnie en charge de la sécurité de l'Elysée pendant quatre ans. En 2014, il commande la compagnie de Gendarmerie d'Avranches. En 2017, il est nommé officier adjoint du groupement de l'Aude qui est spécialisé dans le contre-terrorisme.

Je voudrais également parler d'un autre lieutenant-colonel de la gandarmerie, qui commandait le prestigieux GIGN en 2004. Je veux dire le lieutenant-colonel Frédéric Gallois, un homme qui après Bac+5 a fait lui aussi l'Ecole militaire de St Cyr. Un homme qui possède 2 masters, moults stages commandos, 1000 nsauts en para, expert dans de multiples sports de combat et qui a passé de nombreux tests avant de recevoir ses galons de lieutenant colonel.

Voila ce que cela demande normalement pour devenir un officier supérieur de notre Gendarmerie nationale.
La dernière possibilité est de se faire pistonner par Macron et là plus aucune qualité ni formation ne sont nécessaires et la promotion est immédiate. La république exemplaire est une mafia!

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Lun 6 Aoû 2018 - 17:59

Vous voyez bien que Macron n’a rien à voir là-dedans

Vous avez dû mal comprendre
causeur, le 24 juillet 2018
(Source)


À en croire les proches du président, Emmanuel Macron n’aurait absolument aucun lien avec l’affaire Alexandre Benalla. On a dû mal comprendre…

Il n’y a pas d’affaire d’État et ceux qui disent le contraire sont des méchants qui veulent rien que nous embêter. Les communicants ou les stratèges qui ont pondu les éléments de langage de la contre-offensive nous prennent vraiment pour des buses. La piétaille macroniste envoyée au front avec de si ridicules munitions fait peine à voir. Au fil des auditions et des révélations, se dessine le portrait d’un favori du prince qui se croyait tout permis – non sans raison, dès lors que la dilection présidentielle lui valait une sorte d’impunité. Tous les protagonistes entendus aujourd’hui par les commissions d’enquête des deux chambres ont confirmé que l’affaire avait été traitée par l’Elysée dès le 2 ou 3 mai, soit 48 heures au plus tard après le tabassage des manifestants par le faux-flic. Et les députés LREM continuent à ânonner que le président n’est pas concerné. La bonne blague.

Ne faisons pas les âmes sensibles. Qu’un agent de sécurité tabasse deux manifestants est certes déplorable, mais le scandale est ailleurs. La promotion fulgurante de ce drôle de zigue (promu à un grade de lieutenant-colonel de réserve qui n’est pas rien me dit un ami policier) est en effet une affaire d’Etat stricto sensu : le président entendait lui confier le cœur de ce régalien dont il est supposé faire si grand cas. Alexandre Benalla était sur le point d’obtenir les clés de la sécurité de l’Elysée ou il était fort bien placé pour y parvenir. S’il chute aujourd’hui c’est que certains ont voulu s’opposer à cette promotion délirante. Et ils ont eu bien raison.

Alexandre le bienheureux

Emmanuel Macron a fait savoir – par la rumeur de la Cour – qu’il trouvait aujourd’hui pendables les agissements de son ex-chef de la sécurité. Celui-ci a d’ailleurs eu droit, il y a quelques jours, à un licenciement immédiat rétroactif. Seulement, il y a trois mois, le même Macron semblait trouver les mêmes faits beaucoup moins graves. On sait en effet que, le 2 ou 3 mai, alors qu’il se trouvait en Australie, le président a été informé que son protégé avait dérapé (pour ne pas dire merdé grave). Il a, nous dit-on, demandé une sanction. On n’a pas la preuve qu’il se soit enquis de la suite donnée à cette instruction, mais on imagine mal Jupiter ne vérifiant pas s’il a été obéi.

La suspension de quinze jours n’a probablement pas été appliquée et le président aurait dû se rendre compte que Benalla était toujours dans le paysage mais passons. Ce qui est certain, c’est que l’agression de la place de la Contrescarpe n’a pas empêché le président de renouveler sa confiance à son Rambo d’opérette. Malgré cet incident dont tous les cabinets concernés avaient connaissance, Benalla était, juste avant que le scandale éclate, promis à une haute destinée – dont il avait déjà les attributs statutaires et matériels. Le 9 juillet, trois mois après avoir été sanctionné, il obtenait, pour sa société privée, l’agrément « sécurité » qui permet de travailler pour l’Etat, sans oublier son accréditation défense, le brassard « police » et la radio. Quant aux petits profits, on craint qu’il n’ait pas eu le temps de défaire ses cartons dans l’appartement du quai Branly qu’il devait occuper après quelques travaux. On imagine les glapissements outragés de Bruno Roger-Petit si une telle affaire était arrivée sous Sarkozy.

Chouchou le kakou

Alexandre Benalla n’était pas un obscur conseiller mais un homme de confiance du président. Il est d’ailleurs curieux de s’enticher d’un homme qui, alors qu’il était chauffeur pour Arnaud Montebourg, a voulu s’enfuir après avoir provoqué un accident, mais il doit avoir d’autres qualités. En tout cas, après la campagne, Macron a emmené Benalla à l’Elysée. Et celui-ci, fort de son statut de chouchou, s’est mis à faire le kakou en de nombreuses circonstances au point de vouloir jouer au policier.

À partir de là, on en est réduit à formuler des hypothèses. En voilà une, nourrie de quelques discussions amicales, qui permet de donner une logique à cette rocambolesque histoire. L’Elysée a fait savoir que la réorganisation de la sécurité présidentielle, annoncée aux personnels par courrier début juillet, serait menée à son terme. Il s’agit de placer le GSPR (unité chargée de la sécurité du palais présidentiel, qui dépend hiérarchiquement de l’Intérieur), sous la tutelle unique de la présidence, bref de créer une force de sécurité qui échappe aux circuits traditionnels de commandement de la police et de la gendarmerie – et qui soit en fait à la seule main du président. Celui-ci semble trouver fastidieux d’avoir à discuter avec des administrations très « vieux monde », pas assez startupisées. Gilles Casanova parle, assez justement, d’un secret service à l’américaine, qui ferait d’ailleurs, comme aux Etats-Unis, appel à de nombreux sous-traitants privés. Il semble qu’une telle perspective, assez peu conforme aux usages républicains, déplaise à pas mal de policiers et de gendarmes. De là à imaginer que certains, pressentant que la promotion de Benalla était imminente, aient jugé opportun de faire circuler la vidéo du 1er mai et d’aider la presse à faire son travail en lui fournissant son butin quotidien de révélations, il y a un pas que chacun franchira.

Le nouveau monde d’hier

On l’a beaucoup dit, l’une des grandes qualités d’Emmanuel Macron était d’avoir de la chance. Elle est peut-être en train de tourner. Certes il est trop tôt pour évaluer les conséquences politiques de la tourmente. Mais, alors que même « les parrains » – Attali, Minc, Pinaud – grondent contre la politique anti-sociale, on subodore que le président n’a pas tant de grognards prêts à se sacrifier pour lui. En attendant, la bonne nouvelle, c’est que la macronie va devoir arrêter de donner des leçons de modernité sur le mode « avant nous c’étaient les ténèbres ». Parce que le nouveau monde ressemble furieusement à l’ancien.

**

Macron : le pervers-narcissique !

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un collaborateur de L'Elysée a frappé un manifestant - Page 4 Empty Re: un collaborateur de L'Elysée a frappé un manifestant

Jeu 9 Aoû 2018 - 11:18

« Cher ami » : Le mot qui entretient le doute
quant à la proximité entre Benalla et le préfet de Paris

rt, le 8 août 2018
(Source)


Le Canard enchaîné a révélé que le préfet de police de Paris Michel Delpuech, qui se défend d'être proche d'Alexandre Benalla, lui a envoyé un mot de remerciement en janvier dernier, dans lequel il lui fait part de son amitié.

Les révélations concernant l'affaire Benalla se succèdent à rythme effréné depuis des semaines – et la dynamique ne semble toujours pas arriver à son terme. Dans son édition du 8 août, Le Canard enchaîné a cette fois-ci épinglé le préfet de police de Paris Michel Delpuech, qui a fait son possible pour convaincre les parlementaires qu'il n'avait jamais été proche de l'ex-collaborateur d'Emmanuel Macron.

« Cher ami, merci pour la magnifique photo souvenir des « quelques forces de l'ordre » réunies autour du couple présidentiel »

L'hebdomadaire publie en effet un message de remerciements adressé par le préfet à son « cher ami » Alexandre Benalla, récupéré lors de la perquisition au domicile de ce dernier. « Cher ami, merci pour la magnifique photo souvenir des « quelques forces de l'ordre » réunies autour du couple présidentiel », a-t-il ainsi écrit, concluant son mot d'un « Amicalement à vous ». Contacté par Le Canard enchaîné, Michel Delpuech assure qu'il ne s'agissait que d'un « pur geste de courtoisie ».

Le 23 juillet dernier, lors de son audition par la commission d'enquête parlementaire, le préfet de Paris avait dénoncé les « dérives individuelles inacceptables, condamnables, sur fond de copinage malsain » dans le cadre de l'affaire Benalla. Il avait en outre critiqué la présence du collaborateur d'Emmanuel Macron sur les lieux de la manifestation du 1er mai, où il a molesté deux individus, affirmant catégoriquement n'avoir « jamais été sollicité en ce sens ».

Interrogé par RT France, l'avocat Régis de Castelnau estime que cette « infraction » s'ajoute à « la vingtaine » qu'il a déjà comptabilisée, une liste qui risque « d'atteindre la trentaine » selon lui.


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Macron : l’homme qui prend les Français pour des cons !

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L'amour de soi, pris comme principe de toutes nos maximes est la source de tout mal !
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Ven 10 Aoû 2018 - 8:10

Pas d'influence russe :
DisinfoLab change les conclusions de son étude sur l'affaire Benalla

rt, le 9 août 2018
(Source)


Quelques jours après avoir accusé l'« écosystème russophile » de faire office de caisse de résonance à l'affaire Benalla, l'ONG DisinfoLab a largement nuancé ses conclusions. Et se retrouve face aux plaintes d'internautes mécontents d'avoir été fichés.

C'est un retournement de veste aussi rapide que spectaculaire. L'ONG DisinfoLab, qui se targue de lutter contre la désinformation qui sévit sur Internet, a publié le 8 août les dernières conclusions de son étude sur l'affaire Benalla. Et surprise, alors que début août son fondateur Nicolas Vanderbiest accusait l'« écosystème russophile » d'amplifier le scandale, il n'est désormais plus question d'une quelconque influence russe.

« [Il est] impossible de déterminer si une vraie personne se trouve derrière chaque compte, et encore moins d'identifier si un compte est à la solde d'un réseau de désinformation étranger », notent ainsi les auteurs de l'étude, qui soulignent par ailleurs que seulement trois personnes utilisaient un système automatique de retweets.

[url=« La raison de ce comportement, nous ne l'avons pas »](Source)[/url]

Le directeur de DisinfoLab Alexandre Alaphilippe maintient que cette étude montre « la tendance de comportement d'une minorité de comptes très, très active » qu'il qualifie de « russophile », en raison de ses nombreux retweets des médias Russia Today et Sputnik, mais se garde bien d'en tirer une quelconque conclusion : « La raison de ce comportement, nous ne l'avons pas. »

Plaintes auprès de la CNIL

Ce virage intervient alors que le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux avait appelé, à la suite des premières conclusions de DisinfoLab, à ce que « toute la transparence soit faite sur la diffusion de ce type de message ». Une sortie qui n'a pas dû rassurer de nombreux internautes qui se sont plaints du procédé de l'ONG, mécontents de voir qu'elle a consigné puis publié leurs données, leur attribuant notamment une couleur politique. « Le fichage politique est interdit en France » , rappelle ainsi un internaute.

Ainsi de nombreux internautes ont affirmé avoir porté plainte auprès de la Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés (CNIL). « J'ai porté plainte en ligne auprès de la CNIL pour atteinte à ma liberté d'expression : je vous invite à en faire autant », lance notamment l'une d'entre eux.


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Un vrai démocrate n’accuse pas sans preuve !

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Quoi qu’il se passe, accuse les russes. Si tu ne sais pas pourquoi, eux le savent !
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Ven 17 Aoû 2018 - 0:28
A propos des nombreux mensonges de l'Elysée.

Affaire Benalla : l'audition du directeur de l'ordre public ébranle la version de l'Elysée.


Jusqu'ici c'était le caractère dérisoire selon certains de la punition qui avait suscité sur ce plan la polémique, même si Bruno Roger-Petit avait déclaré qu'il s'agissait là de "la sanction la plus grave jamais prise contre un chargé de mission travaillant à l'Elysée".

Mais l'audition par la commission des lois de l'Assemblée nationale ce lundi soir d'Alain Gibelin, directeur de l'ordre public et de la circulation (DOPC) de la Préfecture de police, a semé le doute dans les esprits sur la réalité même de la suspension.

En effet, à travers les réponses qu'il a apportées aux questions de Marine Le Pen, Alain Gibelin, qui a également souligné que la présence du chargé de mission élyséen Place de la Contrescarpe le 1er mai n'était pas régulière, a indiqué qu'Alexandre Benalla avait participé à des réunions préparatoires à des déplacements d'Emmanuel Macron tout au long la première quinzaine de mai.


Marine Le Pen a d'abord interrogé le haut-fonctionnaire de la manière suivante :

"Nous avons bien compris, vous nous l’avez expliqué tout à l’heure, qu’il y avait des réunions en amont pour préparer des grands événements dans lesquels le président de la République a vocation à se déplacer dans Paris, que vous n’y étiez pas à titre personnel mais que l’intégralité de vos services étaient présents. J’aimerais juste savoir s’il y a eu une réunion de ce type entre le 2 et 18 mai ?"

Laconiquement, Alain Gibelin a répondu : "Oui, très certainement".

Marine a relancé : "Comme vous nous avez indiqués tout à l’heure que monsieur Benalla était présent à l’intégralité de ces réunions, il ne vous est pas apparu qu’un jour monsieur Benalla n’était pas présent à l’une des réunions qui ont pu avoir lieu entre le 2 et le 18 mai ?"

Le directeur de l'ordre public a alors développé, avec davantage de détails : "Non. Et je répète que la sanction prise à l’encontre d’Alexandre Benalla à aucun moment n’a été porté ni à ma connaissance, ni à celle de mes collaborateurs."

Marine a tiré les conclusions de ces éléments : "Nous avons bien compris que personne ne vous avait informé de cette sanction mais vous venez, par la réponse que vous venez de m’apporter, de m’indiquer que cette sanction n’a en réalité pas été appliquée puisqu’il y a eu des réunions entre le 2 et le 18 et monsieur Benalla était présent avec vos services ?"

"Oui", a simplement rétorqué Alain Gibelin.

La version de l'Elysée apparaît une nouvelle fois fragilisée.
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Ven 17 Aoû 2018 - 18:56
Macron nous nargue parce qu'il se sait intouchable, la Constitution le protège. Mais cette lamentable affaire nous a permis de découvrir qu'en fait de Président, il est un véritable chef de bande. Une bande qui pense qu'elle peut s'affranchir des lois.

Le scandale est énorme et la liste n'arrête pas de s'allonger : police privée, garde prétorienne, agissements douteux de nervis, privilèges, protections et mensonges à n'en plus finir. La dictature est "En Marche". Il faut s'attendre à une grande épuration dans la police, car nos braves policiers ont osé parler à la presse de "certaines choses" plutôt douteuses.
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Jeu 23 Aoû 2018 - 16:43

Affaire Benalla :
la commission d’enquête de l’Assemblée ne publiera pas de rapport

monde, le 1er août 2018
(Source)


Après quatre jours d’auditions, la commission des lois avait implosé, à la suite d’un désaccord entre majorité et opposition sur la liste des personnes à entendre.

Un compte rendu, mais de rapport. En raison du départ du corapporteur LR Guillaume Larrivé et de l’opposition, la commission des lois de l’Assemblée nationale – constituée en commission d’enquête après la révélation de l’affaire Benalla – présidée par Yaël Braun-Pivet (LRM) a officiellement renoncé, mercredi 1er août lors d’une ultime réunion, à rendre un rapport formel. Seul un compte rendu des auditions sera publié.

Après quatre jours d’auditions, la commission des lois avait implosé, à la suite d’un désaccord entre majorité et opposition sur la liste des personnes à entendre. Là où les oppositions ont vu une « obstruction » de la majorité, celle-ci a jugé « inutile » de poursuivre des auditions sur « des dérives individuelles ».

Dans un entretien au Monde mercredi, Richard Ferrand, le président du groupe LRM à l’Assemblée, estime toutefois que, malgré l’absence d’un rapport, « chacun pourra tirer des enseignements des auditions » :
« Si on enlève la dimension spectacle et polémique, on constate que ceux qui étaient en situation de donner des éléments sur la vérité sont venus répondre. »

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Macron : véritable dictateur ou charlot des temps modernes ?

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Richard Ferrand : affaires sans suites et homme sans morale !
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Jeu 23 Aoû 2018 - 17:32
Tiens comme c'est bizarre, vous avez dit bizarre.
Circulez il n'y a rien à voir.
La liberté "macronienne" est en marche.
Le banquier ne se préoccupe que de faire augmenter les dividendes.
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Jeu 23 Aoû 2018 - 21:05
Il ne faut pas perdre l' affaire Benalla , car trop de ses semblâmes , même avec une carte d' identité entourent notre président par défaut .
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Sam 25 Aoû 2018 - 8:33

Coffre-fort volatilisé :
L’impossible traque de la compagne d'Alexandre Benalla

rt, le 23 août 2018
(Source)


Dès le début de la garde à vue de l'ancien chargé de mission pour Emmanuel Macron, les policiers ont cherché à recueillir des informations clés dans le cadre de leur enquête. Celle-ci les aura menés à traquer la compagne d'Alexandre Benalla, en vain.

Dans son édition du 22 août, Le Parisien publie un article relatant les moyens que la police judiciaire a mobilisés pour interroger la compagne d'Alexandre Benalla, l'ancien chargé de mission auprès du chef de cabinet de la présidence de la République, avant que sa procédure de licenciement ne soit entamée le 20 juillet 2018 par l'Élysée.

Comme le raconte le quotidien, la police a visiblement enquêté, entre autres, sur la disparition d'un coffre-fort du domicile du couple Benalla. L'armoire forte aurait notamment renfermé les armes de l'ancien chargé de mission pour Emmanuel Macron, ainsi que, potentiellement, des éléments pouvant intéresser les enquêteurs. Si leur persévérance n'a pas été couronnée de succès, l'enchaînement des événements est digne d'un véritable polar.

Dès le début de la garde à vue d'Alexandre Benalla, la police a déploré son « manque de coopération ». Alors qu'il cherchait lui-même à joindre Myriam, sa compagne, il aurait en effet refusé, « pour la protéger », de dire aux enquêteurs où elle se trouvait et comment la joindre. Par ailleurs, s'il a accepté d'autoriser la police à perquisitionner son domicile, l'ancien chargé de mission pour l'Élysée aurait affirmé que seule sa compagne en avait les clés, celle-ci étant, d'après lui, « partie à l’étranger se reposer et fuir les journalistes ».

Réquisitions téléphoniques et bancaires, identification de véhicule...

Ainsi, comme le rapporte Le Parisien, les enquêteurs n'auraient pas lésiné sur les moyens pour tenter de géolocaliser Myriam : réquisition téléphonique auprès des opérateurs, passage de son nom dans les fichiers de police, réquisitions bancaires, identification de son véhicule, recensement de ses contraventions pour excès de vitesse, photos de flashs...

La géolocalisation de la compagne d'Alexandre Benalla aurait fini par établir, qu’à défaut d'être partie à l'étranger, elle se serait vraisemblablement trouvée dans le XVIe arrondissement de Paris. L’examen des appels émis et reçus aurait en effet montré une intense activité téléphonique qui pourrait être liée à l'annulation des formalités du mariage entre Alexandre et Myriam, qui était initialement prévu le 21 juillet.

Les policiers auraient finalement dû se contenter de l’adresse électronique de Myriam, fournie par la mairie d’Issy-les-Moulineaux. Ils lui auraient ainsi envoyé un courriel pour « une prise de contact ».

Le parquet de Paris a refusé d'étendre l'enquête à la disparition du coffre-fort

Les enquêteurs n'ont pas pu compter sur le soutien du parquet de Paris. Celui-ci a en effet opposé une fin de non-recevoir au syndicat de police VIGI, qui s'est porté partie civile, et qui avait demandé le 30 juillet dernier un réquisitoire supplétif aux juges d'instruction pour étendre l'enquête à la disparition du coffre-fort.

« Le parquet fait-il preuve d’une naïveté inhabituelle ? »

La raison ? Malgré le manque de coopération d'Alexandre Benalla, le Parquet s'est malgré tout rangé à ses déclarations selon lesquelles il n'y avait que des armes, détenues légalement, dans le coffre. « Le parquet fait-il preuve d’une naïveté inhabituelle ? Sa position alimente en tout cas la thèse d’un Benalla protégé par le pouvoir », déplore l'avocat de VIGI, cité par Le Parisien.

L'affaire Benalla a constitué la première crise politique majeure à laquelle a dû faire face l'actuel gouvernement français, allant jusqu'à rassembler des élus aux orientations politiques opposées autour d'un objectif commun : élucider la responsabilité de l'Élysée dans ce que d'aucuns n'ont pas tardé à qualifier de « scandale d'État. »

Le 7 août, l'avocat des deux individus qu'Alexandre Benalla a brutalisés place de la Contrescarpe à Paris le 1er mai, remettait en question la version des faits défendue par l'ancien collaborateur d'Emmanuel Macron : « Monsieur Benalla a menti, dans le cadre de la procédure, mais également devant les médias », assurait ainsi Sahand Saber, soutenant que l'enquête en cours permettait d'établir que ses clients n'étaient pas des « casseurs », contrairement à ce qu'avait jusqu'alors affirmé Alexandre Benalla.

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Macron : le manipulateur de français !

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« En Marche Arrière » :
émanation dangereuse de matières putrides dégageant une odeur désagréable !
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un collaborateur de L'Elysée a frappé un manifestant - Page 4 Empty Nous somme a la rentré!!

Dim 26 Aoû 2018 - 12:35
Nous sommes à la rentré et que voit on?
Merluchon s étaler sur tous les écrans  je veux dire les 4 clones de l' information macronniene contrôlée par les US et Bruxelles à savoir sur la TNT: BFM;CNEWS; LCI; FRANCE INFO; le reste étant négligeable et copie conforme!
Est ce à dessein que Macron montre Merluchon comme seule opposition à sa politique car il sait pertinemment que ce bateleur ne sera jamais élu président!
Il joue le mépris avec la droite, d un coté Vauquier qui n 'arrive pas à rassembler ses troupes avec l' opposition de la vindicative Pécresse orientée chiraquie, on a vu ce que ça a donné depuis le départ de Sarkozy: le combat des sous chefs affidés de Bruxelles aussi avec beaucoup de franc-maçons dans leurs rangs pour ne pas dire tous, et de l' autre notre Rassemblement National muet comme une carpe depuis son égosillement sur Benalla!
Cet affaire Benalla ne ressortira plus, elle a perdu son énergie comme la vague venue se briser sur l' Assemblée et les commisions crées à cet effet! Donc Ben alla c'est fini, on ne sait pas ou a été replacé ce fidèle nervis, mais peu importe, le monde tourne tellement vite et l' Europe tellement mal!
On nous annonce les mesures restrictives de Macron pour équilibrer son budget, la croissance esperée de 1,9 étant retombée à 1,7 avant d' aller plus bas, compte tenu des défections commerciales et industrielles imposées par Trump faisant le blocus de l'Iran! Gare à celui qui ne respecterait pas la ligne et de suivre ce matamore pour tous nos industriels ayant déjà investi là bas ou commencé  à répondre a  des appels d' offres passés par l Iran: automobile, services, etc etc.....
Donc rien à l horizon avant 2022 un européenne qui ne fera pas le printemps et des impôts, des impôts, des impôts!!!
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