La Guyane que j'aime

Bien sûr, il y a la pêche de loisir qui fait rêver . . .

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La découverte d'hydrocarbures à 150 kilomètres au large des côtes guyanaises, représente un espoir et un potentiel économique majeur pour la Guyane. L'économie guyanaise pourrait en être notablement modifiée.

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Le gisement d'or noir a été localisé au nord-est de Cayenne, grâce à une plate-forme d'exploration.

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TROIS-SAUTs et son village amérindien wayampi.

Trois-sauts sur l'Oyapock-sud est isolé de tout.
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Le village des amérindiens wayampis.
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ST ELIE est un des plus anciens villages de l'intérieur de la Guyane, créé pour l'orpaillage au 19e siècle. Dans les années cinquante ce village était la capitale de l'orpaillage. Isolée et quasiment abandonnée par ses habitants, cette commune fait l'objet d'un ambitieux projet de repeuplement. En dehors de l'hélicoptère, il n'existe aucune liaison routière pour se rendre à  St Elie.   

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Orpaillage légal à St Elie.
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La Mairie.
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Le site d'orpaillage de "DIEUMERCI" à St Elie.[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

L'épicerie de St Elie.
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Le carbet communal de St Elie.
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La crique Toussaint à St Elie.
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Le sentier de St Elie.
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Le Saut parasol à St Elie.
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Autour de St Elie.
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ANTECUME-PATA est un village d'amérindiens wayanas, situé sur une île à trois heures de pirogue au sud de Maripasoula sur les bords du fleuve Maroni. Fondé à l'initiative d'un ouvrier lyonnais, André Cognat, qui est parti vivre en Guyane en 1961. André qui est le protecteur des wayanas est marié avec Alasawani et père de deux enfants.

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André Cognat à gauche.
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Antecume-Pata se trouve dans la "Zone Interdite" au sud de la Guyane qui est le pays des tribus amérindiennes. Cette zone a été créée afin de protéger ses habitants qui sont connus pour leur fragilité pulmonaire importante. Autrefois, les amérindiens étaient décimés par un simple virus apporté par les blancs. Donc, pour se rendre dans cette zone il faut une autorisation spéciale de la Préfecture. Qui dit Zone Interdite, dit zone surveillée de près par les autorités.

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Il arrive que parfois l'hôpital de Cayenne organise des missions sanitaires dans les villages améridindiens de la Zone Interdite. Mais le seul moyen de se rendre dans cet endroit très reculé, c'est l'hélicoptère ou la pirogue.


L'hélicoptère qui amène l'équipe sanitaire arrive au village tandis que la pirogue transporte le reste du matériel nécessaire à la mission.

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Photo des membres de la mission avec André Cognat devant le dispensaire du village.

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L'équipe médicale en action.

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Dernière photo de groupe de la mission sanitaire avant le départ, avec André Cognat au milieu.

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LES HMONGS sont exceptionnels à bien des égards. Arrivés en Guyane en 1977, ils ont par leur travail acharné et leur abnégation, réussit à surmonter toutes les difficultés rencontrées. Installés à Cacao qui est un site d'orpaillage abandonné dans un coin perdu dans la forêt amazonienne, ils se sont bien intégrés. Les Hmongs ont défriché des centaines d'hectares de sols pauvres, mettant en pratique leurs connaissances en agriculture et en maraîchage. Aujourd'hui ils sont devenus les premiers maraîchers et une fierté pour la Guyane, avec une production qui couvre plus de 80% des besoins guyanais en fruits et légumes. Le chemin parcouru par les Hmongs de Guyane en 40 ans est très impressionnant.

https://www.youtube.com/watch?v=U5RFfQssDOo


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L'agriculture Hmong a permis à la Guyane de ne plus importer de produits maraîchers en provenance du Brésil et du Surinam. Grâce au travail titanesque des Hmongs de ces sols ingrats, la Guyane est aujourd'hui auto-suffisante. La contribution de la communauté Hmong à la vie économique guyanaise est devenue essentielle.

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La Guyane possède deux ports stratégiques : le port de Degrad des cannes au bord du fleuve Mahury dans la commune de Rémire-Montjoly, voisine de Cayenne. C'est le port principal de la Guyane où transitent 95% des produits importés.

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Le port de Pariacabo de Kourou est situé à l'entrée du fleuvre Kourou. Ce port reçoit le matériel destiné au Centre Spatial.
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Un déchargement destiné au Centre Spatial.
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LE SERVICE DE SANTÉ de la Guyane est composé de trois hôpitaux principaux et de dispensaires.

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Hôpital de Saint-Laurent-du-Maroni.
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Hôpital de Kourou.
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L'hôpital de Cayenne.
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En Guyane, dès que l'on quitte le littoral, on se retrouve en forêt amazonienne primaire qui couvre 90% du territoire. La forêt avec ses rares pistes est pratiquement impénétrable. Bien sûr, il y a les trajets en pirogue mais ils sont longs et hasardeux. Seul l'hélicoptère peut se rendre rapidement en tout point et par tout temps. Dans un tel environnement, l'hélicoptère est indispensable pour transporter hommes et matériels. Les principaux clients des hélicoptères civils sont les exploitants des quelques 150 mine d'or de la Guyane. Actuellement, la plupart des sites miniers guyanais n'existeraient probablement pas sans l'hélicoptère qui est le seul moyen de transport possible en forêt amazonienne. Ce moyen de transport moderne peu ravitailler rapidement les travailleurs de la forêt en approvisionnements essentiels.

Le travail d'un pilote d'hélicoptère en Guyane est particulièrement exigeant : toute l'année c'est la chaleur et l'humidité accablantes, les grains de météo sont fréquents, la pluie et drue et le plafond de vol très bas, le repérage visuel est difficlle, les terrains d'atterrissage exigus et difficiles à trouver, il y a aussi de nombreux volatiles. La plupart du temps, le pilote d'hélicoptère vol au dessus du "persil" guyanais sans la moindre zone de pose possible en cas de "pépin". Ses missions sont tres variées : il achemine les personnes et le matériel, transporte des charges comme des fûts et touques de carburants, des cuves, des matériaux de construction, des groupes électrogènes, des machines etc.

Préparatifs de chargement.
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Le départ pour les rotations.
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Vol au dessus de la forêt que les pilotes appellent le "persil".
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Arrivée à St Elie pour une première livraison.
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La DZ de St Elie.
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En attente à St Elie avant la prochaine rotation.
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Prochaine mission : le ravitaillement d'une nouvelle mine.
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Vol au dessus d'une grande clairière.
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Arrivée à la nouvelle mine.
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Du renfort est arrivé pour vider les soutes.
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Il est temps de faire le plein d'essence avant de continuer la route.
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Comme elle est belle notre Guyane vue du ciel.
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Des touques de 1300 litres qui remplacent les fûts d'antan, à délivrer à la mine.
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Soudainement, au dessus de la forêt, la météo se dégrade.
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On aperçoit la touque dans le rétro tandis que le ciel se dégage.
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L'arrivée à bon port, mission accomplie.
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Il y aura d'autres livraisons au cours de la journée.
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Retour à la base.
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Nettoyage et refioul du soir.
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La base hélicoptère de la Sécurité Civile guyanaise a été mis en service le 14 juin 2014. Elle est à la disposition des sapeurs-pompiers, du SAMU et l'état-major de zone de défense. Baptisé Dragon 973, l'hélicoptère effectue des missions de secours aux personnes entre Saint-Laurent-du-Maroni et Saint-Georges de l'Oyapock. Il a aussi la charge de missions de recherche en mer et d'hélitreuillage de jour comme de nuit à l'intérieur du pays.


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AWALA-YALIMAPO est un village amérindien Kali'na situé sur le littoral, d'une grande diversité écologique.

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Les membres du conseil municipal au complet.
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La plage d'Awala-Yalimapo est magnifique.
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Chaque année durant la ponte des tortues marines (de mars à août), les amoureux de la nature viennent voir sur les kilomètres de plage de la commune ce spectacle extraordinaire. Au prix de grands efforts les tortues viennent sur la plage, se hissent sur le sable, creusent un trou à l'aide de leurs nageoires arrières, rebouchent le trou et repartent en hâte vers le large.

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Le 21 mars 1964, le général Charles de Gaulle qui se trouvait en visite en Guyane, déclara à Cayenne : << Terre lointaine mais pas terre oubliée. Nous avons à réaliser, vous sur place et la France avec vous, une grande oeuvre française en Guyane, et une grande oeuvre dont on s'aperçoive dans toutes les régions du monde ou se trouve le département. Il faut qu'on le voit et qu'on le sache partout. Nous avons commencé et nous continuerons. >>

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Le 14 avril 1964, le Premier ministre Georges Pompidou, confirmera en Conseil des ministres, le choix de la Guyane pour la création d'une base de lancement spatiale dont la réalisation sera confiée au général Aubinière, directeur du CNES.

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Kourou en 1964, c'était une rue principale, une petite église, une mairie et un vieux bistrot. La population tournait autour de 200 habitants. La seule animation dans ce trou perdu au bout du monde, c'était la vente de poissons à l'embouchure du fleuve.

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L'histoire du Centre Spatial Gyanais commence en octobre 1965, au premier coup de pioche. Environ 2500 travailleurs de plusieurs nationalités sont présents pour construire la ville nouvelle ainsi que les sites techniques et opérationnels du CSG.

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Construction d'une nouvelle route à travers la forêt.
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Le port de Kourou en construction.
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Site de l'appontement portuaire.
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La construction de l'hotel des roches.
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Travaux sur la montagne des Pères.
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Une véritable cité-chantier a été créée afin d'installer environ 1200 représentants du CNES, des bureaux d'études des entreprises de construction et leurs ouvriers, dans des conditions favorables. 
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Le Centre Spatial commence à prendre forme.
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La station de poursuite à gauche et la salle de lancement à droite.
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Le premier centre technique.
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Au début des années 1970, le village de Kourou est devenue une petite ville.
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L'entrée du CSG dans les années 1980.
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La salle de projection.
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La station météo du CSG.
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La station radar du CSG.
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Les unités de production de carburant pour les fusées Ariane : d'air liquide, d'hélium gazeux, d'azote et d'oxygène liquides ainsi que d'azote gazeux haute pression.

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Installations de lancement.
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La salle Jupiter du Centre Spatial guyanais est le Centre de Contrôle où sont tous les moyens : télémesure, radars, station météo, énergie, optique-vidéo. C'est le Centre nerveux de la mission où à l'heure d'un lancement, l'ensemble de l'autorité opérationnelle, technique et institutionnelle y est rassemblée.
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Derrière la salle ce contrôle, se trouve une salle de conférence VIP de 232 places, pour les invités au  moment des lancements.
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LE CARNAVAL de Guyane est le plus long du monde. Il a lieu au début de chaque année de janvier à mars. Pendant deux mois ce ne sont que festivités et folies. C'est une période de liesse populaire et un émerveillement de rythmes et de couleurs. Ce carnaval unique au monde est une véritable expression de senteurs exotiques, un reflet de la diversité ethnique de la Guyane française.

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Les TOULOULOUS de Guyane sont des personnages principaux du carnaval guyanais. Sous les déguisements ce sont des femmes qui se cachent. Entièrement déguisés et masqués, les touloulous sont totalement anonymes. 

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Tous les dimanches après-midi, les rues de Cayenne, de Kourou, et d'autres communes, voient défiler les groupes carnavalesques.
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Pendant le carnaval, les dancings se remplissent de touloulous tous les samedis soirs chez Polina à Cayenne. Dans la salle, les hommes attendent qu'une touloulou vienne les inviter à danser. Chaque danse dure longtemps au rythme de la musique des biguines et des valses créoles. Les danseurs se livrent à des corps à corps endiablés. Au petit matin, l'orchestre quitte la salle de bal en musique, suivi par les danseurs et ceux de la rue. L'orchestre entraîne dans son sillage tous ceux qui veulent faire la fête.

 Chez Polina.
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MANA est situé non loin de l'embouchure du fleuve Maroni dans la zone côtière.
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Collège Léo Lothily de Mana.
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A Mana l'hydravion est un moyen de transport.
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La rivière Mana.
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Mana ce sont aussi les grandes rizières qui bordent l'Océan Atlantique.
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LE TOUR CYCLISTE DE GUYANE 2016 EN 9 ÉTAPES

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Le guadeloupéen Cédric Locatin, vainqueur du Tour de Guyane 2016
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BRAVO CÉDRIC POUR CETTE BELLE PERFORMANCE
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L'ENTOMOLOGIE EN GUYANE, la branche de la zoologie qui traite de l'étude des insectes, est d'une grande importance. Le rôle des insectes est crucial dans le fonctionnement des ecosystèmes forestiers tyropicaux. L'un des objectifs du Parc Amazonien de Guyane, c'est d'améliorer la connaissance du patrimoine naturel et la compréhension des relations fonctionnelles. En Guyane, les scientifiques prennent de plus en plus conscience de l'importance qu'ont les insectes en termes de biodiversité. Il est estimé qu'environ 100.000 espèces sont présentes en Guyane, dont on n'en connait que 18.000. Autant dire qu'il y a du pain sur la planche. Des expéditions de chasse et voyages d'études sont donc menés au sein de la forêt tropicale guyanaise afin de contribuer aux connaissances fondamentales des espèces nouvelles.


Une équipe d'entomologistes qui a pour objectif d'étudier la faune entomologique de la Guyane.
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Habituellement, on fait appel à l'armée pour ouvrir une aire d'atterrissage et frayer des passages dans la végétation amazonienne. Ensuite on établi un camp de base avec bâches et hamacs et l'on fait venir six tonnes de matériel et de nourriture par hélicoptère.
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Les massifs guyanais au coeur de la forêt, possèdent un potentiel énorme d'espèces inconnues.
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La chasse est fructueuse
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Après un mois de travail fructueux en pleine forêt tropicale, le travail de laboratoire commence.
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La collecte a été bonne dans une forêt qui possède 18.000 espèces différentes par hectare. Il s'agit maintenant de faire un travail d'inventaire afin de décrire les espèces nouvelles. Toutes les précieuses informations obtenues par les scientifiques de Guyane, sont étudiées par une centaine de spécialistes à travers le monde.
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L'objectif d'une telle expédition est de recenser dans le détail la biodiversité guyanaise, de mieux connaitre la forêt afin de mieux la préserver. Les bestioles capturées sont conservées dans des fioles ou des sachets, puis envoyées à Cayenne pour un tri avant d'arriver sur le bureau d'un zoologiste.
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JAVOUHEY sur la commune de Mana, est un village Hmong ouvert en 1979. Les Hmongs se sont très bien adaptés aux conditions guyanaises, grâce à  eux, Javouhey est devenu le berceau agricole de l'Ouest guyanais.

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AIR GUYANE EXPRESS est basé à l'Aéroport Félix Éboué. Les destinations de cette compagnie aérienne sont : Saül, Maripasoula, Grand-Santi, Saint-Laurent-du-Maroni, Fort-de-France (Martinique) et Pointe-à-Pitre (Guadeloupe).

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LES SAPEURS-POMPIERS de la Guyane font partie intégrante de la Guyane que j'aime, c'est toujours un honneur et un privilège de pouvoir leur rendre hommage. Quelle plus belle devise que "Sauver ou Périr". Respect et admiration.

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Les Sapeurs-Pompiers de la caserne de Rémire-Montjoly
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Les Sapeurs-Pompiers de Cayenne
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Les Sapeurs-Pompiers de Saint-Laurent-du-Maroni
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Les Sapeurs-Pompiers de Macouria
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Une équipe de Sapeurs-Pompiers de Guyane avant son départ pour la Martinique lors d'un séisme
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Un grand honneur pour la Guyane, ces Sapeurs-Pompiers ont été choisis pour le défilé du 14 juillet à Paris
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Les Sapeurs-Pompiers de Guyane sont prêts pour défiler sur les Champs-Elysées
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IRACOUBO se trouve sur la zone cotière qui débouche sur l'Océan Atlantique à l'ouest de Mana.
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Les gendarmes qui possèdent  un poste à l'entrée de la ville, procèdent à des contrôles routiers.

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Madame la Maire d'Iracoubo en compagnie de ses conseillers municipaux.
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LE BARRAGE DU PETIT-SAUT produit de l'électricité pour les villes de la région côtière de la Guyane. Il permet de fournir les deux tiers des besoins en électricité du territoire. 
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Le barrage a été construit sur un lac plus grand que la ville de Paris, à cinquante kilomètres de Kourou.
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Nombreuses sont les activités sur le lac du Petit-Saut.
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MONTSINERY est entouré de mangroves et de rivières. La commune possède le seul parc à huîtres de la Guyane.

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La centrale solaire, source d'énergie positive.
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En Guyane, quand il pleut, c'est le déluge. La"Petite saison des pluies" commence de fin novembre à mi-février : les pluies sont parfois fortes mais brèves et localisées. En janvier les plus sont plus abondantes. Le "Petit ette de mars" commence de la mi-février à la fin mars : la Guyane bénéficie de plusieurs jours de soleil tandis que les averses se déclenchent en fin d'après-midi et en fin de nuit. La "Grande saison des pluies" commence d'avril à juin : c'est la période la plus pluvieuse en Guyane, les précipitations sont copieuses avec un ciel très sombre. Le mois de juillet représente la transition vers la saison sèche : la pluie perd de son intensité et se traduit par des ondées ou des orages, surtout l'aprés-midi. La "Saison sèche" s'étend de juillet à novembre : à partir de juillet, la Guyane retrouve des périodes ensoleillées. La période vraiment séche s'établit de mi-aout à fin octobre. L'alizé s'installe sur la région, le temps devient à nouveau ensoleillé et chaud.


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JOURNÉES DES PEUPLES AUTOCHTONES DE GUYANE  sont l'occasion de spectacles vivants, prestations artistiques, art culinaire, artisanat, expositions.

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Sur les drapeaux, les noms des peuples amérindiens de Guyane.
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Un menu paykweneh : poisson boucané, sauce au jus de wacai, galette de manioc.
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Un petit tabouret.
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Calebasse paykweneh.
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Les poteries des amérindiens Kali'na.
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SINNAMARY qui à l'origine était un village amérindien, est situé le long du fleuve du même nom, à 60 kilomètres de Kourou

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L'hôtel du fleuve.
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Le restaurant Le Pakira.
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La Mairie.
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Jour de carnaval a Sinnamary.
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C'est en 2007 qu'a été créé le Parc amazonien de Guyane afin de protéger le fabuleux patrimoine guyanais et le développement respectueux des modes de vie des communautés locales. La création de ce parc qui occupe 3 millions d'hectares, présente un intérêt pour la conservation de milieux rares, le maintien de processus écologiques, et la survie à long terme d'espèces ayant besoin de grands territoires. Il était temps que la France se décide à protéger son patrimoine en Guyane, lequel représente une richesse immense. Il serait vraiment catastrophique qu'une telle richesse disparaisse par négligence.

Carte du Parc amazonien de Guyane.
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Le Parc amazonien de Guyane est le lieu d'une nature monumentale avec ses arbres géants, ses fleuves immenses, sa vie animale et végétale hors du commun. C'est une région qui concentre plus de 60% des espèces floristiques et faunistiques de la planète, offrant ainsi une biodiversité parmi les plus riches du monde. Ces immenses forêts luxuriantes sont habitées par des peuples amérindiens que la France s'engage à protéger.

En premier lieu ce qui frappe le plus, c'est son étendue d'un peu plus de 3 millions d'hectares, une surface entièrement couverte d'arbres qui représente près de 40% du territoire guyanais. Ce Parc offre des paysages monumentaux.
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Malheureusement, la forêt guyanaise fait l'objet de sérieuses menaces que constituent certaines activités humaines telles que l'orpaillage illégal ou le braconnage, qui sont des pratiques formellement interdites par le Parc amazonien de Guyane. La ruée vers l'or est actuellement en train de détruire tout l'écosystème tandis que le braconnage risque à court terme de provoquer l'extinction de nombreuses espèces.

Une partie de l'équipe du Parc amazonien de Guyane.
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Dans le cadre de leurs actions de surveillance du territoire, les agents de police de la nature du Parc amazonien de Guyane effectuent des missions terrestres et fluviales au cours desquels ils collectent des informations et dressent des procès-verbaux pour infractions observées.
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Brigade nature du Parc amazonien.
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Des hommes de la brigade police nature du Parc amazonien.
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Membres du Parc amazonien en mission fluviale.
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Les agents du Parc effectuent des contrôles.
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Agents de terrain en mission.
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Un ornithologue du Parc procède à l'inventaire d'oiseaux.
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Agents du Parc à Camopi.
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Collecte de données sur la chasse par les habitants.
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