Les primaires primitives : le puits des fous !

Les « primaires » trahissent les institutions de la Vème République.
L'élection présidentielle est le plébiscite direct (sans intermédiation), pour représentation, d'un Français par le peuple Français.

Bruno Le Maire  « fier » d'avoir été hué lors du meeting de Sens commun
Le Figaro, le 19/07/2015

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Il faudrait un jour expliquer à ce type qu’il est impossible d’être à la fois fédéraliste et Républicain.

Les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. (Audiard)

25 Juillet 2015 : 41% des sympathisants de droite et du centre souhaiteraient qu’Alain Juppé soit leur candidat en 2017 contre 35% pour Nicolas Sarkozy (mais la proportion s’inverse chez les Républiquand)
L'ancien président demeure toujours le grand favori chez les Républiquand, et la multiplication des candidats dessert fortement le maire de Bordeaux, selon un sondage Ifop pour Atlantico.

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je ne veut ni d'un habitué des magouilles comme sarko,d'une momie comme juppé et encore moins d'une betterave comme hollande pour 2017,mare d'etre gouverné par des imcapables la France merite mieux que ca quand meme !

2017 : Juppé séduit près d'un quart des électeurs de Hollande
le figaro, le 27/07/2015

Le maire LR de Bordeaux, candidat déclaré à la primaire de son camp en vue de la prochaine présidentielle, devancerait Marine Le Pen d'un point au premier tour, selon un sondage Ifop pour RTL.

« Je suis un homme de droite ouvert, pas sectaire ». Les termes choisis par Alain Juppé pour se définir, en mai dernier dans Le Figaro, semblent trouver un certain écho dans le sondage Ifop pour RTL publié ce lundi matin. Le maire les Républicains de Bordeaux se trouve effectivement en tête des intentions de vote pour le premier tour de l'élection présidentielle de 2017 (28%), devançant notamment la présidente du Front national, Marine Le Pen, d'un point.

Mieux, la candidature de l'ancien premier ministre permettrait, plus nettement encore que celle de Nicolas Sarkozy, d'éliminer François Hollande d'entrée de jeu (18%). Un véritable scénario catastrophe pour le président de la République, à qui le premier édile girondin piquerait même 22% des électeurs de 2012, glanant ainsi au total 11% de voix de gauche. « C'est probablement là l'un des faits les plus notables de ce sondage », note au Scan Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l'Ifop.

Un bon résultat pour une présidentielle, moins pour une primaire

« Le score d'Alain Juppé, qui récolte par ailleurs 32% d'intentions de vote au sein du MoDem, en dit long sur sa capacité à rassembler. Il traduit bien sa dimension « attrape-tout » et fait de lui un candidat réceptacle pour les électeurs de gauche déçus par la politique de François Hollande, lesquels ne se rabattent pas sur la gauche de la gauche, reléguant Jean-Luc Mélenchon (FdG) et Cécile Duflot (EELV) à 9% et 3%, mais bien sur le centre-droit qu'il incarne », analyse encore le sondeur.

Avant de toutefois soulever que « si ce résultat est une excellente nouvelle dans une logique présidentielle, il l'est en revanche un peu moins dans la logique de primaire, à laquelle Alain Juppé sera candidat en 2016 ». Une objection à laquelle le maire LR de Châlons-en-Champagne et porte-parole de l'élu bordelais, Benoist Apparu, répond: « La compétition interne vise à sélectionner la personnalité susceptible de ramener le plus de voix et donc de l'emporter. Nous n'avons plus qu'à le faire », appelle-t-il, joint par le Scan.

Et l'ancien ministre du Logement de se payer le locataire de l'Élysée ainsi que son prédécesseur en un seul tacle: « Cette capacité de rassemblement montre deux choses: la première, c'est que François Hollande est en panne complète, à tel point que près d'un quart de ses électeurs rejoint le camp d'en face. La seconde, et c'est que là où Nicolas Sarkozy pourrait réussir le coup de force de rassembler la gauche, Alain Juppé y pille, lui, des voix de manière assez puissante. C'est certainement là leur principale différence », conclut-il.

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Juppé prétend ne pas être sectaire alors qu'il a pratiqué « la digue » contre le front national pendant des années avec la blague du « front fédéraliste ».
En effet, cela aurait pu être une blague, s'il ne s'agissait pas de mensonges qui ne font rire personne ...

Plus important encore, avec ce sondage, la preuve est faite : Juppé, c'est la « droite-socialiste » !

Il est beaucoup trop vieux, je crois qu'il aura 82 ans en 2017, je ne vois pas comment il moderniserait le pays à coup réformes........ En plus, il fait parti de tous ces hommes politiques qui ont fait ce que la France est devenue, une déchéance, alors, si les Français sont assez C..... pour remettre les même du système, alors, dommage, on s'enfoncera un peu plus.......

C'est dommage que ce ne soit pas Juppé qui ait gagné en 2012. Etant donné qu'il fait le consensus à gauche comme à droite, la déception qu'aurait entraîné sa politique aurait permis d'ouvrir un boulevard pour Marine Le Pen !

Par contre, je ne pense pas qu'il sera candidat en 2017. C'est Sarkozy qui détient le parti, pas Juppé, donc je ne vois pas comment ce dernier pourrait remporter les primaires, même encensé comme il l'est par les médias ! D'autant que Sarkozy a déjà miné le terrain en incitant des centristes à se présenter aux primaires pour amoindrir au maximum les voix de Juppé. Je sens de plus en plus un duel Sarkozy - Marine Le Pen.

Ne vous faites pas trop d'illusions,  les primaires ce sera d'abord sur deux tours  et si Sarkozy l'emporte (tant mieux pour nous) grâce à des combines dignes de la FIFA  il y aura quand même un autre candidat de la droite favori des sondages aux présidentielles qui fera un deal avec les autres pour sortir Hollande et Sarkozy .
Ce candidat sera forcément Juppé qui sort déjà  très haut dans tous les sondages .....

P.S. je crois aux sondages quand ils sont honnêtes

Présidentielle 2017 : un sondage prédit un duel Juppé-Le Pen

le président François Hollande, à l’Élysée depuis 2012, est éliminé dès le premier tour. Ce sont deux autres visages qui s'affichent sur les écrans : un duel Alain Juppé-Marine Le Pen s'annonce pour le second tour.
Voilà le scénario qui ressort du sondage que publie RTL ce lundi 27 juillet.
Selon cette enquête, Alain Juppé (LR) est le favori pour la prochaine élection présidentielle. A l'issue du premier tour, s'il avait lieu aujourd'hui, le maire de Bordeaux, qui caracole en tête des cotes de confiance depuis plusieurs mois, arriverait en tête du premier tour, recueillant 28% des suffrages, soit 1 point de plus que la présidente du Front National Marine Le Pen. S'il était le candidat de la droite républicaine, l'ancien président de la République Nicolas Sarkozy arriverait lui quatre points derrière Marine Le Pen.

source

À La Baule, les ténors des Fédéralistes jouent la carte de l'unité !

Nicolas Sarkozy, patron des Fédéralistes de droite, qui devait être dans le Doubs, a donc décidé lui aussi de rejoindre la réunion de l'université d'été des ténors de la droite Fédéraliste dans l'après-midi.
La photo de famille aura donc bien lieu : Nicolas Sarkozy, Alain Juppé, François Fillon.
Les principaux responsables des « Républiquand ? »  ont tous intérêt à une victoire nette de la droite Fédéralistes aux élections régionales de décembre.

Juppé, Sarkozy, Fillon : les Français vont choisir un homme, pas un programme

figaro, le 4 janvier 2016
(Source)

Chaque semaine, Philippe Bilger prend la parole, en toute liberté, dans FigaroVox. Il est magistrat honoraire et président de l'Institut de la parole. Il tient le blog Justice au singulier et est l'auteur de Ordre et désordres paru aux Éditions Le Passeur en avril 2015.

En général je tire les thèmes de mes billets de l'actualité et de l'effervescence médiatique autour d'elle puisque je ne peux pas me passer, depuis tant d'années et au quotidien, d'une lecture et d'une consultation assidues de journaux, d'hebdomadaires et de sites dont le pluralisme garantit au moins que je ne m'enferme pas dans une opinion toute faite. J'ai conscience aussi, à cause de cette démarche qui est une véritable drogue - mais on ne pense pas seul et le réel nous est livré, même filtré, par les journalistes - de contraindre ceux qui me lisent à se reporter à ce qui est mon terreau de l'instant.

J'éprouve le besoin de le préciser en ce début d'année 2016 parce que ce post, justement, va se fonder sur un très long entretien donné par Alain Juppé au Journal du Dimanche. Il sort de l'ordinaire d'abord parce que le questionnement de Dominique de Montvalon est fin et sans la moindre omission opportuniste et qu'il contraint donc le maire de Bordeaux à ne pas se réfugier derrière cette densité elliptique dont il raffole et qui nous en dit souvent beaucoup plus sur lui que sur son programme.

Pour la première fois, j'ai eu l'impression de lire des réponses qui se suffisaient à elles seules sans imposer une exégèse pour leur interprétation.

Alain Juppé a heureusement dominé sa nature et pris la peine de s'expliquer et d'expliquer.

Même si l'objet principal du dialogue se rapportait à la présentation de son deuxième livre-programme «Pour un Etat fort» et de «ses vingt propositions clés sur le régalien», le cours de l'entretien a conduit Alain Juppé à aborder d'autres sujets et, en définitive, à définir sa conception de l'Etat et la méthode avec laquelle il appréhenderait, notamment, les problématiques sociales, identitaires et judiciaires de notre pays.

Sans renier «l'identité heureuse» qui, n'en déplaise aux ignares et aux sectaires, «n'est pas un constat mais un objectif».

A bien prendre la mesure de ses solutions, on comprend que, pour lui, l'alternative ne doit plus être, même sur le régalien, entre un Etat fort ou un Etat faible mais être dépassée par l'urgence d'un Etat intelligent, tout d'équilibre et de raison. A partir d'une analyse approfondie du réel pour décider en connaissance de cause des interdictions non négociables et des compromis possibles, voire souhaitables. La notion très pragmatique, québécoise, des «accommodements raisonnables» exprime parfaitement sa philosophie qui apparemment fuit le laxisme autant que la bêtise.

La déception fondamentale ne provient pas du caractère intrinsèque de ces mesures, toutes estimables, mais d'une morosité civique qui affecte Alain Juppé comme elle affectera le programme renouvelé de Nicolas Sarkozy ou celui, plus vigoureux et libéral, de François Fillon..

Ce concept, selon lui, est opératoire et il en illustre le caractère pratique en traitant de l'Aide médicale de l'Etat (AME) qui a ses impératifs comme ses limites et en conciliant les racines chrétiennes de la France, sur un plan historique et culturel, avec son souci de la diversité qui rejette pourtant tout communautarisme. Il l'applique également à la déchéance de nationalité dont il ne surestime pas les effets mais qu'il voterait cependant à cause de son caractère symbolique justement.

Comme lui, je considère qu'elle est plus destinée à la France qu'à ses ennemis. Elle est une preuve de la volonté de notre pays de ne plus garder en son sein des adversaires qui le méprisent et jouent atrocement contre lui.

Je n'insisterais pas à ce point sur le processus qui serait celui d'Alain Juppé, empirique, aux antipodes de l'idéologie et du dogmatisme, s'il ne représentait pas le socle fondamental à partir duquel, demain, il aurait l'ambition de servir et de présider la France.

Cette limitation de la politique à une méthode et à une pratique est d'autant plus acceptable qu'on ne peut pas être bouleversé par la nouveauté de ses vingt propositions. Aucune n'est aberrante ou irresponsable, toutes mises ensemble seraient bénéfiques et sans doute créatrices d'une autorité régénérée mais on aurait pu attendre une idée choc, une intuition fulgurante, une avancée décisive. Rien de tel mais l'inscription de la pensée d'Alain Juppé et de ses desseins régaliens dans un espace à la fois convenu et plausible.

La déception fondamentale ne provient pas du caractère intrinsèque de ces mesures, toutes estimables, mais d'une morosité civique qui affecte Alain Juppé comme elle affectera le programme renouvelé de Nicolas Sarkozy ou celui, plus vigoureux et libéral, de François Fillon.

On sait bien dorénavant que ce qui s'élabore et se prépare en amont, dans les coulisses, dans les laboratoires de l'esprit et les groupes de réflexion trop consensuels, n'a pas la moindre importance.

Parce que seule comptera la personnalité du président. Réduira-t-il la voilure ou aura-t-il du courage politique? Sera-t-il, durant son mandat, le Sarkozy intermittent et ayant peur de la rue, le Chirac fier de son immobilisme en laissant la France tranquille avec des généralités nobles qu'elle ne pouvait qu'approuver, le Pompidou sans snobisme et d'une efficacité industrielle certaine, le Mitterrand brillant, louvoyant, trop cultivé pour un pays qui espère des réformes mais s'y oppose quand elles surviennent?

Ce n'est pas le projet qui fera le président. Mais le président qui fera le projet ou le défera.


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D'un côté, je me dis qu'on aura peut-être plus de chance de l'emporter contre Sarkozy tant il est détesté à gauche.
De l'autre, je vous avoue que ça me ferait vraiment chier de me recoltiner Sarkozy le fossoyeur de la nation à la tête de mon pays...

Juppé,Fillon et Le Maire insultent une nouvelle fois les militants !




Le 4 novembre dernier, je postai un article intitulé : « Votre silence est une insulte aux militants ! » dans lequel je dénonçais le silence des trois concurrents principaux, Alain Juppé, François Fillon et Bruno Le Maire à propos de l’enquête diligentée contre Nicolas Sarkozy dans le cadre de l’affaire Air Cocaïne. La « Justice » socialiste avait en effet fait analyser les communications téléphoniques de l’ancien président pour tenter de trouver des corrélations avec les déplacements de l’avion en cause dans l’affaire Air Cocaïne.
J’avais ajouté le lendemain une image tirée du magazine l’Opinion qui pointait le boycott du discours de Nicolas Sarkozy en clôture du Conseil national de l’UMP:





Aujourd’hui, ces 3 accusés récidivent en boycotant à nouveau, en annonçant, à l’avance, qu’ils n’assisteront pas au discours final du président des Républicains en clôture du nouveau Conseil national de leur parti ! J’apprends que Brono Le Maire s’est fait excuser pour pouvoir fêter la Saint-Valentin ! Sans doute que François Fillon avait une course automobile et qu’Alain Juppé inaugurait une mosquée …
N’oublions pas que François Fillon est co-responsable, avec Jean-François Coppé, du détestable spectacle de leurs divisions lors de l’élection du président de l’UMP en novembre 2012. L’UMP était sortie en lambeaux de ce conflit et avait risqué l’implosion.
Souvenons-nous qu’Alain Juppé, l’un des « chapeaux à plumes » nommés pour gérer les cendres de l’UMP et régler ses problèmes, avait été incapable de calmer les esprits.
Contrairement à ce qu’il souhaitait, l’état lamentable de l’UMP avait contraint Nicolas Sarkozy à redescendre dans l’arène. Trois ans plus tard, on doit constater que, malgré des rivalités de personnes, les Républicains forment maintenant un parti en ordre de marche. Les médias n’en parlent pas – seule la polémique les intéresse – mais, chez les Républicains,  les conventions thématiques se succèdent, sur l’école, sur l’agriculture et la ruralité, dernièrement, et le parti a retrouvé 240 000 militants à jour de leurs cotisation.
Que les rivaux de Nicolas Sarkozy le veuillent ou non, il est le président des Républicains et lui seul a la légitimité pour diriger ce parti.
Les trois concurrents de Nicolas Sarkozy enragent de le voir mettre en marche le parti et surtout de le voir préparer et faire voter par les militants  un programme des Républicains pour l’alternance de 2017 !
Ne soyons pas naïf, Nicolas Sarkozy va pousser le parti dans une direction conforme à ses opinions. Mais d’une part, il est légitime pour le faire puisqu’en l’élisant, les adhérents de l’UMP, avaient choisi son orientation politique. Et d’autre part, le président des Républicains a profondément réformé de parti en donnant, bien plus qu’avant, la parole aux adhérents. Nicolas Sarkozy proposera des orientations mais elles devront être validées par les adhérents.
Mais que voudraient les trois rivaux ? Que le parti reste immobile, sans programme, sans doctrine ? Ils voudraient qu’on attende le résultat des primaires pour que le parti adopte le programme du gagnant des primaire ! Suivant le verdict d’un vote, dont on ne connait pas le corps électoral, auquel pourront participer des gens de gauche venus fausser l’élection, la parti choisirait alors soit l’ultra-libéralisme d’un Fillon, ou le socialisme-canada-dry d’un Juppé ?
Mais à quoi sert un parti ? A quoi sert de militer si la doctrine du parti est fixée, en majorité, par des gens extérieurs au parti. On attend entre 3 et 4 millions de votants aux primaires alors qu’il n’y a que 240 000 militants encartés !
Je sais bien qu’on nous rabâche que l’élection présidentielle est la rencontre d’un homme et des Français – laissez moi rire quand on observe le cas Hollande – mais la réalité politique est toute autre. Les trois concurrents de Nicolas Sarkozy ne devraient pas oublier les deux réalités incontournables suivantes :

• Pour un parti, et même pour la gouvernance de la France, ce qui est le plus important, ce sont les idées, pas les hommes !
  

• Une fois élu, le président présidera, mais ce sont les députés qui voteront – on non – les lois proposées par le gouvernement.
  

En conclusion, les militants, on le sait largement acquis à l’ancien président, se seront une nouvelle fois sentis agressés par les concurrents de Nicolas Sarkozy.
Attention, à l’implosion du mouvement des Républicains en cas de victoire d’Alain Juppé. Combien d’adhérents vont renvoyer leur carte en considérant qu’à cause d’une primaire ouverte, ils se sont fait voler leur victoire ?
De nombreux militants avaient quitté l’UMP pour les rangs du Front national. Avec la victoire du candidat qui souhaitent des « accommodements raisonnables » avec l’islam, n’assisterons-nous pas à une nouvelle vague de défection ?

En savoir plus sur http://www.je-suis-stupide-j-ai-vote-hollande.fr/blog/#lOWYVCtgYAGF4eFW.99

Wauquiez (LR): « C’est aux étrangers de s’adapter à la France »
 

Lors d’un discours « au ton volontaire », qui lui a valu une ovation debout des conseillers nationaux présents, le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes et député de Haute-Loire , Laurent Wauquiez, a mis en garde sur la situation d’un « pays en train de se défaire« . Un discours que Jean-Pierre Raffarin, ex-président du Conseil national, remplacé samedi par Luc Chatel, a trouvé «  enflammé mais un peu clivant« .

« Ce n’est pas à la France de s’adapter aux étrangers, c’est aux étrangers de s’adapter à la France ».

« Arrêtons de chercher à plaire aux sondages et aux médias. Il ne s’agit pas seulement de la conquête du pouvoir mais de quelque chose de plus profond (…) Il y a un danger de délitement culturel et politique » en France.

« La droite ne doit pas être une pâle copie de la gauche, les déficits en moins« , il faut « des politiques qui ont une colonne vertébrale« , « nous sommes de droite, nous n’avons pas à nous en excuser« , a ajouté cet ancien ministre.
La Dépêche

Les Répugnants et la gauche « germinal » ont en communs leurs promesses d’alcooliques !
Qu’ils soient sadiques ou masochistes, à tous les Français fanatiques des roulades dans la farine, ils doivent d’urgence arrêter de croire à de nouveaux mensonges qui ne font que suivre d’autres de 40 ans d’âge !

Les visions d’un socialiste ou d’un ultralibéral sont les mêmes que celles d'un ivrogne ou d'un drogué !

Mise en place d'une dîme islamique :
folie communautariste chez les Républicains !

Communiqué de presse de Sophie Montel‏
Député français ENL au Parlement européen
Présidente du groupe Les Patriotes – Front National au CR BFC
16 mars 2016
(Source)

Samedi dernier, Nathalie Kosciusko-Morizet a dévoilé sur le plateau de l’émission « On n’est pas couché » une proposition pour le moins surprenante, tirée de son livre Nous avons changé le monde. La désormais candidate à la primaire de Les Républicains trouve ainsi « raisonnable » de proposer une taxe sur les produits halal pour financer la construction de mosquées.

Cette proposition de dîme islamique illustre un peu plus la dérive communautariste suivie par feu l’UMP et reprise en chœur par les tous les candidats à la primaire, Nicolas Sarkozy et Alain Juppé en tête.

Elle est une atteinte grave à la laïcité, qui devrait pourtant faire consensus en imposant une séparation stricte entre la loi républicaine et la loi cultuelle ; seule garantie au traitement égalitaire entre les Français.

Elle méconnaît aussi la réalité. La Commission européenne reconnaît elle-même que le nombre d’animaux abattus rituellement excède très largement les besoins des cultes concernés. Puisqu’il n’existe aujourd’hui aucun étiquetage particulier, cette proposition conduirait inévitablement à faire porter sur une majorité de Français le financement de la construction des nouvelles mosquées.

L’abattage rituel suscite enfin l’indignation croissante des Français, soucieux de la protection animale et qui refusent de voir des bêtes agoniser pendant 15 minutes en se vidant de leur sang. Il est donc plus qu’urgent d’imposer à l’échelle européenne l’étiquetage des viandes abattues rituellement pour informer le public et d’interdire en France l’égorgement sans étourdissement dans les abattoirs. Car si l’État doit garantir la liberté de culte, il n’a pas en revanche à répondre aux exigences communautaristes, qui de surcroît accentuent la souffrance animale !

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Bruno Le Maire enfonce le programme de François Fillon

figaro, le 30 mars 2016
(Source)

Dans les sondages, le député de l'Eure est passé devant François Fillon. En public, il cible ses attaques contre l'ancien premier ministre pour mieux l'isoler.

Entre François Fillon et son ancien ministre de l'Agriculture, rien ne va plus. Depuis son entrée en campagne, Bruno Le Maire progresse. Au point d'avoir piqué la troisième place des sondages à l'ex-hôte de Matignon. Une enquête Odoxa publiée le 20 mars par Le Parisien-Aujourd'hui en France et BFMTV crédite le député de l'Eure de 16% des voix contre 9% pour François Fillon.

Alors, pour asseoir sa candidature, Bruno Le Maire ne se prive plus d'enfoncer le programme ultra-libéral de François Fillon. « Je suis en désaccord avec plein de propositions de mes concurrents à la primaire qui se sont engagés dans une course à l'échalote “plus thatchérien que moi tu meurs” », a expliqué le quadragénaire mardi devant les étudiants de Sciences Po Paris. François Fillon, qui avait érigé l'ex-chef du gouvernement britannique en modèle, appréciera.

« On n'est pas là pour se faire plaisir sur le dos des Français »

« Si on pense que c'est comme ça qu'on va réussir à transformer notre pays, on se trompe. Les propositions que nous devons faire doivent être justes. On n'est pas là pour se faire plaisir sur le dos des Français », a poursuivi Bruno Le Maire. Ajoutant : « Quand je vois certains concurrents qui disent “Les fonctionnaires on va les faire travailler 39 heures payés 35”, je leur laisse la liberté de dire ça, mais je ne ferai jamais de propositions pareilles ». Et de préciser : « Allez voir une infirmière qui travaille à l'hôpital dans des soins palliatifs qui sacrifie sa vie pour faire son boulot et qui est rémunérée 1600 euros net. Jamais je ne proposerai ça, jamais. Parce que ce n'est pas juste ».

Le programme éducatif de l'ancien premier ministre n'est pas de nature à le rendre plus indulgent : « J'en vois qui proposent d'augmenter le temps de travail de tous les enseignants de 25% : jamais je ne proposerai ça. J'ai été enseignant, je le rappelle. Pour moi, c'est hors de question. On peut réformer en profondeur notre pays sans rentrer dans cette course à l'échalote (...) C'est l'assurance qu'au final on ne touchera à rien ».

Le Maire ne vise pas Matignon

S'il est maintenant capable d'être le troisième homme de la primaire, Bruno Le Maire s'attaque à la marche suivante. En tentant notamment d'éteindre une petite musique qui laisse entendre qu'en se présentant, il joue en fait une prochaine nomination à Matignon. « Je ne conçois pas de devenir le premier ministre de Juppé ou Sarkozy », a-t-il tranché mardi. Récemment, son entourage confiait : « Si Bruno est élu, tous ces ténors partiront à la retraite. Car ils seront incapables de travailler avec quelqu'un qui a été leur collaborateur ».

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Nicolas Sarkozy ou faites le contraire de ce que je dis

Communiqué de Presse du Front National
10 mai 2016
(Source)

En pleine perdition, Nicolas Sarkozy tente une énième fois de faire illusion dans les colonnes du Figaro du 9 mai. Dans cette nouvelle opération de la dernière chance, il énumère pêle-mêle des propositions sans rapport les unes avec les autres, tant sur l’état de l’armée française qu’il a laissée lui-même dans un état piteux, que sur l’Europe en appelant à sa réforme alors qu’il est bien le Président ayant méprisé le vote des Français lors du référendum de 2005.

Ne souhaitant manifestement pas s’arrêter en si bon chemin, il dénonce l’ouverture de nouveaux chapitres de négociations en vue de l’adhésion de la Turquie à l’UE alors qu’il a lui-même encouragé cette adhésion pendant son mandat. Il se permet en outre de faire mine d’ignorer que son groupe politique au Parlement européen soutient le scandaleux accord entre l’UE et la Turquie permettant la libéralisation des visas en faveur des Turcs souhaitant circuler librement dans l’espace Schengen.

Cette opération d’enfumage se heurtera à nouveau au mur des réalités. Nicolas Sarkozy se leurre, il ne pourra pas empêcher les Français attachés à la souveraineté et à l’identité de la France de se tourner vers le seul parti qui les défend : le Front national.

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Qui pourraient être les candidats à la primaire voulue par le PS ?

figaro, le 18 juin 2016
(Source)

Les modalités de ce scrutin interne seront précisées le 2 octobre. En attendant, les candidatures potentielles sont nombreuses. « Cela risque de bordeliser encore plus le parti », dit un élu.

Ils veulent (presque) tous une primaire. Au PS, exceptés quelques - rares - irréductibles qui souhaitaient une candidature naturelle de François Hollande, l'organisation d'une primaire pour désigner le candidat qui représentera une partie de la gauche à l'élection présidentielle de 2017 a été entérinée samedi, à l'occasion du conseil national. Qui y participera ? Le scrutin sera-t-il limité à la gauche de gouvernement ou pourra-t-il être étendu à d'autres formations de gauche alternative ? Les contours sont, à ce jour, flous. Un prochain conseil national, fixé au 2 octobre, devra clarifier le calendrier et le périmètre.

À ce jour, le premier secrétaire du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis a fait savoir qu'il était favorable à une primaire a minima de la Belle alliance populaire, qui rassemble la gauche du gouvernement.

Le chef de l'État pourrait donc se soumettre à ce mode de désignation interne. Selon ses proches, il se prépare à cet exercice dans le but de se relégitimer aux yeux des Français, alors qu'il est à la peine dans les sondages.

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« Avec Sarkozy, le seuil de saturation est atteint »

figaro, afp, le 24 août 2016
(Source)

Le vice-président du Front national (FN) Florian Philippot a jugé aujourd’hui que « le seuil de saturation [était] atteint » avec Nicolas Sarkozy, qui « ose refaire des promesses qu'il a fait dix, quinze fois » après avoir fait « l'inverse quand il était au pouvoir ».

Avec M. Sarkozy, « le seuil de saturation est atteint », a déclaré M. Philippot sur RTL. L'ancien président (2007-2012), qui a officialisé sa candidature dans un livre publié mercredi, « ose refaire des promesses qu'il a faites dix, quinze fois ces dernières années, alors qu'il a fait strictement l'inverse quand il était au pouvoir », a accusé le vice-président du FN.

« Sarkozy, c'est l'homme qui nous a expliqué en 2007 qu'il allait défendre l'identité nationale, réduire l'immigration, baisser les impôts. Rien que sur ces postes-là, il a augmenté les impôts de 30 milliards entre 2010 à 2012, il a augmenté la dette de 600 milliards, il a augmenté l'immigration par rapport à Jospin, il a fait exploser le record de la Ve République en termes d'immigration et il a organisé le communautarisme avec le CFCM même en y intégrant l'UOIF », a énuméré M. Philippot.

« Les Français s'en souviennent, c'est cela qu'il a sous-estimé », a-t-il jugé.

La présidente du FN Marine Le Pen prononcera un discours de rentrée le 3 septembre à Brachay (Haute-Marne).

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Les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît !
(Michel Audiard)

Le candidat à la primaire de la droite, Bruno Le Merle, estime qu'il faudrait supprimer l'Ena (École Nationale d'Administration) … démagogique, populaire ou primaire ?

Immature en tous cas, ... comme le sont ces petits enfants qui, incapables de faire fonctionner leurs jouets, les cassent en espérant les voir remplacer par de « nouveaux » ...

« Faire et défaire, c’est toujours travailler ! » proclament en cœur les incapables pendant que la sagesse populaire leurs rétorque : « On sait ce qu'on perd, on ne sait pas ce qu'on retrouve ! »

À méditer …

Primaire « de la droite et du centre » : égotisme et nombrilisme

Edito de Nicolas Bay
7 octobre 2016
(Source)

Si la primaire « de la droite et du centre » démontre qu’il n’y a aucun chef naturel parmi les responsables qui y concourent, elle trahit surtout l’absence de vision pour la France de ces derniers.

Jour après jour, ils s’entredéchirent et s’écharpent, rivalisant de petites phrases assassines pour tenter d’occuper le terrain médiatique.

Dans une démarche nombriliste, ils ne se parlent plus qu’à eux-mêmes, ne s’intéressent plus qu’à eux-mêmes. Le sort des Français semble désormais sorti de leur champ… Et, alors que par le passé, ils ont tous – ensemble de surcroît – exercé des fonctions exécutives au sommet de l’État, les voici pourtant se présentant comme le renouveau. Les artifices de communication apparaissent bien vains face à la réalité de ce que fut leur exercice du pouvoir, tant ils sont largement responsables de la situation dans laquelle se trouve notre pays, abattu par le chômage, l’insécurité quotidienne, l’immigration massive et l’islamisme.

Rien n’est peut-être plus décourageant pour les Français, dont beaucoup désespèrent de la politique, que d’observer cette stérile bataille d’égos, à des années-lumière de leurs préoccupations… Loin des affrontements entre ceux qui ont échoué hier ou avant-hier, Marine Le Pen est la seule candidate à porter un projet et même une vision, loin des postures gestionnaires et des petits exercices comptables. Posant la question des choix de civilisation, elle participe en élevant le débat, à réhabiliter la grandeur même de la fonction politique.

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