Enfant rom décédé en France

Vous n'avez probablement pas pu éviter cette polémique largement colportée par l'ensemble des merdias, celle de cet enfant rom décédé en France, paix à son âme, dans une petite ville Champlan, dont on a dénoncé le maire comme refusant l'inhumation.
Bien sûr annoncé comme cela, ça ne peut que choquer.

Oui mais voilà en France, dans les petits villages, les places dans les cimetières sont limitées, ce qui fait que bon nombre de Français se voient refuser l'inhumation de quelqu'un de leur famille dans un village sous prétexte que cette personne n'était pas résidente de ce village. Cela n'a jamais choqué qui que ce soit et les indignés professionnels qui poussent des cris d'orfraie aujourd'hui n'ont jamais dit le moindre mot sur tout ces Français qui n'avaient pas le choix de la ville dans laquelle on allait inhumer leurs proches.

Alors que nous vaut ce tapage médiatique ? Et bien il s'agit de Roms ! C'est à dire des individus qui ont en tant qu'immigrés des droits dont les Français ne bénéficient pas.
Personnellement je n'arrive plus à m'indigner si ce n'est face à cette mauvaise foi généralisée qui fait systématiquement passer les Français après la terre entière.

Je confirme la difficulté pour l'avoir rencontrée. J'ai eu force problème à faire enterrer mon père l'année dernière dans le même cimetière que mes grands et arrière-grands-parents alors même que nous étions propriétaires d'une maison de famille depuis plus de 80 ans sur le territoire de la commune (nécessité d'une nouvelle concession) .
Fort heureusement le maire fut très compréhensif face à notre désarroi, faisant une exception à la règle courante (place réservée au résidents .. en dur bien entendu).

Entièrement d'accord. La 1ère question à se poser déjà est : que font ces gens en France et qui bien sûr ne travaillent pas ?

Chouchou a écrit:Entièrement d'accord . La 1ère question à se poser déjà est : que font ces gens en France et qui bien sûr ne travaillent pas?

J'ajouterai : qui a payé l'enterrement et pourquoi n'est-il pas enterré dans leur pays d'origine ?

J'ai vécu la même situation en 1987 concernant ma mère, et pourtant, c'était la commune où elle a grandi et vécu jusqu'à son mariage, du coup, nous avons effectué deux enterrements. Il faisait chaud, donc le maire nous a autorisé de la mettre dans une place disponible le temps de trancher sur la situation. Une fois l'affaire terminé, nous avons pu agrandir le caveau de ses parents et enterrer notre mère. Il a fallu attendre 6 jours pour donner une place convenable à notre mère, nous étions dans la douleur, on nous a raquetté, et aucun journaliste est venu prendre notre défense !

Des histoires comme celles-là, il en existe tous les jours, les gens sont dans la douleur et ils doivent assumer seuls ! Alors oui, il faut arrêter de se faire taper sur les doigts, la petite a une patrie, ce n'est pas la France, c'est effectivement une grande douleur de perdre un enfant, personne ne dira la contraire, mais cela ne nous empêche pas de savoir qu'il y a effectivement des places limitées dans un cimetière, qu'elles ont un coût d'entretien, et qu'on ne peut pas accepter encore une fois toute la douleur du monde sous prétexte "des droits de l'homme" ou autre.  

Ayant un peu de courage et apprenons à dire "NON" ça ne fera pas de nous des bourreaux, mais des hommes et des femmes honnêtes qui devons respecter et faire respecter les lois

Vive Marine, Vive le Front National, Vive la France,

CoqGaulois a écrit:

Chouchou a écrit:Entièrement d'accord . La 1ère question à se poser déjà est : que font ces gens en France et qui bien sûr ne travaillent pas?

J'ajouterai : qui a payé l'enterrement et pourquoi n'est-il pas enterré dans leur pays d'origine ?

Je me suis posé exactement les mêmes questions !

Qui a payé la concession ? La société de pompes funèbres ? Le cercueil ?

Une seule réponse à ces questions : nous, une fois de plus.

Moi je dirais plutôt une association d'aide aux Roms, non ?

Dans tous les cas, je ne pense pas qu'ils aient payé eux-même et ça me consterne car nous, bien sûr, on ne risque pas de nous payer notre cercueil !