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Scorpion Date d'inscription : 10/07/2013
Passion : Le bon sens
Humeur : Egale

LE  MIRAGE  GAUCHISTE Empty LE MIRAGE GAUCHISTE

Mar 16 Juil 2013 - 2:06
Bref éclairage sur mon parcours : Bac, puis un an de Fac, puis j’arrête, saturé… je m’aperçois que je ne suis pas fait pour les longues études… puis 10 ans de petits boulots manuels, puis je rentre dans l’administration, et là… c’est le choc. Je réalise que les fonctionnaires sont d’incroyables privilégiés, qu’ils considèrent leur situation comme normale, due, et que 90% sont parfaitement inciviques. Je prends ma retraite après 30 ans de vie dans les bureaux à subir les critiques permanentes des collègues, « tu en fais trop », « tu gâches le boulot », « laisse courir c’est pas ton travail », « pourquoi tu fais ça, tu vas t’attirer des ennuis, ce n’est pas le règlement », « on s’en fout de tes innovations et tes simplifications, on s’en fout que ça soit plus rapide et plus efficace, c’était très bien avant », « tu n’es pas un bon fonctionnaire », etc. etc. etc… Eh oui, je n’étais vraiment pas un bon fonctionnaire, je le reconnais, j’étais rapide, efficace, attentionné, bref, très mauvais. Quand j’ai pris ma retraite, ils m’ont remplacé par deux types.

Là, dans les bureaux, j’ai réalisé l’horreur de la chose : les fonctionnaires même les petits ne se rendent pas compte de leur chance. Ils constituent une aristocratie qu’ils considèrent quasiment de droit divin et méprisent consciemment ou inconsciemment ceux qui n’en font pas partie : « Ils n’avaient qu’à faire fonctionnaires », c’est leur grand crédo.

J’ai toujours été un brave type, très civique et que l’injustice révolte au plus haut point. Je me suis donc engagé très tôt dans le communisme. Au bout de deux ans, je suis sorti de ce piège presque en courant. Le chef de cellule était un jeune étudiant, juif, pas très brillant, assisté d’un copain à lui, juif aussi, et les deux visiblement se servaient du parti comme tremplin. Alors que la Pologne était en proie à la famine, on ne pouvait parler de rien de ce qu’il se passait à l’Est : ce n’était jamais à l’ordre du jour et l’ordre du jour était impératif et tabou. Impossible d’y déroger. Nous ne pouvions discuter que de ce qui était convenu. Par contre que de bourrage de crâne, que de banalités, que de contorsions très intellectuelles pour expliquer que la condition de l’ouvrier était proche de celle de l’esclave, comme si les braves ouvriers qu’il y avait là ne le savaient pas. Je me suis vite rendu compte que le communisme ou le socialisme n’étaient en fait rien d’autre qu’un tremplin social pour étudiants médiocres. C’est du moins ce qu’il ressortait de cette cellule.

Le chef de l’autre cellule de la ville était aussi juif, un petit bonhomme d’une cinquantaine d’années, sans envergure. Le chef de section de tout le secteur, lui aussi, était juif. Quand nous faisions des fêtes nous recevions des personnalités de la politique ou du spectacle, toujours juives bien sûr. Je me souvenais alors de mes copains de lycée qui étaient entrés bien avant moi en religion et dont certains devaient être à coup sûr « grands-prêtres ». Tous médiocres, pour ne pas dire moyens-moins. J’étais moi-même très moyen mais je n’étais pas comme eux, animés par le feu sacré qui « élève jusqu’aux cimes ». Je savais très bien ce que je valais et étais sans ambition. Qu’allaient faire tous ces braves ouvriers dans cette galère d’arrivistes, grands décapiteurs de tous ceux qui les dépassaient ? Ils allaient ramer, bien sûr.

Plus tard je me rendis compte que ce que j’avais « vu » en regardant le spectacle de nos réunions de cellules, un peu comme on regarde derrière une vitrine, sans penser à rien… que ce que j’avais tout simplement vu était bien réel : des cohortes de minables en mal de grandeur et de gloire manipulant des braves gens, adorables, émerveillés, confiants et bouche bée. L’internationalisme était à toutes les sauces et nos braves gens, ébahis, étonnés, interrogeaient nos intellectuels du regard : « et nous, et nous, et nous ? » semblaient-ils dire. En fait ils rêvaient. Ils n’étaient pour eux que des marches, de simples marches pour atteindre les sommets.

J’étais particulièrement écoeuré de voir que le gauchiste était un escroc. Pas le gauchiste de base qui lui est un brave type et croit dur comme fer à ce qu’on lui raconte. Par contre ses chefs eux savent très bien de quoi il retourne. Ils abusent sans vergogne de l‘ignorance, la naïveté et la gentillesse des gens et détournent à leur compte des dizaines de milliers de voix qui devraient normalement, naturellement et légitimement aller vers les nationalistes. C’est un vol. Les « chefs » gauchistes les détournent à leur seul et unique bénéfice, bien entendu, parce que les gens qu’ils entortillent, ligotent et saucissonnent dans leur utopie rouge ou rose, c'est-à-dire internationaliste, c'est-à-dire mondialiste s’en mordront un jour cruellement les doigts. Le gauchisme n’est destiné qu’à assouvir la volonté de pouvoir et de puissance, c'est-à-dire l’arrivisme violent, forcené et insatiable de quelques-uns, dont les pires, véritables monstres mégalomanes sont prêts à sacrifier des dizaines et des dizaines de milliers de braves gens à leur ambition personnelle.

Parce qu’il est bien évident qu’ils ne vont pas du tout sauver les braves gens… ils s’en servent c’est tout. Ils vont se faire construire de petits palais de Tsarévitchs et ça n’ira pas plus loin. L’internationalisme c’est, pardonnez-moi l’expression, mais il n’y a pas de mot plus clair et plus précis… de la merde. L’internationalisme de gauche ou de droite ne rend pas les peuples heureux. Au contraire il les ficelle, les brise, les écrase, les malaxe, les étouffe, les asphyxie, les polluent avec d’autres peuples et les tue. L’internationalisme leur promet un monde idéal. STOP ! Commençons par construire un pays idéal sur NOS terres, avec NOS gens… après on verra. C’est le propos des nationalistes.

Si le communisme part d’une excellente idée à la base, d’une louable, très louable intention, il s’avère catastrophique dans sa réalisation. La théorie communiste ne prend pas en compte la nature humaine. La grande majorité des gens veut être servie et ne pas servir, surtout pas. Le communisme leur en donne l’occasion inespérée à travers le « tout-le-monde-fonctionnaire ». Or, le « tout-le-monde-fonctionnaire » a des limites qui sont vite franchies. Les fonctionnaires ne produisent aucune richesse, ils les gèrent, et donc, au bout de quelques décennies il n’y a plus personne ou pratiquement plus personne pour concevoir, inventer, créer, fabriquer, entreprendre, bâtir… il n’y a presque plus de paysans, d’ouvriers, d’ingénieurs, d’inventeurs, de génies… et le pays s’écroule.

Il faudrait sans doute rappeler aux malheureux et naïfs disciples des chefs gauchistes pourquoi les pays de l’Est sont tous peu à peu sortis du communisme. Ils sont sortis du communisme parce qu’ils s’enfonçaient lentement dans la misère, une misère telle qu’il y eut même des émeutes de la faim. Le nombre des fonctionnaires totalement inutiles et incompétents étaient tel, partout, dans tous les pays de l’Est que les produits de consommation courante n’existaient pratiquement plus… jusqu’à la nourriture qui était absente des étals des rares boutiques encore ouvertes. Des files interminables de fonctionnaires, de plusieurs centaines de mètres s’étiraient toute la journée au pied des boulangeries ou des épiceries de quartier. Et toute la journée, jusqu’à la nuit tombante, le père fonctionnaire venait relayer la mère fonctionnaire, elle-même relayée par le fils fonctionnaire, lui-même relayé par la fille fonctionnaire, elle-même relayée par la grand-mère retraitée-fonctionnaire, elle-même relayée par le grand-père retraité-fonctionnaire. Certains fonctionnaires dormaient même dans des sacs de couchages sur les trottoirs pour ne pas perdre leur tour. Et tout ça pourquoi ?... Pour trois fois rien… un bout de pain ou une boîte de sardines quand il y en avait.

Dès les années 60 des émeutes de la faim éclatèrent partout, dans tout le bloc de l’Est. En Russie, à Novotcherkassk, le 1er juin 1962 la population affamée se révolta, l’armée tira : plus de 50 morts. Les années suivantes plusieurs émeutes de la faim éclatèrent un peu partout dans toute la Russie, violemment réprimées à chaque fois. En 1970 des révoltes de la faim éclatèrent à Gdansk, Gdynia et Stettin en Pologne. Des foules d'ouvriers attaquèrent les sièges du Parti communiste. Réprimées, ces manifestations amenèrent Gomulka à démissionner. Il sera remplacé par Edouard Gierek. Et partout, absolument partout, dans tous les pays de l’Est, alors que les pays regorgeaient de fonctionnaires inutiles, arrogants, prétentieux et méprisants… partout, c’était… LA FAMINE.

Voilà ce que nous prépare les chefs gauchistes. Oh bien sûr eux, ils s’en foutent. Ils se retrancheront bien à l’abri dans leur bulle, dans leur petit Kremlin, entouré d’une nuée de courtisans-bureaucrates ultragauchistes. Eux, ils s’en foutent. Ils auront bien grugé le peuple, bien berné les braves gens. Ils leur promettent la planète et les braves gens y croient… pire ils les ruinent en jouant les grands-seigneurs, magnanimes internationalistes. Les communistes ont ruiné la Russie avec leurs très nobles et très ronflantes Vietnam-mania, Cuba-mania, Egypto-mania, Angola-mania et tiers-mondo-mania. L’internationalisme a mis à genoux les quelques derniers pays communistes qui étaient encore debout.

Le peuple Russe s’est littéralement épuisé pour le tiers-monde, épuisé jusqu’à l’évanouissement. Il a failli en mourir. L’internationalisme, je n’en veux pas. Dominer la planète je m’en fous. L’internationalisme, mais c’est impossible ! Un peu de bon sens bon Dieu, un peu de bon sens. Les peuples sont bien trop nombreux, bien trop différents et bien trop fiers, légitimement fiers. C’est absurde, c’est une pure utopie. Si l’on veut avoir un monde idéal il faut d’abord commencer par un pays idéal, et donc commencer par avoir une population idéale, cela coule de source. Il faut quand même raison garder… après on verra. Pour le moment occupons-nous de nous, ne courons pas deux lièvres à la fois, ne lâchons pas la proie pour l’ombre et ne mélangeons pas les torchons et les serviettes.

Le communisme est une simple fabrique de fonctionnaires, une utopie, un mirage, pire… UN PUR MENSONGE ! Les gauchistes de bases, les militants sont des gens sains, pleins de bon sens et de courage et qui ne veulent plus être traités comme du bétail. En fait, ils ont tous les traits et toutes les qualités des nationalistes. Normalement, logiquement, ils devraient être des nôtres. Eh bien non… je ne sais pas par quel tour de passe-passe, par quel tour de magie-rouge les « grands-chefs » gauchistes les ont roulés, mais ils les ont bel et bien roulés. Et ce qu’il y a de plus terrible, d’immoral et d’insupportable c’est que ce sont toujours les plus naïfs, les plus gentils et les plus vulnérables qui sont les premières victimes des beaux-parleurs.

Outre le fait de fabriquer des myriades et des myriades de fonctionnaires paresseux, inutiles et suffisants, le deuxième grand défaut du communisme et non des moindres est d’attirer à lui les gens les plus inciviques qui soient. Tout citoyen digne de ce nom, c'est-à-dire civique se dit en permanence en lui-même : « Je dois être utile à la collectivité ». Les inciviques, paresseux, égoïstes, égocentriques et mégalomanes se disent l’inverse : «La collectivité DOIT m’être utile ».

Malheureusement une bonne moitié des troupes de la gauche est constituée par cette engeance. La gauche dans tous les pays qui l’ont subie n’a jamais fait que remplacer une aristocratie par une autre bien pire, celle des fonctionnaires.

LE COMMUNISME ET LE SOCIALISME SONT PIRES QU’UN MIRAGE… UNE ESCROQUERIE !
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