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Cesar14
Cesar14
Localisation : Marseille
Bélier Date d'inscription : 09/12/2011
Passion : Rugby

Institut pour la justice Empty Institut pour la justice

Mar 16 Oct 2012 - 14:34
nouvelle vidéo qui met en lumière des dysfonctionnements incroyables de notre système judiciaire et qui ne sont malheureusement pas isolés.

référendum national sur la justice

Nous sommes le 25 août 2012, dans une petite ville de Provence. Il est 22h30.

Daniel C., plombier, 52 ans, est au volant de sa Renault Mégane. Il a dû rester tard à son local pour régler des factures.

Alors qu'il arrive à petite vitesse à un stop bien dégagé, il freine, regarde à droite, puis à gauche.

Personne.

Daniel ralentit encore, puis redémarre.

Surgit alors un gendarme, qui lui fait signe de s'arrêter. Il explique à Daniel que son véhicule ne s'est pas totalement immobilisé au stop. Daniel écope de 135 euros d'amende, et perd 4 points de permis.

A quelques kilomètres de là, dans les quartiers Nord de Marseille, une tout autre scène est en train d'avoir lieu.

M. B., 19 ans, récidiviste « bien connu des services de police », s'amuse au volant d'un 4X4 BMW X6 flambant neuf à 120 000 euros. M. B. est au chômage, et n'a jamais travaillé. Arrivant en vue du commissariat, il accélère, et passe sous le nez des policiers, qui le laissent continuer sa course.

M. B. sait qu'il n'a rien à craindre.

Cette histoire n’est pas imaginaire. Beaucoup de policiers eux-mêmes en ont assez de faire ce "sale boulot" et dénoncent cette situation d'une flagrante injustice, où leur hiérarchie les oblige à verbaliser les citoyens honnêtes et laissez courir les délinquants. Le 16 août 2012, au micro de France Info, un policier déclarait publiquement :

« Les gens qui vont travailler, qui se font verbaliser, en excès de vitesse ou autre, ne comprennent pas la situation où, dans un quartier, les jeunes roulent avec des scooters certainement volés, en totale impunité, alors que des gens qui vont travailler se font verbaliser. »



Bonjour,

Je suis Laurence Havel, j'ai 35 ans et je suis Secrétaire nationale de l'Institut pour la Justice.
Si je vous ai envoyé cette vidéo, c'est parce que votre intervention aujourd'hui est indispensable pour aider notre association à rééquilibrer la balance de la justice en France. Obtenir que cessent les vexations contre les citoyens honnêtes, et l'incroyable laxisme dont bénéficient beaucoup de délinquants.
Notre association compte deux millions de sympathisants, des experts, des juristes, et fait autorité par le sérieux de ses publications.

Pourtant, je sais d'avance que des commentateurs diront que mon histoire est exagérée, caricaturale, voire mensongère. Que tout va pour le mieux dans notre beau pays, et que les citoyens qui s'inquiètent de ce type d'injustice, sont inutilement alarmistes… ou peut-être un peu extrémistes.

Or justement, si j'ai choisi de commencer par cet exemple d'inégalité face à la loi, c'est parce que, aussi choquant qu'il puisse paraître, il est en fait complètement dérisoire à côté des cas que je vais vous citer maintenant.

Mais attention, je dois d'abord vous mettre en garde :

La suite de cette vidéo peut être choquante. Je vous conseille d'éloigner maintenant toute personne sensible.

Après ces faits à peine croyables – mais malheureusement authentiques – je vous demanderai de participer au Référendum National sur la Justice actuellement organisé par notre association.

C'est le meilleur, et le seul moyen, de mettre un terme aux injustices insupportables qui sont aujourd'hui commises quotidiennement sur notre territoire.

C'est aussi, et surtout, un moyen efficace et concret d'agir maintenant pour éviter nombre de vols, agressions, et même viols et meurtres, par des individus que notre « Justice » va continuer à libérer en toute connaissance du danger pour autrui qu'ils représentent, si personne ne se mobilise.

Vous êtes prêt ?

Et bien allons-y :

Le 25 juin 2012, le journal l'Indépendant, dans le Sud-Ouest, a publié l'information suivante :

Un récidiviste qui conduisait sans permis à Carcassonne, se fait contrôler par hasard par la police.

Placé en garde à vue, l'individu se met à insulter les policiers, se jette sur eux, et tente de les étrangler.
Les policiers décident alors... de le remettre en liberté.

Quelques heures plus tard, ce même individu est arrêté par le vigile du supermarché Géant alors qu'il vient d'agresser une personne et de lui voler son téléphone portable (on ne sait pas s'il a commis d'autres délits entre-temps).

La police vient le chercher... et le relâche à nouveau.

L'individu rentre chez lui, prend une matraque, et retourne au magasin Géant. Cette fois, il va attaquer physiquement le personnel.

Selon l'Indépendant : après sa troisième arrestation, « le mis en cause pourrait être jugé selon la procédure de comparution immédiate. »

C'est exactement ça : il « pourrait »...

Vous pensez peut-être qu'il s'agit d'un cas isolé, d'une exception. Eh bien pas du tout :

Voici une autre information toute récente, publiée cette fois par le journal La Provence, le 26 juin 2012 :

Le 25 juin, une jeune fille se promène place de l'Horloge à Avignon. Soudain, elle sent des bras puissants qui s'emparent d'elle. Un homme la plaque contre un mur et tente de la violer.

Heureusement, un passant alerte la police qui parvient à arrêter l'agresseur.

Il s'agit de Sélim A. Il a 18 ans et il a déjà été condamné 63 fois par la Justice, sans compter des centaines d'arrestations par les forces de l'ordre.

Et chaque fois, systématiquement, il a été libéré. Les magistrats n'en ont jamais tiré de conclusion.
Mais ils peuvent faire pire encore :

Le 12 août 2010, des policiers décident d'interpeler des trafiquants de drogue qui agissent au grand jour dans la cité des Tarterêts (Essonne).

Soudain, soixante jeunes surgissent des immeubles alentour. Ils ont le visage dissimulé et sont armés de barres de fer.

C'est un guet-apens.

L'un deux, un colosse, empoigne un policier, lui arrache son casque, et l'immobilise au sol. Aidé par plusieurs complices, il essaye de tuer le malheureux policier à coups de marteau sur la tête !!

Le policier n'a que le temps de se protéger avec ses mains. Grièvement blessé, il est miraculeusement sauvé par des collègues. Les coupables sont arrêtés et déférés devant le juge.

Cinq jours plus tard, le verdict tombe : le juge a décidé de tous les remettre en liberté. L'un des agresseurs en est pourtant à sa dixième condamnation en justice.

Vous pouvez vous-même vérifier dans la presse que ces informations sont rigoureusement authentiques. Rien n'est exagéré.

Le Préfet de Police de Paris lui-même n'a pas eu d'autre choix que de convoquer des journalistes, le 8 septembre dernier, pour dénoncer le fait que la Justice l'oblige à relâcher les mêmes délinquants des dizaines de fois. Il a cité le cas d'un homme qui venait d'être arrêté pour la 97ème fois ! Mais à chaque fois, la Justice lui a trouvé une excuse !


Je pourrais continuer ainsi pendant des heures. En 2011, pas moins de 10 000 policiers ont été blessés ou tués dans l'exercice de leurs fonctions.

Dans la plupart des cas, les agresseurs s'en sont tirés sans la moindre condamnation, bénéficiant d'une indulgence absolument incroyable.

C'est à tel point que, pour beaucoup de policiers, leur métier n'a plus aucun sens : poussés à bout, quatre policiers, en Ile-de-France, se sont suicidés en l'espace d'un après-midi, le 22 septembre dernier.

Mais les simples citoyens comme vous et moi ne sont évidemment pas épargnés eux non plus :
Le 6 avril 2012, la Justice décide de libérer un criminel.

Cet homme avait poignardé à plusieurs reprises, avec une rare sauvagerie, une mère de famille qui montait dans sa voiture dans un parking. Il l'avait laissée vivante mais gravement handicapée.

Selon le tribunal, « la parole n'avait pas été distribuée dans le bon ordre à l'audience ». C'est ce qui a permis au criminel de revenir habiter, comme si de rien n'était, à proximité de sa victime. Et c'est la mère de famille qui, aujourd'hui, est obligée d'envisager de déménager pour se mettre à l'abri.

Et pourtant, n'allez pas croire que vous pourriez, vous aussi, bénéficier de la même indulgence le jour où vous avez des ennuis avec les autorités. En tant que citoyen normal, elles se montreront avec vous d'une sévérité exemplaire au moindre faux pas. Y compris si vous êtes dans votre droit :

Mercredi 23 mars 2012, le tribunal de Bergerac a condamné pour coups et blessures des parents qui avaient giflé le violeur de leur fille de 4 ans.

Le problème est que ce violeur était encore mineur. Selon la Justice, ce type d'individu, même récidiviste, doit bénéficier d'un maximum d'indulgence, et les parents de la victime doivent laisser faire, en croisant les bras :

« Qu'est-ce que vous voulez qu'on lui fasse ? » a demandé la mère de la fillette. « Le tribunal pour enfants va lui dire : « Attention, c'est pas bien ce que tu as fait », et les choses vont en rester là. »
Et c'est malheureusement exact :

Le jeune Matthieu, qui a avoué avoir violé, tué, puis le corps de la petite Agnès, 13 ans, dans un internat au Chambon sur Lignon le 19 novembre 2011, avait fait une autre victime quelques mois plus tôt. Il l'avait ligotée, bâillonnée, puis violée dans la forêt. Mais comme il était mineur, les magistrats avait décidé de le laisser en liberté. Il a été envoyé dans un autre établissement scolaire, où il a pu recommencer presque immédiatement.

Et que dire de la toute récente affaire de Gilbert Lori ?

Gilbert Lori est un honnête commerçant de 65 ans, qui tient avec son épouse la bijouterie de la place Curial à Bron, depuis 1974.

Le 15 octobre dernier, alors que se multiplient les braquages en plein jour, à Lyon, deux hommes armés entrent dans sa bijouterie et le menacent.

Croyant sa dernière heure arrivée, Gilbert n'a que le temps de se jeter à plat ventre, d'attraper son arme, et de tirer dans le vague. Et voilà qu'il blesse un des braqueurs !!

Il n'en faut pas plus pour qu'une plainte soit déposée contre Gilbert, qui est convoqué par le juge d'instruction. Gilbert est mis en examen pour violence volontaire, et placé sous contrôle judiciaire.

Commencent alors pour le commerçant et sa femme un véritable enfer. Car non seulement la Justice a décidé de ne pas en rester là, mais les amis du braqueur, qui viennent d'une « zone sensible » bien connue à Lyon, veulent aussi le venger. Ils viennent harceler Gilbert et son épouse, les menaçant de mort :

« Ils viennent cracher sur la vitrine de mon magasin », a expliqué Gilbert. « Sale p., on va te faire à la kalachnikov, voilà ce que ma femme a entendu. (Le Progrès – 19 novembre 2011)

Les autorités restent impuissantes. Peut-être ont-elles mieux à faire ailleurs ?

On peut se poser la question en entendant l'histoire suivante, qui s'est passée également à Lyon tout récemment, et qui illustre encore une fois l'incroyable inégalité de traitement qui existe aujourd'hui en France, face à la Justice :

Le 10 juillet 2012, le journal « Le Progrès » de Lyon rapporte cette histoire :

Magali Portejoie, maman de la petite Cloée, a voulu profiter du beau temps pour emmener sa fille de 5 ans et son cousin, de 7 ans, se promener le long de la Saône. Pour amuser les enfants, elle décide d'emporter une petite canne à pêche pour enfants, sans moulinet.

Alors que les deux petits s'amusent au bord de l'eau, arrive un garde-pêche qui décide de leur dresser un procès-verbal pour pêche en eau douce sans permis. Magali n'y croit pas mais leur dossier est transmis à la Justice qui les condamne aussitôt à 150 euros d'indemnités auprès de la fédération de pêche, plus une amende de 90 euros, soit 240 euros.

Les parents sont choqués. Mais la Justice demeure intraitable et ils se résignent à payer. C'est le seul moyen pour eux d'éviter une majoration de 400 euros.

De plus, le père est convoqué au commissariat, ce qui l'oblige à poser une journée de congé pour y aller.
Ce cas est absolument typique de la façon dont les autorités procèdent avec les citoyens qui :

ne risquent pas de leur poser problème ;
sont considérés comme « ayant les moyens de payer ».

En effet, les parents de Cloée ne sont ni du genre à agresser les policiers, ni à brûler des voitures pour exprimer leur mécontentement. Comme tant d'automobilistes qui se font flasher sur l'autoroute, ce sont, pour les autorités, des cibles idéales. Si elles ne paient pas, il suffit de saisir leur compte en banque.

Mais pour être parfaitement transparente avec vous sur le vrai fonctionnement de notre justice, je dois vous parler des cas où des criminels sont malgré tout condamnés par la Justice, puis incarcérés dans une prison :

Beaucoup de citoyens sont choqués lorsqu'ils apprennent qu'un violeur a pu récidiver parce qu'il avait été libéré, après avoir été condamné à la « perpétuité » quelques années auparavant.

C'est qu'ils ignorent un principe de base du système pénal français actuel :

Un criminel ne fait, sauf très rare exception, jamais la totalité de sa peine. La perpétuité elle-même dure en moyenne seulement 20 ans, y compris pour les tueurs en série.

Lorsqu'une personne est condamnée à de la prison ferme, il se peut même qu'elle puisse quitter le tribunal et rentrer immédiatement chez elle !

Cela vous semble incroyable ?

Eh bien c'est pourtant vrai, et c'est même très courant :

Actuellement, 80 000 personnes condamnées à de la prison ferme sont en liberté sans avoir été envoyées en prison.

Chaque fois que vous entendez parler, dans les médias, du problème de la « surpopulation carcérale », cela veut dire, en langage codé, qu'il n'y a plus de place dans les prisons et que les personnes condamnées ne sont tout simplement plus incarcérées.

De plus, depuis la loi pénitentiaire de novembre 2009, toutes les personnes condamnées à deux ans de prison ferme ou moins, doivent bénéficier de « peines alternatives à la prison », ce qui consiste, dans la plupart des cas, à les libérer purement et simplement.

C'est ainsi que, le 16 avril dernier, une fillette de 5 ans a été violée à Toulouse par un homme qui avait déjà violé 13 enfants avant elle, qui avait été condamné encore et encore, dont la dernière fois, en 2009, suite à quoi il avait été rapidement libéré.

Mais savez-vous pourquoi il n'y a plus de budget pour ouvrir de nouvelles places en prison ??

Beaucoup de Français imaginent que les prisons françaises sont insalubres, voire inhumaines. Mais quand on va dans les prisons et qu'on regarde ce qui s'y passe vraiment (je ne parle pas des documentaires qui passent à la télévision, et qui recherchent le sensationnel pour faire « grimper l'audimat »), la réalité est que la plupart de nos prisons offrent aux détenus un confort auquel n'ont pas accès beaucoup de simples citoyens honnêtes :

Salles de musculation, télévision à écran plat, jeux vidéos, ordinateurs sont prévus dans toutes les prisons de France sans exception. Les détenus ont de plus droit à toutes sortes de loisirs gratuits pour leur faire passer le temps.

A la prison des Baumettes de Marseille, par exemple, existe une activité de cyclisme, au cours de laquelle les détenus vont se promener sur la Côte d'Azur et en Corse, aux frais du contribuable.

Le journal le Parisien, a fait un reportage cet été, raconte :

« Loïc, 24 ans savoure son bain de soleil : (...) samedi, à l’instar de 14 autres détenus, il va plutôt se laisser bercer par le chant des cigales, le vent qui souffle dans les rayons et le frottement des pneus sur le bitume. Hier, ils ont démarré par une petite étape de « 95 bornes » (….). En fin de journée, tout le monde prend ses quartiers à l’hôtel. « L’entrecôte, ce soir, elle est pour moi », salive celui dont la « fin de peine » est prévue en 2013 (…). »

Longtemps, la nourriture de cantine n'a pas été bonne. Mais les choses ont tellement changé que le syndicat Force-Ouvrière Pénitentiaire de Toulon a récemment dénoncé le fait que les détenus aient désormais le droit de choisir gratuitement entre 4 menus différents, « contre deux pour les voyageurs en business class à Air-France. »

La télévision, qui est facturée 80 euros par mois aux malades dans les hôpitaux publics, ne coûte aux détenus que 8 euros par mois, soit dix fois moins cher.

Selon le journal Le Parisien du 27 juin 2012, les prisonniers ont accès à des centaines d'articles de consommation courante qui leur sont vendus moins cher qu'en supermarché. La différence est payée par le contribuable. « A tel point que certains postent des colis à leur famille ! », dénonce le journal.

« Le pot de Nutella est passé de 3,13 euros (prix public) à 1,11 euros en prison. Le paquet de riz de 500 g de 2,70 euros à 0,36 euros. Le pot de confiture de fraise de 450 g est descendu de 1,45 euros à 0,67 euros, et la Ricoré, l'un des best-sellers, a diminué de 4,82 euros à 3,45 euros. La différence de prix, c'est le contribuable qui la paie, a dénoncé le syndicat Ufap-Unsa.

De plus, si le produit devant être livré le jour J ne l'est pas dans un délai de 48 heures, la prison est obligée de l'acheter dans le commerce local mais de l'offrir au détenu au prix initial convenu.

Ce qu'ignore l'immense majorité des citoyens, c'est que la plupart des évasions qui ont lieu actuellement se font tout simplement à l'occasion de sorties à l'extérieur où les détenus sont laissés sans surveillance.
Le 21 mai 2012, un tournoi de basket « inter-prison » a eu lieu au stade de Bercy, en présence de la ministre de la Justice Christiane Taubira, qui venait d'entrer en fonction.

Les détenus avaient le droit de sortir librement pour aller fumer une cigarette ou s'acheter un sandwich. Evidemment, un détenu en a profiter pour s'en aller. Personne ne s'en est aperçu, et la ministre n'a fait aucun commentaire.

Pourquoi ? Parce que cela arrive régulièrement, et que plus personne ne s'en étonne :

Le 27 septembre 2011, à Cherbourg, un détenu qui participait à une sortie culturelle au musée Thomas Henry s'en est allé lui aussi. Il purgeait trois peines de prison pour des vols en réunion et des dégradations.

Le 29 juin 2011, une dépêche AFP annonçait qu'un détenu de 40 ans « très connu des services de police » s’était évadé en montagne au cours d’une sortie... en parapente. Il s'est envolé, puis a décidé de s'en aller.

Mais ça ne suffit jamais : malgré toutes ces affaires absurdes, l'actuel gouvernement va faire encore empirer la situation :

Aussi incroyable que cela puisse paraître, la ministre de la Justice Christiane Taubira :

souhaite supprimer les peines plancher,
et s'est donné comme objectif de faire sortir le plus grand nombre possible de détenus pour vider les prisons.

Toutefois, nous ne sommes pas obligés de nous laisser faire sans rien dire par des dirigeants qui semblent n'avoir que faire de la sécurité élémentaire des citoyens sans défense.

Nous sommes le peuple, et, en démocratie, les dirigeants sont là pour nous représenter, et non pour nous ignorer.

C'est pourquoi l'Institut pour la Justice a mis sur pied un programme d'action vraiment efficace pour changer cela.
Il est impossible à une personne isolée de changer le système judiciaire.

Mais si nous nous mettons tous ensemble, nous pouvons organiser la RÉSISTANCE !

Nous pouvons mettre les pouvoirs publics au pied du mur en organisant une immense consultation nationale à travers toute la France.

Notre association l'Institut pour la Justice, a les moyens de faire changer les choses. Nous ne nous contentons pas, comme beaucoup d'associations, de réunir nos membres, de déposer une gerbe de fleurs, et de faire un communiqué de presse quand un crime se produit.

Non : notre association a un programme de « lobbying » (pression sur les pouvoirs publics) complet pour obtenir des changements législatifs, avec des actions de grande ampleur par courrier, sur Internet, et dans les médias. Notre association fait travailler des avocats, des professeurs de droit, des psychiatres, des spécialistes des prisons, de la police, et entretient des contacts permanents à l'Assemblée nationale et auprès du gouvernement.

Surtout, nous pouvons faire pression grâce à nos deux millions de sympathisants.

Notre vidéo avec l'ex-policier Joël Censier, dont le fils a été assassiné, a été vue par plus de neuf millions de personnes. Un journaliste d'Europe 1 a déclaré à l'antenne qu'il n'y avait probablement jamais eu aucun événement d'aussi grande ampleur sur Facebook, où plus d'un million et demi de personnes ont repris notre vidéo pour la diffuser auprès de tous leurs amis. Un record en France.

Le Nouvel Observateur a consacré une double-page à notre association le 2 février 2012, notant que l'Institut pour la Justice,

« alliant l'expertise et la vox populi,"porte-voix de la majorité silencieuse", a acquis, en quatre ans, une réelle force de frappe. Courtisée par les politiques, l'association s'invite dans la campagne présidentielle ».

Ce constat sur notre efficacité est partagé par l’ancien président de l'association « Reporters Sans Frontières », Robert Ménard. Il a déclaré à la radio que :

« l'IPJ fait un travail formidable. »

Le journal Le Figaro nous a également rendu hommage le 23 février 2012, en publiant dans ses colonnes les déclarations d'un ancien conseiller de l'Elysée témoignant que l'Institut pour la Justice :

« pèse lourd dans le domaine judiciaire »

Dès la création de notre association, la presse avait remarqué notre originalité, et notre efficacité :
Le journal Le Figaro, en 2009, remarquait déjà que :

« Les fondateurs de l'Institut Pour la Justice (IPJ), une toute nouvelle association de citoyens, a vu pour la première fois une partie de ses idées validées. » « Garde des Sceaux et députés ont écarté les récidivistes de la loi pénitentiaire augmentant les aménagements de peine. » « C'était l'objectif de l'association qui les avait inondés, via ses sympathisants, de petites cartes de protestation pour obtenir cette nouvelle version du texte. » (Le Figaro, 23.09.2009).

Cette reconnaissance des médias, ainsi que les 1 750 000 signatures rassemblées en faveur de notre Pacte 2012 pour la Justice, nous ont donc rendus incontournables dans le monde judiciaire.

Si notre association décide aujourd'hui de frapper du poing sur la table, nous pouvons faire trembler le gouvernement.

Mais si, en plus des dizaines, des centaines de milliers de citoyens comme vous décident d'exprimer concrètement leur soutien à notre association, nous pouvons les forcer à démarrer sans délai les réformes évidentes qui doivent être faites d'urgence pour restaurer un minimum de bon sens et de justice dans notre pays.

Et c'est pourquoi je vous demande de participer au Référendum national sur la Justice.

Ce Référendum concerne les réformes qui pourraient passer immédiatement. Notre but est de provoquer une immense vague de participations à ce Référendum, à laquelle des millions de citoyens pourront prendre part.

Je vous indique immédiatement comment participer, puis faire participer votre entourage – et faire une différence pour que cesse cette situation insupportable.

Mais avant, je veux que vous soyez convaincu qu'il s'agit du meilleur, et peut-être du seul moyen de combattre le laxisme dont bénéficient les délinquants dans notre pays... et les vexations que subissent les citoyens honnêtes. Seule la participation et le soutien d'un très grand nombre de citoyens comme vous peut donner à notre Référendum une légitimité démocratique.

Les résultats seront adressés aux médias, aux parlementaires, au gouvernement et à la Présidence de la République. Ils nous ont déjà reçus, mais nous voulons pouvoir revenir avec 1 000 000 ou même, si c’est possible, 5 000 000 de Référendums.

De plus, et c'est vraiment très important, je vous demande de faire un don à notre association, après avoir rempli votre Référendum. En effet, il est impossible pour nous d'obtenir des résultats concrets sans un intense travail qui nécessite des moyens humains et matériels :

Nous devons sans cesse accroître notre organisation informatique pour répondre à la demande. Nos informaticiens doivent désormais être mobilisables nuit et jour, week-ends compris. Notre équipe est sous le flux des demandes des radios, des télévisions, et des journaux, qui nous réclament des interviews.

Nous devons aussi financer le :

• Travail de recherches et de publications : nous devons payer des juristes, des experts, qui travaillent sur nos sujets, analysent les problèmes, produisent des chiffres et des statistiques utiles pour faire des propositions de réformes efficaces aux pouvoirs publics. Notre étude sur le coût du crime et de la délinquance, qui avait fait la une des journaux en mai dernier, est aujourd’hui citée comme référence dans les rapports parlementaires.

• Travail de relations presse :
pour faire passer nos idées, pour créer un débat public, il est indispensable de mener un intense travail auprès des journalistes, afin qu'ils citent nos travaux, donnent la parole à nos experts, reprennent nos idées dans leurs articles.

Ce travail, pour être efficace, doit absolument être mené par des professionnels.

• Travail d'information des élus :
afin d'aider au vote de nouvelles lois plus équilibrées, nous assurons une présence permanente auprès des législateurs.

• Organisation de groupes de travail, colloques, et assemblées : Nous organisons des réunions publiques : des juristes de notre association, des avocats ou des victimes de la criminalité (et de notre système judiciaire) mettent les élus locaux face à leurs responsabilités.

Ces derniers mois, nous avons organisé de telles réunions à Lille à Marseille, Strasbourg, Bordeaux, Rennes, Nice, Dijon, Lyon, Toulouse, Paris, et de nombreuses autres villes.

• Et nous devons bien entendu financer toute la logistique indispensable à un mouvement d'envergure nationale comme l'Institut pour la Justice (bureau, téléphone, secrétariat, site Internet...).

Tout cela, nous le faisons sans aucune subvention publique, ni aide d'aucune grande entreprise, quelle qu'elle soit.

Et c'est pourquoi je me permets de vous demander à vous, citoyen responsable, de vous engager à apporter un soutien régulier à notre association. C'est le seul moyen de faire réussir notre initiative aujourd'hui, mais aussi de faire en sorte qu'elle ne soit pas un coup d'éclat sans lendemain.

Grâce à notre système de don en ligne, vous pouvez décider de donner 3, 5 ou 10 euros chaque mois. Vous pouvez même décider de donner plus, si vous en avez les moyens.

L'important, c'est que chacun de nous participe selon ce qu'il peut. Il ne fait aucun doute que, sans une réaction organisée des citoyens aujourd'hui, il n'y aura aucun changement de la politique du gouvernement contre la délinquance.

Aujourd'hui, voici le dilemme que vous avez devant vous :

Soit ne rien faire, fermer cette vidéo, et laisser la situation se dégrader. Laisser les cambriolages, les agressions, et le vandalisme mettre notre pays en coupe réglée.

Ou alors soutenir une immense initiative, organisée de façon professionnelle, avec des dizaines de milliers de citoyens, des dizaines d'experts et des relais de plus en plus nombreux au Parlement, dans les médias, et une influence croissante auprès des cabinets ministériels, et même auprès du gouvernement.
Si c'est la deuxième solution que vous choisissez, alors :

Cliquez ici pour participer au Référendum national sur la Justice de l'Institut pour la Justice, et soutenez notre association du montant de votre choix

Pour moi c'est fait.
avatar
maman poule
Localisation : correze
Bélier Date d'inscription : 22/12/2011
Passion : judo , sport où le respect veut dire quelque chose
Humeur : envie de taper

Institut pour la justice Empty Re: Institut pour la justice

Mar 16 Oct 2012 - 14:44
c est fait aussi..
Domremy
Domremy
Bélier Date d'inscription : 21/04/2012

Institut pour la justice Empty Re: Institut pour la justice

Mar 16 Oct 2012 - 14:58
itou.
polosunshine
polosunshine
Localisation : Fin fond de la Creuse
Cancer Date d'inscription : 11/05/2012
Passion : en principe je garde la tête froide
Humeur : Variable

Institut pour la justice Empty Re: Institut pour la justice

Mar 16 Oct 2012 - 15:09
DE même. pancarte+1
Plume de guerre
Plume de guerre
Localisation : Eure (27)
Taureau Date d'inscription : 08/10/2011
Passion : la politique et l'informatique
Humeur : déterminé

Institut pour la justice Empty Re: Institut pour la justice

Mar 16 Oct 2012 - 23:25
Je suis perplexe sur ce mouvement. L'institut pour la justice, j'étais à fond dedans il y a quelques mois mais j'en suis revenu ; leur naïveté m'a franchement excédé lorsque nous étions aux présidentielles. Ils voulaient qu'on envoie tous un e-mail à Flamby dans le but qu'il agisse pour la justice...

Je leur ai poliment expliqué que, pour moi, il s'agissait d'un combat politique et que ce n'était pas avec eux que je compter mener ce combat, puisqu'ils n'ont pas eu l'élémentaire lucidité de reconnaitre que seule Marine était susceptible de rétablir la justice en France.
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