Un étudiant, Anas Kournif, s'immole par le feu. On assiste à une récupération indécente des étudiants.

A ce propos il serait bon de savoir sur quel critère les médias décident ils de dévoiler le nom ainsi que la nationalité des personnes impliquées dans un fait divers? Vous l'aurez remarqué mais durant de nombreuses années les noms ou au moins les prénoms des personnes impliquées dans des faits divers étaient dévoilés. Aujourd'hui les médias vont parfois jusqu'à changer le prénom en le "francisant" pour en faire oublier les origines sauf cela va de soi quand l'intérressé a un prénom "bien de chez nous".

Je vais aborder un sujet brulant comme à mon habitude car je n'aime pas les interdits de parole ou de pensée.
Je vais donc aborder le sujet du jeune Anas Kournif dont la nationalité n'a pas été dévoilée elle non plus. Il s'est immolé par le feu qui, comme vous le savez probablement, est un acte plutôt religieux mais peut aussi être un acte politique. Le feu est considéré dans des religions comme l'indouisme ou l'Islam comme étant purificateur.
Cet étudiant allait débuter une 4ème année de science politique soit en 3ème année de L2 après l'avoir redoublé 2 fois. Il touchait 450€ par mois et disait ne pas pouvoir faire un job d'étudiant trop "pris" par ses actions de syndicaliste étudiant très, très à gauche évoquant lui même la notion de syndicalisme révolutionnaire et par ses études pourtant pas très frustueuse ni concluantes.
Vous aurez vite fait le calcul déjà 3 années effectuées avec 5000€ chacune de bourse à la charge des contribuables Français soit 15000€. Il ne sagit pas pour moi de le blamer ce qui serait évidemment indécent mais j'en veux à cette société qui encourage l'assistanat sous toutes ses formes. J'ai connu une  époque où il fallait s'assumer financièrement soit avec l'aide de ses parents soit par son travail. Cette époque lointaine où l'on rappelait que l'école, le lycée, la fac, tout cela avait un coût conséquant à la charge des contribuables, seul le logement et la nourriture étant à la charge des parents avec comme seule aide les allocations familiales. Aujourd'hui les étudiants qui sont à ce jour les plus assistés financièrement et donc les plus couteux pour la société revendiquent des revenus payés par les contribuables. Par ailleurs avoir été aidé par une bourse dans ses études sous entend de s'investir au maximum dans celles-ci pour justifier l'effort des contribuables qui ont misé sur cet étudiant. Après 2 échecs il est normal de réserver cette aide à un autre étudiant qui en a besoin et pourra, lui, réussir. Vouloir à tout prix continuer des études après de tels échecs doit sous entendre de la part de l'intéressé de s'assumer totalement.
Vous remarquerez que les étudiants qui manifestent depuis ne participent pas à une simple marche blanche mais espère bien instrumentaliser ce suicide particulier à des fins bien plus terre à terre.
Si mes propos peuvent de près ou de loin paraitre indécents que dire de ces actions étudiantes militantes tentant d'exploiter au maximum ce triste évènement afin d'en tirer profit? Donnez leur de l'argent et ils oublieront bien vite cet Anas Kournif que dans leur immense majorité ils ne connaissaient ni de près ni de loin. Seul le sempiternel fantasme d'un nouveau Mai "68" les motive pour la plupart.
L'assistanat atteint des sommets et incite même certains à se suicider lorsqu'ils sont confrontés à la réalité qu'on leur avait fait perdre de vue. Que penser d'un étudiant à sciences Po qui explique qu'il est en grande difficulté financière et qui n'arrive pas à régler ses factures mais dit ne pas pouvoir travailler réservant son temps libre à son syndicat étudiant? Que serait il devenu ses études terminées? Aurait il compris le sens et la valeur du travail? Aurait il compris ce que l'argent des contribuables représente de travail et d'efforts? Sans en avoir conscience cet étudiant a choisi de mettre fin à sa vie plutôt que travailler, quelle morale peut on en tirer si ce n'est une terrible dérive des valeurs dans notre pays.
Moi je vois en lui une victime de la société d'assistanat dans laquelle on vit, incapable de s'en sortir par lui même et ne cherchant pas d'autre solution que "mourir en martyr"

Je suis évidemment un vieux "rétrograde" qui pense encore, je l'avoue, que s'assumer passe par le travail et qu'il ne faut pas confondre une aide sous forme d'investissement sur l'avenir avec un cadeau et pire croire qu'il s'agit d'un dû.

Source: https://www.nouvelobs.com/societe/20191112.OBS21003/qui-est-anas-k-l-etudiant-de-22-ans-qui-s-est-immole-devant-le-crous-de-lyon.html

Cela sent la manipulation.

Pour moi aussi le travail est une chose nécessaire, il est valorisant.
La tendance générale est de se plaindre et de réclamer. Bien évidemment cela émane toujours du même type de population. Et je ne parle pas de nationalité ou autre.

Évidemment un étudiant étranger , et qui se plaint . Les étudiants de chaque génération sont dans le même cas pour ceux que les parents ne peuvent pas aider , on dirait que le phénomène est nouveau !!!!. En plus beaucoup prennent des places alors qu'ils n'ont pas les capacités de suivre des études c'est une large part du problème , on a voulu donner le bac à tout le monde et voilà le résultat .Tout le monde n'est pas beau ni gentil ni intelligent

Oui, ce n'est pas en distribuant presque gratuitement le bac qui les choses vont s'améliorer.
Il est temps que l'on s'occupe de nos enfants et que les écoles dispense une bonne éducation.
La politique n'a rien à faire dans les enceintes scolaires.

gemini a écrit:

Oui, ce n'est pas en distribuant presque gratuitement le bac qui les choses vont s'améliorer.
Il est temps que l'on s'occupe de nos enfants et que les écoles dispense une bonne éducation.
La politique n'a rien à faire dans les enceintes scolaires.

Le niveau du bac est en effet déplorable et pour le rater il ne faut vraiment rien avoir fait de son année scolaire. Avez vous vu le niveau de Français des bacheliers c'est ahurissant le nombre de fautes grossières qu'ils arrivent à faire? Je me demande aussi comment ils pourront se gérer financièrement ne sachant pas du tout calculer et surtout pas "de tête". En 30 ou 40 ans la langue française a perdu des siècles d'évolution et le niveau de nos jeunes a sombré. L'éducation est en plein déclin et il n'y a rien d'étonnant à ce que les jeunes "Français" perdent leur repères, là encore on assiste à cet apport prétendument "culturel" de l'immigration quia largement contribué à ce déclin intellectuel.

CoqGaulois a écrit:

gemini a écrit:

Oui, ce n'est pas en distribuant presque gratuitement le bac qui les choses vont s'améliorer.
Il est temps que l'on s'occupe de nos enfants et que les écoles dispense une bonne éducation.
La politique n'a rien à faire dans les enceintes scolaires.

Le niveau du bac est en effet déplorable et pour le rater il ne faut vraiment rien avoir fait de son année scolaire. Avez vous vu le niveau de Français des bacheliers c'est ahurissant le nombre de fautes grossières qu'ils arrivent à faire? Je me demande aussi comment ils pourront se gérer financièrement ne sachant pas du tout calculer et surtout pas "de tête". En 30 ou 40 ans la langue française a perdu des siècles d'évolution et le niveau de nos jeunes a sombré. L'éducation est en plein  déclin et il n'y a rien d'étonnant à ce que les jeunes "Français" perdent leur repères, là encore on assiste à cet apport prétendument "culturel" de l'immigration quia largement contribué à ce déclin intellectuel.

Le plus désopilant, c'est que ces individus prétendent écrire sans fautes.
Ils sont nombreux ceux qui œuvrent dans les médias en tous genres à massacrer notre langue. Le nombre de fautes dans la presse écrite ou même dans l'audio visuel est effarant. Il n'est pas rare de voir des fautes notamment dans les bandeaux défilant en bas de l'écran.
Il faudra bien un jour que cela cesse.

Le déclin est aussi à mettre sur le compte de l'éducation nationale: des décennies de nivellement par le bas, d'encouragement aux jeunes à aller faire toujours plus d'étude car garage à chômeurs, de pédagogisme, de réformes des programmes stupides etc
Les profs, si promptes à manifester pour pour avoir plus de ci ou de ça, je ne les ai jamais vu s'agiter en faveur de meilleurs programmes pour les élèves.

Et cette culture de gôôôôôche dans l'éducation nationale... Un fléau. Et un fléau pour les immigrés aussi car si il y avait encore du respect, une volonté et un minimum d'autorité à l'école, même les gamins des banlieues apprendraient.

Oui, c'est indéniable le long travail de sape est maintenant visible.
Inverser les choses relève d'un très long travail et la tâche est immense.
Pourtant je sais qu'individuellement des enseignants ont essayé de lutter contre la machine a abêtir mise en place.
Heureusement qu'il y a encore des bons enseignants ici où là.
Ils ne sont malheureusement qu'une minorité a posséder un cerveau capable d'analyse.