GILETS JAUNES : LE 16 MARS - LA FRANCE ENTIÈRE À PARIS !

Monsieur Alexandre Langlois le courageux policier syndicaliste, Secrétaire Général du Syndicat de Police VIGI, fait l'objet d'une exclusion temporaire de six mois dans la police nationale après avoir révélé en interne et à la presse un certain nombre d'éléments graves au sujet du Ministère du l'Intérieur. Suicides, agressions sexuelles, falsifications de chiffres, gazs lacrymogènes toxiques, le policier dit tout.



Voila ce qui arrive à un honnête policier déterminé à faire éclater la vérité, en osant faire front au système corrompu en place. En dictature macronienne il ne fait pas bon exprimer son mécontentement des décisioons malsaines du pouvoir ni dire la vérité concernant les magouilles internes. L'impitoyable Castaner n'aime pas les grandes gueules au sein de ses troupes, même si elles appartiennent aux Syndicats de la police. Actuellement, ce n'est pas seulement Monsieur Langlois qui est visé par les représentants de la dictature mais l'ensemble du système syndical de la police. Plus particulièrement le Syndicat VIGI qui a fait des révélations plutôt gênantes sur l'affaire Benalla, dénoncé l'utilisation abusive des LBD 40 et exprime son soutien aux Gilets Jaunes. Voila le genre de policier courageux et honnête qui mérite notre respect et notre admiration.

LES GILETS JAUNES ANNONCENT UN aCTE 42 DE LA FRONTIÈRE FRANCE/SUISSE À L'ONU.

Combien seront-ils ? Difficile à dire mais le groupe organisateur annonce pas moins que l’Acte 42, un événement national à la frontière France/Suisse”. Cette grande manifesattion est organisée par les Gilets Jaunes français et suisses.

Ce samedi 31 août, les Gilets jaunes espèrent en tout cas être assez nombreux pour rallier la frontière entre la France et à la Suisse, à Ferney-Voltaire (Ain), et la place des Nations, devant l’ONU à Genève. Le rassemblement est fixé à 9 heures.

Les Gilets jaunes sont attendus pour former une chaine humaine qui commencera au rond-point Porte-de-France à Saint-Genis-Pouilly, puis passera par Ferney-Voltaire avant de se terminer sur la place des Nations devant l'ONU.

L’idée est de faire une chaîne humaine de 13 km à partir de 13 heures avant un grand rassemblement sur la place des Nations à 16 heures, pour écouter plusieurs prises de parole de personnalités du mouvement Gilets Jaunes et autres.

Le docteur Laurent Thines, un neurochirurgien au CHRU de Besançon qui milite contre l'utilisation des LBD 40 et des grenades au TNT, sera parmi les personnalités. Puis, aux environs de 16 heures, des remises de médailles aux victimes de violences policières auront lieu sur la place.

Ce rassemblement a pour motivations principales, la défense du droit à manifester et la dénonciation des violences policières.


ACTE 42 Les Gilets Jaunes se rassemblent à Genève le 31 août 2019. - EN DIRECT

(Pour voir la vidéo cliquez sur : "Rendez-vous sur YouTube pour regarder cette vidéo".

Marine Le Pen a le sentiment que Macron n'a toujours rien compris. Contrairement à Macron, Marine ne pense pas que les Gilets Jaunes soient des fainéants, mais des travailleurs pauvres, des  mamans célibataires admirables et des retraités miséreux. Heureusement qu'elle est présente sur la scène politique pour représenter le peuple. Ça fait toujours plaisir d'entendre Marine dénoncer l'incompétence de Macron et de sa bande de baras cassés. Un grand MERCI à Marine de continuer de défendre les Gilets Jaunes contre les contre-vérités diffusés en permanence par les médias du système.

L'acte 42 des gilets jaunes s'est déroulé à Genève devant l'ONU. Une chaîne humaine entre la frontière française et la place des Nations a réuni de nombreux citoyens en colère contre les violences policières, la répression judiciaire et l'impunité. Un
nouveau dossier sur les violences a été remis à l'ONU.

Les Gilets Jaunes venus de France font le jonction avec les gilets Jaunes suisses à Genève, le 31 août 2019, pour la suppression immédiate des armes de guerres utilisées par le régime dictatorial de Macron, contre les manifestants Gilets Jaunes. A noter le respect de nos amis Suisses pour la libre expression : aucune présence policière dans le périmètre où se trouvaient les Gilets Jaunes, aucune provocation policière, aucune violence aucun matraquage. En fait, le travail admirable de la police Suisse a été d'assurer la sécurité des Gilets Jaunes afin qu'ils puissent se rassembler pacifiquement jusqu'à la Place des Nations devant l'ONU. Pourquoi les manifestants sont-ils respectés et protégés en Suisse  mais mutilés en France ? Le petit dictateur Macron et son homme de main Castaner ont la réponse à cette question !

La solution vient peut être de là, manifester dans un pays libre pour dénoncer la dictature française. Cela tente à démontrer que les gilets jaunes, les vrais serais-je tenté de dire, sont pacifiques et dénoncent un problème profond et bien réel. Par la même occasion cela démontre la violence provoquée et entretenue par notre gouvernement pour discréditer un mouvement populaire, je suppose que les blacks blocs sont étroitement surveillés par les policiers suisse et qu'il ne bénéficieront pas de la protection et de l'évidente bienveillance de nos dirigeants.

Démocratie, liberté, ces mots sonnent creux en France.
Les citoyens normaux ont tout à craindre.
Les black blocs, les antifas, l’Extrême gauche en général bénéficient de l'impunité.

Gilets Jaunes : Acte 42 à Paris.

MERCI Petit-Jean pour la France !

C’est qui ce monsieur qui déclare « je suis devant le siège des Nations Unies à Genève, cet organisme international qui vient de classer la France dans la catégorie de dictature".

Pardon ? Quelle est cette affirmation ? Où est le texte officiel qui en dispose ?

Macron n’est pas un usurpateur. Le gars a été élu par des ahuris prêts à recommencer et qui recommenceront.

Quant à lui arracher la Légion d’Honneur, soi-disant portée illégitimement alors qu’elle est attribuée de droit à tout président de la république, j’aimerais bien voir ça.

sedna a écrit:C’est qui ce monsieur qui déclare « je suis devant le siège des Nations Unies à Genève, cet organisme international qui vient de classer la France dans la catégorie de dictature".

Pardon ? Quelle est cette affirmation ? Où est le texte officiel qui en dispose ?

Macron n’est pas un usurpateur. Le gars a été élu par des ahuris prêts à recommencer et qui recommenceront.

Quant à lui arracher la Légion d’Honneur, soi-disant portée illégitimement alors qu’elle est attribuée de droit à tout président de la république, j’aimerais bien voir ça.

Le monsieur en question est Serge Petitdemange, un ancien militaire patriote-nationaliste, qui produit des vidéos sur la chaîne YouTube sous le nom de Jasper Mader. Cet internaute qui n'a pas sa langue dans sa poche, s'attaque souvent à Macron et dénonce la classe politique qui selon lui aurait trahi les fondamentaux de la République. Dès le début, il a supporté et appelé à protester avec les Gilets jaunes sur les ronds-points contre la hausse du carburant.

En ce qui concerne sa déclaration que l'ONU aurait classé la France dans la catégorie dictature. Je pense que ce qu'il veut dire, c'est que dans la mesure où la Commission des droits de l'homme de l'ONU réclame une enquête approfondie sur l'usage excessif de la force sur les Gilets Jaunes, voila qui place la France au niveau des dictatures répressives.  

Au risque de vous déplaire, je pense fermement que Macron est un usurpateur, et que son occupation de la position de Président de la République, relève d'un fait accompli crapuleux. Ce qui fait de lui un intrus. Malheureusement, la grande majorité des Français a laissé faire, et a consenti à laisser triompher la forfaiture. Aujourd'hui, beaucoup de ses fidèles, prennent conscience combien ils ont été abusés d'illusions. Car ou est le grand changement annoncé et promis pendant la campagne électorale de Macron ? Tout n'est que chambardement et chaos dans NOTRE pays. Certes, Macron a été élu dans une élection conforme au droit mais par une toute petite minorité. De plus, la présidentielle a été entachée de nullité, étant donné du manque d'équité flagrant entre les candidats, laquelle a vu l'oligarchie politico-financière pousser leur seul candidat désigné au détriment de tous les autres. Tous les médias ont oeuvré exclusivement en faveur de Macron, n'invitant ses concurrents sur leurs plateaux télévisés, que dans la seule intention de les déstabiliser. Finalement, je me rappelle que Macron a outrepassé les règles démocratiques du scrutin, en bénéficiant du support illégal d'entreprises privées. Rien que cela aurait dû le rendre inéligible. Seulement voila, il fallait absoluiment le placer à l'Elysée afin qu'il remplisse le programme du mondialisme. Macron fait incontestablement partie de la catégorie des usurpateurs illégitimes.

Je ne désir pas commenter sur l'évènement concernant la légion d'honneur qui ne revêt que très peu d'intérêt pour moi. Quand on pense qui a institué cette décoration et pourquoi, et que l'on voit aujourd'hui qu'elle est attribuée à des racailles. Vraiment il y a de quoi rêver. Ça ne vaut pas la Croix d'Honneur que nous autres petits écoliers des années cinquante, portions avec fierté dans les écoles de la République.

La manifestation des Gilets Jaunes Acte 43 à Paris ne s'est pas très bien déroulée malgré que les manifestants marchaient pacifiquement. A certains endroits la police a commencé à gazer et matraquer les gilets Jaunes. C'est vraiment dégueulasse ce règne de la terreur contre les Gilets Jaunes. En utilisant du gaz lacrymogène contre la population civile, les forces de police joue un rôle de catalyseur du désordre social. Comment Castaner peut-il justifier l'autorisation d'utiliser des substances qui brûlent les yeux, la bouche et les pouimons contre des civils pacifiques alors que celles-ci sont interdites par des traités internationaux ? Le recours au gaz lacrymogène est scandaleux étant donné que ce gaz est classé parmi les armes chimiques. L'ONU a demandé aux autorités françaises d'entamer une enquête sur le recours excessif à la force et les abus de pouvoir des forces de police. La honte sur le pouvoir répressif de Macron.

Difficile de défendre les policiers dans ces conditions....tabasser et gazer des manifestants pacifiques c'est monstrueux , même s'ils ne font que d'obéir aux ordres de l'état !
Par contre je comprends les policiers qui refusent d'obéir à ce genre d'ordres ......je prie pour eux et pour les gilets jaunes !

alexis40 a écrit:
Difficile de défendre les policiers dans ces conditions....tabasser et gazer des manifestants  pacifiques c'est monstrueux , même s'ils ne font que d'obéir aux ordres de l'état !
Par contre je comprends les policiers qui refusent d'obéir à ce genre d'ordres ......je prie pour eux et pour les gilets jaunes !

Comme dans tous les corps de métiers la police a ses brebis galeuses mais ce n'est heureusmeent qu'une minorité et absolument pas une généralité. Dans l'ensemble les policiers sont des citoyens exemplaires, qui défendent, aident et conseillent la population. Leurs valeurs sont de protéger, servir et assister. Certes, certaines pratiques policières sont plus que contestables et s' il y a une responsabilité individuelle des policiers, la plus grande part de responsabilité revient à l'Etat car le problème est politique.

Si les policiers ont un devoir d'obéissance, ils ont aussi le devoir supérieur de ne pas obéir à un ordre illégal. Lorsque des policiers des forces de l'ordre reçoivent de leur supérieur l'ordre de << casser la gueule à ces manifestants >> cet ordre est manifestement illégal parce que arbitraire et haineux. Désobéir à un ordre illégal est un devoir. Le Code Pénal article 122-4 le précise clairement : << N'est pas pénalement responsable la personne qui accomplit un acte commandé par l'autorite légitime sauf si cet acte est manifestement illégal. >>

Le problème c'est que souvent sur le terrain, les gradés ferment leurs yeux sur les actions violentes et illégales de certains policiers tandis que les subalternes déroge rarement à l'ordre d'un supérieur hiérarchique. Rares sont les cas de mutineries policières contre les ordres illégaux reçus car la répression administrative est toujours impitoyable. A noter qu'il y a des cas dans la police où des policiers ont été condamnés, préciisément parce qu'ils ne s'étaient pas soustraits à un ordre illégal.

Monsieur Alexandre Langlois le policier syndicaliste mis à pied pour six mois sans salaire par Castaner, provoque le ministre der l'intérieur en duel, en forme de debat en ditrect : << Je vous propose un débat. Un débat face à face, un débat en direct pour pas qu’il y ait de montage, de coupage. Choisissez le média que vous voulez. Pour le moment tout le monde est d’accord pour que ça s’organise, il manque une seule réponse la vôtre. Auriez-vous le courage de le faire ou pas ? Ou alors allez-vous rester caché, et rester dans de la propagande plutôt que dans du débat ? >>

Pour La République En Marche (LREM), la crise des Gilets jaunes est finie . . .

Alors que le parti présidentiel organise sa première université d'été, leurs cadres se persuadent, à l'instar de Gilles Le Gendre, que les Gilets jaunes font désormais partie du passé, la majorité ayant su répondre aux revendications du mouvement.

A l'image des partis de l'ancien monde, La République en marche (LREM) a lancé le 7 septembre à Bordeaux son Campus des territoires, sorte d'université d'été à laquelle quelque 3 000 personnes sont attendues et qui doit notamment préparer les municipales sur fond de tensions. Des tensions qui sont liées au processus d'investiture des candidats pour les élections de 2020 (avec l'épisode Cédric Villani en toile de fond) mais aussi à une fronde interne d'adhérents dénonçant la trop grande verticalité du parti présidentiel. Pour la première université d'été de LREM, ce rendez-vous médiatique revêt une importance capitale.

Il lui faut en effet préserver les apparences, alors que se profile avec la rentrée d'autres points de tensions, tels que l'explosive réforme des retraites. Et pour que la rentrée apparaisse comme apaisée, les macronistes doivent surtout boucler le cycle tempétueux de la crise des Gilets jaunes, ceux-ci ambitionnant de relancer le mouvement après la période estivale. Dans cette optique, certains cadres sont montés au créneau pour affirmer leur optimisme, multipliant les déclarations pleine de confiance.

"La crise des Gilets jaunes est derrière nous parce que nous avons apporté les réponses appropriées"

Sur LCI le 6 septembre, le président du groupe LREM à l'Assemblée nationale Gilles Le Gendre reconnaît ainsi que «les Gilets jaunes existent encore», mais n'hésite pas à faire savoir qu'il a «l'impression que la crise des Gilets jaunes, elle, est plutôt derrière nous». «Et elle est derrière nous parce que nous avons apporté les réponses appropriées», appuie-t-il pour justifier une affirmation qui peut paraître péremptoire. «Depuis l'hiver et le printemps dernier, nous sommes au travail, en disant aux Gilets jaunes ou plus exactement aux Français qui pouvaient se retrouver dans le mouvement des Gilets jaunes, nous vous avons entendu», affirme-t-il encore.

Les Gilets jaunes ont-ils vraiment été entendus ? Interrogé sur LCI le 7 septembre, Julien Denormandie, ministre de la Ville et du Logement, en est lui aussi persuadé, jugeant qu'«il y aura un avant et un après [Gilets jaunes]», et que cette crise a donné au parti présidentiel «beaucoup d'enseignements». «Il y a eu d'abord des annonces faites par le président de la République avec des baisses d'impôts, avec une augmentation des services publics, avec des revendications très concrètes suite aux revendications faites par les Gilets jaunes», explique-t-il pour montrer que le camp macroniste a su, selon lui, répondre aux revendications du mouvement.

Qu'en est-il de l'augmentation des services publics ? Concernant l'école, les enseignants semblent pourtant arrivés en point de rupture avec leur ministre Jean-Michel Blanquer, déplorant leurs conditions de travail précaires. Idem dans le secteur hospitalier, où depuis environ six mois, près de la moitié des services d'urgences sont toujours en grève, attendant des réponses concrètes de la ministre de la Santé Agnès Buzyn. Ils revendiquent, là aussi, une amélioration des conditions de travail du personnel et d'accueil des patients. Quant aux pompiers, la situation semble aussi morose, puisque des dizaines de casernes dans toute la France se sont mises en grève, et manifestent depuis plusieurs mois pour dénoncer les manques d'effectifs et l'augmentation des interventions.

Le mouvement des Gilets jaunes, une braise prête de nouveau à exploser ?

Quoi qu'en dise le parti présidentiel, l'amélioration des services publics se fait donc attendre. Cela n'empêche pas Julien Denormandie d'assurer que le «président, [comme] le gouvernement, [sont] dans une phase de très grande proximité». «Il y aura donc un avant et un après Gilet jaune, j'en ai la conviction», pilonne-t-il en conclusion.

Sur LCI, Philippe de Veulle, avocat de Gilets jaunes, admet un essoufflement du mouvement mais estime «que la mobilisation se fait sur les réseaux sociaux». Il y a encore «beaucoup d'activité», ajoute-t-il. «La colère couve, il y a les braises sous les braises», prévient-il par ailleurs. La crise des Gilets jaunes, un problème latent, à défaut d'être actuellement patent ?

Dernièrement, c'est le syndicat, plutôt centriste et l'un des plus favorables aux réformes libérales, la CFDT, qui, par la voie de son secrétaire général Laurent Berger, confesse le 5 septembre dans les colonnes du quotidien régional Ouest-France : «Je ne suis pas devin mais il est certain que les motifs de déclenchement de cette colère sociale sont toujours là.» Le premier motif de contestation des Gilets jaunes étant le problème du pouvoir d'achat, en particulier chez les classes moyennes et populaires, un récent sondage Elabe, publié le 4 septembre 2019, semble donner raison à cette analyse : 75% des Français pensent que la politique du gouvernement ne va pas améliorer le pouvoir d'achat, 69% qu'elle ne permettra pas d'améliorer la situation du pays, 66% qu'elle n'est pas efficace pour relancer l'économie.

Référence : RT 7 septembre 2019.

Un moment inoubliable à l'Assemblée nationale oû Marine Le Pen prend la parole afin de répondre au Premier ministre Edouard Philippe : << Monsieur le Premier Ministre, vous avez crû pouvoir sortir d'une crise sociale, véritable cri de souffrance des plus vulnérables, par la répression, l'invective et les leçons de morale. >>

Gilets Jaunes : Acte 44 - Manifestations partout en France.

C'est la rentrée, et parmi les Gilets jaunes le désespoir semble être un dénominateur commun car leurs revendications n'ont pas été entendues par la clique au pouvoir. Mais ce qui est certain, c'est qu'ils n'ont nullement l'intention d'abandonner le combat, pour le droit pour tous à une justice équitable et pulvériser la macronie. Les Gilets Jaunes n'ont d'autres alternatives que d'oser l'impossible ou de ramper comme des larves sous le talon de fer qui les écrase. Ils ont intéret à rester groupés et à se bouger pour leur juste cause.

Le gouvernement mondialiste de Macron s'est montré impitoyable envers les manifestants pacifiques Gilets Jaunes alors que la plupart des dégradations et violences commises lors des manifestations, ont été perpétrées en grande partie par des groupuscules d'extrême-pgauche. Voila des années que ces groupuscules fascistes sont laissés libres de leurs gestes et de leurs mouvements à travers la France. C'est à se demander s'il n'y a pas de consignes particulières visant ces extrémistes quand, dans le même temps, les formations patriotes sont véritablement harcelées par le pouvoir. L'impunité de l'extrême-gauche n'est pas nouvelle, elle ne date pas d'aujourd'hui. Il est a remarqué que lors des manifestations des Gilets Jaunes, sur les milliers d'interpellations effectuées par les forces de police, proportionnellement, très peu de casseurs ont été arrêtés. Et lorsque des procédures ont ete diligentées en flagrance à l'encontre d'Antifas ou de Black Bloc, véritables casseurs professionnels infiltrés parmi les Gilets Jaunes, d'une manière générale, ces individus ont bénéficié de décisions de justice plutôt clémentes.

En ce qui concerne les responsabilités pour les milliers de blessés Gilets Jaunes lors des manifestations, malgré l'acharnement de certains policiers sur les manifestants, il semble néanmoins inconcevable que l'on puisse sanctionner de simples policiers à l'échelon individuel, et pas leur hiérarchie, qui donne  les ordres explicites. Ce qui est encourageant, c'est que beaucoup de policiers sont Gilets Jaunes dans l'âme et manifestent hors service aux côtés des patriotes. Ces policiers Gilets Jaunes sont un plus pour le mouvement car ils sont experts dans l'art de détecter et d'isoler les agitateurs professionnels appartenant aux mouvances anarchistes, pro-palestinienne, des groupes violents comme les Zadistes ou même transnationaux comme les "No Border".

La mauvaise foi des journalistes sur le sujet des gilets jaunes est criante, les larbins du système continuent à vouloir minimiser l'action des gilets jaunes et à essayer de les discréditer en les "confondant" avec les blacks blocs alliés de circonstance malgré eux du gouvernement. Les blacks blocs sont largement utilisés et instrumentalisés pour justifier la répression de manifestants non violents nous donnant cette étrange et très désagréable sensation que pendant que les manifestants non violents et les policiers sont exposés à des violences les seuls qui s'en sortent sans perte sont les casseurs que le gouvernement exploite largement.

CoqGaulois a écrit:La mauvaise foi des journalistes sur le sujet des gilets jaunes est criante, les larbins du système continuent à vouloir minimiser l'action des gilets jaunes et à essayer de les discréditer en les "confondant" avec les blacks blocs alliés de circonstance malgré eux du gouvernement. Les blacks blocs sont largement utilisés et instrumentalisés pour justifier la répression de manifestants non violents nous donnant cette étrange et très désagréable sensation que pendant que les manifestants non violents et les policiers sont exposés à des violences les seuls qui s'en sortent sans perte sont les casseurs que le gouvernement exploite largement.

Il fut un temps où les journalistes rapportaient les évènements avec professionnalisme et honnêteté. La tradition voulait que les journalistes soient de véritables protecteurs et défenseurs de la démocratie. Aujourd'hui, les journalistes nous font penser à des militants politiques qui ne rapportent plus les nouvelles mais font l'évènement. Une majorité de Français perçoit les journalistes comme des manipulateurs au service de l'Etat et des élites. La presse incarne aux yeux d'un grand nombre de nos compatriotes, les milliardaires de la presse qui sont proches du pouvoir.

Il existe en France une montée de colère et de méfiance à l'égard des journalistes, à qui on reproche de ne pas être représentatifs de la société. Un peu partout dans NOTRE pays, on entend souvent dire que les journalistes ne font que mentir, et qu'au lieu d'informer, il désinforment la population. Ce qui fait le malheur des journalistes depuis le commencement du mouvement Gilets Jaunes, c'est le malin plaisir qu'ils ont à vouloir disqualier le mouvement à la moindre occasion. Pas étonnant qu'ils se fassent chasser dans les rues et copieusement botter le train. A noter que Marine Le Pen a demandé à plusieurs reprises que l'on ne s'en prenne pas aux journalistes. Marine comprend la colère des Gilets Jaunes envers eux mais condamne toute forme de violence et d'agression à leur égard au cours des manifestations.

Gilets Jaunes : Acte 45 à Paris - EN DIRECT

ACTE 45 - les Gilets jaunes sur les Champs-Elysées.

Samedi dernier au cours de l'Acte 45 des Gilets jaunes, les forces de police étaient considérables du côté de La Madeleine, Saint-Lazare et les Champs-Elysées. Comme d'habitude la police a été plus ferme avec les Gilets Jaunes qu'avec les Black Blocs, pourtant champions du bordel général. Le Fouquet que Macron a pleuré plus que Notre-Dame, était protégé par un impressionnant cordon policier. Les voltigeurs en motos quadrillaient les rues tandis que le reste des troupes de l'hystérique de l'Elysée chargeaient les groupes de Gilets Jaunes pour les empêcher de s'attrouper.

Je vous avoue que sans remettre ma vision d'une police nécessaire et utile je suis extrêmement déçu par ces actes de violence injustifiés ou mal dirigés, fussent ils commis sur ordre du ministère de l'intérieur. Ces actes de barbarie envers une grande partie du peuple qui manifeste son désespoir sont indignes et cruels. C'est vrai que la police en tant qu'institution et les policiers entant qu'individus au service de cette institution en ressortent très rabaissés et la perte de confiance qui en résulte va mette longtemps à se faire oublier. Tout le monde dans notre pays ressort affaibli de ce passage d'un ministre plus voyou que flic.

CoqGaulois a écrit:Je vous avoue que sans remettre ma vision d'une police nécessaire et utile je suis extrêmement déçu par ces actes de violence injustifiés ou mal dirigés, fussent ils commis sur ordre du ministère de l'intérieur. Ces actes de barbarie envers une grande partie du peuple qui manifeste son désespoir sont indignes et cruels. C'est vrai que la police en tant qu'institution et les policiers entant qu'individus au service de cette institution en ressortent très rabaissés et la perte de confiance qui en résulte va mette longtemps à se faire oublier. Tout le monde dans notre pays ressort affaibli de ce passage d'un ministre plus voyou que flic.

c'est la rentrée et tout continue à se passer comme si nous étions "En Marche" vers la dictature. L'obscur pouvoir mondialiste macronien neutralise tout ce qui pourrait avoir une position hostile à son égard. Le freluquet de l'Elysée considère les Français qui souffrent d'un effondrement de leur pouvoir d'achat et qui n'en peuvent plus de galérer au jour le jour pour survivre, comme des ennemis réunis dans une foule haineuse. Au lieu de chercher à s'attaquer à la racine du mal, il a fait le choix d'expédients. Il a équipé les forces de police de grenades au TNT, de Flash ball dont les porteurs n'hésitent pas à viser les têtes, causant des blessures irréversibles et des mutilations. Il a même fait déployer des blindés dans nos rues afin de terrifier la population.

La majeure partie de certaines interventions policières extrêmement violentes contre les Gilets Jaunes, sont imputables aux Brigades anti-criminalité qui utilisent les LBD40 à la légère contre les manifestants. Les pauvres Gilets Jaunes  qui marchent pacifiquement mais que le gouvernement macronien qualifie de "haineux", doivent donc être exterminés sans scrupules. Il faut dire que Macron a laissé carte blanche au bourreau Castaner pour << nettoyer tout ça >> c'est-à-dire des citoyens exerçant légalement leur droit constitutionnel de manifester pacifiquement. lorsque les CRS recoivent l'ordre de déployer des équipes munies de fusils d'assaut à l'occasion des manifestations Gilets jaunes, alors il me semble qu'il y a une militarisation de la police qui s'opère devant nous.

On a la nette impression que l'on a fait de la police, un corps paramilitaire, avec sans doute bien des arrière-pensées. Les vidéos de bavures policières ne manquent pas, et certaines de ces vidéos montrent clairement des interventions policières qui suscitent des interrogations voire des soupçons sur leur légitimité. A noter que lorsque le Préfet de Police a été démis de ses fonctions après la grande manifestation Gilets Jaunes des Champs-Elysées au printemps dernier, le nouveau Prefet de Police Didier Lallemand avait pour mission la "fermeté". N'est-ce pas là la preuve d'un blanc-seing donné aux forces de police conduisant à la violence injustifiée, gratuite et disproportionnée ?

Castaner est en effet un voyou qui a uhe grande part de responsabilité dans la répression sanglante et acharnée contre les Gilets Jaunes. Responsable des méfaits et des souffrances infligés à ces manifestants pacifiques, et de leur sang versé pour la justice sociale, la liberté, la solidarité humaine envers les plus pauvres de nos compatriotes. Vous avez tout à fait raison de dire que l'institution policière va ressortir très rabaissée de ces évènements, avec une perte de confiance qui va mettre longtemps à se faire oublier. Mais voyez vous mon ami patriote, si demain des milliers de policiers refusent d'exécuter des ordres manifestement non conformes au droit français, ou refusent de fermer les yeux sur les petits tripatouillages et les petits arrangements, alors n'ayons aucun doute que la police retrouvera la confiance et le respect des citoyens. dans leur grande majorité.