Page 2 sur 2 • 1, 2
- geminiModérateurs
- Date d'inscription : 07/12/2011
Re: Centre de déradicalisation
Dim 22 Jan 2017 - 10:20
Je pense que nous sommes nombreux de cet avis.Un Français a écrit:CoqGaulois a écrit:PS: La seule méthode de déradicalisation vraiment " radicale " est la PDM, 100% de réussite, aucune re " radicalisation " et 0% de récidive.
Ceci dit, si les frontières étaient sous contrôle, interdiction à vie de territoire français et interdiction de retour. Le djihad serait un aller simple pour l'enfer sans aucun espoir de retour au paradis.
Bien vu dans les deux cas .
Ce n'est que du bon sens et si facile a mettre en oeuvre du reste.
- kabout
- Localisation : picardie
Date d'inscription : 20/02/2015
Passion : tir, armes.
Re: Centre de déradicalisation
Dim 12 Mar 2017 - 22:43
Aulnay : l’ex- responsable de la cellule de déradicalisation jugée pour détournement de fonds
Sonia Imloul est notamment soupçonnée d’avoir utilisé un RIB falsifié pour faire virer 25 000 € puis 35 000 €de subventions destinées à la structure et d’avoir effectué des virements au profit d’un ex-conjoint et de sa mère.
C’est l’heure des comptes pour l’ancienne dirigeante de la cellule dite de déradicalisation, basée à Aulnay-sous-Bois. Sonia Imloul, 43 ans, doit être jugée ce lundi au tribunal correctionnel de Paris pour détournement de fonds, blanchiment et travail dissimulé. Elle est notamment soupçonnée d’avoir utilisé un RIB falsifié pour faire virer 25 000 € puis 35 000 € de subventions destinées à la structure et d’avoir effectué des virements au profit d’un ex-conjoint et de sa mère.
Ces subventions avaient été accordées par la préfecture de Police en 2014 pour la « maison de prévention pour les Familles », dont le but était d’accompagner les familles désemparées qui avaient composé le numéro vert, lancé en avril 2014, pour remettre les pieds sur terre à leurs jeunes. La militante associative s’était déjà fait un nom dans le domaine de la prévention de la délinquance, via son association Respect 93, fondée à Saint-Denis.
En 2013, elle participait notamment à la mission franco-canadienne sur la prévention de la délinquance, associant quelques magistrats de Bobigny, des policiers et le conseil national des villes. Pour autant, la préfecture de Seine-Saint-Denis n’a pas voulu de son projet de déradicalisation, échaudée par l’action de Respect 93, justement. « Faute de justificatif sur son action », Didier Leschi, alors préfet à l’égalité des chances avait décidé de ne pas continuer à subventionner Respect.
Sonia Imloul a trouvé du soutien à Paris, auprès de Pierre N’Gahane, le préfet qui dirigeait le comité interministériel de prévention de la délinquance, en charge du numéro Vert. Il a fait débloquer 35 000 €, permettant à l’association de se trouver une adresse fixe : un vaste appartement avec terrasse pour y recevoir en toute discrétion les quelques familles adressées par le numéro vert, et, par le bouche-à-oreille, d’autres, dont les enfants étaient parties en Syrie.
Cazeneuve avait loué son travail
L’aventure séduit, puisque le 24 décembre, Bernard Cazeneuve, alors ministre de l’Intérieur aurait dit : « On développe, on duplique », comme le raconte Julien Revial, un ancien de la structure, dans un livre paru septembre 2016 (Cellule de déradicalisation, chronique d’une désillusion, Ed. Michalon) et partie civile au procès, avec Valérie Aubry, une autre employée. Recruté sur petite annonce, cet étudiant en droit de 24 ans avait pour mission… de rédiger les notes de comptes rendus, transmis à la préfecture de police. Une rallonge de subvention aurait bien été prévue mais les petites mains de la structure, justement, ont alerté les autorités sur les « dysfonctionnements » internes.
Fin de partie pour la cellule. La préfecture de police ne s’est jamais étendue sur les raisons d’un divorce qui questionne la vigilance des autorités, sur ce sujet aussi sensible qui touche à la sûreté de l’Etat. « Madame Imloul a été l’une des premières à comprendre le phénomène et à tenter d’y apporter des solutions, mais il a été impossible de vérifier le travail réalisé », indiquait une source policière fin 2015. Un signalement a été fait au parquet de Paris, qui a confié l’enquête à la brigade de répression de la délinquance astucieuse. Sonia Imloul, qui promettait un temps de saisir le tribunal administratif pour obtenir le paiement des salaires, est restée injoignable et son avocate Me Laffont n’a pas souhaité s’exprimer avant l’audience.
Le PARISIEN
Sonia Imloul est notamment soupçonnée d’avoir utilisé un RIB falsifié pour faire virer 25 000 € puis 35 000 €de subventions destinées à la structure et d’avoir effectué des virements au profit d’un ex-conjoint et de sa mère.
C’est l’heure des comptes pour l’ancienne dirigeante de la cellule dite de déradicalisation, basée à Aulnay-sous-Bois. Sonia Imloul, 43 ans, doit être jugée ce lundi au tribunal correctionnel de Paris pour détournement de fonds, blanchiment et travail dissimulé. Elle est notamment soupçonnée d’avoir utilisé un RIB falsifié pour faire virer 25 000 € puis 35 000 € de subventions destinées à la structure et d’avoir effectué des virements au profit d’un ex-conjoint et de sa mère.
Ces subventions avaient été accordées par la préfecture de Police en 2014 pour la « maison de prévention pour les Familles », dont le but était d’accompagner les familles désemparées qui avaient composé le numéro vert, lancé en avril 2014, pour remettre les pieds sur terre à leurs jeunes. La militante associative s’était déjà fait un nom dans le domaine de la prévention de la délinquance, via son association Respect 93, fondée à Saint-Denis.
En 2013, elle participait notamment à la mission franco-canadienne sur la prévention de la délinquance, associant quelques magistrats de Bobigny, des policiers et le conseil national des villes. Pour autant, la préfecture de Seine-Saint-Denis n’a pas voulu de son projet de déradicalisation, échaudée par l’action de Respect 93, justement. « Faute de justificatif sur son action », Didier Leschi, alors préfet à l’égalité des chances avait décidé de ne pas continuer à subventionner Respect.
Sonia Imloul a trouvé du soutien à Paris, auprès de Pierre N’Gahane, le préfet qui dirigeait le comité interministériel de prévention de la délinquance, en charge du numéro Vert. Il a fait débloquer 35 000 €, permettant à l’association de se trouver une adresse fixe : un vaste appartement avec terrasse pour y recevoir en toute discrétion les quelques familles adressées par le numéro vert, et, par le bouche-à-oreille, d’autres, dont les enfants étaient parties en Syrie.
Cazeneuve avait loué son travail
L’aventure séduit, puisque le 24 décembre, Bernard Cazeneuve, alors ministre de l’Intérieur aurait dit : « On développe, on duplique », comme le raconte Julien Revial, un ancien de la structure, dans un livre paru septembre 2016 (Cellule de déradicalisation, chronique d’une désillusion, Ed. Michalon) et partie civile au procès, avec Valérie Aubry, une autre employée. Recruté sur petite annonce, cet étudiant en droit de 24 ans avait pour mission… de rédiger les notes de comptes rendus, transmis à la préfecture de police. Une rallonge de subvention aurait bien été prévue mais les petites mains de la structure, justement, ont alerté les autorités sur les « dysfonctionnements » internes.
Fin de partie pour la cellule. La préfecture de police ne s’est jamais étendue sur les raisons d’un divorce qui questionne la vigilance des autorités, sur ce sujet aussi sensible qui touche à la sûreté de l’Etat. « Madame Imloul a été l’une des premières à comprendre le phénomène et à tenter d’y apporter des solutions, mais il a été impossible de vérifier le travail réalisé », indiquait une source policière fin 2015. Un signalement a été fait au parquet de Paris, qui a confié l’enquête à la brigade de répression de la délinquance astucieuse. Sonia Imloul, qui promettait un temps de saisir le tribunal administratif pour obtenir le paiement des salaires, est restée injoignable et son avocate Me Laffont n’a pas souhaité s’exprimer avant l’audience.
Le PARISIEN
ah,c'est "gens la".....c'est toujours profit et magouilles,c'est bien tous les memes !
- Chevalier du Temple
- Localisation : New York USA
Date d'inscription : 20/08/2013
Passion : Histoire & littérature
Humeur : Patriotique
Re: Centre de déradicalisation
Dim 12 Mar 2017 - 23:04
sylvain1169 a écrit:B.A.-Ba du sexe pour migrant
https://www.google.ch/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwij6J-SrcDLAhXBl3IKHR4oDDUQFggdMAA&url=http%3A%2F%2Fwww.20min.ch%2Fro%2Fnews%2Finsolite%2Fstory%2FLes-rudiments-du-sexe-explique-aux-migrants-12851326&usg=AFQjCNFIuorQRrnZff02g7S4D-1xBH9Kjw&sig2=PgwBJ73LCiFOVXtrzFKzHw
education sexuelle des migrants
https://www.google.ch/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=2&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwij6J-SrcDLAhXBl3IKHR4oDDUQFggjMAE&url=http%3A%2F%2Fwww.20min.ch%2Fro%2Fnews%2Fmonde%2Fstory%2FL-education-sexuelle-des-refugies--une-bonne-idee--11930086&usg=AFQjCNHqBc3pNGt5bVxORBAyRVjJN7AFhQ&sig2=EAa_zTZS7LpWBr5coED0dA
C'est ça l'UE!!!
C'est sérieux tout ça, on va leur apprendre à baiser proprement avec l'argent de nos impôts?
- Hassan31
- Date d'inscription : 21/09/2016
Passion : Detection
Re: Centre de déradicalisation
Sam 6 Mai 2017 - 0:14
Chevalier du temple comment faites vous pour les français de souche radicaliser ?
- kabout
- Localisation : picardie
Date d'inscription : 20/02/2015
Passion : tir, armes.
Re: Centre de déradicalisation
Sam 6 Mai 2017 - 10:48
ont les met en taule 10,15,20 ans ou perpéte REELLE mais avec des peines fermes et réelles,pas de remises de peines,pas de visites,pas de télé,rien,il faut que cela reste de la taule et pour les autres c'est expulsions direct au bled,ils ont certainement de la famille la-bas chez eux puisse qu'ils y vont en vacances chaque années avec nos bons de la CAF,ces centres de déradicalisation ne servent a rien sauf a les entretenir (loger,nourris,blanchis) aux frais des Français.C'est d'une simplicité a mettre en place.
Page 2 sur 2 • 1, 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum