Le terroriste islamiste Saïd Arif en résidence surveillée à Brioude en fuite

Depuis ce samedi soir, Saïd Arif est en fuite. Il devait pointer à la gendarmerie de Brioude ce dimanche matin à neuf heures mais il ne s'est pas présenté. Il se serait enfui à bord d'un véhicule volé. L'enquête pour le retrouver a été confiée au SRPJ de Clermont-Ferrand.


Il devait se présenter à la gendarmerie de Brioude ce dimanche matin à neuf heures, comme il le fait plusieurs fois chaque jour. Saïd Arif devait pointer sa présence comme l'exige son assignation à résidence. Mais ce dimanche matin, le terroriste islamiste ne s'est pas présenté. Rapidement, les gendarmes se sont rendus là où il logeait, un hôtel du centre de Brioude. Sur place, ils ont constaté qu'il ne s'était pas présenté à la réception comme chaque matin pour prendre son petit-déjeuner. En se rendant dans sa chambre, les gendarmes ont constaté que le lit n'était pas défait, ce qui laisse supposer que l'homme a pris la fuite en début de soirée ce samedi, vers vingt deux heures, heure à laquelle il a été vu pour la dernière fois. Enfin, un véhicule stationné dans la cour de l'hôtel a été volé. Il s'agit d'une Citroën C3 grise, qui appartient à la belle-fille du propriétaire des lieux. Les clés, accrochées dans une armoire située dans la cuisine de l'hôtel, souvent fréquentée par Saïd Arif, ont pu facilement être dérobées par le fuyard.

Le plan Milan déclenché

Des moyens de recherche ont été aussitôt déclenchés ce dimanche matin. Il s'agit de l'opération Milan, connue également sous le nom de plan Epervier, un plan déclenché en cas d'enlèvement, d'évasion et de manière générale lorsqu'il faut rechercher et appréhender une personne recherchée dans une zone relevant de la gendarmerie.
Mais selon le procureur de la République du Puy -en-Velay, Jacques Louvier, "Saïd Arif peut être loin, même en dehors des frontières françaises. Nous ne sommes qu'à trois heures de la Suisse ou de l'Italie."
Une fiche de diffusion de son portrait a été transmise à toutes les gendarmeries de France. Saïd Arif, en situation de récidive, risque trois ans de prison pour ne pas avoir respecté son assignation à résidence et la même peine pour le vol d'un véhicule.
L'enquête pour le retrouver a été confiée au SRPJ de Clermont-Ferrand.
En fin d'après-midi, ce dimanche, le plan Milan était levé. Selon le procureur de la République du Puy-en-Velay, "trois islamistes connus des services de polices demeurant dans la région lyonnaise vont prochainement être entendus par le SRPJ de Clermont-Ferrand. Ces trois hommes avaient dernièrement rendus visite à Saïd Arif à Brioude. Le frère et la soeur du fuyard, vivant également en France, seront eux aussi entendus."

Un homme au lourd passé de terroriste

Arrêté en Syrie en 2003, l'homme est extradé vers la France. Contre lui, un mandat d'arrêt international, pour des actes de terrorisme perpétrés sur le sol français en 2002. En 2007, le ressortissant algérien est condamné à cinq ans d'emprisonnement. Il en sort en décembre 2011. Une obligation de quitter le territoire français est prononcée à son encontre mais elle n'est pas mise à exécution. La raison : la Cour d'appel européenne des droits de l'homme qui s'oppose à son extradition vers l'Algérie, en raison de menaces qui pèsent sur lui. Saïd Arif est alors assigné à résidence à Millau où il viole son assignation en s'enfuyant. Mais il est retrouvé en Suède et extradé de nouveau vers la France où il est alors condamné à 6 mois de prison ferme.
Saïd Arif est une nouvelle fois assigné à résidence à Langeac puis à Brioude, depuis octobre 2012.
En avril dernier, l'homme refait parler de lui en tenant des propos faisant l'apologie du terrorisme dans les colonnes d'un hebdomadaire de Haute-Loire. Une enquête a été ouverte suite à son interview et il devait prochainement s'en expliquer devant la justice.

Réaction:

Pierre Cheynet, Membre du Comité central du FN, Secrétaire départemental du Front National de Haute-Loire réagit également à la fuite de Saïd Arif :

Le FN 43 demande des comptes à Manuel Valls :

Alors qu’il se trouvait à Brioude en résidence prétendument surveillée, le terroriste islamiste d’Al Qaïda Saïd Arif, condamné pour tentative d’attentat à l’arme chimique sur la Tour Eiffel, vient de s’évader une seconde fois en l’espace d’un an à bord d’un véhicule volé, échappant à la vigilance des services de police et de gendarmerie.

Exprimant la colère de centaines de Brivadois qui ont pétitionné avec le Front National pour réclamer l’incarcération de Saïd Arif, Pierre Cheynet, secrétaire départemental du Front National de Haute-Loire, réclame la démission du ministre de l’Intérieur Manuel Valls qui avait promis aux habitants de Brioude de réexaminer la situation de ce dangereux terroriste avant la fin du mois d’avril.

Le Front National de Haute-Loire dénonce par ailleurs le laxisme du député UMP Jean-Pierre Vigier et du maire de Brioude Jean-Jacques Faucher qui ont refusé de s'associer à sa demande d’incarcération alors que Saïd Arif faisait l’objet d'une enquête pour apologie du terrorisme dans la presse, ce qui justifierait légalement qu'il soit sous les verrous à l'heure qu'il est.


http://auvergne.france3.fr/2013/05/12/le-terroriste-islamiste-said-arif-en-residence-surveillee-brioude-en-fuite-249885.html

Zabou18 a écrit:Depuis ce samedi soir, Saïd Arif est en fuite. Il devait pointer à la gendarmerie de Brioude ce dimanche matin à neuf heures mais il ne s'est pas présenté. Il se serait enfui à bord d'un véhicule volé. L'enquête pour le retrouver a été confiée au SRPJ de Clermont-Ferrand.


Il devait se présenter à la gendarmerie de Brioude ce dimanche matin à neuf heures, comme il le fait plusieurs fois chaque jour. Saïd Arif devait pointer sa présence comme l'exige son assignation à résidence. Mais ce dimanche matin, le terroriste islamiste ne s'est pas présenté. Rapidement, les gendarmes se sont rendus là où il logeait, un hôtel du centre de Brioude. Sur place, ils ont constaté qu'il ne s'était pas présenté à la réception comme chaque matin pour prendre son petit-déjeuner. En se rendant dans sa chambre, les gendarmes ont constaté que le lit n'était pas défait, ce qui laisse supposer que l'homme a pris la fuite en début de soirée ce samedi, vers vingt deux heures, heure à laquelle il a été vu pour la dernière fois. Enfin, un véhicule stationné dans la cour de l'hôtel a été volé. Il s'agit d'une Citroën C3 grise, qui appartient à la belle-fille du propriétaire des lieux. Les clés, accrochées dans une armoire située dans la cuisine de l'hôtel, souvent fréquentée par Saïd Arif, ont pu facilement être dérobées par le fuyard.

Le plan Milan déclenché

Des moyens de recherche ont été aussitôt déclenchés ce dimanche matin. Il s'agit de l'opération Milan, connue également sous le nom de plan Epervier, un plan déclenché en cas d'enlèvement, d'évasion et de manière générale lorsqu'il faut rechercher et appréhender une personne recherchée dans une zone relevant de la gendarmerie.
Mais selon le procureur de la République du Puy -en-Velay, Jacques Louvier, "Saïd Arif peut être loin, même en dehors des frontières françaises. Nous ne sommes qu'à trois heures de la Suisse ou de l'Italie."
Une fiche de diffusion de son portrait a été transmise à toutes les gendarmeries de France. Saïd Arif, en situation de récidive, risque trois ans de prison pour ne pas avoir respecté son assignation à résidence et la même peine pour le vol d'un véhicule.
L'enquête pour le retrouver a été confiée au SRPJ de Clermont-Ferrand.
En fin d'après-midi, ce dimanche, le plan Milan était levé. Selon le procureur de la République du Puy-en-Velay, "trois islamistes connus des services de polices demeurant dans la région lyonnaise vont prochainement être entendus par le SRPJ de Clermont-Ferrand. Ces trois hommes avaient dernièrement rendus visite à Saïd Arif à Brioude. Le frère et la soeur du fuyard, vivant également en France, seront eux aussi entendus."

Un homme au lourd passé de terroriste

Arrêté en Syrie en 2003, l'homme est extradé vers la France. Contre lui, un mandat d'arrêt international, pour des actes de terrorisme perpétrés sur le sol français en 2002. En 2007, le ressortissant algérien est condamné à cinq ans d'emprisonnement. Il en sort en décembre 2011. Une obligation de quitter le territoire français est prononcée à son encontre mais elle n'est pas mise à exécution. La raison : la Cour d'appel européenne des droits de l'homme qui s'oppose à son extradition vers l'Algérie, en raison de menaces qui pèsent sur lui. Saïd Arif est alors assigné à résidence à Millau où il viole son assignation en s'enfuyant. Mais il est retrouvé en Suède et extradé de nouveau vers la France où il est alors condamné à 6 mois de prison ferme.
Saïd Arif est une nouvelle fois assigné à résidence à Langeac puis à Brioude, depuis octobre 2012.
En avril dernier, l'homme refait parler de lui en tenant des propos faisant l'apologie du terrorisme dans les colonnes d'un hebdomadaire de Haute-Loire. Une enquête a été ouverte suite à son interview et il devait prochainement s'en expliquer devant la justice.

Réaction:

Pierre Cheynet, Membre du Comité central du FN, Secrétaire départemental du Front National de Haute-Loire réagit également à la fuite de Saïd Arif :

Le FN 43 demande des comptes à Manuel Valls :

Alors qu’il se trouvait à Brioude en résidence prétendument surveillée, le terroriste islamiste d’Al Qaïda Saïd Arif, condamné pour tentative d’attentat à l’arme chimique sur la Tour Eiffel, vient de s’évader une seconde fois en l’espace d’un an à bord d’un véhicule volé, échappant à la vigilance des services de police et de gendarmerie.

Exprimant la colère de centaines de Brivadois qui ont pétitionné avec le Front National pour réclamer l’incarcération de Saïd Arif, Pierre Cheynet, secrétaire départemental du Front National de Haute-Loire, réclame la démission du ministre de l’Intérieur Manuel Valls qui avait promis aux habitants de Brioude de réexaminer la situation de ce dangereux terroriste avant la fin du mois d’avril.

Le Front National de Haute-Loire dénonce par ailleurs le laxisme du député UMP Jean-Pierre Vigier et du maire de Brioude Jean-Jacques Faucher qui ont refusé de s'associer à sa demande d’incarcération alors que Saïd Arif faisait l’objet d'une enquête pour apologie du terrorisme dans la presse, ce qui justifierait légalement qu'il soit sous les verrous à l'heure qu'il est.


http://auvergne.france3.fr/2013/05/12/le-terroriste-islamiste-said-arif-en-residence-surveillee-brioude-en-fuite-249885.html

Il était " incarcérable " depuis 1 mois pour apologie du terrorisme. La CEDH a REFUSE !!!!

Pierre Cheynet n'a cessé de demander son incarcération.

Valls déclare " c'est 1 homme dangereux! " mais laissé en liberté grâce à vos bons soins.

C'est certain que c'est mieux d'envoyer GM et CRS contre une manif paisible à Paris et de mettre en GAV des gens qui porte un tee shirt de LMPT !!!
Par contre, contre les tee shirts qui font l'apologie du djihad, rien.

Il viendra un jour où il faudra répondre de ces trahisons !

gemini a écrit:

Encore une histoire de Bisounours. Sous prétexte d'humanité, on organise le séjour dans de bonnes conditions d'une bête fauve. Un charognard ne doit être traité que comme tel. Qui doté d'un cerveau normal peut croire qu’un terroriste respectera ses engagements ? La solution passe par l'éradication de tous les malfaisants.

Et la CEDH avait interdit sa mise en fourrière, euh!! pardon en tôle !!!!

Moi, je ne vois que les méthodes revendiquées dans "Le Pacha" par J. Gabin.

Moi, les Peaux-Rouges, j'vais pas les envoyer devant les jurés de la Seine, comme ça, y'aura plus de remise de peine et de non-lieu... J'vais organiser la Saint-Barthélémy du mitan.
J.Gabin

Vol de la voiture de l'aubergiste qui le logeait. Vu avec 3 islamistes radicaux quelques temps avant. 5.000 € versés par pôle emploi !!!!!


http://www.lamontagne.fr/auvergne/actualite/2013/05/12/la-fuite-programmee-du-terroriste-islamiste-said-arif-1547402.html

La Cour Européenne des Droits de l'Homme n'est pas une cour mondiale des droits de l'homme et nous nous sommes soumis à son diktat, ses décisions ne sont pas celles de la justice du peuple et encore moins des peuples, pas plus d'Europe que d'ailleurs.
La CDEH est soumise à un aveuglement idéologique, c'est en effet la cour des Bisounours totalement déconnectée des réalités.

Je serais pour une solution plus radicale:
jugé terroriste = peine de mort appliquée dans les 3 jours qui suivent le jugement, sans possibilité d'appel.
Une balle dans la tête facturée à la famille.

Retour du corps au bled, emballé dans une peau de cochon.

Technique radicale

Valmy a écrit:

Zabou18 a écrit:Depuis ce samedi soir, Saïd Arif est en fuite. Il devait pointer à la gendarmerie de Brioude ce dimanche matin à neuf heures mais il ne s'est pas présenté. Il se serait enfui à bord d'un véhicule volé. L'enquête pour le retrouver a été confiée au SRPJ de Clermont-Ferrand.


Il devait se présenter à la gendarmerie de Brioude ce dimanche matin à neuf heures, comme il le fait plusieurs fois chaque jour. Saïd Arif devait pointer sa présence comme l'exige son assignation à résidence. Mais ce dimanche matin, le terroriste islamiste ne s'est pas présenté. Rapidement, les gendarmes se sont rendus là où il logeait, un hôtel du centre de Brioude. Sur place, ils ont constaté qu'il ne s'était pas présenté à la réception comme chaque matin pour prendre son petit-déjeuner. En se rendant dans sa chambre, les gendarmes ont constaté que le lit n'était pas défait, ce qui laisse supposer que l'homme a pris la fuite en début de soirée ce samedi, vers vingt deux heures, heure à laquelle il a été vu pour la dernière fois. Enfin, un véhicule stationné dans la cour de l'hôtel a été volé. Il s'agit d'une Citroën C3 grise, qui appartient à la belle-fille du propriétaire des lieux. Les clés, accrochées dans une armoire située dans la cuisine de l'hôtel, souvent fréquentée par Saïd Arif, ont pu facilement être dérobées par le fuyard.

Le plan Milan déclenché

Des moyens de recherche ont été aussitôt déclenchés ce dimanche matin. Il s'agit de l'opération Milan, connue également sous le nom de plan Epervier, un plan déclenché en cas d'enlèvement, d'évasion et de manière générale lorsqu'il faut rechercher et appréhender une personne recherchée dans une zone relevant de la gendarmerie.
Mais selon le procureur de la République du Puy -en-Velay, Jacques Louvier, "Saïd Arif peut être loin, même en dehors des frontières françaises. Nous ne sommes qu'à trois heures de la Suisse ou de l'Italie."
Une fiche de diffusion de son portrait a été transmise à toutes les gendarmeries de France. Saïd Arif, en situation de récidive, risque trois ans de prison pour ne pas avoir respecté son assignation à résidence et la même peine pour le vol d'un véhicule.
L'enquête pour le retrouver a été confiée au SRPJ de Clermont-Ferrand.
En fin d'après-midi, ce dimanche, le plan Milan était levé. Selon le procureur de la République du Puy-en-Velay, "trois islamistes connus des services de polices demeurant dans la région lyonnaise vont prochainement être entendus par le SRPJ de Clermont-Ferrand. Ces trois hommes avaient dernièrement rendus visite à Saïd Arif à Brioude. Le frère et la soeur du fuyard, vivant également en France, seront eux aussi entendus."

Un homme au lourd passé de terroriste

Arrêté en Syrie en 2003, l'homme est extradé vers la France. Contre lui, un mandat d'arrêt international, pour des actes de terrorisme perpétrés sur le sol français en 2002. En 2007, le ressortissant algérien est condamné à cinq ans d'emprisonnement. Il en sort en décembre 2011. Une obligation de quitter le territoire français est prononcée à son encontre mais elle n'est pas mise à exécution. La raison : la Cour d'appel européenne des droits de l'homme qui s'oppose à son extradition vers l'Algérie, en raison de menaces qui pèsent sur lui. Saïd Arif est alors assigné à résidence à Millau où il viole son assignation en s'enfuyant. Mais il est retrouvé en Suède et extradé de nouveau vers la France où il est alors condamné à 6 mois de prison ferme.
Saïd Arif est une nouvelle fois assigné à résidence à Langeac puis à Brioude, depuis octobre 2012.
En avril dernier, l'homme refait parler de lui en tenant des propos faisant l'apologie du terrorisme dans les colonnes d'un hebdomadaire de Haute-Loire. Une enquête a été ouverte suite à son interview et il devait prochainement s'en expliquer devant la justice.

Réaction:

Pierre Cheynet, Membre du Comité central du FN, Secrétaire départemental du Front National de Haute-Loire réagit également à la fuite de Saïd Arif :

Le FN 43 demande des comptes à Manuel Valls :

Alors qu’il se trouvait à Brioude en résidence prétendument surveillée, le terroriste islamiste d’Al Qaïda Saïd Arif, condamné pour tentative d’attentat à l’arme chimique sur la Tour Eiffel, vient de s’évader une seconde fois en l’espace d’un an à bord d’un véhicule volé, échappant à la vigilance des services de police et de gendarmerie.

Exprimant la colère de centaines de Brivadois qui ont pétitionné avec le Front National pour réclamer l’incarcération de Saïd Arif, Pierre Cheynet, secrétaire départemental du Front National de Haute-Loire, réclame la démission du ministre de l’Intérieur Manuel Valls qui avait promis aux habitants de Brioude de réexaminer la situation de ce dangereux terroriste avant la fin du mois d’avril.

Le Front National de Haute-Loire dénonce par ailleurs le laxisme du député UMP Jean-Pierre Vigier et du maire de Brioude Jean-Jacques Faucher qui ont refusé de s'associer à sa demande d’incarcération alors que Saïd Arif faisait l’objet d'une enquête pour apologie du terrorisme dans la presse, ce qui justifierait légalement qu'il soit sous les verrous à l'heure qu'il est.


http://auvergne.france3.fr/2013/05/12/le-terroriste-islamiste-said-arif-en-residence-surveillee-brioude-en-fuite-249885.html

Il était " incarcérable " depuis 1 mois pour apologie du terrorisme. La CEDH a REFUSE !!!!

Pierre Cheynet n'a cessé de demander son incarcération.

Valls déclare " c'est 1 homme dangereux! " mais laissé en liberté grâce à vos bons soins.

C'est certain que c'est mieux d'envoyer GM et CRS contre une manif paisible à Paris et de mettre en GAV des gens qui porte un tee shirt de LMPT !!!
Par contre, contre les tee shirts qui font l'apologie du djihad, rien.

Il viendra un jour où il faudra répondre de ces trahisons !

Puisse Dieu vous entendre & que TOUS ces collabos soient jugés un jour prochain ! quand on pense que cette crevure etait logé grace a l argent du contribuable FRANCAIS sans meme parler des frais engagé pour sa surveillance ! quel degout , quel pays de lopettes , nous sommes devenus , en etre reduit a obeir a des assocs europeennes qui nous obligent a engraisser des crevures pareilles ! pour moi , une solution pour le fellouz lui & quelques autres !

Je vous en avais parlé déjà en Mars 2012. Il s'était échappé de l'hôtel où il était nourri et logé aux frais de la princesse!!

http://www.partisansmarine.com/t8343-a-millau-un-gros-poisson-d-al-qaida-s-est-volatilise?highlight=islamiste+%C3%A0+Millau

chtimi54 a écrit:
Je serais pour une solution ni plus radicale:
jugé terroriste = peine de mort appliquée dans les 3 jours qui suivent le jugement, sans possibilité d'appel.
Une balle dans la tête facturée à la famille.

Retour du corps au bled, emballé dans une peau de cochon.

J'ajouterais : retour par bateau non réfrigéré.

chtimi54 a écrit:
Je serais pour une solution plus radicale:
jugé terroriste = peine de mort appliquée dans les 3 jours qui suivent le jugement, sans possibilité d'appel.
Une balle dans la tête facturée à la famille.

Retour du corps au bled, emballé dans une peau de cochon.

Juste efficace, rapide et peu coûteux.

Quarante islamistes sortent de prison chaque année en France



En fuite depuis dimanche, Saïd Arif est traqué par Interpol. Une affaire qui illustre les lacunes dans le suivi des djihadistes.


Combien d'islamistes dangereux échappent à la vigilance des services antiterroristes français? Le ministre de l'Intérieur vient de déclarer qu'il «fallait revoir les dispositions» concernant les djihadistes étrangers qui sortent des prisons françaises et se soustraient au suivi imposé par les autorités. Manuel Valls a même demandé que des «propositions» lui soient faites pour combler les failles de la législation, après la disparition, le week-end dernier, de Saïd Arif, ce djihadiste algérien qui, assigné à résidence depuis octobre 2012 à Brioude, en Haute-Loire, a pris la fuite à bord d'une voiture volée.

Arif n'est pas un cas isolé. Le Figaro est en mesure de révéler que sur la quarantaine d'activistes musulmans qui sortent de prison chaque année en France, «une demi-douzaine», selon un juge antiterroriste, «se soustraient régulièrement aux obligations de pointage dans les commissariats et les gendarmeries». «Il y a ceux qui, mis en examen, placé en détention un temps puis relâchés, attendent leur procès, et ceux qui, comme Arif, ont purgé leur peine, mais se soustraient au contrôle qu'impliquait leur statut d'étranger sous le coup d'une obligation de quitter le territoire», explique le magistrat.

Selon lui, «l'assignation à résidence pour ces cas particuliers n'est qu'un pis-aller. Mais puisque ces individus sont indésirables dans leur pays d'accueil ou que leur sécurité pourrait être mise en danger s'ils devaient y retourner, la Place Beauvau les envoie à la campagne, dans le Massif central ou ailleurs, en priant pour qu'ils se tiennent à carreau». Un pari à hauts risques.

Un système «ubuesque»

Le système est «ubuesque», proteste l'ancien patron de la justice antiterroriste Jean-Louis Bruguière, qui avait fait extrader Arif en 2004 pour qu'il soit jugé. L'ex-patron de l'antiterrorisme résume la situation par une image: «Nous attrapons les terroristes dans un filet aux mailles de plus en plus resserrées, pour les verser ensuite dans un seau rempli de trous, celui de l'exécution des peines.»

Chaque année, environ 80 à 90 islamistes sont arrêtés par les services antiterroristes nationaux (DCRI, SDAT, SAT de la brigade criminelle de Paris). La France interpelle même plus de la moitié des islamistes appréhendés dans toute l'Europe. Elle constitue bien le premier rempart de l'Union face à cette menace, selon les chiffres diffusés par l'office européen de police Europol, dans son rapport du 25 avril dernier sur le terrorisme. Sur ces 80 à 90 suspects, 40 à 50 filent tout droit en détention provisoire, en attendant l'instruction de leur affaire. On en juge une quinzaine par an. Le taux d'acquittement in fine pour faits de terrorisme est, selon Europol, de 7% en France.

L'essentiel est donc traité en correctionnelle, l'infraction d'association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste demeurant un outil de prévention efficace, mais qui a ses limites: dix ans de prison tout au plus. Un maximum très théorique.




Car selon Europol, le temps moyen infligé dans ces affaires est de cinq ans. Jean-Louis Bruguière ajoute: «Nombre de condamnés ne purgent pas la moitié de leur peine». Soit deux ans et demi de prison effective en moyenne. Saïd Arif est la parfaite illustration de cette règle, issue du droit commun, qui consiste à diviser par deux le temps d'emprisonnement prononcé à l'audience: condamné à dix ans, ce chef de réseau algérien est sorti au bout de cinq années seulement.

En 2005, Pascal Clément, alors ministre de la Justice, avait soutenu la création d'un juge d'application des peines national antiterroriste, pour centraliser à Paris le suivi carcéral des condamnés. Mais cela n'a pas suffi, même s'il permet d'harmoniser le régime des permissions de sortie et des libérations conditionnelles. Souvent le parquet fait appel des décisions prises.

«La Direction centrale du renseignement intérieur n'a pas les moyens humains suffisants pour suivre à la trace tous les islamistes sortis de prison. Elle est déjà concentrée sur les allers et venues des membres des filières qui émergent au fil des enquêtes», explique un préfet. Même incarcérés, certains djihadistes demeurent actifs. Le juge antiterroriste Marc Trévidic rappelle le cas de Safé Bourada, déjà condamné pour les attentats de 1995 et qui avait reconstitué un groupe terroriste en prison. Celui-ci projetait des attentats dans le métro parisien et contre l'aéroport d'Orly. L'arrestation de Saïd Arif, au profil tout aussi inquiétant, est une priorité pour la Place Beauvau.


http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/05/17/01016-20130517ARTFIG00647-quarante-islamistes-sortent-de-prison-chaque-annee-en-france.php