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ano
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Lion Date d'inscription : 22/05/2015
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Ven 27 Oct 2017 - 7:47

Écriture inclusive : un « péril mortel », selon l'Académie française

point, le 26 octobre 2017
(Source)


Dans une déclaration ce jeudi, les Immortels mettent en garde contre cette nouvelle norme vantée par les féministes.

L'écriture inclusive n'est pas du goût de tous et certainement pas de l'Académie française. Cette graphie qui consiste à inclure le féminin en utilisant des points à la fin des mots (lecteur.rice, par exemple) est défendue par les féministes comme manière de rendre les femmes plus visibles au sein de la société. Mais selon les Immortels, l'écriture inclusive qui tente d'être imposée comme une nouvelle norme est un « péril mortel » pour notre langue.

Dans une déclaration publiée, ils expliquent : « La démultiplication des marques orthographiques et syntaxiques qu'elle induit aboutit à une langue désunie, disparate dans son expression, créant une confusion qui confine à l'illisibilité », assure l'Académie française. On voit mal quel est l'objectif poursuivi et comment il pourrait surmonter les obstacles pratiques d'écriture, de lecture - visuelle ou à voix haute - et de prononciation. Cela alourdirait la tâche des pédagogues. Cela compliquerait plus encore celle des lecteurs », défendent-ils.

« Redoublement de complexité »

L'Académie française estime qu'elle se doit d'effectuer une mise en garde sur cette graphie en tant que « garante de l'avenir » : « Plus que toute autre institution, l'Académie française est sensible aux évolutions et aux innovations de la langue, puisqu'elle a pour mission de les codifier. En cette occasion, c'est moins en gardienne de la norme qu'en garante de l'avenir qu'elle lance un cri d'alarme : devant cette aberration inclusive, la langue française se trouve désormais en péril mortel, ce dont notre nation est dès aujourd'hui comptable devant les générations futures », assurent les Immortels, avant d'enchaîner : « Il est déjà difficile d'acquérir une langue, qu'en sera-t-il si l'usage y ajoute des formes secondes et altérées ? Comment les générations à venir pourront-elles grandir en intimité avec notre patrimoine écrit ? Quant aux promesses de la francophonie, elles seront anéanties si la langue française s'empêche elle-même par ce redoublement de complexité, au bénéfice d'autres langues qui en tireront profit pour prévaloir sur la planète », concluent-ils.

Et ils ne sont pas les seuls. Depuis plusieurs semaines, de nombreux intellectuels s'élèvent contre cette graphie. Peggy Sastre, essayiste et féministe, explique cette semaine pourquoi elle juge intellectuellement malhonnête d'affirmer que cette écriture aboutirait à une société plus égalitaire. Elle y fustige également un féminisme moralisateur inopérant et manichéen … elle est notamment utilisée par le président de la République …

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Macron : le pervers-narcissique !

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Comme le chien revient à son vomissement, le sot retourne à sa folie !
(Bible)

ano
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Lion Date d'inscription : 22/05/2015
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Mer 8 Nov 2017 - 13:24

L’écriture inclusive : l'autre fléau de Dieu ou l'hommage à Attila le Hun !

Dès aujourd’hui, l’écriture inclusive fait déjà des ravages au Québec …

L'écriture inclusive progresse sournoisement dans les manuels scolaires et trouve un écho dans la langue de l'administration comme en son temps la théorie du genre.
Bientôt, elle sera intégrée dans les logiciels de traitements de texte.
Demain ou après-demain, les grandes entreprises s'y rallieront dans un souci de « modernité », alors le ridicule les tuera …

La gangrène du savoir est à nos portes !
Comment certains peuvent ne pas comprendre que l'écriture inclusive va creuser davantage le fossé générationnel ?
Comment certains peuvent ne pas comprendre que l'écriture inclusive va même entraver la transmission des savoirs ?

La transmission des savoirs efficace est pourtant une des principales sources de vie de l'humanité.
Ainsi, comment face aux défis qui se dressent face à l'humanité peut-on prendre le moindre risque à ce sujet ?

« Y sont complétement fous ces pseudo-progressistes !!! »


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ano
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Lion Date d'inscription : 22/05/2015
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Mar 14 Nov 2017 - 13:31

L'appel des anti-écriture inclusive

figaro, le 11 novembre 2017
(Source)


Une pétition lancée vendredi par une enseignante s'insurge « contre ces combats féministes qui abîment la langue ». Un collectif de professeurs adresse une lettre ouverte à Jean-Michel Blanquer.

Entre pétition et lettre ouverte, les opposants à l'écriture inclusive, dont de nombreux enseignants, commencent à s'organiser. Professeur de lettres au lycée Saint-Louis-de-Gonzague, à Paris, fréquenté il y a peu par Brigitte Macron, Emmanuelle Fontenit a créé vendredi 10 novembre une contre-pétition sur le site change.org destinée au ministre de l'Éducation. « J'espère qu'elle permettra de contrer les Trissotin des temps modernes », nous indique cette enseignante qui entend représenter la « majorité silencieuse ». Elle souhaite ainsi s'opposer à la pétition lancée par le professeur de lettres Eliane Viennot laquelle prône l'abandon de la règle qui veut que le masculin l'emporte sur le féminin.

Intitulée « Contre ces combats féministes qui abîment la langue française », la pétition d'Emmanuelle Fontenit débute ainsi: « Entre écriture dite «inclusive» et retour sur des règles appliquées depuis des siècles sans que personne n'y ait rien trouvé à redire jusqu'à maintenant, certains idéologues ont décidé de mener une attaque en règle contre notre langue, déjà bien mise à mal par des pratiques pédagogiques débiles qui ont abîmé des générations d'écoliers, collégiens, lycéens. Ceux-ci ne savent plus écrire sans faire de fautes grossières.

Il est temps d'arrêter le massacre. Que la voix de la majorité silencieuse s'élève enfin pour soutenir un combat vraiment légitime: permettre à tout enfant de France d'acquérir les bases élémentaires de l'orthographe et de la grammaire!!! Et non pas leur bourrer le crâne d'insanités sous prétexte de « féminisme ».

Nous souhaitons donc voir bannir de l'Education Nationale tout manuel, « apprentissage », ou méthode propre à semer la confusion dans les esprits en formation dont nous, professeurs, avons la charge. »

L'anti exemple canadien

De son côté le collectif Condorcet « regroupant des enseignants et des parents d'élèves qui refusent les réformes mettant à mal l'Éducation Nationale » a envoyé une lettre ouverte à Jean-Michel Blanquer au sujet de l'écriture inclusive, « avec un regard nouveau, celui du Canada qui en a connu une utilisation massive il y a 20 ans, puis s'en est détaché ».

« Loin de vouloir attiser conflits et polémiques, nous souhaitons éviter que la lutte au quotidien pour l'égalité entre les femmes et les hommes - idée louable en soi - ne se transforme en erreur fatale pour notre société, toujours imprégnée par un idéal de clarté, d'intelligibilité, voire d'élégance (...) .

Et cette erreur serait la propagation de l'écriture inclusive dans le quotidien des Français, et plus particulièrement dans le contexte de l'école, que ce soit dans un manuel scolaire, tel que l'ouvrage Magellan et Galilée Questionner le monde, destiné aux élèves de CE2 et publié en mars 2017 par Hatier, ou dans un récent document de rentrée émanant de l'Inspection Pédagogique à destination des enseignants de Lettres dans l'académie de Lyon (rédigé en écriture inclusive. Ndlr).

Le Canada, autre grande nation francophone, s'est ainsi penché sur cette question de l'égalité entre les femmes et les hommes à travers le langage. Si l'on observe de près ce qui s'est passé dans la province de l'Ontario dans les années 90, on peut constater que l'écriture inclusive y était en usage. Leur réflexion a continué à s'enrichir des apports de leur expérience, et dès 2002 l'Office of Francophone Affair a publié un « Guide de rédaction non sexiste » dans lequel il préconise d'éviter la graphie inclusive, indiquant que :

« Le recours aux parenthèses, points, barres obliques et traits d'union gêne la lisibilité et ne respecte pas la grammaire. » Cette présentation graphique semble d'ailleurs contre-productive au regard de l'égalité, puisque, plaçant le masculin en premier, au contact de la racine, elle le fait toujours « l'emporter sur le féminin », relégué et isolé par un point. (...) Pourquoi ne pas se servir de l'expérience et des conclusions du Canada qui a compris il y a 20 ans déjà l'impasse que représente l'écriture inclusive et a su la dépasser sans faire de concession sur l'égalité hommes/femmes? Avons-nous besoin nous aussi de tester une catastrophe annoncée? (...) Les résultats de tests le montrent : nos élèves sont déjà en décrochage par rapport à la lecture standard. La maîtrise de la langue à l'école élémentaire ainsi que le principe de plaisir lié à la lecture sont des priorités absolues. Retrouver de la sérénité à l'école, tant au niveau des élèves qu'à celui du corps enseignant, mais aussi dans la société, est également une priorité. Mais comment être une nation «une» si la langue nous divise jusqu'au cœur de sa graphie?»

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dysneylandresort
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Gémeaux Date d'inscription : 15/12/2011
Passion : La fiscalité belge!
Humeur : LA FRANCE?...LE SEUL PAYS OU LE COMMUNISME A REUSSI!

L'écriture inclusive : la folie des bobos, la folie des benêts ! Empty l anglophonie susceptible de faire disparaître le français tout simplement!

Mar 14 Nov 2017 - 18:02
ano a écrit:

L'appel des anti-écriture inclusive


figaro, le 11 novembre 2017
(Source)


Une pétition lancée vendredi par une enseignante s'insurge « contre ces combats féministes qui abîment la langue ». Un collectif de professeurs adresse une lettre ouverte à Jean-Michel Blanquer.

Entre pétition et lettre ouverte, les opposants à l'écriture inclusive, dont de nombreux enseignants, commencent à s'organiser. Professeur de lettres au lycée Saint-Louis-de-Gonzague, à Paris, fréquenté il y a peu par Brigitte Macron, Emmanuelle Fontenit a créé vendredi 10 novembre une contre-pétition sur le site change.org destinée au ministre de l'Éducation. « J'espère qu'elle permettra de contrer les Trissotin des temps modernes », nous indique cette enseignante qui entend représenter la « majorité silencieuse ». Elle souhaite ainsi s'opposer à la pétition lancée par le professeur de lettres Eliane Viennot laquelle prône l'abandon de la règle qui veut que le masculin l'emporte sur le féminin.

Intitulée « Contre ces combats féministes qui abîment la langue française », la pétition d'Emmanuelle Fontenit débute ainsi: « Entre écriture dite «inclusive» et retour sur des règles appliquées depuis des siècles sans que personne n'y ait rien trouvé à redire jusqu'à maintenant, certains idéologues ont décidé de mener une attaque en règle contre notre langue, déjà bien mise à mal par des pratiques pédagogiques débiles qui ont abîmé des générations d'écoliers, collégiens, lycéens. Ceux-ci ne savent plus écrire sans faire de fautes grossières.

Il est temps d'arrêter le massacre. Que la voix de la majorité silencieuse s'élève enfin pour soutenir un combat vraiment légitime: permettre à tout enfant de France d'acquérir les bases élémentaires de l'orthographe et de la grammaire!!! Et non pas leur bourrer le crâne d'insanités sous prétexte de « féminisme ».

Nous souhaitons donc voir bannir de l'Education Nationale tout manuel, « apprentissage », ou méthode propre à semer la confusion dans les esprits en formation dont nous, professeurs, avons la charge. »

L'anti exemple canadien

De son côté le collectif Condorcet « regroupant des enseignants et des parents d'élèves qui refusent les réformes mettant à mal l'Éducation Nationale » a envoyé une lettre ouverte à Jean-Michel Blanquer au sujet de l'écriture inclusive, « avec un regard nouveau, celui du Canada qui en a connu une utilisation massive il y a 20 ans, puis s'en est détaché ».

« Loin de vouloir attiser conflits et polémiques, nous souhaitons éviter que la lutte au quotidien pour l'égalité entre les femmes et les hommes - idée louable en soi - ne se transforme en erreur fatale pour notre société, toujours imprégnée par un idéal de clarté, d'intelligibilité, voire d'élégance (...) .

Et cette erreur serait la propagation de l'écriture inclusive dans le quotidien des Français, et plus particulièrement dans le contexte de l'école, que ce soit dans un manuel scolaire, tel que l'ouvrage Magellan et Galilée Questionner le monde, destiné aux élèves de CE2 et publié en mars 2017 par Hatier, ou dans un récent document de rentrée émanant de l'Inspection Pédagogique à destination des enseignants de Lettres dans l'académie de Lyon (rédigé en écriture inclusive. Ndlr).

Le Canada, autre grande nation francophone, s'est ainsi penché sur cette question de l'égalité entre les femmes et les hommes à travers le langage. Si l'on observe de près ce qui s'est passé dans la province de l'Ontario dans les années 90, on peut constater que l'écriture inclusive y était en usage. Leur réflexion a continué à s'enrichir des apports de leur expérience, et dès 2002 l'Office of Francophone Affair a publié un « Guide de rédaction non sexiste » dans lequel il préconise d'éviter la graphie inclusive, indiquant que :

« Le recours aux parenthèses, points, barres obliques et traits d'union gêne la lisibilité et ne respecte pas la grammaire. » Cette présentation graphique semble d'ailleurs contre-productive au regard de l'égalité, puisque, plaçant le masculin en premier, au contact de la racine, elle le fait toujours « l'emporter sur le féminin », relégué et isolé par un point. (...) Pourquoi ne pas se servir de l'expérience et des conclusions du Canada qui a compris il y a 20 ans déjà l'impasse que représente l'écriture inclusive et a su la dépasser sans faire de concession sur l'égalité hommes/femmes? Avons-nous besoin nous aussi de tester une catastrophe annoncée? (...) Les résultats de tests le montrent : nos élèves sont déjà en décrochage par rapport à la lecture standard. La maîtrise de la langue à l'école élémentaire ainsi que le principe de plaisir lié à la lecture sont des priorités absolues. Retrouver de la sérénité à l'école, tant au niveau des élèves qu'à celui du corps enseignant, mais aussi dans la société, est également une priorité. Mais comment être une nation «une» si la langue nous divise jusqu'au cœur de sa graphie?»

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Oui et comme le français est déjà une langue compliquée mal connue des élèves qui font des fautes énormes et qui ne connaissent que très peu de vocabulaire; pour eux la grammaire anglaise sera plus facile et l internationalisme dans c monde de mondialisation seront les coup de grâce définitifs de notre langue déjà peu apprise à l'étranger!
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Lion Date d'inscription : 22/05/2015
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Jeu 16 Nov 2017 - 17:38

Roland magdane - Masculin vs Feminin -

(Source)


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Lion Date d'inscription : 22/05/2015
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Mer 22 Nov 2017 - 11:14

C'est faire acte de sagesse que de renoncer à l'écriture inclusive

figaro, le 22 novembre 2017
(Source)


L'académicien Frédéric Vitoux se félicite de l'annonce du Premier ministre qui vient de proscrire l'écriture inclusive des documents officiels. Il explique au Figaro pourquoi son emploi est voué à l'échec.

Le « péril mortel » de l'écriture inclusive ne gangrènera pas les hautes sphères du politique. Mardi 21 novembre, le Premier ministre, Edouard Philippe, a donné pour consigne à ses ministres de bannir des textes officiels l'écriture inclusive. « Outre le respect du formalisme propre aux actes de nature juridique, les administrations relevant de l'État doivent se conformer aux règles grammaticales et syntaxiques, notamment pour des raisons d'intelligibilité et de clarté de la norme », a-t-il expliqué dans un formulaire.

Le Premier ministre, Edouard Philippe, a donné comme consigne à ses ministres de bannir l'écriture inclusive des documents officiels. Qu'en pensez-vous ?

Je me félicite de la sagesse du Premier ministre, Edouard Philippe. Je ne sais pas quels usages étaient de mise jusqu'à maintenant dans les documents officiels mais je ne peux que m'en réjouir. À une époque où l'on assiste à une perte complète de sens dans la langue, imposer une complexité nouvelle dans l'écriture relevait de la folie. Surtout lorsque l'on sait que l'Éducation est en faillite sur ce sujet. Aujourd'hui, 20 % des élèves qui rentrent au collège ne comprennent pas les textes qu'ils lisent.

« Le vrai combat féministe qu'il faut mener aujourd'hui ne se situe pas dans l'écriture inclusive »

La graphie inclusive, dans son bégaiement épileptique, est non seulement quelque chose d'invraisemblable mais très difficile à mettre en œuvre. C'est donc faire acte de sagesse que de renoncer à cette idée absurde.

La langue française est le bien commun de tous les locuteurs français. Elle n'appartient à personne, car elle appartient à tout le monde. À part dans un régime totalitaire, aucun gouvernement n'a le pouvoir de dire que l'on devra parler de telle ou telle manière. Aussi je me méfie des gouvernements, quels qu'ils soient, qui auraient un point de vue autoritaire sur une langue qui ne leur appartient pas. Mais il peut y avoir des préconisations !

Ce que nous dit le Premier ministre est une chose de bon sens: ‘Ce n'est pas à nous autoritairement de donner l'ordre de changer notre manière de parler et d'écrire.' Avec cette annonce, Edouard Philippe est dans son droit de préserver un bien commun dont il a le sentiment qu'il ne lui appartient pas. C'est donc une préconisation contre ceux qui veulent justement, autoritairement, changer la langue. Il nous rappelle que nous n'avons pas à suivre les injonctions d'une minorité de personnes.

L'écriture inclusive serait-elle alors un faux combat ?

Le vrai combat féministe qu'il faut mener aujourd'hui ne se situe pas dans l'écriture inclusive. C'est déplacer sur un mauvais terrain, un combat qui a des priorités dans tant d'autres domaines tels, le harcèlement sexuel, l'égalité entre les hommes et les femmes selon les religions, etc. L'écriture inclusive est un faux problème. Les féministes se trompent de combat. Attaquer la langue française et la prendre en otage pour des combats inopportuns, c'est regrettable.

J'ajouterais, comme me l'a récemment rappelé mon ami Dany Laferrière, que l'écriture inclusive a un temps été à la mode au Canada. Mais que cette dernière est aujourd'hui en recul, car son usage est non seulement impossible mais ridicule.

Ne serait-ce pas finalement complexifier la langue française et créer de nouveaux obstacles, notamment pour les non-voyants comme l'a expliqué l'association des Aveugles de France, que d'employer l'écriture inclusive?

Oui, j'en parlais avec mon ami Yves Pouliquen, l'un de nos plus grands ophtalmologistes, membre de l'Académie française, qui s'est particulièrement penché sur l'écriture braille. Il m'expliquait qu'employer l'écriture inclusive serait de la folie. Elle est tout simplement impossible à appliquer.

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Lion Date d'inscription : 22/05/2015
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Ven 20 Avr 2018 - 14:01

Liberté, Égalité.... « Adelphité »


Communiqué de presse de Mylène Troszczynski
Député du groupe ENL – Membre de la Commission FEMM
19 avril 2018
(Source)


Le Haut Conseil à l’Égalité (HCE), créé par décret sous la présidence de F. Hollande et inscrit dans la loi Égalité et Citoyenneté du 27 janvier 2017, a pour mission « d’assurer la concertation avec la société civile et d’animer le débat public sur les grandes orientations de la politique des droits des femmes et de l’égalité ».

Véritable incubateur de concepts sociétaux progressistes, on y retrouve les « stéréotypes de genre », les « rôles sociaux », les « violences de genre » etc. C’est-à-dire tous les verbatim ringards trop souvent utilisés par les pseudo-défenseurs des femmes au Parlement européen.

Le 18 avril, très probablement inspiré par la visite du Premier ministre canadien M. Trudeau à Paris, le HCE a rendu ses recommandations pour l’amélioration de l’égalité entre les hommes et les femmes. La langue française y est une nouvelle fois durement visée : il s’agirait de recourir systématiquement à une écriture égalitaire (comprenez inclusive) ou alors d’abandonner toute référence aux Droits de l’Homme pour lui préférer les Droits Humains. Le HCE préconise également d’introduire dans la Constitution la notion de citoyenne ou d’oublier le terme de fraternité, dont la racine latine Frater exclurait de fait les femmes, pour lui préférer le néologisme « Adelphité », terme évidemment inconnu du dictionnaire donc totalement vide de sens.

Messieurs Trudeau et Macron sont en pleine lune de miel. Tant mieux. Mais la langue française n’appartenant ni à l’un ni à l’autre ne peut donc logiquement pas faire les frais de ces délires idéologiques décadents et décatis. L’Académie française avait d’ailleurs déjà poliment éconduit ces initiatives. Si le HCE n’est capable que de produire ce genre de rapport, il serait préférable d’en faire l’économie et de s’en débarrasser. Pour promouvoir une gestion…en bon père de famille !

**

Le HCE : l’incubateur de blaireaux !

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Tous ensemble contre la reproduction des parasites Trudeau et Macron !

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Mer 2 Mai 2018 - 12:41

Entre bêtise et bégaiement …

Lorsque les gens parlent correctement Français et disent, par exemple, Madame « le » député, ils sont inévitablement repris par « les benêts de l’écriture dite discursive » (en réalité irraisonnée) par : « Madame « la » député » …

Mais cette formulation ne constitue-t-elle pas très clairement une répétition ?
C’est du niveau cours préparatoire !
Apparemment, leurs parents les considéraient certainement tellement intelligent qu’ils leurs ont fait « sauté » cette classe …

Cela montre le niveau « intellectuelle » de la gauche. Une véritable « décharge » intellectuelle devrait-on dire !

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Sam 24 Nov 2018 - 11:37

« Imaginer que modifier l'orthographe va empêcher un salopard de battre sa femme,

c'est un délire d'intellectuels ! »

figaro, le 23 novembre 2018
(Source)


Les deux linguistes Jean Szlamowicz et Xavier-Laurent Salvador s'attaquent dans un essai stimulant aux rapports entre le sexe et la langue. Ils dénoncent la volonté de certaines féministes militantes qui voudraient « changer les mentalités » en tordant le cou à la grammaire, notamment via « l'écriture inclusive ».

Jean Szlamowicz, linguiste, professeur des universités, est normalien, agrégé d'anglais et traducteur. Il publie Le sexe et la langue aux éditions Intervalles, assorti d'un court essai « Archéologie et étymologie du genre », de Xavier-Laurent Salvador, linguiste à l'Université Paris 13 et professeur agrégé de Lettres Modernes.

Dans Le sexe et la langue, vous vous érigez contre l'instrumentalisation militante du langage par les féministes, notamment via l'imposition de l'écriture inclusive. Vous ne pensez pas qu'en changeant la langue, en la rendant plus « inclusive » ou « représentative » on agira sur l'égalité ?

Jean SZLAMOWICZ
Ah, la quête de la langue parfaite… Umberto Eco avait écrit un ouvrage entier sur le sujet ! La rédemption du monde par la langue est une vieille croyance qui n'est pas exempte de mysticisme. Si c'était le cas, ce serait merveilleux. Croire qu'une langue morale rendrait les humains parfaits est un fantasme utopiste. D'ailleurs, croire que la langue renferme un message moral est une vue de l'esprit.

Sur le strict plan juridique et culturel, la société française n'a jamais été aussi égalitaire : ce n'est donc pas la langue qui aurait empêché cette évolution ! Le problème que pose l'écriture inclusive, c'est qu'en cherchant des injustices dans un domaine — la langue — qui ne relève ni de la représentativité, ni de l'égalité, ni du privilège, on n'agit que négativement. En fait, cela a deux effets pervers. D'une part, on reconduit le statut de victime de la femme contre lequel on prétend lutter en inventant une inégalité, ce qui enfonce la femme dans une identité victimaire. Et d'autre part, on gomme les véritables injustices sociales et le vrai travail à mener sur le statut de la femme dans la société. Les injustices existent — dans le monde professionnel, dans les rôles sociaux, et même, selon les milieux culturels, dans la sujétion à l'homme comme autorité — mais pas dans l'orthographe… Imaginer que modifier l'orthographe va empêcher un salopard de battre sa femme, c'est un délire d'intellectuels !

Si on prenait vraiment au pied de la lettre cette proposition consistant à agir sur les mentalités par l'orthographe, il faudrait se représenter ce que cela signifie : que l'orthographe dirige l'organisation sociale, dirige les rapports entre femmes et hommes et a été instituée pour opprimer les femmes. Cela relève du complotisme. Les véritables forces sociales et culturelles sont ailleurs. Par exemple, il n'y a pas de genre grammatical en turc : il y a donc égalitarisme du processus de référenciation. Est-ce que cela garantit vraiment l'égalité entre femmes et hommes dans la société turque ? Il n'y a pas non plus de genre en finlandais : est-ce que cela implique que le statut de la femme sera le même que dans la société turque ? Vouloir comparer les sociétés à partir de leur grammaire ou de leur graphie n'a aucun sens.

La langue n'a pas d'intention. La langue ne légifère pas. Cette accusation est extravagante et confond sans scrupule les humains et les signes graphiques : les femmes ne sont pas un « e » !

Certains accusent la langue française « d'invisibiliser » les femmes. Est-ce la réalité ?

C'est un drôle de concept l'« invisibilisation ». On se sent obligé de mettre des guillemets — même à l'oral ! C'est une métaphore et une hyperbole. La langue n'a pas de pouvoir ophtalmique magique. La langue n'a pas d'intention. La langue ne légifère pas. Cette accusation est extravagante et confond sans scrupule les humains et les signes graphiques : les femmes ne sont pas un « e »!

L'usage du masculin générique (dire le candidat, par exemple et non le.la candidat.e) qui gêne tant les militants n'est un problème que parce qu'on appelle ces formes « masculines ». Dans la réalité sémantique et grammaticale, ces formes sont des neutres (qui s'appliquent aux femmes comme aux hommes) : il se trouve que la forme qui s'applique aux hommes est identique, alors que les femmes ont une forme exclusive. En discours, on sait si on parle d'un homme (on a un nouveau un candidat sur le poste), d'une femme (on a retenu la première candidate) ou d'aucun en particulier (le candidat se présentera à l'heure précisée sur sa convocation). On pourrait tout aussi bien dire l'inverse du discours militants : c'est la femme qui est « visibilisée » par ce système tandis que la forme masculine est toujours susceptible d'être « fusionnée » à des représentants du sexe féminin… Ce ne sont que des interprétations anthropomorphiques : les systèmes de signes fonctionnent sans se soucier de représentativité.

L'opposition entre féminin et masculin est-elle constitutive du langage ?

Disons plutôt que chaque langue possède son système. L'opposition masculin / féminin peut se marquer de quantité de manières différentes : sur le verbe comme en hébreu, où le genre renvoie au sexe du locuteur ; ou bien sur tous les mots du lexique, comme en français, où le genre ne renvoie pas au sexe. On dit qu'il est grammaticalisé, c'est-à-dire qu'il possède une fonction de marquage des types de mots et pas de désignation de leur réalité sexuée. Le sexe n'est qu'une façon de séparer des entités car il y a bien d'autres oppositions dans les langues : humain /non humain ; animé / non animé ; singulier / pluriel / duel, etc.

L'opposition masculin/ féminin ne doit pas être confondue avec mâle / femelle — cette confusion est à la source du problème et c'est ce qui fait qu'on peut s'en emparer politiquement — au prix d'approximations et de facilités qui ne s'embarrassent guère de la réalité linguistique et qui monte en épingle des micro-faits sans s'occuper de la cohérence du système linguistique. Quand je dis « une brute », vous ne pensez pas à une femme… et pourtant, c'est un « féminin ». L'étiquette « masculin/ féminin » est une métaphore : c'est l'opposition type de l'humanité et cela permet d'opposer des types de mots. Il se trouve que selon les langues, cela correspond aussi — parfois plus, parfois moins — à la différence entre « mâle » et « femelle ».

La féminisation des noms est-elle une véritable question ? Faut-il laisser faire l'usage ou bien l'imposer ?

Xavier-Laurent SALVADOR
La féminisation est une institution historique qui date des années 80 lorsque Pierre Mauroy appelle Yvette Roudy au nouveau ministère des Droits de la femme. Elle y crée la commission de terminologie dont la circulaire du 11 mars 1986 promeut la parité et sa traduction dans le vocabulaire. Le progrès social fut alors moins politique qu'initié par une longue tradition populaire. Lionel Jospin l'avait acté en préface du Guide officiel « Femme J'écris ton nom » de 1999 : « Les linguistes le savent depuis longtemps : cette affaire n'est pas la leur. Elle concerne la société ». La France n'avait en effet pas attendu qu'on l'encourage à féminiser : la soldate est un mot français depuis 1606 ; l'abeille est ouvrière depuis l'Encyclopédie ; Hélène Boucher est aviatrice pour la presse des années 50 ; en 1864, Claretie évoque les professions de l'avocate et de la médecine; Baïf évoquait la maîtresse d'escole ; Villon écrit une ode à la heaumière, l'Académie en 1932 avait proposé pharmacienne, les speakerines étaient sur les écrans et Desproges en parlant à Inès de la Fressange convoquait le personnage de la tourneuse fraiseuse. La littérature a donc fait des propositions dont la responsabilité de l'emploi est partagée par tous. Attention donc : la question de la féminisation est un enjeu législatif qui répond par un enrichissement lexical à une faiblesse historique. Elle ne se confond surtout pas avec une orthographe pseudo-inclusive qui appauvrit le système par la subversion de l'usage : si je dis qu'un « étudiant » vient, je signifie : un garçon, une fille ou toute autre forme de sexualité — c'est la force du masculin-neutre. « L'étudiant.e » n'est que l'un ou l'autre : c'est une pauvreté inclusive.

Vous parlez de « surveillance totalitaire » pour qualifier les tentatives de remodeler le langage. N'est-ce pas exagéré ? Faut-il trouver simplement ridicule ces tentatives d'ingénierie langagière ou bien s'en inquiéter ?

À partir du moment où l'écriture inclusive deviendrait une exigence administrative et morale, il s'agirait d'une tentative d'imposer une norme aux individus. C'est aussi une rupture du pacte de neutralité : l'entrisme de l'écriture inclusive transforme les rapports épistolaires car, selon les milieux professionnels, la moindre correspondance est déjà marquée par ce clivage où chacun repère désormais des adversaires en surveillant leurs usages graphiques. Forcément, il y a des phénomènes de suivisme, d'obéissance, d'embrigadement, d'alignement sur les supérieurs, etc. La tentation de l'imposer par la loi franchirait une ligne décisive dans le contrôle des façons de s'exprimer. On sent pointer la possibilité de sanctions : c'est une pratique répressive qui veut forcer chacun à s'aligner sur une pensée.

Mais l'écriture inclusive est impraticable, hormis dans un nombre de cas très limités. Elle se signale rapidement par son ridicule et ses contradictions. À cet égard, elle ne peut pas se développer. Vous imaginez un roman en écriture inclusive ? Ce serait illisible ! L'écriture inclusive est une lubie qui se prend au sérieux, mais effectivement, il vaut mieux s'en moquer.

« Heureusement que l'écriture est conservatrice : c'est sa raison d'être », écrivez-vous. Qu'entendez-vous par là ?

Jean SZLAMOWICZ
L'écriture sert à figer : sans écriture, pas d'histoire. C'est même ainsi, par l'absence de traces écrites, que l'on a tendance à définir la préhistoire. Sans écriture pour conserver la parole, la pensée et les connaissances, il est difficile d'envisager une communication à grande échelle. La culture est liée à la transmission, pas à l'effacement de ce qui ne nous plaît pas. L'histoire de l'écriture est l'histoire d'un figement des pratiques pour permettre qu'elles soient partagées.

Ce qui importe dans l'écriture, c'est que tout le monde écrive pareil, d'où son conservatisme nécessaire : si l'on change tout le temps les normes, même pour « améliorer » les choses, on introduit une incertitude dans le code orthographique qui empêche son automatisation. L'arbitraire orthographique — toutes ces exceptions qui nous embêtent dans l'apprentissage — est le fruit d'une sédimentation qui doit au hasard et, à la marge, à des décisions pratiques. Cela permet justement de ne pas avoir à décider du meilleur code graphique possible puisqu'il est déjà figé et, surtout, parce qu'il ne dépend pas de nous. L'écriture inclusive introduit l'idée qu'on pourrait avoir une orthographe investie d'un souci moral — et, du coup, différente selon ses sensibilités politiques : sur le plan social, c'est éminemment clivant… et c'est fort peu « inclusif » !

Évidemment, je prends là « conservateur » au sens propre alors que le mot « conservateur » est souvent employé dans un cadre idéologique avec des connotations négatives, parce qu'on veut l'opposer à « progressiste ». C'est un artifice et c'est une polarisation qu'il faut refuser. Les étiquetages de type « réactionnaire » et « révolutionnaire » n'ont de sens que pour les militants qui y croient et qui veulent intimider et diaboliser un adversaire. Intellectuellement, c'est une escroquerie. Il n'y a pas de progrès en grammaire.

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Macron : charabia & manipulation !

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Macron : franglais, écriture inclusive, … a-t-il la lumière à tous les étages ?

gemini
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Gémeaux Date d'inscription : 07/12/2011
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Sam 24 Nov 2018 - 13:40
Cette minorité malfaisante va devoir être écartée du pouvoir de façon définitive
ano
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Lion Date d'inscription : 22/05/2015
Passion : poli(tique, tesse, ...)

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Sam 9 Fév 2019 - 12:24

« Monstruosités grammaticales » : un chercheur s'alarme de l'écriture inclusive au CNRS

rt, le 6 février 2019
(Source)


L'Académie française a adopté le 26 octobre 2017, à l'unanimité, une déclaration contre l'écriture dite « inclusive ». Pour autant le CNRS fait fi de cet avis, ce qui inquiète l’un de ses chercheurs, Marcel Kuntz. Il dénonce une dérive idéologique.  

Marcel Kurtz, chercheur en biotechnologie au CNRS, a exprimé, à la faveur d’une tribune publiée le 4 février dans Le Figaro, son opposition à la généralisation de l’écriture inclusive. Si l’Académie française s’est clairement opposée à son application le 26 octobre 2017, ce biotechnologiste végétal et directeur de recherche au Laboratoire de physiologie cellulaire végétale du CNRS à Grenoble, remarque, non sans regret, la féminisation des termes dans des documents édités par son centre de recherche. Un procédé qui engendre selon lui « des monstruosités grammaticales telles que « technicien.ne.s, ingénieur.e.s et chercheur.e.s ».

Selon lui, l’objectif affiché « d’imposer une égalité des représentations entre les femmes et les hommes », cache en réalité « un champ de bataille idéologique, où resurgit la dialectique marxiste des rapports exploiteurs/exploités, oppresseurs/opprimés, revisitée par l'idéologie postmoderne – où la société est vue comme une juxtaposition de communautés, la plupart rangées en catégories victimaires (dont les femmes) ». Un égalitarisme exacerbé qui aurait en outre pour « faire endosser aux mâles hétérosexuels le statut de Bourreau ».

La théorie du genre décriée

Se félicitant de l’absence d’une inégalité de traitement entre les hommes et les femmes dans le domaine de la recherche, « ce milieu est culturellement tourné vers la prise en compte de la production scientifique et non pas vers d'autres critères [sexuels, ethniques, etc.] », assure-t-il, Marcel Kurtz désapprouve néanmoins l’existence d’une « Mission pour la place des femmes au CNRS ». Selon lui, cette initiative est symptomatique d’une dérive causée par la théorie du genre.

« Cette Mission n'en reste pas moins influencée par l'idéologie du genre, impulsée par des sciences humaines et sociales, thuriféraires du postmodernisme. Parmi les déconstructions du postmodernisme (les Lumières, la science, la vérité, la nation, la transmission) figure aussi l'altérité des sexes. Et pour ces idéologues, s'il n'y a pas une parité absolue dans telles ou telles disciplines scientifiques, ou dans tels ou tels postes, cela ne peut être dû qu'à des « discriminations » ou à des « stéréotypes genrés » inculqués par la société ».

Enfin, revenant à l’écriture inclusive, il accuse ses ardents défenseurs de faire la promotion du « mythe constructiviste » et notamment de balayer d’un revers de main « l’héritage civilisationnel » de l'homme. « Il s'agit en réalité d'un rêve despotique, peut-être doux, de bobos bien-pensants, mais une forme de despotisme quand même, portée par des inquisiteurs qui veulent nettoyer la grammaire et le langage et éliminer tout comportement non-politiquement correct », écrit-il.

Et de conclure sous la forme de questions rhétoriques : « Une vision politisée dénonçant comme « réactionnaire antigenre » toute critique à l'encontre de la « théorie du genre » (en fait il s'agit d'une idéologie du genre), doit-elle avoir sa place dans la communication institutionnelle du CNRS ? L'esprit critique faisant partie intégrante de la démarche scientifique, de telles réactions ne peuvent que confirmer que, en la matière, le pouvoir a été pris au CNRS par des tenants d'une approche non scientifique de problèmes par ailleurs bien réels. A l'heure où les choix politiques et budgétaires sont difficiles, la science a-t-elle intérêt à obéir aux injonctions des minorités agissantes, au risque de se couper d'une autre partie de la société ? »

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Macron : le pervers-narcissique !

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« Écriture inclusive, novlangue, franglais », Macron fera tout pour vous manipuler !
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curieux
Poissons Date d'inscription : 13/10/2014
Passion : La France d' avant

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Sam 9 Fév 2019 - 20:28
Le fait que le Centre National de Recherches Scientifiques fasse partie de l' Education Nationale est une hérésie ; ainsi tout le budget accordé à ce centre , va d' avantage ( vu leur nombre ) aux bobos "bien-pensants", au détriment de la recherche scientifique qui en aurait bien besoin .
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