Un programme ni d'extrême-gauche ni ultralibéral
Ven 14 Nov 2014 - 11:08
Un programme ni d'extrême-gauche ni ultralibéral
Par Florian Philippot
FIGAROVOX/OPINION - Sortie de l'euro, retour au protectionnisme... Le vice-président du Front National appelle à se dégager des «conformismes», qui, selon lui, étranglent l'économie.
Florian Philippot est le vice-président du Front National (FN). Il est également conseiller de Marine le Pen.
Une politique économique doit être guidée par le pragmatisme et non l'idéologie.
L'idéologie est l'ennemie de la réussite économique. On l'a vu hier avec le communisme, on le voit aujourd'hui avec le mondialisme.
Si le projet économique du FN est tant débattu, mais aussi souvent caricaturé, c'est précisément parce qu'il raisonne en dehors des sentiers battus de l'idéologie européenne.
La zone euro est malheureusement la région du monde la plus soumise à l'idéologie, posant comme axiomes des choix politiques et économiques qui devraient pourtant pouvoir être discutés et réajustés (monnaie unique, libre-échange total, refus du patriotisme économique, etc.).
Les conséquences de cette vision dogmatique de la politique économique dans la zone euro sont majeures: le champ de réflexion se trouvant extrêmement limité, et tout débat économique intellectuellement contraint par des hypothèses fixées à l'avance, aucune remise en cause n'est possible quand bien même les résultats obtenus en termes de croissance, d'endettement, d'investissement ou de production industrielle sont les plus mauvais du monde et qu'ils ne marquent, année après année, aucun redressement tangible.
Même en Allemagne, longtemps présentée comme un modèle, la croissance est très décevante et la pauvreté élevée.
Si le projet économique du Front national est aujourd'hui tant débattu, mais aussi souvent caricaturé en France, c'est précisément parce qu'il a fait ce diagnostic et qu'il raisonne en dehors des sentiers battus de l'idéologie européenne. Inutile donc de disserter à l'infini sur le positionnement économique du Front national que certains classeront un jour à l'extrême gauche et le lendemain dans l'ultralibéralisme, selon les arrière-pensées politiciennes du moment.
Ce projet est en réalité honnête et pragmatique, éloigné de toute idéologie ; il dit, quitte à fâcher, qu'on ne pourra rien faire dans le cadre actuel et il cherche comment aider au mieux les acteurs qui créent de la croissance et de l'emploi.
Être pragmatique, c'est d'abord reconnaître qu'on ne peut pas mener une politique économique sans en avoir les outils.
Le Front national défend le retour à une politique monétaire nationale parce qu'il fait lucidement le constat de l'échec total de l'euro, et qu'il sait, comme beaucoup d'économistes, qu'il n'y a pas de politique économique sans politique monétaire.
Le Front national promeut la souveraineté budgétaire de la France parce qu'il constate qu'une politique économique n'existe pas sans levier budgétaire.
Le Front national défend le patriotisme économique et un protectionnisme raisonné parce qu'il fait l'analyse qu'on ne peut pas demander à nos acteurs économiques de se battre dans la mondialisation en leur refusant les armes de nos adversaires.
Monnaie, budget, frontières: voilà des concepts économiques banals, ni de gauche ni de droite, pour qui fait l'effort d'échapper au corset idéologique de la zone euro.
Notre devoir pour les générations qui viennent est de réinventer un modèle loin des conformismes actuels. On est plus fort dans la compétition mondiale non pas quand on se fond dans un ensemble incohérent, mais quand on prend conscience de ses forces et qu'on est en capacité de les exploiter.
Restauré dans sa capacité d'intervention, de projection et de protection, l'État stratège est alors en mesure d'assurer aux acteurs économiques un environnement propice à l'investissement et à l'innovation.
Ce cadre doit être celui de la liberté pour les entrepreneurs, de la sécurité fiscale, de règles tournées vers le soutien aux créateurs d'idées et d'emplois: nos artisans, nos PME, nos PMI, nos jeunes qui ont l'audace et le courage de faire le pari de la création d'entreprise. Tous attendent d'abord une fiscalité plus juste et un système bancaire au service de l'économie, et non l'inverse.
Cette voie est celle de l'action et non de la gestion de la pénurie ; elle permet d'avoir un regard neuf sur les problèmes qui paraissent insolubles autrement.
Dans les règles actuelles, il faudrait par exemple baisser massivement les salaires pour être compétitifs. Être en mesure d'agir sur la monnaie, le budget et le cadre commercial, tout en stimulant les PME, permet au contraire d'éviter ce cercle vicieux et de retrouver le chemin d'une compétitivité et d'un développement durables.
Notre devoir pour les générations qui viennent est de réinventer un modèle loin des conformismes actuels.
On est plus fort dans la compétition mondiale non pas quand on se fond dans un ensemble incohérent, mais quand on prend conscience de ses forces et qu'on est en capacité de les exploiter.
À ce titre, la France a d'immenses réserves qu'il est urgent de valoriser: un savoir-faire technique et scientifique reconnu partout, des infrastructures de haute qualité, un espace maritime gigantesque, une expertise colbertiste qui a fait ses preuves, une soif d'entreprendre et le goût de la liberté.
Florian Philippot
Par Florian Philippot
FIGAROVOX/OPINION - Sortie de l'euro, retour au protectionnisme... Le vice-président du Front National appelle à se dégager des «conformismes», qui, selon lui, étranglent l'économie.
Florian Philippot est le vice-président du Front National (FN). Il est également conseiller de Marine le Pen.
Une politique économique doit être guidée par le pragmatisme et non l'idéologie.
L'idéologie est l'ennemie de la réussite économique. On l'a vu hier avec le communisme, on le voit aujourd'hui avec le mondialisme.
Si le projet économique du FN est tant débattu, mais aussi souvent caricaturé, c'est précisément parce qu'il raisonne en dehors des sentiers battus de l'idéologie européenne.
La zone euro est malheureusement la région du monde la plus soumise à l'idéologie, posant comme axiomes des choix politiques et économiques qui devraient pourtant pouvoir être discutés et réajustés (monnaie unique, libre-échange total, refus du patriotisme économique, etc.).
Les conséquences de cette vision dogmatique de la politique économique dans la zone euro sont majeures: le champ de réflexion se trouvant extrêmement limité, et tout débat économique intellectuellement contraint par des hypothèses fixées à l'avance, aucune remise en cause n'est possible quand bien même les résultats obtenus en termes de croissance, d'endettement, d'investissement ou de production industrielle sont les plus mauvais du monde et qu'ils ne marquent, année après année, aucun redressement tangible.
Même en Allemagne, longtemps présentée comme un modèle, la croissance est très décevante et la pauvreté élevée.
Si le projet économique du Front national est aujourd'hui tant débattu, mais aussi souvent caricaturé en France, c'est précisément parce qu'il a fait ce diagnostic et qu'il raisonne en dehors des sentiers battus de l'idéologie européenne. Inutile donc de disserter à l'infini sur le positionnement économique du Front national que certains classeront un jour à l'extrême gauche et le lendemain dans l'ultralibéralisme, selon les arrière-pensées politiciennes du moment.
Ce projet est en réalité honnête et pragmatique, éloigné de toute idéologie ; il dit, quitte à fâcher, qu'on ne pourra rien faire dans le cadre actuel et il cherche comment aider au mieux les acteurs qui créent de la croissance et de l'emploi.
Être pragmatique, c'est d'abord reconnaître qu'on ne peut pas mener une politique économique sans en avoir les outils.
Le Front national défend le retour à une politique monétaire nationale parce qu'il fait lucidement le constat de l'échec total de l'euro, et qu'il sait, comme beaucoup d'économistes, qu'il n'y a pas de politique économique sans politique monétaire.
Le Front national promeut la souveraineté budgétaire de la France parce qu'il constate qu'une politique économique n'existe pas sans levier budgétaire.
Le Front national défend le patriotisme économique et un protectionnisme raisonné parce qu'il fait l'analyse qu'on ne peut pas demander à nos acteurs économiques de se battre dans la mondialisation en leur refusant les armes de nos adversaires.
Monnaie, budget, frontières: voilà des concepts économiques banals, ni de gauche ni de droite, pour qui fait l'effort d'échapper au corset idéologique de la zone euro.
Notre devoir pour les générations qui viennent est de réinventer un modèle loin des conformismes actuels. On est plus fort dans la compétition mondiale non pas quand on se fond dans un ensemble incohérent, mais quand on prend conscience de ses forces et qu'on est en capacité de les exploiter.
Restauré dans sa capacité d'intervention, de projection et de protection, l'État stratège est alors en mesure d'assurer aux acteurs économiques un environnement propice à l'investissement et à l'innovation.
Ce cadre doit être celui de la liberté pour les entrepreneurs, de la sécurité fiscale, de règles tournées vers le soutien aux créateurs d'idées et d'emplois: nos artisans, nos PME, nos PMI, nos jeunes qui ont l'audace et le courage de faire le pari de la création d'entreprise. Tous attendent d'abord une fiscalité plus juste et un système bancaire au service de l'économie, et non l'inverse.
Cette voie est celle de l'action et non de la gestion de la pénurie ; elle permet d'avoir un regard neuf sur les problèmes qui paraissent insolubles autrement.
Dans les règles actuelles, il faudrait par exemple baisser massivement les salaires pour être compétitifs. Être en mesure d'agir sur la monnaie, le budget et le cadre commercial, tout en stimulant les PME, permet au contraire d'éviter ce cercle vicieux et de retrouver le chemin d'une compétitivité et d'un développement durables.
Notre devoir pour les générations qui viennent est de réinventer un modèle loin des conformismes actuels.
On est plus fort dans la compétition mondiale non pas quand on se fond dans un ensemble incohérent, mais quand on prend conscience de ses forces et qu'on est en capacité de les exploiter.
À ce titre, la France a d'immenses réserves qu'il est urgent de valoriser: un savoir-faire technique et scientifique reconnu partout, des infrastructures de haute qualité, un espace maritime gigantesque, une expertise colbertiste qui a fait ses preuves, une soif d'entreprendre et le goût de la liberté.
Florian Philippot
- anas
- Localisation : ouest
Date d'inscription : 08/11/2014
Passion : histoire de France ma patrie,mon épouse,ma fille
Humeur : suivant les cas
Re: Un programme ni d'extrême-gauche ni ultralibéral
Ven 14 Nov 2014 - 12:38
Si avec ça les réticents abstentionnistes ne votent pas Marine, je ne comprends plus rien.Jupiter a écrit:Un programme ni d'extrême gauche ni ultralibéral
Par Florian Philippot
FIGAROVOX/OPINION - Sortie de l'euro, retour au protectionnisme... Le vice-président du Front National appelle à se dégager des «conformismes», qui, selon lui, étranglent l'économie.
Florian Philippot est le vice-président du Front National (FN). Il est également conseiller de Marine le Pen.
Une politique économique doit être guidée par le pragmatisme et non l'idéologie.
L'idéologie est l'ennemie de la réussite économique. On l'a vu hier avec le communisme, on le voit aujourd'hui avec le mondialisme.
Si le projet économique du FN est tant débattu, mais aussi souvent caricaturé, c'est précisément parce qu'il raisonne en dehors des sentiers battus de l'idéologie européenne.
La zone euro est malheureusement la région du monde la plus soumise à l'idéologie, posant comme axiomes des choix politiques et économiques qui devraient pourtant pouvoir être discutés et réajustés (monnaie unique, libre-échange total, refus du patriotisme économique, etc.).
Les conséquences de cette vision dogmatique de la politique économique dans la zone euro sont majeures: le champ de réflexion se trouvant extrêmement limité, et tout débat économique intellectuellement contraint par des hypothèses fixées à l'avance, aucune remise en cause n'est possible quand bien même les résultats obtenus en termes de croissance, d'endettement, d'investissement ou de production industrielle sont les plus mauvais du monde et qu'ils ne marquent, année après année, aucun redressement tangible.
Même en Allemagne, longtemps présentée comme un modèle, la croissance est très décevante et la pauvreté élevée.
Si le projet économique du Front national est aujourd'hui tant débattu, mais aussi souvent caricaturé en France, c'est précisément parce qu'il a fait ce diagnostic et qu'il raisonne en dehors des sentiers battus de l'idéologie européenne. Inutile donc de disserter à l'infini sur le positionnement économique du Front national que certains classeront un jour à l'extrême gauche et le lendemain dans l'ultralibéralisme, selon les arrière-pensées politiciennes du moment.
Ce projet est en réalité honnête et pragmatique, éloigné de toute idéologie ; il dit, quitte à fâcher, qu'on ne pourra rien faire dans le cadre actuel et il cherche comment aider au mieux les acteurs qui créent de la croissance et de l'emploi.
Être pragmatique, c'est d'abord reconnaître qu'on ne peut pas mener une politique économique sans en avoir les outils.
Le Front national défend le retour à une politique monétaire nationale parce qu'il fait lucidement le constat de l'échec total de l'euro, et qu'il sait, comme beaucoup d'économistes, qu'il n'y a pas de politique économique sans politique monétaire.
Le Front national promeut la souveraineté budgétaire de la France parce qu'il constate qu'une politique économique n'existe pas sans levier budgétaire.
Le Front national défend le patriotisme économique et un protectionnisme raisonné parce qu'il fait l'analyse qu'on ne peut pas demander à nos acteurs économiques de se battre dans la mondialisation en leur refusant les armes de nos adversaires.
Monnaie, budget, frontières: voilà des concepts économiques banals, ni de gauche ni de droite, pour qui fait l'effort d'échapper au corset idéologique de la zone euro.
Notre devoir pour les générations qui viennent est de réinventer un modèle loin des conformismes actuels. On est plus fort dans la compétition mondiale non pas quand on se fond dans un ensemble incohérent, mais quand on prend conscience de ses forces et qu'on est en capacité de les exploiter.
Restauré dans sa capacité d'intervention, de projection et de protection, l'État stratège est alors en mesure d'assurer aux acteurs économiques un environnement propice à l'investissement et à l'innovation.
Ce cadre doit être celui de la liberté pour les entrepreneurs, de la sécurité fiscale, de règles tournées vers le soutien aux créateurs d'idées et d'emplois: nos artisans, nos PME, nos PMI, nos jeunes qui ont l'audace et le courage de faire le pari de la création d'entreprise. Tous attendent d'abord une fiscalité plus juste et un système bancaire au service de l'économie, et non l'inverse.
Cette voie est celle de l'action et non de la gestion de la pénurie ; elle permet d'avoir un regard neuf sur les problèmes qui paraissent insolubles autrement.
Dans les règles actuelles, il faudrait par exemple baisser massivement les salaires pour être compétitifs. Être en mesure d'agir sur la monnaie, le budget et le cadre commercial, tout en stimulant les PME, permet au contraire d'éviter ce cercle vicieux et de retrouver le chemin d'une compétitivité et d'un développement durables.
Notre devoir pour les générations qui viennent est de réinventer un modèle loin des conformismes actuels.
On est plus fort dans la compétition mondiale non pas quand on se fond dans un ensemble incohérent, mais quand on prend conscience de ses forces et qu'on est en capacité de les exploiter.
À ce titre, la France a d'immenses réserves qu'il est urgent de valoriser: un savoir-faire technique et scientifique reconnu partout, des infrastructures de haute qualité, un espace maritime gigantesque, une expertise colbertiste qui a fait ses preuves, une soif d'entreprendre et le goût de la liberté.
Florian Philippot
- geminiModérateurs
- Localisation : Gers
Date d'inscription : 07/12/2011
Passion : La France, Le drapeau, Dieu et ensuite : bricolage, jeux video,informatique, politique, jardin. aviation, tir.
Humeur : En général assez bonne. Elle suit le cours de la vie.
Re: Un programme ni d'extrême-gauche ni ultralibéral
Ven 14 Nov 2014 - 12:42
Oui, il devient urgent de reprendre notre destin en main. Nous le ferons en sortant des sentiers battus et en laissant de côté toutes les âneries imposées par Bruxelles et en sous-main les USA. Actuellement, chaque fois que quelque chose est fait, cela nous enfonce un peu plus. L'idée générale est : l'Europe ne fonctionne pas parce qu'il n'y a pas assez d'Europe, il faut donc plus d'Europe. Jour après jour ils abandonnent ce qui reste de souveraineté. Comme ils n'ont pas d'argument valable, il critiquent sans cesse les positions prises par notre mouvement. Ils prédisent des jours sombres mais ils oublient de dire que ce sont leurs manœuvres qui nous ont placés dans cette situation plus qu'inconfortable. Cela fait des années que la France est tenue en laisse et que l'on fait en sorte qu'elle soit dépendante des uns ou des autres. Ils disent que les idées, nos idées, sont dangereuses, mais pour qui ? Elles sont dangereuses pour eux, pour ces gens qui n'ont qu'un but : se remplir les poches et nous tondre un peu plus. Petit à petit les citoyens prennent conscience de la réalité des choses et nous rejoignent. Cela rend agressif ce qu'il est coutume d'appeler l'élite, d'où les gesticulations et vociférations auxquelles on assiste. Oui, le programme du Front National est courageux parce qu'il prévoie vraiment les choses. Contrairement à ce qui est dit ici ou là, nous avons des cadres capables. Le mouvement dispose de tous les outils pour sortir la France de la gadoue où l'ont plongée les canailles dirigeantes.
- curieux
- Date d'inscription : 13/10/2014
Passion : La France d' avant
Re: Un programme ni d'extrême-gauche ni ultralibéral
Ven 14 Nov 2014 - 20:31
Le jour où nous sortirons de l'euro, à ce moment précis le change sera-t-il toujours à 6,559.... ????????
Pardonnez mon ignorance, mais j'ai besoin d'éclaircissements. Pour la suite pas de problème, les mêmes techniques qui avaient été utilisées au début de la cinquième république et ne gênaient que ceux qui voulaient dépenser leur argent à l' étranger.
Pardonnez mon ignorance, mais j'ai besoin d'éclaircissements. Pour la suite pas de problème, les mêmes techniques qui avaient été utilisées au début de la cinquième république et ne gênaient que ceux qui voulaient dépenser leur argent à l' étranger.
- ThibautE
- Date d'inscription : 07/11/2014
Passion : Littérature, Histoire, Cinéma
Re: Un programme ni d'extrême-gauche ni ultralibéral
Mer 19 Nov 2014 - 18:23
Pour être totalement libre je pense qu'il est souhaitable de s'extirper non pas seulement de la zone euro mais de l'UE. Car même en revenant à une monnaie nationale et en revenant petit à petit à un certain protectionnisme, nous serons tout de même influencés par les décisions de Bruxelles (cf Grande-Bretagne...).
- WhiteBrotherHood
- Localisation : Toulon
Date d'inscription : 18/09/2013
Passion : politique, projet et obejectif du FN pour 2017
Humeur : bonne
Re: Un programme ni d'extrême-gauche ni ultralibéral
Mer 26 Nov 2014 - 23:29
Mais un retour à la civilisation sera un long chemin
- victor15
- Date d'inscription : 25/11/2014
Passion : politique
Re: Un programme ni d'extrême-gauche ni ultralibéral
Jeu 27 Nov 2014 - 23:31
curieux a écrit:Le jour où nous sortirons de l'euro, à ce moment précis le change sera-t-il toujours à 6,559.... ????????
Pardonnez mon ignorance, mais j'ai besoin d'éclaircissements. Pour la suite pas de problème, les mêmes techniques qui avaient été utilisées au début de la cinquième république et ne gênaient que ceux qui voulaient dépenser leur argent à l' étranger.
Le nouveau nouveau franc sera au taux décidé par le gouvernement. On pourrait revenir à l'ancien mais il est plus probable qu'on choisisse la parité 1 franc = 1 euro (avant réévaluation)
- LE PROGRAMME DU FRONT DE GAUCHE !!!
- L'Union européenne exige de la France un big bang ultralibéral !
- Macron : plus qu'une dérive autoritaire, un véritable dictateur !
- Le fascisme est définitivement une valeur de gauche ![b]Un blog consacré à la gauche ![/b] mais pas pour lui faire des compliments !
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