extreme gauche

Loire. Saint-Etienne : cinq interpellations lors d'affrontements entre extrémistes

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Si les affrontements ont pu être évités lors de la cérémonie du 11 novembre à Saint-Etienne malgré des provocations de représentants de l’extrême-gauche, un peu plus tôt, vers 9 heures, une bagarre a éclaté dans le local du FN faisant trois blessés. La police a interpellé cinq personnes qui ont été placées en garde à vue.


Vers 9 heures ce dimanche matin, un groupe se revendiquant d’extrême-gauche a pénétré dans le local du FN rue de la République et une bagarre a éclaté. Trois jeunes du FN, tous majeurs, ont été blessés. La police est parvenue à interpeller cinq des agresseurs, de jeunes Stéphanois majeurs qui ont été placés en garde à vue pour violences aggravées en réunion.

Un peu plus tard, une cinquantaine de jeunes du Front National, réunis en formation à Saint-Etienne ont participé à la manifestation du 11 novembre qui se déroulait place Jean-Jaurès. Alors que les personnes présentes se rendaient place Fourneyron, les jeunes du FN ont quitté dans le calme le cortège au niveau de la place Dorian, repliant les drapeaux, pour se rendre dans leur local. Ils ont une nouvelle fois été pris à partie par une vingtaine de personnes se revendiquant d'extrême-gauche mais les forces de l'ordre sont rapidement intervenues pour s'interposer entre les deux groupes et tous se sont séparés sans qu'aucun affrontement n'ait eu lieu, les jeunes du FN refusant de répondre aux provocations et préférant entonner la Marseillaise.
A noter enfin que les représentants de l’extrême-gauche ont continué à chercher l'affrontement dans l'après-midi.

http://www.leprogres.fr/loire/2012/11/11/saint-etienne-tentative-d-affrontement-lors-de-la-ceremonie-du-11-novembre

Manifestation Le Cévenol à Nîmes (30) : le sectarisme amène le gâchis… et les dépôts de plaintes
Posté par NP Info Languedoc-Roussillon le 10 novembre 2012 Communiqué de Julien Sanchez, délégué national du FN, conseiller régional de Languedoc-Roussillon

Aujourd’hui samedi 10 novembre 2012, alors qu’il participait pacifiquement dans le cadre de ses fonctions d’élu à une manifestation de défense de la ligne de transport du Cévenol devant la gare de Nîmes avec de nombreux militants du FN eux aussi pacifiques, Julien Sanchez, conseiller régional de Languedoc-Roussillon, délégué national du FN, mandaté par les élus FN du conseil régional et par Gilbert Collard, député du Gard pour les représenter à cette manifestation, a été pris à partie, insulté et menacé de mort de manière réitérée par des militants et syndicalistes d’extrême gauche portant des drapeaux CGT.

Plusieurs militants FN présents à la manifestation ont été photographiés par les syndicalistes puis eux aussi menacés : « On vous a repérés. La prochaine fois vous n’accéderez même pas aux manifestations puisqu’on vous laissera morts dans un fossé avant ».

Julien Sanchez, que le préfet avait accepté de recevoir comme les autres élus, a également été empêché d’entrer dans la cour de la Préfecture par plusieurs syndicalistes, jusqu’à ce que la directrice de cabinet du Préfet ainsi que les militants FN interviennent (pour les uns physiquement mais évidemment sans violence) pour lui permettre d’entrer.

Les syndicalistes ont ensuite fait pression sur les autres élus que le préfet avait accepté de recevoir afin qu’ils ne soient pas reçus en même temps que Julien Sanchez.

Validant cette discrimination et ce véritable apartheid politique, les autres élus que le Préfet avait accepté de recevoir ont quitté l’enceinte de la Préfecture, laissant l’élu FN seul dans la cour avec le personnel de la Préfecture.

Les autres élus nourrissant la furie des syndicalistes, il a été suggéré à Julien Sanchez par la Préfecture d’être reçu séparément, ce qu’il a fini par accepter dans un souci d’apaisement et pour que le sujet du train Le Cévenol soit réellement abordé.

Il a pu être reçu par la directrice de cabinet du Préfet et lui exposer ses attentes et les attentes importantes de ses concitoyens sur le sujet.

Julien Sanchez a ensuite déposé plainte contre X pour menaces de mort réitérées au commissariat de Nîmes.

Il a également confié à Maître Gilbert Collard, le soin de déposer plainte pour voie de fait, violence. Gilbert Collard étudie également la possibilité de déposer plainte contre les élus qui se sont associés aux syndicalistes pour non assistance à personne en danger et entrave à l’exercice d’un mandat politique.

Julien Sanchez regrette cette violence gratuite alors qu’il était venu uniquement pour défendre les usagers (dont il fait partie). Que les usagers sachent que les élus Front National sont définitivement de leur côté et continueront à participer aux manifestations d’usagers malgré les menaces et intimidations.

Il rappelle enfin que, contrairement aux autres parlementaires, Gilbert Collard a d’ailleurs concrètement posé une question écrite au Gouvernement sur le sujet du train Le Cévenol.

Démocratie ? vous avez dit Démocratie ?
Liberté ? Egalité ?

Qui sont les fascistes ?

La multiplication des actes anti-FN montre bien l'angoisse qui saisit la classe politique. Les débats sociétaux, économiques sociaux montrent que la ligne défendue par Marine Le Pen gagne du terrain y compris dans des régions qui jusque-là étaient imperméables aux idées du Front comme la Bretagne ou d'autres régions de l'ouest.
La vague bleu Marine est un fait et c'est la panique dans le pays légal.
Continuons à rassembler, la victoire est au bout du chemin.

http://clamartnationaletpopulaire.over-blog.fr

gemini a écrit:

NOSTALGIE a écrit:Démocratie ? vous avez dit Démocratie ?
Liberté ? Egalité ?

Qui sont les fascistes ?

Le fascisme est né à gauche, il suffit de voir comment se comportent ces gens pour en avoir la confirmation. Il n'y a rien de républicain dans leur comportement. Ils ne veulent qu'une chose, c'est abattre la démocratie pour installer le totalitarisme.

Benito Mussolini et Adolph Hitler avaient ce point commun d'avoir été militants socialistes avant de fonder leurs propres partis respectivement parti fasciste et parti national socialiste. Hitler a d'ailleurs été élu grace à l'appui du parti socialiste allemand et le pacte germano-soviétique est un pacte de partis de gauche, communiste et socialiste. Ce n'est que plus tard que les partis de gauche se sont détachés de leurs alliés devenus très gênants et les ont relocalisés à l'extrême-droite (ben voyons!) C'est sûr, le parti communiste d'URSS se serait allié à un parti de droite! Les communistes français ont commencé la guerre en sabotant les avions et les chars dans les usines françaises pour ne pas lutter contre leurs alliés nazis puis après rupture du pacte germano-soviétique hop! Retournement de veste! Certains rentrent en résistance et luttent contre leurs ex-alliés devenus ennemis.
Le parti populaire devient parti populiste (c'est le même mais ce n'est pas pareil! )
L'histoire est remplie de ces volte-faces qui souvent dérangent alors on évite d'embrouiller nos chers enfants en raccourcissant les cours d'histoire...