* Forum Partisans de Marine Le Pen
Bonjour.

Les Partisans de Marine Le Pen sont heureux de vous accueillir parmi eux sur leur forum.

Fraternité, respect, cordialité, défense des idées de Marine Le Pen, de son programme et soutien inconditionnel sont nos maîtres-mots.

Document : le racisme anti-blanc et anti-occidental.... Enregistrez-vous

Soyez le(la) bienvenu(e) parmi nous et vive Marine !






Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

* Forum Partisans de Marine Le Pen
Bonjour.

Les Partisans de Marine Le Pen sont heureux de vous accueillir parmi eux sur leur forum.

Fraternité, respect, cordialité, défense des idées de Marine Le Pen, de son programme et soutien inconditionnel sont nos maîtres-mots.

Document : le racisme anti-blanc et anti-occidental.... Enregistrez-vous

Soyez le(la) bienvenu(e) parmi nous et vive Marine !





* Forum Partisans de Marine Le Pen
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Ne restez pas seul, agissez, réagissez, rejoignez la grande famille du Rassemblement National et venez aider Marine à accomplir son destin national.
Nouveaux sujets
aide financière UkraineMar 12 Mar 2024 - 12:43pro FRANCE
quelqu'un qui connaît de quoi il parle ...Dim 12 Mar 2023 - 21:35l'Apôtre
Présentation de VoltairineSam 18 Fév 2023 - 20:34Voltairine
Une école où l'on apprend le françaisMer 3 Aoû 2022 - 13:07neigedesbois
Je suis paprika85Jeu 28 Juil 2022 - 13:55paprika85
Médecin traitantJeu 28 Juil 2022 - 13:39paprika85
Quand va t'on enfin soigner les malades du covid?Mar 26 Juil 2022 - 10:35CoqGaulois
Association de disparitions oubliéesSam 25 Juin 2022 - 20:30MAYER
PrésentationSam 18 Juin 2022 - 13:38floduVar
Bonjour à tous !Ven 17 Juin 2022 - 18:33MAYER
Les posteurs les plus actifs de la semaine
Aucun utilisateur
Meilleurs posteurs
Jupiter (25658)
25658 Messages - 22%
17628 Messages - 15%
gemini (14477)
14477 Messages - 12%
kabout (10597)
10597 Messages - 9%
10530 Messages - 9%
CoqGaulois (9348)
9348 Messages - 8%
MARINICE (8797)
8797 Messages - 8%
Zabou18 (8300)
8300 Messages - 7%
Nanou (6133)
6133 Messages - 5%
5387 Messages - 5%
Le Deal du moment : -21%
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, ...
Voir le deal
39.59 €
Le Deal du moment : -50%
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
Voir le deal
69.99 €

Aller en bas
francoise
francoise
Localisation : sur la banquise là où la connerie humaine fait fondre les glaces
Taureau Date d'inscription : 18/09/2011
Passion : peintre et blogueuse en art pictural figuratif
Humeur : zen

Document : le racisme anti-blanc et anti-occidental.... Empty Document : le racisme anti-blanc et anti-occidental....

Mar 1 Mai 2012 - 14:25
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
http://www.librairiefrancaise.fr/product.php?id_product=778

Le pitch :
« Chaque année, en France, des immigrés se rendent coupables de milliers d’agressions physiques, de centaines de viols et de dizaines de meurtres contre des femmes blanches et des hommes blancs, sans que les hommes politiques qui nous dirigent n’élèvent la moindre protestation.
Dans les médias, ces affaires ne sont jamais traitées comme des crimes racistes, mais comme de simples faits divers. Il est en effet entendu que le racisme ne peut être que le fait d’un Blanc, et que la victime du racisme ne peut être qu’un pauvre immigré du tiers-monde, un “homme de couleur”.
Comme dans les films produits à Hollywood, le raciste, le salaud, celui qui agresse les plus faibles, qui pille la planète et qui détruit la nature, c’est toujours le Blanc, qui est le bouc émissaire des véritables prédateurs que sont les mondialistes, les maîtres de la finance et des médias. Ceux-ci travaillent sans relâche, de toutes leurs forces, à instaurer la société multiculturelle et le gouvernement mondial. Leur objectif est clair : ils veulent détruire la race blanche.
Depuis des décennies, leur propagande culpabilisatrice tourne à plein régime. À la radio, dans la presse, au cinéma et sur toutes les chaînes de télévision, c’est toujours le même discours humaniste, égalitaire et moralisateur qui revient, sept jours sur sept et tout au long de l’année. Au nom de l’égalité et de la tolérance, on demande ainsi au “petit Blanc” d’accepter l’arrivée des immigrés du tiers-monde, toujours plus nombreux, sous peine d’être désigné comme “raciste”. Il faut ouvrir son esprit, ouvrir son cœur, ouvrir… tout !
Après quelques décennies de ce matraquage idéologique estampillé aux “droits de l’homme”, le résultat est aujourd’hui bien visible pour tous : en Ile-de-France, les Blancs sont aujourd’hui minoritaires. Et au fur et à mesure que leur nombre grandit, les étrangers commettent sur les Blancs des violences et des crimes toujours plus nombreux. Voilà la vérité. »




extrait de son livre Le racisme antiblanc.

« Les agressions commises par des immigrés du tiers-monde contre des Blancs sont innombrables. Chaque semaine, des milliers de Blancs sont agressés d’une manière ou d’une autre par des allogènes, et il serait fastidieux de citer tous les articles de presse à ce sujet. Nous n’avons donc retenu que les affaires les plus graves – les homicides involontaires, les meurtres (homicides volontaires), les assassinats (meurtres prémédités).

Les informations qui suivent sont tirées d’un chapitre de notre livre intitulé le Racisme antiblanc, paru en novembre 2011. Le livre présente en détails chacune de ces affaires, en insistant sur la personnalité du tueur, qui apparaît lors des procès en cours d’assises. On note alors quelques étranges similitudes dans les profils psychologiques de toutes ces “Chances pour la France”.

Le recensement ci-dessous n’est évidemment pas exhaustif, puisque toutes les affaires relevant des cours d’assises ne sont pas traitées dans les journaux. Mais nous avons déjà là un petit aperçu de cette merveilleuse société multiculturelle en gestation concoctée par les esprits cosmopolites.

Je dédie cette recension à deux personnes : en premier lieu, à Bertrand Delanoë, maire de Paris juif et homosexuel, qui met un point d’honneur, tous les premier mai, à aller déposer une gerbe de fleurs sur le pont du Carrousel, où, en 1995, un jeune Marocain nommé Brahim Bouarram avait été jeté à la Seine par des skinheads en marge du défilé du Front national.

Je dédie aussi cet article au militant de l’association “Égalité et Réconciliation” qui anime le blog “oligarchique­blogspot.com”, et qui nous insulte en raillant notre « rêve de France blanche ».

Voici donc tous les Brahim Bouarram européens, tués par des Noirs et des Arabes. Il n’y a ici ni égalité, ni réconciliation qui tiennent.

Hervé Ryssen

Juillet 2011, à Bar-sur Aube : Roger Correia, 57 ans, est mort, roué de coups, par trois Arabes qui passent en voiture devant chez lui. L’instruction est en cours.

Juin 2011, à Frouzins, près de Toulouse : Élodie Despons, 23 ans, est frappée étranglée par son amant, Tarik Barrahoui, qu’elle voulait quitter. Il lui tranchera ensuite les poignets pour tenter de maquiller son crime.

Mai 2011, à Bollène, dans le Vaucluse : Thierry Simon, 39 ans, a eu le malheur de sortir de sa voiture pour répondre à des insultes. Il est mort sous les coups que lui ont portés trois Chances pour la France (CPF) : Kader Chadli, 24 ans, Selim Benkhedidja, 23 ans, et Mohamed Amallou, 19 ans, tous trois déjà mis en cause pour de multiples cambriolages.

Avril 2011, à Champagne-sur-Seine, en Seine-et-Marne : Maurice Tomasoni, 66 ans, est tabassé et torturé par Habib, qui lui assène de nombreux coups de couteau au thorax. Une large entaille au nez et à une oreille ont défiguré le retraité français. La victime a eu également les joues transpercées et la peau entre les doigts d’une main découpée.

Avril 2011, à Mulhouse : Jean Meyer, un contrôleur aérien de 35 ans, est tué d’une dizaine de coups de couteau, dont trois mortels, puisqu’il a eu les deux poumons perforés et la carotide ouverte. Le meurtrier se nomme Karim Ouali.

Février 2011, à Toulouse : Jérémy Roze, 27 ans, est agressé par deux CPF alors qu’il rentre chez lui, vers trois heures du matin. Le jeune homme a succombé à un coup de couteau porté au thorax.

Février 2011, à Lyon : Christofer, 27 ans, est tué d’un coup de couteau, dans le métro, par Karim Bounab, un toxicomane.

Février 2011, à Nanterre : Christian, 17 ans et son beau-père, Michel, sont agressés à leur domicile et tués à coups de couteau par Abdoulaye D. Le procès n’a pas encore eu lieu.

Janvier 2011, à Monéteau, dans l’Yonne : Angélique Grossier, 28 ans, est tuée à coups de couteau par son ami Mohamed Es Salmy, qui ne pouvait supporter la séparation.

Janvier 2011, à Montpellier : un étudiant en histoire de 24 ans, descendu sur le parking après y avoir repéré un homme en train de voler dans des voitures, est tué de onze coups de couteau. L’agresseur s’est réfugié en Algérie, qui n’extrade pas ses nationaux. Affaire en cours.

Août 2010, à Gap : René Gumiel, qui s’était plaint du bruit, est poignardé de plusieurs coups de couteau, en pleine nuit, par sa voisine nommée Priscillia Moufouma, une Africaine de 27 ans.

Août 2010, à Versailles : Olivier Bossuat, un militaire de 51 ans, est poignardé à mort par “Christian M.”, un jeune Africain sans domicile de 21 ans.

Avril 2010, à Narbonne : Guy Trilles, un paisible retraité de 67ans, est roué de coups par des CPF alors qu’il promène son chien. Il décède quelques jours plus tard à l’hôpital, d’un arrêt cardiaque.

Février 2010, à Saint-Brieuc : Carlos de Araujo, un père de famille portugais qui a refusé une cigarette à “Karim”, 22 ans, reçoit un coup de couteau et décède quelques minutes plus tard.

Janvier 2010, Pont-Sainte-Maxence, dans le sud de l’Oise : les corps de Jacques et Thérèse Prévost, un couple de retraités âgés de 76 ans, sont retrouvés dans leur pavillon, gisant dans une mare de sang. Jacques a été frappé de 27 coups de couteau ; Thérèse a été frappée à soixante reprises. Le meurtrier est un métis déséquilibré nommé Halan Florisse, « un mec sympa ».

Décembre 2009, à Bordeaux : Nadya, une prostituée bulgare, est retrouvée au petit matin gisant dans un recoin d’un parking du quartier de la gare Saint-Jean. Son crâne a été fracassé par une grosse pierre. Le coupable est un Angolais de 22 ans.

Novembre 2009, à Pau : Jonathan Laurent, 25 ans, est tué de trois coups de couteau par Fatih Acar, 31 ans.

Juillet 2009, à Colomiers, près de Toulouse : Pascal Orvain, 50 ans, originaire de Normandie, est tué de six coups de couteau par des cambrioleurs. Le meurtrier est un métis nommé Jérémy Bagassien, originaire de Seine-Saint-Denis.

Juillet 2009, à Vénissieux : Yves Lerebourg, 32 ans, est tué d’une trentaine de coups de couteau.

Juin 2009, à Antigone, près de Montpellier : Hamid El-Fenniri, qui roule à plus de 100 à l’heure en pleine ville, percute un scooter et ne s’arrête pas. Un jeune Français y laisse la vie. « Je sortais de prison depuis deux mois… Je ne voulais pas “re-rentrer” en prison et ma voiture n’était pas assurée, c’est pour ça que j’ai échappé à la justice. »

Juin 2009, à Montataire, dans l’Oise : Laetitia, 24 ans, est tuée de deux coups de couteau par son compagnon, El Miloud Latrach, avec qui elle se disputait.

Mai 2009, à Annezin, dans le Nord : Johnny Salmont est tué d’un coup de couteau par un inconnu.

Avril 2009, à Douchy-les-Mines, dans le Nord : un couple de jeune Français, Xavier Dubray, 24 ans, et Audrey Verpoorte, 18 ans, qui étaient venus rendre visite à leur famille, sont abattus par un voisin nommé Ahmed Assous, qui ne voulait pas qu’on se gare devant chez lui.

Février 2009, à Dammarie-les-Lys, un petit coin bien pourri de Seine-et-Marne : Mohamed Jelassi, 37 ans, frappe et étrangle sa compagne Priscilla, 23 ans, qui voulait le quitter, et tue leurs deux fillettes. « C’est vrai, reconnut le Maghrébin, j’ai tué ma femme et j’ai tué mes enfants parce que je ne voulais pas qu’ils soient élevés par la belle-famille à la française. » « Priscilla, c’était ma petite princesse », déclara-t-il finalement. Mais avec l’accent, c’est encore mieux.

Janvier 2009, à Cergy-Saint-Christophe, dans le Val-d’Oise : Caroline F., 50 ans, succombe aux 25 coups de couteau que lui a portés son compagnon Rashid M., un Pakistanais. « Je ne comprends pas ce qui s’est passé. »

Janvier 2009, à Mérignac : Jean-Claude Eymery, un peintre en bâtiment de 56 ans, est tué par un jeune Angolais de 21 ans nommé Adilson Manuel, qu’il avait pris sous son aile, comme apprenti.

Décembre 2008, à Chelles, en Seine-et-Marne : Mickaël Isker, 22 ans, est tué de deux balles dans la tête par un dealer nommé Ibrahim, 25 ans.

Décembre 2008, à Marseille : Cécilia, une métisse de 21 ans, est violée et soûlée à mort par quatre “Chances” : Mounir Tinouiline, Fahem Djermoune, Emmanuel Denis et Anis Nafti.

Septembre 2008, à Toulouse : Frédéric Daigneau, qui roule en moto, est frappé de deux coups de couteau par deux individus en scooter, toujours en fuite. Il décèdera neuf jours plus tard.

Août 2008, à Maisons-Alfort, dans le Val-de-Marne : Marine Truden, une étudiante de 22 ans, est poignardée et égorgée dans son appartement par son copain Kamel Mouzaoui, qui n’accepte pas la rupture. 22 coups de couteau.

Juin 2008, à Lyon : Les policiers découvrent le corps démembré d’une femme dans un appartement. Le tronc est dans la baignoire, les bras et les jambes sont dans le réfrigérateur. La tête de Martine Bord, 55 ans, est dans le couloir, dans un sac plastique. L’assassin est un Marocain de 40 ans nommé Halim Larbès.

Mai 2008, à Arras : Maxime Bouvet est tué d’un coup de couteau à l’abdomen par Soufyane Mammou.

Mai 2008, à Chambéry : Jonathan Vioud, un jeune charpentier de 22 ans, est tué dans une bagarre à la sortie d’une discothèque. Un certain Cem Ceylak est entendu pour s’expliquer sur des pressions sur le principal témoin.

Avril 2008, à Saint-Denis : Pascal Ceccaldi, 87 ans, est mort, projeté à terre par Mamadou Camara et Cédric Mayamona, 22 et 24 ans.

Mars 2008, à Conques : Antony Bustos, 23 ans, est tué d’un coup de carabine par Ali Bellabiod pour une histoire de cannabis. Son corps est brûlé dans un fossé.

Février 2008, à Toulouse : Sylvie Garrigues, 32 ans, est violemment percutée par un véhicule, alors qu’elle marche normalement sur le trottoir. Le conducteur est un Maghrébin au chômage de 24 ans, nommé Hadj Saïdi, qui s’est révélé positif aux stupéfiants.

Janvier 2008, à Pamiers, près de Toulouse : Julien Fernandez, le fils du gérant d’une discothèque, qui transporte la recette de la nuit, est tué d’une quarantaine de coups de couteau par Mekki Boughouas.

Janvier 2008, à Vitry, dans le Val-de-Marne : Jean-Pierre Sauvonnet, 48 ans, est tué de onze coups de couteau par un Maghrébin fortement alcoolisé nommé Hassan el-Aouni.

Novembre 2007, dans le RER D, en direction de Creil : Anne-Lorraine Schmitt, une jeune Française de 23 ans, est tuée de 34 coups de couteau, dont 16 dans la poitrine, par un Turc nommé Thierry Devé-Oglou.

Septembre 2007, à Annemasse, en Savoie : Freddy Liot, un jeune Normand de 25 ans, est tué chez lui à coups de marteau par Kamel Benderradji, un de ses collègues de travail.

Août 2007, à Beauvais : Gérard Varlet, 56 ans, un sans-abri, divorcé et père de trois enfants, est mort brûlé vif, aspergé d’essence par Riade Djedai.

Août 2007, à Stuttgart, en Allemagne : Yvan Schneider, un Alsacien de 19 ans, est frappé à coups de pied et de batte de base-ball. Son corps a ensuite été découpé en quatorze morceaux. Puis, ses bras, ses jambes et sa tête sont coulés dans du ciment et jetés dans la rivière Neckar. Le torse est abandonné dans une forêt. Deniz Eroglu, un Turc, âgé de 18 ans, avait agi par jalousie.

Août 2007, à Saint-Ouen, dans le 93 : le corps de Jeanne Rolland, 96 ans, est découvert lardés de 62 coups de couteau. « Elle a probablement été torturée avant d’être tuée ». Le meurtre était crapuleux, commis pour de l’argent et quelques bijoux. Le meurtrier se nomme Aziz Fathi.

Juillet 2007, à Lecci-de-Porto-Vecchio, en Corse : Yohan Kriegel, 29 ans, l’épicier du village, est tué par Mohamed Douzi, qui lui tire une balle de 7.65 en pleine poitrine.

Juillet 2007, à Rombas, en Moselle : un hôtelier de 71 ans, Vincenzo Serravalle, meurt poignardé par Yousif Boussak.

Juin 2007, à Marcoussis, dans l’Essonne : Bernard Olmedo, un conducteur de rame de métro âgé de 45 ans, est tué à coups de couteau par Ali Ben Omrane, qui découpe le corps et le brûle dans son jardin.

Juin 2007, à Berrwiller, à côté de Colmar : pendant la fête de village, un homme fonce dans la foule au volant de son véhicule, arrive à 50-60 km/h, tue Benoît Prost, 22 ans, et blesse quinze autres personnes. Abdelkader Gridda, saoul et drogué au cannabis, était furieux d’avoir été expulsé de la fête à plusieurs reprises. Rien de raciste là-dedans, selon les médiats cosmopolites.

Mai 2007, à Montreuil, en Seine-Saint-Denis : Marc Simoes, artisan menuisier, est tué de deux coups de couteau par son employé algérien, Rachid Amrouch.

Avril 2007, dans la région de Saintes, en Charente-Maritime : le corps de Jennifer Charron, une jolie serveuse de 21 ans, est retrouvé dans les bois, partiellement calciné. Ses mains étaient attachées dans le dos. Son ex-petit ami se nomme Abdelaziz Seridi.

Avril 2007, à Toulouse : Mélanie Rodrigue, 26 ans, est tuée de 51 coups de couteau par son compagnon, Mehdi Fekir, qui ne supportait pas la rupture.

Avril 2007, à Saint-Herblain, près de Nantes : le corps de Sophie Gravaud, une jeune vendeuse de 23 ans, est retrouvé sur le bord d’une route. Le meurtrier violeur se nomme Ramiz Iseni.

Février 2007, à Salses, près de Perpignan : Fabien Formiès, 19 ans, a la gorge tranchée sur la place du village par un jeune de 17 ans, qui sera jugé à huis clos, et dont les journaux n’ont jamais divulgué le nom.

Janvier 2007 à Verneuil-en-Halatte, dans l’Oise : Marcel et Colette Flinoy, 77 ans et 74 ans, propriétaires d’une Audi V6 toute neuve, sont assaillis à leur domicile par trois CPF (Harouna Sarr, 25 ans, Amadou Sow, 24 ans, et Ercan Uyanic, 28 ans). Colette Flinoy est morte, écrasée par la voiture.

Janvier 2007, à Dammarie-les-Lys, en Seine-et-Marne : dans une boîte de nuit, Anthony est tué à coups de pieds par Mustapha.

Janvier 2007, à Condé-Sainte-Libiaire, en Seine-et-Marne : Albert Kohn Bisseck, un Camerounais de 43 ans, tue à coups de marteau Alain Savouret, 60 ans, son ex-beau-père.

Janvier 2007, dans l’Oise : Mireille Calais, 65 ans, est tuée à coups de marteau sur le crâne par son compagnon nommé Naushad Maqbool, 59 ans.

Décembre 2006, à Toulouse : Laurent Francazal, 34 ans, employé municipal est retrouvé égorgé dans son appartement du centre-ville. Le meurtrier se nomme Hakim Edir, 21 ans.

Novembre 2006, à Paris : Julien Quemener, un jeune supporteur du PSG de 25 ans, est tué d’une balle en plein cœur par un policier martiniquais nommé Antoine Granomort. En mars 2010, un autre supporteur du PSG, Yann Lorence, 37 ans, avait été tué. Habitué du kop Boulogne, “Nou­nours”, qui n’était pas une brute, était lynché par les racailles de la tribune Auteuil, devant le Parc des Princes.

Septembre 2006, en Seine Saint-Denis : Muriel Gosse est tué d’une balle dans la tête, au volant de sa voiture, par son ex-compagnon, Djamal Boukhetala, 38 ans, qui ne supportait pas la rupture.

Août 2006, à Montpellier : le corps de Guy Labarrière, 47 ans, est retrouvé à son domicile, lardé d’une centaine de coups de couteau, pratiquement décapité. Cinq ans plus tard, au mois de mai 2011, Hasan D., 32 ans, était arrêté à Anvers, en Belgique, où il avait pris la fuite.

Juin 2006, en Dordogne : un tronc humain lardé d’une trentaine de coups de couteau est retrouvé dans l’estuaire de la Gironde. Il s’agit de Raoul Jean, le cantonnier de Minzac, avec qui Aziz Hamri avait effectué plusieurs voyages au Maroc.

Mai 2006, à Saint-Quentin-en-Yvelines : Katja Slokan, une étudiante slovène de 25 ans, est poignardée à seize reprises par son ex-petit ami, Majid al Majid, qui ne supportait pas la rupture.

Mai 2006, à Rupt-sur-Moselle : une vieille dame âgée de 82 ans, est tuée à son domicile par Mohamed Khoubza, 27 ans. Le Maghrébin l’avait bâillonnée, dénudée et l’avait attachée sur son lit. Il avait alors fouillé la maison, à la recherche d’argent. L’autopsie, toutefois, conclut que Mohamed Khoubza avait « étranglé manuellement » la mamie.

Avril 2006, à Torcy, en Seine-et-Marne : Benjamin Pirottin, 18 ans, est tué d’un coup de couteau dans le dos dans la salle des fêtes, assaillie par des CPF. Le coupable se nomme Nouha Bathily.

Février 2006, dans les Yvelines : Hubert Garcia-Bardidia, un buraliste de 30 ans installé à Magny-les-Hameaux, est retrouvé en forêt, attaché à un arbre et égorgé. Le coupable est un Marocain nommé Saïd Msyehi.

Janvier 2006, au Mans : Élisabeth Debeury, 31ans, est tuée chez elle, frappée à neuf reprises avec un couteau à viande. Djamel Haddou ne supportait pas la rupture.

Le 27 octobre 2005, à Clichy-sous-Bois, deux adolescents africains mouraient électrocutés dans un transformateur EDF en fuyant un contrôle de police. Ce fait divers mit le feu aux poudres, et bientôt, toutes les racailles afro-maghrébines des banlieues françaises pillèrent les magasins, brûlèrent les voitures, les entrepôts et les bâtiments publics, sous les yeux d’une police impuissante. Pendant trois semaines, les images de ce soulèvement généralisé firent le tour du monde. Le premier jour de ces événements, Jean-Claude Irvoas, qui prenait des photos de lampadaires à Épinay-sur-Seine (en Seine-Saint-Denis) pour un catalogue de mobilier urbain, fut pris à partie par quatre individus qui craignaient d’avoir été pris en photo. Ce Français de 56 ans fut battu à mort sous les yeux de sa femme et de sa fille de 17 ans, qui l’attendaient dans sa voiture. Il s’agissait de Icheme Brighet, un Algérien ; Sébastien Béliny, qui était originaire des Antilles ; Samba Diallo, un Sénégalais, et Benoît Kusonika, un métis de père congolais, qui fut aussi le seul à reconnaître les faits, s’accusant d’un coup de poing violent.

Ce 5 novembre 2005, les émeutes dans les banlieues duraient depuis huit jours. Le soir, Jean-Jacques Le Chenadec descendit en bas de chez lui, boulevard Maxime-Gorki, à Stains (93), pour éteindre un feu de conteneur à poubelles allumé par un petit groupe de jeunes immigrés. Resté dehors pour discuter avec son voisin Jean-Pierre Moreau, le sexagénaire reçut plusieurs coups de poing, dont l’un, assez violent, qui provoqua sa chute. Sa tête heurta le bitume. Plongé dans le coma, Jean-Jacques Le Chenadec décéda deux jours plus tard sans reprendre connaissance. Le meurtrier se nommait Salaheddine Alloul.

Septembre 2005, à l’intérieur de la prison de Liancourt, dans l’Oise : dans la cellule C005, Kamal Bentayebi, 21 ans, tabasse à mort son codétenu, Thomas Duval.

Juin 2005, à Montrouge (92) : un vieux Français de 83 ans, Marc, est tué chez lui par deux ressor­tissants kazakhs.

Juin 2005, à Champigny, dans le Val-de-Marne : le corps de Mélodie Chouquet, une étudiante de 20 ans, est découvert sur les bords de la Marne. Le meurtrier est un fumeur de joint nommé Mangesh Raggoo, originaire de l’île Maurice, et qui ne supportait pas la rupture.

Mai 2005, à Paris : David Almeida est tué d’un coup de couteau sur le trottoir de la rue Chaptal, sous les fenêtres de l’immeuble où sa mère est la gardienne. Les meurtriers se nomment Ouahid Ben Salah, 22 ans, et Anouar Boukria, 25 ans, déjà condamnés à plusieurs reprises pour vol avec violence.

Avril 2005, à Marines, dans le Val-d’Oise : un Français de 22 ans, Benjamin Combelles, est tué avec un couteau de chasse. Son meurtrier est un Africain de 24 ans nommé Steve Diome, venant de la cité de Cormeilles-en-Vexin.

Avril 2005, à Évry : Éric Wesse, 27 ans, est aspergé d’essence et brûlé vif par Jean Tukumbane.

Janvier 2005, à Mareuil-lès-Meaux en Seine-et-Marne : Driss Sajdi assassine et découpe en morceaux Maryse Louvet, 51 ans, la mère de sa compagne.

Janvier 2005, dans le train Pontoise-Paris-Saint-Lazare : Jean-Marie, un SDF de 51 ans, est tabassé à mort par un CPF de 20 ans nommé Saïd.

Décembre 2004, à Aubignan, dans le Vaucluse : René Girard, 80 ans, qui dort paisiblement, est réveillé par du bruit. Il est tué par Mohamed El Aissoui, 22 ans, et Sofiane Saïdi, 18 ans.

Octobre 2004, dans le Gard : David Estournel, originaire d’Avignon, est tué de 56 coups de couteau par Djelloul Maroc.

Septembre 2004 à Montereau, en Seine-et-Marne : Virginie, 32 ans, tombe du quatrième étage de son immeuble. Elle a été poussée par son compagnon, Abdelkrim, 45 ans, qui était fortement alcoolisé.

Mai 2004, à Saint-Cloud : Patrick Barbosa, 24 ans, est tabassé à mort par son dealer de cannabis, un Algérien de 21 ans nommé Gaya Messad.

Mai 2004, à Évry : Lors d’un violent contentieux opposant Mahfoued Boujardine et Abdelmoumen au sujet d’un scooter volé, Laura, une passante, est atteinte d’une balle perdue. En février 2006, le Maghrébin est condamné à seulement cinq ans de prison dont deux avec sursis. (La lecture du livre sur le Racisme antiblanc est assez éclairante sur la légèreté des peines infligées).

Avril 2004, à Saint-Étienne : un supporteur de football, Olivier Baraldini, âgé de 20 ans, est abattu d’une balle de fusil dans la tête par Karim Aouragh.

Avril 2004, à Savigny-le-Temple, en Seine-et-Marne : Patrice Cambron, 38 ans et père de deux enfants, qui constate le vol de deux vélos dans son garage et qui tente de les récupérer, est tabassé à mort par des CPF : « traumatisme cérébral crânien avec fracture temporale gauche ». Le procès eut lieu à huis clos, étant donné que les coupables étaient mineurs.

Avril 2004, à Pontoise : Martine, 42 ans, est tué par son compagnon Samir M., avec un couteau à steak. Elles est poignardée au cou, à la poitrine et au sternum.

Avril 2004, à Sartrouville : Nadine Cuissard, 41 ans, est tuée par l’ami d’une de ses copines, Abdelkrim Bachiri, 46 ans. « Le lendemain, j’ai mis le corps de Nadine dans le coffre de sa voiture avant d’aller le brûler en forêt de Saint-Germain-en-Laye. » C’est là qu’il fut retrouvé et identifié deux mois plus tard.

Mars 2004 à Versailles : Dominique Rissel, un gérant de supérette, est abattu en pleine rue par Éric Youssef et ses complices : Younès Outsellamt et Amine Benaaza.

Mars 2004, au Teil, dans l’Ardèche : Cédric Juge, 15 ans, est tué de 14 coups de couteau par “Christophe et Jean” (ce sont des “noms d’emprunt”, souligne le journaliste). Appelons-les plutôt Kamel et Jamal. Comme ils sont mineurs, le procès a eu lieu à huis clos et leurs patronymes n’ont pas été dévoilés.

Janvier 2004, à Aubervilliers : Maria de Jesus Lopes une septuagénaire, est retrouvée morte dans son appartement. Elle a été tuée par Mounir Aït-Menguellet, 32 ans, qu’elle aimait beaucoup.

Novembre 2003, à Lorient : le corps de Lydie Lefèvre est découvert dans un parc, enroulé dans une couverture. Le meurtrier est son voisin, Ali Oulahcene, 68 ans, qui avait déjà été condamné par deux fois par les assises des Pyrénées-Orientales. D’abord pour viol, en 1974, puis pour meurtre, en 1982.

Mai 2003, à Champs-sur-Marne : Jérémy Fornarelli, 22 ans, est abattu d’une balle dans le cœur par Abdelkrim Ziani, 20 ans, pour une histoire de stupéfiants.

Avril 2003, à Stains, en Seine-Saint-Denis : Anne Jugon, une octogénaire de 83 ans est étranglée dans son appartement par Hamid Hadjar, un toxicomane, spécialiste des agressions violentes.

24 décembre 2002, à Asnières-sur-Seine : Pascale Rolet, une infirmière de 37 ans, est aspergée d’essence et enflammée dans le hall de son immeuble par un déséquilibré maghrébin de 39 ans nommé Samir Zaoui, qui fêtait Noël à sa manière. Rien dans les journaux, ou presque, pour ne pas troubler “l’égalité et la réconciliation”.

Octobre 2002, à Valenciennes : Sophie Berkmans, une rhumatologue de 41 ans, est découverte morte dans son cabinet. Sa gorge est tranchée de part en part, son visage tuméfié et sa jupe relevée. Il fallut attendre cinq ans, soit novembre 2007, pour mettre enfin la main sur l’assassin : Mohamed Medjahed. Cette “chance pour la France” avait déjà été condamnée en 1981 par la cour d’assises du Nord à huit années de réclusion pour agression sexuelle et tentative de meurtre sur une jeune femme.

Octobre 2002, à Valenciennes : deux semaines après le meurtre de Sophie Berkmans, Marianne Listoir, une étudiante arrageoise de 18 ans, est découverte morte dans un fossé, au bord de l’autoroute. Le meurtrier est un (Franco)-Algérien de 28 ans, nommé Tahar Bourahla.

Juin 2002, à Beauvais : Jacquy Haddouche se rend coupable du meurtre de Léo Capon, 73 ans, qui a été égorgée à son domicile. En juillet 2002, Haddouche avait déjà tué Sylvain Rome, à Saint-Étienne. En 1992, cette Chance pour la France avait aussi tué Gilles Canette, un professeur de français de Beauvais. Son parcours est ici très abrégé ! (Cf. Le Racisme antiblanc, Hervé Ryssen).

Mai 2002, à Vitry-sur-Seine : huit personnes sont fauchées à un abribus par un chauffard. Une mère de famille et ses deux fillettes sont tuées sur le coup. Le conducteur de 26 ans s’appelle Samir Cheney. Les deux passagers, Rhadil Azzedine et Benyounes Zaouch, âgés de 25 et de 26 ans, ont alors courageusement pris la fuite à pied avec le conducteur, sans porter assistance aux victimes, dont deux enfants, coincés sous le véhicule.

Octobre 2001, à Lyon : Yvette Bouillet, une retraitée de 76 ans, est trouvée morte chez elle, dans une mare de sang. « En trente ans de carrière, j’ai rarement vu une telle violence », affirma le professeur Malicier, directeur de l’institut médico-légal de Lyon. Un grand nombre de fractures faciales avaient entraîné une hémor­ragie mortelle, précédée d’une agonie de plusieurs minutes. Le coupable se nomme Rachid Zenasni, dont il faut connaître tous les exploits.

Août 2001, à Cergy-Pontoise : Habib Mezaoui, un employé de banque licencié, se venge de son patron. Il prend en otage une dizaine de clients ainsi que les employés de l’agence. Le directeur Patrick Prieur, 49 ans, est abattu de cinq balles dans la tête, et son adjoint, Gilles Dessertenne, 45 ans, est tué tout de suite après.

Voici donc tous les meurtres commis en dix ans par des Noirs et des Arabes sur le sol français (été 2001- été 2011). Notre livre sur le Racisme antiblanc (paru en novembre 2011) remonte encore dans le temps, et la liste des cadavres s’allonge considérablement.

Soulignons que nous n’avons pas cité ici les affaires de viols, les viols “avec tortures et actes de barbarie”, et autres agressions ultraviolentes. Nous n’avons pas non plus évoqué la vingtaine d’affaires d’autodéfense – beaucoup plus réjouissantes – que nous avons répertoriées à la fin de notre livre, et dans lesquelles la victime française tue l’agresseur arabe.

Voilà. Tout cela pour dire à Bertrand Delanoë qu’il peut aller se faire foutre, lui et son Brahim Bouarram adoré.

Le 1er mai 2011, avec ses “mignons” de la mairie de Paris, il avait encore déposé une gerbe de fleurs devant la plaque commémorative en mémoire de Brahim Bouaram, en déclarant, devant les caméras :

« Quand on s’en prend à un jeune homme parce qu’il est arabe, qu’on le jette à la Seine et qu’il en meurt, ça veut dire qu’on tue quelque chose aussi, de la grandeur de la beauté de la France ». Il fallait, expliqua Bertrand Delanoë, « maintenir les barrières contre l’infâme ».

Mais l’infâme, c’est lui, Bertrand Delanoë, et ses semblables, qui ignorent délibérément toutes les victimes blanches, infiniment plus nombreuses, rackettées, violées, tuées, assassinées par tous les petits Brahim Bouarram qui courent partout sur le territoire.


Hervé RYSSEN, 1er mai 2012
http://www.contre-info.com/%C2%AB-ils-ont-ete-tues-par-des-noirs-et-des-arabes-%C2%BB-2001-2011
mado8
mado8
Localisation : Alpes Maritimes
Cancer Date d'inscription : 26/11/2011
Passion : peinture politique

Document : le racisme anti-blanc et anti-occidental.... Empty Re: Document : le racisme anti-blanc et anti-occidental....

Mar 1 Mai 2012 - 14:50
Cette discrimination dans la dramatisation de toute atteinte aux Afro Maghrébins et musulmans contre l'ignorance totale des crimes envers les blancs, des profanations de cimetières et églises chrétiennes beaucoup plus fréquents, c'est du racisme et de la francophobie à l'état pur.
Il y a carrément des chasses aux blancs connues en France comme en Angleterre, par des bandes contre un(e) blanc(che)seul(e) dans des quartiers, dans le silence total de cette caste politique UMPS et des médias à leurs bottes.
Mais cela commence à se savoir car il y a le net, et la communication entre Français sur ces drames subis ici et là dans l'indifférence totale de ces médias islamogauchistes et politiques UMPS.
Et ne parlons pas du silence assourdissant des associations SOS racisme et autres, le raciste infâme, D.Sopo, ne veut absolument pas qu'on en parle.
francoise
francoise
Localisation : sur la banquise là où la connerie humaine fait fondre les glaces
Taureau Date d'inscription : 18/09/2011
Passion : peintre et blogueuse en art pictural figuratif
Humeur : zen

Document : le racisme anti-blanc et anti-occidental.... Empty Re: Document : le racisme anti-blanc et anti-occidental....

Mar 1 Mai 2012 - 18:23
Le racisme anti-blancs est encore tabou. Mais si le déni du phénomène risque d’ouvrir un boulevard aux extrémistes, catégoriser les victimes ne peut que renforcer le communautarisme.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Tarik Yildiz, Le Racisme anti-blanc, Ne pas en parler : un déni de réalité, Editions du Puits du Roulle, 58 pages.

Le thème n’est pas nouveau mais toujours sensible. La question du racisme anti-blancs est déjà présente dans le débat depuis de nombreuses années et avec les mêmes polémiques. Ce phénomène avait été popularisé il y a quasiment 6 ans, jour pour jour, le 28 mars 2005. Plusieurs personnalités avaient alors lancé un « appel contre le racisme anti-blancs ». Parmi les plus connues, Alain Finkielkraut, Bernard Kouchner, Pierre-André Taguieff ou Jacques Julliard (à l’époque directeur délégué de la rédaction du Nouvel Obs et désormais éditorialiste à Marianne). Ces derniers dénonçaient ce qu’ils nommaient des « ratonnades anti-blancs » lors dans des manifestations lycéennes contre la loi Fillon où des jeunes avaient été violemment agressés.

A l'inverse, SOS Racisme, le Mrap, la Ligue des droits de l’Homme avaient dénoncé ce texte. Mouloud Aounit, président du Mrap, avait estimé qu’« on ne peut donner une lecture ethnique à une violence sociale, ne donner que cette lecture est à courte vue et irresponsable ». Et ce thème du racisme anti-blancs est revenu dans l’actualité en début d'année avec le livre Réflexions sur la question blanche de Gilles William Goldnadel, avocat et membre de la direction du Crif.

Denièrement, un nouvel ouvrage Le racisme anti-blanc, ne pas en parler : un déni de réalité affronte encore la question, cette fois écrit par Tarik Yildiz, sociologue de profession. Et l’auteur n’a pas le même profil politique que Me Goldnadel, membre de l’aile dure du Crif. Tarik Yildiz contribue au Bondy Blog et au site « Terre d’avenir », co-édité par le Bondy Blog et Plaine commune, communauté d’agglomération regroupant notamment les villes de Saint-Denis et Aubervilliers et dirigé l’ex-communiste Patrick Braouezec. Le jeune chercheur est donc plus à classer parmi les « bien-pensants » que chez les « politiquement incorrects ».

Pourtant, l’auteur, dans son court livre (58 pages), n’hésite pas à mettre les pieds dans le plat. Il se base sur les témoignages de jeunes, de parents, d’enseignants en ZEP en banlieue parisienne. Et si l’ouvrage n’a pas la dimension intellectuelle d’une thèse universitaire, il apporte un éclairage inquiétant sur la question. En effet, les jeunes mais aussi des adultes interrogés disent tous avoir été victimes et témoins d’insultes voire de violences racistes contre des Blancs.

Notamment Guillaume, collégien de Pierrefitte-sur-Seine : « J’avais la haine vraiment. Je me fais traiter de ‘Sale Français, sale Gwer’, parfois agresser gratuitement et pourquoi ? Juste parce que je suis Français ? Mais c’est normal d’être Français en France, non ? » (page 16). Alain, enseignant en ZEP, témoigne aussi : « On entend effectivement des insultes racistes du genre ‘sale gwer, sale gaouri’ (sale Français, sale Musulman). Cela arrive de temps en temps. Mais on entend aussi d’autres insultes, et bien plus souvent, qui ne sont pas racistes. Il y a un problème général à l’école qui ne se limite pas à ce racisme » (page 39).

L’auteur note également un autre phénomène dont on se demande pourquoi il est assimilé au racisme anti-blanc. Tarik Yildiz, faisant témoigner Hasan, un père de famille note en effet qu’« il existe un racisme anti-blanc mais plus généralement, on constate une intolérance envers ceux qui ont une manière de vivre différente, qu’ils soient issus de l’immigration, musulmans ou non » (page 30). Certes, ce témoignage peut illustrer une ambiance régnant dans certains quartiers.

Mais que veut montrer l’auteur ? Qu’il existe un racisme des non-blancs contre les Blancs ? Qu’il existe en France, un repli communautaire s’opposant au mode de vie occidental ? En confondant les deux phénomènes relevant pour l'un d'une logique raciale pour l'autre d'une logique religieuse et culturelle, l’auteur assimile, Islam et origine maghrébine, personnes de type européen et christianisme. Le racisme anti-blanc est bien évidemment quelque chose à ne pas négliger mais on ne peut le ramener à une haine de musulmans intégristes contre la civilisation chrétienne.

Un racisme et pas des racismes
Ce raccourci montre que l’auteur scie parfois la branche sur laquelle il est assis. D’un ouvrage dénonçant à juste titre le racisme, il en fait, sans le vouloir une confrontation communautaire. Le risque est de créer un sentiment de victimisation, parce qu'on estime qu'on ne prend pas suffisamment en compte les actes de racisme anti-blancs. « Ce sentiment de deux poids et deux mesures est prépondérant dans les différents témoignages de ce livre. Bastien (un lycée interrogé, ndlr) le dit très clairement et sans ambiguïté, il a l’impression que toutes les formes du racisme ne sont traitées de la même façon », écrit l’auteur (pages 20-21).

Nier le racisme anti-blancs est idiot. Ce phénomène existe, comme d'autres stigmatisations : anti-noirs, anti-arabes et sans doute anti-bretons, anti-corses ou anti-alsaciens… On peut citer à foison les exemples de personnes discriminées, insultées, agressées en raison de leurs origines, c'est évidemment inacceptable. Mais la dénonciation du racisme anti-blanc risque de dériver, comme tout autre anti-racisme « catégorisé », vers une compétition victimaire malsaine. Et ce reproche a déjà été fait. En 2005, lors de l’appel contre les « ratonnades anti-blancs » c’était… SOS Racisme qui avait noté ce risque victimaire. « Arrêtons la victimisation. Il faut démontrer à David, Kader et Sébastien qu'ils ne sont pas seulement des victimes », avait déclaré à l’époque Patrick Klugman, vice-président de l’association.

L’anti-racisme n’est pas divisible. Il n’existe pas des racismes mais un racisme qui estime que les gens sont avant tout une origine ethnique et non des citoyens. Et lancer un concours pour savoir si le racisme anti-blancs est plus fort que le racisme anti-noirs, c’est justement acter involontairement (ou non) cette vision essentialiste. Combattre le racisme anti-blancs est une idée louable mais au final, elle devient contre-productive. La vraie victime du racisme ce n'est pas un Noir ou un Blanc, mais toute la Nation. L’anti-racisme ne peut être un discours fragmentant la société en autant de groupes se définissant chacun comme les vrais damnés de la Terre, il doit être une façon de défendre l’universalisme républicain.


http://www.marianne2.fr/Racisme-anti-blancs-realite-sociale-ou-competition-victimaire_a204234.html

Un texte qui est noyé de politiquement correct pour pouvoir exister !
Contenu sponsorisé

Document : le racisme anti-blanc et anti-occidental.... Empty Re: Document : le racisme anti-blanc et anti-occidental....

Revenir en haut
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum