Marine Le Pen accuse Martine Aubry, François Hollande et Arnaud Montebourg d’avoir soutenu le système Dalongeville Kucheida en toute connaissance de cause

COMMUNIQUE DE PRESSE DE MARINE LE PEN

Le Front National a été le premier à dénoncer et à condamner
le système de la mafia socialiste du bassin minier du Pas-de-Calais.

Steeve Briois a déposé des plaintes au pénal (la première date de janvier 2003)
contre Gérard Dalongeville pour détournements de fonds publics et abus de biens sociaux
dans l’affaire LMC et Marianne Communication.

En 2008, Marine Le Pen dénonçait au conseil municipal,
l’affaire de prise illégale d’intérêts des terrains de Philippe Demarquilly,
adjoint de Gérard Dalongeville.


Entre 2004 et 2009, le tribunal administratif de Lille condamnait, à 6 reprises,
Gérard Dalongeville pour refus de communiquer les dépenses de son cabinet à Steeve Briois.


Dans le même temps,
François Hollande et Arnaud Montebourg se déplaçaient personnellement à Hénin-Beaumont
pour rencontrer et soutenir Gérard Dalongeville
alors même que les rapports de la chambre régionale des comptes étaient accablants sur sa gestion.


Alertée non seulement par l’opposition municipale d’Hénin-Beaumont,
mais aussi par ses propres amis du Parti Socialiste de l’ampleur de la corruption,
Martine Aubry n’a jamais voulu trancher malgré les éléments de preuves dont elle avait connaissance.


Marine Le Pen constate que le Parti Socialiste
met plus de cœur à défendre ses notables véreux qu’à répondre aux préoccupations des Français,
y compris des plus modestes dont il s’était proclamé le protecteur.


Après l’affaire Guérini,
Marine Le Pen constate que les deux fédérations
où ces faits de corruption ont été révélés
sont les plus puissantes de France,
ce qui permet d’affirmer que leur puissance est le fruit du clientélisme.

Elle réclame que l’enquête soit étendue à la fédération du Nord,
certaines entreprises n’arretant pas leurs activités à une frontière administrative…


Marine Le Pen rappelle que seule sa candidature présidentielle
présente une alternative crédible à une classe politique aussi corrompue à gauche qu’à droite.


Dans le Pas-de-Calais comme partout en France,
l’UMP est complice du PS puisque ses candidats
appellent systématiquement à voter socialiste au second tour
à toutes les élections depuis juin 2007.


Marine Le Pen y voit la preuve que la seule alternative possible à Nicolas Sarkozy
est bel et bien sa candidature, et surement pas celle de François Hollande,
représentant d’un système vérolé et incapable de gouverner, tant au niveau local que national.



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