Macron : la splendeur de l’incompétence !

Collomb prédit le « face à face » dans les quartiers : que fait l’Élysée ?

Communiqué de presse de Louis Aliot
Député, membre du Bureau Exécutif du RN
6 octobre 2018
(Source)

« Le terme de reconquête républicaine prend dans ces quartiers tout son sens. (…) Il faut assurer la sécurité dans ces quartiers mais il faut fondamentalement les changer. Quand les quartiers se paupérisent, se ghettoïsent, il ne peut y avoir que des difficultés (…) On vit côte à côte, je crains que demain on ne vive face à face, nous sommes en face de problèmes immenses », a déclaré Gérard Collomb lors de son discours de départ du ministère de l’Intérieur.

Si François Hollande avait déjà parlé de « sécession » dans ses confidences aux journalistes auteurs de l’ouvrage « Un Président ne devrait pas dire ça, c’est la première fois qu’un ministre de l’Intérieur décrit une situation aussi tendue et chaotique, presque synonyme d’un pays au bord de la guerre civile.

Pourtant, il a fallu une semaine d’atermoiements coupables et de polémiques, pour que le président Emmanuel Macron finisse par « accepter » la démission de Gérard Collomb, désormais revenu dans sa ville de Lyon.

Preuve d’une forme de vacance du pouvoir, le Premier ministre Philippe doit occuper les fonctions de ministre de l’intérieur pendant une période encore indéterminée. Alors que les quartiers s’embrasent, que les agressions ultra violentes se multiplient, que le racisme anti-blanc est un phénomène de société et que le problème de l’islamisme n’a jamais été aussi vivace, les Français méritent de savoir s’il y a toujours un capitaine à la barre pour maintenir l’ordre public républicain, et si une politique prospective sur le temps long, ainsi que les moyens nécessaires, seront enfin mis en place.

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Cet intérim est la preuve flagrante qu'ils ne intéressent pas du tout à la sécurité des Français.

Niaiseries jupitériennes :
« La plupart des combattants sont des civils qu'on a armés » !

atlantico, le 24 Octobre 2018
(Source)

Eh oui Macron a dit ça. On se pince : mais oui, il l'a bien dit…

Un jour Flaubert écrivit « Le dictionnaire des idées reçues ». Un jour un mémorialiste du quinquennat 2017-2022 écrira « Le dictionnaire des niaiseries reçues ». Et les écoliers du futur le consulteront en riant aux larmes.

La phrase de Macron mérite de trôner au Panthéon dédié à Sainte-Nigaude. Elle y rejoindra « ce sabre est le plus beau jour de ma vie » de Joseph Prudhomme et aussi l'immortelle exclamation du maréchal Mac Mahon s’adressant à un militaire d'origine africaine.

Oui le président de la République est grand dans son effort prométhéen consistant à enfoncer des portes ouvertes.

Oui les soldats de la Grande Armée napoléonienne étaient des civils qu'on avait revêtus d'un uniforme… Oui il en allait de même pour les poilus de 14-18… Oui les soldats d'Hitler avaient été des civils dans une vie antérieure… Oui ceux de l'Armée Rouge ne dérogeaient pas à la règle…

Que dire d'autre des troupes de Churchill, de Roosevelt, de de Gaulle. Inclinons-nous respectueusement devant la profondeur de la pensée macronienne. Lui, et lui seul, détient la vérité toute nue.

Mais la phrase de Macron, en dehors de sa consternante banalité, a une explication. Elle sert au président de la République à justifier sa décision d'annuler le défilé militaire du 11 novembre. Notre doux et pacifique Jupiter n'aime pas que l'on tue des civils.

Pour lui il n'y a pas eu de victoire le 11 novembre 1918 ! Et, selon son entourage, « il ne veut pas froisser Angela Merkel ». Car la chancelière allemande pourrait prendre la mouche et nous déclarer la guerre.

Alors comme en juin 1940 ce serait la débandade ! Mais nous avons une autre solution pour éviter cette défaite certaine. Macron n'a qu'à faire défiler nos soldats en civil !

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ano a écrit:

Niaiseries jupitériennes :
« La plupart des combattants sont des civils qu'on a armés » !

atlantico, le 24 Octobre 2018
(Source)

Eh oui Macron a dit ça. On se pince : mais oui, il l'a bien dit…

Un jour Flaubert écrivit « Le dictionnaire des idées reçues ». Un jour un mémorialiste du quinquennat 2017-2022 écrira « Le dictionnaire des niaiseries reçues ». Et les écoliers du futur le consulteront en riant aux larmes.

La phrase de Macron mérite de trôner au Panthéon dédié à Sainte-Nigaude. Elle y rejoindra « ce sabre est le plus beau jour de ma vie » de Joseph Prudhomme et aussi l'immortelle exclamation du maréchal Mac Mahon s’adressant à un militaire d'origine africaine.

Oui le président de la République est grand dans son effort prométhéen consistant à enfoncer des portes ouvertes.

Oui les soldats de la Grande Armée napoléonienne étaient des civils qu'on avait revêtus d'un uniforme… Oui il en allait de même pour les poilus de 14-18… Oui les soldats d'Hitler avaient été des civils dans une vie antérieure… Oui ceux de l'Armée Rouge ne dérogeaient pas à la règle…

Que dire d'autre des troupes de Churchill, de Roosevelt, de de Gaulle. Inclinons-nous respectueusement devant la profondeur de la pensée macronienne. Lui, et lui seul, détient la vérité toute nue.

Mais la phrase de Macron, en dehors de sa consternante banalité, a une explication. Elle sert au président de la République à justifier sa décision d'annuler le défilé militaire du 11 novembre. Notre doux et pacifique Jupiter n'aime pas que l'on tue des civils.

Pour lui il n'y a pas eu de victoire le 11 novembre 1918 ! Et, selon son entourage, « il ne veut pas froisser Angela Merkel ». Car la chancelière allemande pourrait prendre la mouche et nous déclarer la guerre.

Alors comme en juin 1940 ce serait la débandade ! Mais nous avons une autre solution pour éviter cette défaite certaine. Macron n'a qu'à faire défiler nos soldats en civil !

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« Con comme un Macron ! »

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Si seulement ce crétin n’avait loupé qu’un débat !

Plus c'est énorme et plus cela passe.
Nous vérifions une fois encore que ce type est creux.
S'il n'a pas sa mémère pour lui tenir la main il n'est pas capable de marcher seul.
Il y en a de plus en plus qui doivent se sentir cocus avec un tel gugsse à la barre de la France.

Macron « préfère la taxation du carburant à celle du travail »

C'est vraiment incohérent, tout simplement parce que se sont ceux qui travaillent qui subissent le plus la hausse des carburants. Ils sont contraints ...

Les chômeurs et les retraités utilisent beaucoup moins leurs véhicules, que ce soit parce que leurs obligations sont moindres, ou parce que leur utilité est moindre.

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Macron a accordé à Nikos Aliagas une interview surréaliste …

Plutôt que nous expliquer comment il va rendre l'armée Française plus performante pour protéger les Français, il s'enferme à nouveau dans son utopie d'« armée européenne » … et dans ses fadaises de « souveraineté européenne »...

Contrairement à ce qu'il prétend, aucun pays ne prendra le risque d'attaquer la France tant qu'elle sera détentrice de la dissuasion nucléaire. Et elle restera détentrice de cette dissuasion tant qu'un abruti ne cherchera à la paralyser en la partageant avec un autre pays (ajoutons à cela si ce dernier était ouvertement « anti-nucléaire » se serait encore pire, mais là il faudrait vraiment qu'un pur cinglé soit à la tête de l'état …)

Incontestablement, sans argument pour nous faire avaler n'importe quoi, il surfe sur les peurs !

D'évidence, Macron n'est pas réaliste, pas lucide et complètement incompétent !

Nous avons même eu l'impression que Nicolas Canteloup lui soufflait les réponses ...

Cette bouffonnerie serait assez drôle, si seulement elle n'était pas si grave !

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Il veut amener la France au même niveau que la Grèce, c'est à dire la ruiner

Baisse des prélèvements obligatoires :
La promesse de Macron ne sera pas tenue

figaro, le 18 octobre 2018
(Source)

Le président de la République s'était engagé à les réduire de 44,5% du PIB à 43,6% d'ici fin 2022. Cette promesse ne sera pas tenue, estime l'iFRAP, qui lui attribue la note de 4/10.

Pendant la campagne, Emmanuel Macron s'était engagé à réduire les prélèvements obligatoires de 44,5% du PIB à 43,6% d'ici fin 2022, avec une moitié des baisses pour les ménages et l'autre pour les entreprises. Seulement, les prélèvements ont bien l'air de monter d'année en année : 1038 milliards en 2017, 1052 en 2018, 1070 en 2019 selon le dernier projet de loi de finances. Et si on pousse jusqu'à la fin du quinquennat en prenant en compte la trajectoire des finances publiques remise à jour pour le projet de loi de finances, cela donnerait ce chiffre d'ici la fin du quinquennat : 1188 milliards en 2022 d'après nos estimations !

Qui a dit que les prélèvements obligatoires baissaient en France ? Même le rapporteur LREM du budget à l'Assemblée, Joël Giraud, peine à démontrer dans son dernier rapport que les prélèvements baissent. Le projet de budget met pourtant en exergue un niveau des prélèvements obligatoires de 44,2% du PIB en 2019, soit -0,8 point par rapport à 2018. Qu'en conclure ? Si l'on se fonde sur une approche en niveau (en valeur absolue), qui est celle que Bercy revendique lorsqu'il s'agit d'évaluer le niveau des dépenses publiques (puisque le ministère refuse de parler de tendanciel), les prélèvements obligatoires augmenteront bien en 2019 en valeur, d'environ 12 milliards d'euros.

Comment comprendre cette augmentation continue alors que l'on parle de baisse ?

Recettes en hausse, mesures fiscales insuffisantes

Pour 2018, l'augmentation spontanée des recettes est de 26,3 milliards à comparer aux baisses nettes affichées liées aux mesures fiscales décidées par le gouvernement de -10,4 milliards d'euros.

Pour 2019 rebelote : l'augmentation constatée spontanée est de 31,9 milliards quand les mesures de baisses prévues sont de -24,1 milliards. Là encore, les hausses sont plus importantes que les baisses et le niveau des prélèvements obligatoires augmente de 12,6 milliards.

Pour comparer le niveau et la répartition des prélèvements obligatoires, il convient de regarder par rapport à un scénario à politique inchangée dans le rapport social économique et financier joint au PLF 2019. Ce document nous apprend que le niveau des recettes est de 0,3 point de PIB plus important en 2019. La principale hausse est à chercher du côté des impôts de production payés par les entreprises (+0,2 avec 4 à 5 milliards de hausses). Le reste viendra peut-être du prélèvement à la source ?

Dommage que la commission des Finances de l'Assemblée nationale n'ait pas repris la méthodologie du budget 2017, qui permettait d'identifier les prélèvements obligatoires « Ménages » et les prélèvements « Entreprises ».

Retour de la pression fiscale après 2019

Malheureusement, la « baisse » de 2019 des prélèvements obligatoires en volume est la dernière baisse fiscale programmée du quinquennat, puisqu'en 2020 la pression fiscale devrait repartir à la hausse à 44,6%, ainsi qu'en 2021, pour se fixer à 44,5% du PIB en 2022. Soit, si l'on reprend les termes exacts de la promesse du candidat Macron en 2016 (arriver à 43,6 points de prélèvements en 2022 en partant de 44,6% à la date où l'engagement a été formulé), un retour à la case départ. Voire pire si la croissance anticipée par le gouvernement, à 1,7%, n'est pas au rendez-vous comme c'est déjà le cas en 2018.

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Qui peut encore penser qu'un charlatan élu grâce à une esbroufe est capable de faire quelque chose d'utile?

Macron a été élu sans programme, je vous mets au défi de me sortir un exemplaire écrit de ce programme fantôme qui n'a jamais existé autre part que dans les commentaires de journaloppes qui ne cessent pourtant de dire que les Français l'ont élu pour ceci ou pour cela.
Par contre parmi les affirmations de ses discours de campagne figurait bien le fait de ne pas augmenter les taxes et les impôts comme le fait de diminuer les dépenses de l'état, promesses verbales cela va de soi qui n'ont visiblement engagés que les naïfs qui les ont cru. Les taxes et divers impôts ont augmenter en nombre et en montant dans le cas du carburant et par ailleurs les dépenses de l'état ont dépassé tout ce que ses escrocs de prédécesseurs avaient fait et que l'on croyait des summums en la matière. Nous étions le pays au monde le plus taxé et bien Macron a tout de même réussi à améliorer notre score, nous étions champions du monde et nous avons battu notre propre record. Tenants du titre nous progressons encore!

Oui mais en même il la laissé entendre
Tous les menteurs qui se succèdent sur les plateaux de télévision répètent les mêmes choses.

La réalité de Macron, c'est qu'il a été mis là par le système pour gérer la France dans l'intérêt de Bruxelles, c'est-à-dire l'Europe des technocrates et du pognon, quitte à ruiner la France. Macron, c'est du bidon, on a l'impression qu'il ne sert à RIEN ! Avec Macron on touche le fond.

Je suis pressé de voir ces canailles quitter le pouvoir.

Macron ridiculise la France !

Gilles Lebreton
Député français au Parlement européen
1 décembre 2018
(Source)


Source : https://www.facebook.com/gilleslebreton.fn/videos/2520486864658821/

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Le silence de Macron est assourdissant, il ne sait pas quoi faire pour redresser la situation qui ne cesse de s'empirer dans NOTRE pays. Le petit mondialiste arrogant s'est pris les pieds dans le tapis. Il commence même à être ridicule le pauvre avec son égo blessé, qui n'accepte pas que l'on ait l'outrecuidance de lui résister.

Je n'ai qu'une chose à dire à ce triste sire : "Commencez à courir, partez vite!"

gemini a écrit:Je n'ai qu'une chose à dire à ce triste sire : "Commencez à courir, partez vite!"

gemini, je ne serais pas surpris si la franc-maçonnerie qui n'a plus besoin de Macron, le force à démissionner, car pour ces gens-là, le petit marquis de la finance n'est qu'un pion interchangeable. La dictature maçonnique a utilisé Macron comme un citron pressé. Il a rempli son rôle le plus important, qui était d'empêcher Marine Le Pen d'accéder au pouvoir. Aujourd'hui, Macron est seul et sans soutien, y compris et surtout, de la part des milieux de la pensée unique qui l'avaient pourtant installé au pouvoir.

Chevalier du Temple a écrit:

gemini a écrit:Je n'ai qu'une chose à dire à ce triste sire : "Commencez à courir, partez vite!"

gemini, je ne serais pas surpris si la franc-maçonnerie qui n'a plus besoin de Macron, le force à démissionner, car pour ces gens-là, le petit marquis de la finance n'est qu'un pion interchangeable. La dictature maçonnique a utilisé Macron comme un citron pressé. Il a rempli son rôle le plus important, qui était d'empêcher Marine Le Pen d'accéder au pouvoir. Aujourd'hui, Macron est seul et sans soutien, y compris et surtout, de la part des milieux de la pensée unique qui l'avaient pourtant installé au pouvoir.

Le système n'en a rien à faire de ce petit valet sans envergure mais le principal problème actuel du système c'est de le remplacer car les partis traditionnels à sa botte de droite et de gauche sont grillés, son candidat banquier présenté comme antisystème (plus c'est gros plus ça passe) est plus que grillé il n'est même pas dit qu'il arrivera au bout de son mandat. Et le parti en tête des intentions de vote est celui sur lequel le système a le moins d'emprise c'est le Rassemblement National.

Bref les énormes problèmes du tout petit Macron sont également d'énormes problèmes pour le système qui perd sa main mise sur le pays.

Après un tel désaveu de sa politique par les Français, on ne voit vraiment pas comment Macron pourrait rester en place jusqu'aux prochaines élections. L'ampleur inattendue du mouvement des gilets jaunes échappe au système et Macron semble faible et dépassé par les évènements. Comment expliquer que le premier ministre est au premier plan alors que le président est totalemenmt absent ?

En utilisant le premier ministre il gagne du temps et espère s'en sortir sans dommage.
Sauf que le rejet est total et irréversible.

gemini a écrit:En utilisant le premier ministre il gagne du temps et espère s'en sortir sans dommage.
Sauf que le rejet est total et irréversible.

Les dégâts sont irréversibles pour eux, je pense que la Vème république en a pris un coup au passage même si c'est l'abandon de la démocratie qui en est le principal problème, abandon lié au manque de proportionnelle et donc de représentativité à l'Assemblée prétendument "Nationale" alors qu'elle n'est que "Partisane".

Les protestations font rage dans NOTRE pays et Macron reste invisible !

C'est bizarre qu'un président qui normalement aime les feux des projecteurs, laisse aux autres le soin d'essayer de calmer la nation en colère. Les manifestsations anti-gouvernementales font rage à Paris et à travers la France, tandis que l'homme dont la présidence a déclenché la colère des Français n'est pas visible. Macron est resté à l'abri des regards du public toute la semaine, laissant son gouvernement impopulaire se charger de tenter de calmer la nation. 

A Paris et en province, la colère des manifestants dirigée contre Macron, a atteint son comble avec des "Macron démission !" Ils considèrent que Macron est le "président des riches" et qu'il est déconnecté des gens ordinaires. La popularité du petit mondialiste s'est effondrée ces derniers mois, il est largement perçu comme arrogant, ce qui ressort lorsqu'il dit à un chômeur qu'il peut trouver un emploi s'il "traverse la rue", ou encore conseille à un retraité de ne pas se plaindre. 

Macron a passé la plupart de la semaine à tenir des reunions à huit clos dans le Palais de l'Elysée, que de nombreux manifestants considèrent comme une tour d'ivoire où il se cache loin de la population. Le bureau du président a déclaré qu'il ne parlerait pas avant les manifestations anti-gouvernementales d'aujourd'hui. C'est curieux quand même pour quelqu'un comme Macron, qui aime attirer l'attention et ne manque jamais une occasion de se montrer sur la scène politique. 

Il y a tout juste une semaine lorsque qu'il se trouvait en Argentine au sommet du G 20, alors qu'il était sous les feux des projecteurs et qu'il rencontrait d'autres chefs d'Etats, les chaînes de TV françaises et étrangères montraient des images de barricades incendiées à Paris. Partout sur les écrans de TV américaine on pouvait voir les incendies, les dégâts et le nuage de gaz lacrymogène à l'Arc de Triomphe.

Quand Macron est revenu d'Argentine, il s'est rendu directement à l'Arc de Triomphe pour voir les dégâts sur le monument mais il a refusé de parler aux médias. Ensuite, il s'est rendu à une réunion discrète avec des policiers anti-émeute dans l'est de Paris, toujours sans presse. Le lendemain, il a effectué une visite inopinée au Puy-en-Velay où des manifestants avaient incendié le siège du gouvernement provincial. Macron a été copieusement hué et insulté par la foule en colère.

Macron, c'est du bidon !

L'homme invisible qui disait il y a peu de temps : qu'ils viennent me chercher" a dû sentir le souffle du boulet. Même si l'ensemble des médias et le ministère de l'intérieur s'accordent pour dire qu'il y a une baisse de participation, les gens sont toujours là. Le banquier s'est cru plus malin que des deux prédécesseurs, il a voulu aller plus vite et plus loin. aujourd'hui, il n'a plus de solution en dehors de celle de tout donner. Et pourtant, les représentants de la république enlisée récitent d'une même voix les litanies apprises par cœur. Chaque qui passe sans réponse aggrave encore le problème. Celui qui se prend encore pour le maître des horloges n'a pas compris que le ressort est cassé.

Macron et Philippe souhaitent « retisser l'unité nationale » ????????????????

… en dépossédant la France de ses souverainetés ?
… en dépossédant la France de son siège au conseil de sécurité ?
… en dépossédant la France de la dissuasion nucléaire ?
… en signant un pacte d’immigration et d’invasion de la France ?
… en détruisant la France pour l’intégrer dans un fédéralisme européen ?
Et cetera, et cetera, et cetera, …

Ou ils sont vraiment très cons, ou ils nous prennent vraiment pour des cons ?

Il y a les mots d’amour (et de cynisme) et il y a les gestes d’amour !
- les cons, ils osent tout ! -

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La recrudescence de la violence à Paris et ailleurs, donne l'impression d'un gouvernement impuissant face au soulèvement populaire. Macron et son gouvernement semblent complètement déconnectés, il n'a rien vu venir. Tout ce qui peut affaiblir la macronie et le mondialisme est bon à prendre. Il faut crever l'abcès une fois pour toutes, c'est-à-dire le pouvoir financier représenté par Macron.