Une tentative d'attentat dissimulée .. Des langues se délient

Ça s'est passé en fait le 28/08.

Seul Nice matin a révélé ce fait, peut être en avez vous entendu parler.
Le 28 août un Boeing 737 de la Turkish Airline a survolé Nice à 130m d'altitude  en phase d’atterrissage créant un émoi très fort.

Les passagers ont eu très peur et ont rapporté qu'ils ont entendu des disputes dans la cabine de pilotage.
L'atterrissage fut problématique et pour cause. De source bien informée (direction de la sécurité aérienne de l’aéroport) il semblerait que l’on ait évité une catastrophe comparable à celle du crash de l'avion d'une compagnie  allemande sur les montagnes causé par le copilote.

En effet il y aurait eu bagarre entre le pilote un djihadiste, et le copilote.

Ce dernier ayant réussi à neutraliser le pilote qui voulait lancer l'avion sur la ville de Nice, et qui a réussi tant bien que mal à atterrir. Bravo pour cet homme et son courage.
Messieurs Ciotti et Estrosi ont demandé la vérité sur cet incident.
Nous sommes le 23 septembre, avez-vous  entendu les médias en parler?
Ou avoir des précisions sur cet incident gravissime.  Mais non, ce n’est pas grave, attendons les attentats suivants !!!!


Effectivement, l’avion de Turkish en procédure « Saleya » (Arrive de l’Est-Sud-Est  sur l’axe du jardin Albert 1° et avant la Promenade des Anglais vire sec sur la gauche et s’aligne sur l’ILS de la piste 22. aux QFU 22R et 22L:

La procédure VOR B (ancienne SALEYA) suivie de VPT B est disponible aux QFU 22R et 22L et est procédure basée sur le VOR-DMEAZR ou sur le VOR-DME CGS suivie d'une manœuvre à vue imposée (MVI), et nécessite de bonnes conditions météorologiques (visibilité supérieure à 8 km, plafond nuageux supérieur à 1 500 pieds). Elle consiste dans une percée du radial 088° d'AZR puis d'un virage à droite au cap Nord-Ouest et d'un virage final à gauche de 80°.

Ce jour là l’avion en provenance de l’ESE n’a pas viré et à piqué sur la ville.

Le copilote à remis les gaz, tiré sur le manche, et viré sur la gauche, le tout à duré 10 secondes, la situation n’a été rétabli qu’à 2 seconde de l’impact, l’avion n’étant plus qu’à 130 m. (niveau mer) soit 110 m. niveau sol et 60 m. des toits des immeubles.
Silence complice des autorités, malgré les demandes insistantes au début de Messieurs Ciotti et Estrosi, qui depuis n’en parlent plus !!

Une fois encore les niçois ont eu chaud.
Donc silence radio pour ne pas parler de choses qui risquent d'en gêner certains.
Vivement Marine

Le plus élémentaire principe de précaution aurait été suspendre de vol la totalité des pilotes musulmans en raison d'un risque extrêmement grave. Car aux commandes d'un avion le geste "isolé" d'un "déséquilibré" a de trop grave conséquences pour être pris à la légère comme c'est actuellement le cas. Je pense que si parmi les pilotes il y en a qui sont musulmans et réellement "modérés" ils seront les premier à comprendre et peut être, qui sait, apprécier ces précautions naturelles.
Le système se tire régulièrement une balle dans le pied en appliquant ces règles qui consiste à préférer risquer de perdre beaucoup plutôt que risquer en prenant des précautions de perdre encore plus en se démasquant...