Les limites du devoir d’hospitalité ...

Une réplique pleine de bon sens à ceux qui dénaturent le sens de la charité et réclament l’accueil sans condition de toujours plus d’immigrés.

Bonsoir,

Le migrant n'est pas un ennemi. Il n'est question, ni d'attaque, ni de défense.
Il est question de seuil de tolérance à partir duquel il n'y a plus d'identité, et où la personne devient étrangère dans son propre pays.
C'est contraire à la nature humaine, qui a besoin d'un chez-soi, la preuve en est du communautarisme, quand les étrangers originaires d'un même pays se regroupent ; et nier ce besoin, c'est réveiller l'instinct de survie qui porte à la violence et à l'élimination de l'autre, quelle qu'elle soit.

Lorsque le nombre d'étrangers dépasse un certain seuil, la personne a l'impression de ne plus être dans son pays.
C'est comme une invasion en douceur, et si les étrangers deviennent plus nombreux, avec le système démocratique, ils
peuvent tranquillement te traiter comme citoyen de seconde zone, ou carrément accaparer le gouvernement et imposer
leur religion, la burka pour les femmes, et leur façon de vivre. Je crois qu'il y a dix millions de musulmans en France ;
petit à petit, ça gagne, ça gagne, dans la police, dans la gendarmerie, dans l'armée, etc.
Comme le dit le jésuite, quand la gentillesse devient de la bêtise, il faut arrêter.

C'est comme cela que les musulmans albanais se sont emparés du Kosovo, auparavant serbe orthodoxe.

Entre nous, ils doivent bien rire de notre bêtise !