L'Europe des Nations et des Libertés

ALENA 2.0 et CETA :
Les producteurs européens se font traire par les producteurs nord-américains !

Communiqué de presse de France JAMET
Député français au Parlement européen
1ère Vice-présidente du groupe RN au Conseil Régional d’Occitanie
Membre du Bureau national du rassemblement national
1 octobre 2018
(Source)

Selon les premiers éléments disponibles, cette nouvelle mouture de l’ALENA 2.0 (Accord de libre-échange nord-américain) qui vient d’être signé entre Donald Trump et Justin Trudeau, offre aux Etats-Unis un accès à environ 3,5% du marché laitier canadien, évalué à 16 milliards de dollars, tout en protégeant le Canada d’éventuels tarifs douaniers automobiles.

Il vise donc à protéger les automobiles canadiennes au détriment du marché du lait canadien qui s’ouvre au lait américain.

Selon Reuters, le gouvernement Trudeau se serait donc engagé à dédommager ses producteurs laitiers lésés. Ce que la Commission européenne nous interdit de faire pour les nôtres, au nom de la libre-concurrence !

L’accord du CETA engagé par M. Juncker va sûrement permettre aux producteurs laitiers canadiens de rééquilibrer cette situation sur le dos des producteurs laitiers européens. En décembre 2017, les professionnels de la filière laitière en France estimaient qu’il n’y avait « pas de risque de voir [les] produits laitiers concurrencés, vu le niveau du prix du lait » canadien. Ce n’est plus le cas désormais et avec cet accord USA-Canada, cela risque d’empirer.

Au final, ce sont toujours les filières agricoles qui pâtissent du libre-échangisme, car elles pèsent moins que les industriels de l’automobile. L’immense majorité des ALE conclus par la Commission européenne vont en ce sens.

Un protectionnisme intelligent, excluant tout libre-échangisme échevelé, serait en capacité d’éviter le pire à nos filières.

Seule une Europe des Nations et des Libertés le permettra en 2019 !

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Vivement Marine!
La canaille de la commission doit dégager.

« Je parle avec des personnes sobres » :

Salvini tacle violemment Juncker

rt, le 4 octobre 2018
(Source)

Le ministre italien de l'Intérieur a la dent dure : dans une déclaration enflammée, il a tiré à boulets rouges sur le président de la Commission européenne, évoquant son prétendu penchant pour l'alcool.

Le 2 octobre, Matteo Salvini a-t-il été offusqué par Jean-Claude Juncker ? Le président de la Commission européenne avait critiqué la veille le projet de budget italien, menaçant de réclamer une indemnisation à Rome... Le ministre italien de l'intérieur a réagi sur son compte Twitter : « Les propos et les menaces de Juncker et d'autres bureaucrates européens continuent à faire grimper le spread avec comme objectif d'attaquer le gouvernement et l'économie italiens ? Nous sommes prêts à réclamer une indemnisation. »

Puis, interrogé au cours d'une émission de la chaîne de télévision privée La7, Matteo Salvini n'a pas épargné la figure historique de l'UE et l'a attaqué sur son supposé penchant pour l'alcool : « Je parle avec des personnes sobres qui ne font pas de comparaisons qui ne tiennent pas la route. »

La comparaison en question est la suivante : Jean-Claude Juncker a établi un parallèle entre la situation italienne et la crise grecque le 1er octobre. Selon l'AFP, citant les agences de presse italiennes, il a déclaré : « Je ne voudrais pas qu'après avoir géré la très difficile crise grecque, nous nous retrouvions dans une nouvelle crise grecque, cette fois-ci en Italie. [...] Nous devons éviter que l'Italie réclame des conditions spéciales qui porteraient à la fin de l'euro si elles étaient concédées à tous. »

Le 3 octobre, c'est le commissaire européen Pierre Moscovici qui a qualifié le gouvernement italien de « résolument eurosceptique et xénophobe » et l'a accusé de tenter de « se défaire » de ses obligations européennes.

Le budget italien prévoit un déficit de 2,4% du PIB pour les trois prochaines années, et non 1,6% en 2019 comme envisagé auparavant, ce qui fait redouter à Bruxelles un dérapage budgétaire italien potentiellement dangereux pour la zone euro et pour l'ensemble de l'UE.

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Concernant Junker le conditionnel ne me semble pas adapté, a plus d'une reprise les observateurs l'ont trouvé pas très stable sur ses jambes.
Je pense que Salvini (qui l'a approché de très près) est en mesure de dire les choses.
Et puis, ces gens de cette commissions n'ont de respect pour personne. Ce qui fait qu'il le traite d'ivrogne n'a pas d'importance. Le ministre Italien défend son pays et c'est ça l'important. L’Italie fait ce que nous devrions faire.

Marine Le Pen attaque sa tournée européenne par l'Italie

figaro, le 8 octobre 2018
(Source)

La cheffe de file du Rassemblement national explique au Figaro les motivations de ce déplacement et ses enjeux.

La campagne d'Italie avant la conquête de l'Europe. Marine Le Pen réalise, ce lundi à Rome, la première étape d'une tournée européenne. Durant les huit mois qui la séparent du scrutin européen, la cheffe de file du Rassemblement national veut rencontrer la plupart des alliés avec qui elle espère constituer, demain, « une nouvelle majorité au parlement européen. » Qu'il s'agisse de mouvements déjà représentés à Strasbourg - et siégeant aux côtés du RN au sein du groupe parlementaire ENL - ou d'autres, qui y feront vraisemblablement leur entrée en mai prochain, tel que le parti tchèque de la Liberté et démocratie directe (SPD).

Ce choix de l'Italie comme premier déplacement de campagne ne doit rien au hasard. L'un des plus anciens alliés du RN, la Legua, y a été porté au pouvoir en juin dernier et son leader, le ministre de l'Intérieur Matteo Salvini, y jouit d'une popularité record avec près de 60% d'opinions positives. « On nous a longtemps expliqué que notre politique était infaisable, impossible. Lui démontre non seulement que l'on peut mettre en œuvre notre politique, mais en plus qu'elle est efficace, appuie Marine Le Pen au Figaro. Il a adopté une politique de fermeté et de clarté à l'encontre de l'immigration, qui consiste à restreindre toute une série d'avantages qui sont autant de pompes aspirantes de l'immigration. Et ceci assez tranquillement. »

La conférence à laquelle participera Marine Le Pen ce lundi matin, à l'invitation du syndicat italien l'Union générale du Travail (UGT), se veut doublement symbolique. Non seulement elle offre l'opportunité à la députée de s'afficher au bras de celui que les milieux sociaux-démocrates dépeignent comme le nouvel « enfant terrible » de l'Europe. Mais elle lui permet, à l'international, d'étayer des thématiques sur lesquelles elle est moins identifiée : « J'ai accepté cette invitation parce que je trouvais intéressant l'opportunité d'exposer, aux côtés de Matteo Salvini, nos propositions en matière économique et sociale, souligne Marine Le Pen. On veut nous enfermer dans une thématique sur laquelle nous sommes connus et reconnus, l'immigration. Mais nous travaillons également sur d'autres sujets tels que la protection de nos secteurs économiques, des PME ou sur les perspectives sociales de l'Europe des Nations qui a vocation à remplacer l'Union européenne telle qu'elle existe aujourd'hui. » Au-delà de ses propres électeurs, c'est aux partis européens que Marine Le Pen compte s'adresser ce lundi. L'un des enjeux est de faire taire les persistantes rumeurs présentant son parti comme marginalisé sur la scène européenne, à la suite de ses dernières défaites électorales, quand d'autres forces populistes en Europe, accédaient, elles, au pouvoir.

« La logique de l'alternance »

Après leurs prises de paroles conjointes, les deux leaders politiques devraient partager un déjeuner en tête-à-tête. Outre leurs ennuis judiciaires communs et les prochaines européennes, la future organisation du parlement européen devrait occuper le gros des discussions. Le départ des eurodéputés britanniques du parlement - Brexit oblige - impose une large réorganisation des groupes parlementaires européens eurosceptiques. « Tout cela est une cuisine qui ne verra le jour qu'au lendemain des élections, assure Marine Le Pen. Qu'importe qu'il y ait un ou deux groupes au parlement européen, ce qui compte c'est qu'ensemble, nous puissions y constituer une majorité ou une minorité de blocage. Le Parlement européen pensait que la majorité était de droit divin, il n'a jamais envisagé la logique de l'alternance. Or c'est précisément ce que nous sommes en train de construire. »

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Le figaro composé par des journalistes fielleux.
Oui Marine a une bonne vision de l'avenir.
Oui elle est notre chef
Oui nous la soutenons
Oui avec elle nous atteindrons le pouvoir.
Vivement Marine.

Bilan de 4 ans de mandat européen

8 octobre 2018
(Source)


Mission parlementaire à Bordeaux : bilan de 4 ans de mandat européen (reportage).

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Au côté de Matteo Salvini, Marine Le Pen tire à boulets rouges sur le «mondialisme» et l'UE (VIDEO)

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A Rome, à l'occasion d'un forum sur le thème «Croissance économique et perspectives sociales dans une Europe des nations», Marine Le Pen a pris la parole au côté de l'homme fort du gouvernement italien, Matteo Salvini.

A quelques mois des élections européennes, la dirigeante du Rassemblement national (RN) affiche sa proximité avec ses alliés européens. Ce 8 octobre, Marine Le Pen participait à un forum sur le thème «Croissance économique et perspectives sociales dans une Europe des nations». Elle y est apparue, devant la presse, au côté notamment du ministre italien de l'Intérieur, et homme fort du gouvernement d'Italie, Matteo Salvini. Dans le viseur du chef de file du RN : l'Union européenne et, plus globalement, le «mondialisme». Celui-ci, a-t-elle martelé, se traduit par «une immigration massive [et] une baisse du pouvoir d'achat», entre autres. Partant, l'enjeu politique majeur en Europe est, selon Marine Le Pen, de «rendre leur pouvoir aux peuples, ce qui est le fondement même de la démocratie».

Le vice-président italien a affiché leur proximité : «Nous partageons la même idée de l'Europe, de l'agriculture, du travail, de la lutte contre l'immigration, et nous sommes contre les ennemis de l'Europe que sont Juncker et Moscovici, fermés dans le bunker de Bruxelles».

Espérant faire reposer les fondements d'une entente européenne sur un nouveau socle, Marine Le Pen a évoqué les thémes qui lui sont chers, «Sécurité, identité, prospérité», dans l'optique de «construire avec d’autres Européens sur cette base, pour remplacer ce qu'est devenu au fil des ans l'Union européenne». Elle a estimé que l'Union européenne exprimait «une vision de l'homme complètement dégradée», induisant «sa soumission à une concurrence sauvage» ainsi que la «recherche de nouveaux esclaves» dans des pays de production à la main d'oeuvre toujours meilleurs marché, comme la Chine, les pays de l'Est ou le Bengladesh. Elle compte proposer à l'inverse «un modèle économique de loyauté, de dignité des salaires accordés pour pouvoir assurer la constitution d’un patrimoine».

Fustigeant elle aussi Jean-Claude Juncker et Pierre Moscovici, Marine Le Pen a lancé une métaphore commerçante : «La mondialisation sauvage, c’est comme au restaurant, c’est le dernier qui sortira qui paiera l'addition.»
SOURCE RT France

Ils travaillent dans le bon sens eux.
On ne peut en dire autant de la macronie

Le fédéralisme, sac de nœud & supercherie !

Aujourd’hui, les peuples européens sont face à un choix de vie important, enveloppant et géné-rationnellement impliquant. Ou bien faire bégayer l’histoire en se soumettant à un empire ploutocratique, ou bien faire l’effort de se libérer dans une démocratie à taille humaine. Emprisonnés, ils font face à la suprématie dictatoriale d’un pouvoir central unique, faussement démocratique. Ils font face aux risques de dérives colonialistes qui en découlent, alors même que nous sortons à peine de processus de décolonisation. Il y en a encore qui persiste à penser que faire et défaire, cela s’appelle avancer !

Les nantis sont ceux qui promettent un fédéralisme européen heureux, ils vous trompent, ils vous manipulent. L’Eu-tropie est très très loin de devenir un jour un État. La paix en Europe est bien plus surement le fait d’une dissuasion nucléaire « opérationnelle » que celle d’un quelconque agglomérat fédéraliste boiteux. Comment nos peuples peuvent-ils supporter plus longtemps de telles propagandes ?

Au XIXe siècle, il y a déjà eu une lutte entre empires concurrents (Aujourd’hui, Chine, U.s.a, Russie, … des empires déjà établis) ; par la suite, toutes les guerres jusqu’à la fin du XXe siècle et des milliers de morts en découleront … à bon entendeur, les irresponsables comptez-vous !
Nous ne pouvons entrer dans une compétition frontale avec d'autres empires, accroître le risque d'être asservi, ni celui de souffrir et encore moins celui de mourir … Nous avons un tout autre choix. Celui de nous rendre incontournable en nous différentiant.

Le fédéralisme européen est une psychose de dictature totalitaire et impérialiste, remontée du siècle dernier et à peine voilée par l’absurde d’un fantasmagorique nationalisme européen. Il s’agit d’une idéologie limitante imposée à notre continent pour l'empêcher de modifier à son avantage le rapport de force international établi.

Le fédéralisme européen est intrinsèquement vicié parce qu’il accumule de nombreux problèmes de genèse. C’est l'aventure de l'impossible et il est impossible qu’il survive. Si le système européen ne convient pas aux peuples d’Europe, inéluctablement, ils le détruiront, quelques en soient les conséquences ...

Le fédéralisme, c'est une France captive, taillable et corvéable à merci, individualiste et cupide, émotive et fragile …
Le fédéralisme européen n’est qu’une somme d’intérêts divergeant. De plus en plus souvent, il crée une tension maximale au moment de l'application de chacune de ses nouvelles décisions. À telle point, que les fédéralistes Français consultent désormais prioritairement les partenaires européens de la France mais ne consultent plus qu’accessoirement ses intérêts propres. Que ces traitres de collabos fédéralistes « français » ne s’inquiètent pas outre mesure, leurs « doubles tonsures » leur siéront parfaitement !!!

Il y a ceux qui veulent détruire les Nations européennes pour faire de l’Europe un État fantasmagorique et creux... les infâmes fédéralistes et leur idéologie morbide ; Comme toujours, l’arrogance des fédéralistes européens piétine la sagesse ancestrale : « Un tien vaut mieux que deux, tu l’auras ! » ou même « Il vaut mieux tenir que courir ! » ; Et puis, il y a nous. Nous qui voulons faire de l’Europe un outil aux services des peuples européens.

Les peuples européens ont la chance d’être à un moment de l’histoire où ils peuvent donner vie à un nouveau modèle de développement. Nous avons la chance exceptionnelle de pouvoir bénéficier de l’évolution d’un modèle sur une base éprouvée de nations, d’un modèle efficace, durable, écologique et sociale … et nous devrions y renoncer ?

L’Europe des Nations, c'est une France libérée et souveraine, opiniâtre et tenace. C’est le retour d’une unité Française réellement fraternelle.

L’inflexibilité de nos conditions : Non au fédéralisme, la démocratie française n'abdiquera pas !

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Vivement Marine

Célébration de l’Europe des Nation et des Libertés

À l’exact opposé des fédéralistes (refoulés LR ou semi-refoulés EM), nous n’avons aucun problème à indiquer clairement nos objectifs opérationnels ainsi que nos véritables intentions.

Cela pour la simple et bonne raison que forger une Europe des Nations et des Libertés est un des projets les plus passionnant qui soit. Bâtir des synergies dans le respect des souverainetés et de la démocratie est une œuvre aussi historique qu’enrichissante.

Passionnant parce qu’il s’agit de participer à la construction d’un nouveau modèle, à la fois respectueux, évolutif et inédit, qui bénéficiera, vraiment et pour longtemps aux peuples européens, et dans une moindre mesure qui équilibrera, enrichira et rayonnera sur toute l’humanité …

Il faut remercier tous ceux qui participent à ce projet mais aussi féliciter tous ceux qui osent franchir le pas pour nous rejoindre.

Parce que c’est l’Europe qui se réveil, nous proposons de nous réunir, en corps ou en esprit, une fois par an à la date anniversaire du 1er janvier pour fêter « l’Europe des Nations et des libertés ».

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Oui, normalement, notre liste devrait faire un meilleur résultat que nos opposants.
Dès lors nous pourrons envisager de construire l’Europe des nations.

L’absurdité de la grenouille qui se voulait faire aussi grosse que le bœuf !

L’Europe fédérale dysfonctionne gravement et « encore une fois les fédéralistes vous parlent de changer l’Europe ».
(Ceci sans parler des gauchistes qui souhaitent aller au parlement européen, non pas pour représenter les intérêts des français qui les auraient élus, mais pour « sauver le monde » … c’est pitoyable !)
C’est une escroquerie, les fédéralistes jouent la montre pour que les citoyens reculent constamment et finalement jusqu'à qu’ils pensent qu’ils ne puissent plus agir. Faut-il tenter une sortie sur ses forces ou compter sur l'hiver et la misère à venir pour s'en sortir ?

Un système fédéraliste est plus complexe et moins lisible qu’une alliance de systèmes nationaux. Il est donc beaucoup moins démocratique. De fait, le processus fédéraliste intégratif a échoué lamentablement dans sa prétendue fonction fondamentale à créer, produire des richesses et des emplois. Pire encore, il est entré dans un processus distributif opposé et incohérent qui consiste à redistribuer les souverainetés et l’argent des Français à leurs propres concurrents.
De plus, c’est au détriment des investissement que nous devrions réaliser en Afrique pour fixer ses populations et ses élites, pour éradiquer les effets pervers des mouvements migratoire, pour stabiliser nos comptes publics.

Aujourd’hui, de manière complètement déraisonnable, l’union fédéraliste européenne tend au fonctionnement d’un empire, avec un centre unique (Bruxelles) qui impose son agenda et ses intérêts aux états qu’elle considère comme de simples provinces. Les xénocrates essaient de vous piétiner le visage : « Soupe aux choux, maux et flatulences à venir ! »

Autant d’époque que prémonitoire, aussi âgée qu’intemporelle, la déconstruction des nations européennes au profit du fédéralisme rappelle une fable de M. de La Fontaine, ... et à la fin, la grenouille « s'enfla si bien qu'elle creva » …
L’idée du fédéralisme européen, déjà chimérique en son germe, est devenue « irrémédiablement » obsolète à dater du 1er jour de son 1er élargissement. Les fédéralistes, êtres impulsifs et irréfléchis, en sont pourtant conscients eux-mêmes, et depuis longtemps…

À l'heure à tout va plus vite, la surcharge pondérale de l’élargissement du fédéralisme européen est lourd handicap. Il empêchera d'exprimer au mieux toutes nos possibilités de réactivités et d'actions au détriment de la souffrance des peuples d’Europe. Inévitable, l’obésité fédéraliste est intrinsèque et structurelle. Inexorablement, elle entraine toujours d'avantage de déséquilibre, d'instabilité, de paradoxe … et finalement d’immobilisme.

Dans un second temps et pour compenser cet immobilisme ainsi salement engendré, ces médiocres ont commencé à contourner (dans l’absolu, à s’assoir) sur les suffrages représentatifs de l’unanimité. Ces derniers avaient été pourtant mis en place, initialement, pour s’assurer de l’adhésion des peuples dans une procédure démocratique. Ce type de scrutin devait assurer la « solidité » des processus de rapprochement et de parallélisme.
Bien sûr, cet « enchaînement » crescendo de choix déplorables et contre-productifs a entraîné un rejet populaire véritablement « irréparable ». En même temps, il est aisé de constater que les décisions fédéralistes sont de plus en plus arbitraires, dictatoriales, tyranniques. Ce qui démontre un peu plus l’inanité du fédéralisme européen.

En réalité, cette chaîne de très mauvaises décisions révèle un problème plus profond qu’il n’y paraît …une hérésie visionnaire et organisationnelle. Pour arriver à l’uniformisation indispensable au fédéralisme, la dérégulation nécessite l’ultralibéralisme. Le fédéralisme est donc une régression intrinsèquement viciée. Par nature, il épuise et gaspille nos ressources. Par nature, il constitue l’incapacité structurelle à fertiliser l’Europe à long terme.
En effet, ses « intégrations-désintégrations » successives et son aboutissement conduisent inexorablement à une consanguinité intellectuelle et créative.
Soyez en sûr, il augmentera le risque, d’abord progressivement. Il engendrera maintes dépressions incontrôlables, il multipliera les pires syndromes économiques et sociaux.

Cette abstraction cupide qu'est l'Europe fédérale ne repose sur rien d’empirique Elle sort tout droit des élucubrations d'esprits dérangés, d'esprits surchargés et en surchauffe, d'esprits à la limite de la folie. Un système trop complexe est un système illisible. Un système illisible n’est pas un système démocratique.
L’uniformisation fédéralistes détruit l’émulation créative. De facto, elle entraine un délai de latence de plus en plus important en quantité, et de moins en moins efficace qualitativement. Le fédéralisme est aliénation de la liberté et un viol démocratique. Le fédéralisme, c’est l’utopie archéologique du futur.

L’alliance des Nations est une union des forces, là où le fédéralisme est une intégration et une uniformisation.
Personne n'a jamais entendu dire que « l'uniformité faisait la force ! »
C’est l’alliance qui fait la force !

Passons sur les pitoyables chevaux de retour qui se prennent encore pour des « aristocrates de diseurs » palabrant sur des « contes de faits ». Désormais, la seule façon de relancer réellement le projet européen est de revenir à la sagesse des Nations Libres.
Il y a malgré tout une condition préalable. En effet, aucun projet européen sérieux ne saurait exister sans une « définition » claire, nette et précise de ses « velléités expansionnistes », de ses contours définitifs.

Plutôt que de sombrer dans l'utopie pataphysique du fédéralisme et de la création d'une armée européenne façon « chemin des dames », nous ferons bien mieux d'offrir aux Français et aux européens une structure organisationnelle moins vulnérable. Pour limiter les effets de contagions, il faut être capable de composer et d’adapter son attitude aux circonstances. Une structure plus souple en temps de paix, moins vulnérable et plus flexible en cas d'attaque.

Il a encore (notamment en France) des comportements compulsifs où certains électeurs continuent à voter fédéraliste malgré ses turpitudes et son incompétence. Il faut qu’ils réagissent …

Égocentrique et pervers, l'objectif du fédéralisme se limite à se survivre à lui-même au moyen de la fuite avant.
Avec le fédéralisme, les peuples et les démocraties européens se trouvent projetés au bord du gouffre. Son fonctionnement est en limite de rupture. Il est fondamentalement déconnecté des réalités charnelles des pays qui le composent. Il est autodestructeur des identités nationales qui le constitue.

Le fédéralisme, c'est le type même de la supercherie, fausse et trompeuse. Être fédéraliste est aussi stupide que d’être un mouton qui regarde une publicité musicalisée !
Le fédéralisme n'est pas seulement un transfert perdant de souverainetés. C'est aussi un éparpillement des capacités de décisions.

Entendez-nous, le fédéralisme est une porte ouverte sur la folie collective !

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Européennes : découvrez les 20 premiers candidats du Rassemblement national

figaro, le 11 avril 2019
(Source)

La liste, qui sera officiellement rendue publique le 17 avril prochain, laisse peu de place aux sortants. Les nouvelles têtes issues des assemblées régionales et départementales sont bien représentées.

Les candidats savent désormais à quoi s’en tenir. Alors que la totalité de la liste officielle des candidats aux européennes du Rassemblement national doit être révélée le 17 avril prochain par communiqué, Marine Le Pen a pris soin, ces derniers jours, d’annoncer par téléphone la bonne nouvelle aux candidats en place éligible. Et d’adopter la même démarche pour les inévitables déçus qui nourrissaient l’ambition jusqu’à récemment d’en faire partie.

Aux douze premiers noms déjà présentés au mois de janvier dernier, viendront s’ajouter entre la 13e et la 20e position, dans le désordre : l’eurodéputé sortant et délégué du parti aux affaires juridiques, Jean-François Jalkh ; ainsi que le membre du bureau national et proche de Louis Aliot, Jérôme Rivière. Deux noms aux côtés desquels figureront également l’actuel député du Gard, Gilbert Collard, comme l’a révélé L’Opinion ; ainsi qu’André Rougé, émissaire de Marine Le Pen en Outre-mer présenté lors d’une conférence de presse au siège du parti à Nanterre le 11 mars dernier.

Contrairement à ce que nous écrivions dans un article du 9 avril, il n’y a donc aucun lien entre la liste des participants aux futures réunions publiques de campagne et celle des colistiers en position éligible. Bien qu’annoncée dans l’Oise le 19 avril prochain, l’eurodéputée sortante Mylène Troszcynski sera à une position trop éloignée pour espérer décrocher un deuxième mandat au Parlement européen. De même, bien qu’annoncé dans l’Orne le 18 avril, Gilles Pennelle ne figurera pas dans les vingt-cinq premiers.

Proche de Marine Le Pen, le conseiller régional d’Île-de-France et délégué national aux ressources, Jean-Lin Lacapelle, figurera quant à lui en 23e position. Une place charnière, qui lui permettrait de faire son entrée au Parlement européen si le Rassemblement national arrive à tutoyer son score de 2014 de 24% des suffrages exprimés.

Le conseiller spécial Philippe Olivier sera en queue de liste

Coté femme figureront, selon nos informations et sous réserve de changement de dernière minute, toujours dans le désordre : l’eurodéputée sortante et historique du parti, France Jamet ; ainsi que trois candidates encore peu connues dont la conseillère régionale d’Auvergne-Rhône-Alpes, Marie Dauchy ; l’adjointe au maire de Fréjus et conseillère départementale du Var, Julie Lechanteux ; et la conseillère régionale d’Île-de-France, Mathilde Androuët, qui occupera quant à elle la 22e place. L’adjointe au maire d’Hénin Beaumont et conseillère régionale des Hauts-de-France, Aurélia Beigneux, pressentie pour figurer dans les vingt premières places, dément au Figaro être en position éligible.

Présentés à la mi-janvier, lors d’un meeting à la mutualité à Paris, les douze premiers candidats sont: Jordan Bardella, Hélène Laporte, Thierry Mariani, Dominique Bilde, Hervé Juvin, Joëlle Mélin, Nicolas Bay, Virginie Joron, Jean-Paul Garraud, Catherine Griset, Gilles Lebreton, Christiane Delannay-Clara.

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Une fois encore le R N montre l'exemple en renouvelant les candidats

Le projet du Rassemblement national pour les élections européennes

figaro, le 15 avril 2019
(Source)

Dans son projet européen, que Le Figaro s’est procuré, le Rassemblement national se fait le chantre du « localisme », plaide pour une suppression de la Commission européenne et n’entend plus abandonner l’euro.

Ce lundi, le Rassemblement national présentera à Strasbourg, non loin du Parlement européen, deux documents constituant la clé de voûte de sa campagne des européennes. Un « manifeste » d’une centaine de pages, détaillant le nouveau concept phare du RN, le « localisme », et dont découle une large part de son programme. Comme, dans un second temps, son projet pour les élections de mai comprenant une vingtaine de propositions plus concrètes que le Figaro s’est procuré.

Au gré des pages de ce nouvel opus programmatique, ni la sortie de l’Union européenne, ni l’abandon de l’euro ne sont abordés. Deux points pourtant cardinaux de sa précédente campagne européenne, en 2014. Si l’idée d’un « Frexit » (une sortie de la France de l’Union européenne, NDLR) a été abandonnée au lendemain de la dernière présidentielle, l’abandon de l’euro n’avait, quant à lui, pas tout à fait disparu du programme du parti mais n’était plus présenté « comme une priorité ». Non sans entretenir une certaine ambiguïté... Comme nous l’annoncions en janvier dernier, à la fin de la monnaie unique - jugée trop anxiogène - est désormais préférée une réforme de la politique de la Banque centrale européenne (BCE). Dans son nouveau projet, le parti de Marine Le Pen plaide pour « aligner la création monétaire sur l’économie réelle » comme pour « intégrer la lutte contre le chômage dans le mandat de la BCE », sur le modèle de la Réserve fédérale des États-Unis. Des propositions qui induisent, pour être applicables, de revenir sur l’indépendance de la BCE. L’institution de Francfort n’accepte aujourd’hui aucune influence ou instruction venant de quelqu’État membre ou instance européenne que ce soit.

Mais là ne s’arrête pas le bouleversement institutionnel qu’appelle de ses vœux le Rassemblement national. Afin de substituer à l’Union européenne une « Europe des Nations » basée sur la coopération entre États via des accords multilatéraux, le parti de Marine Le Pen défend une large révision des traités européens. Outre la suppression de la Commission européenne, et la transmission de son pouvoir d’initiative législative au seul Conseil européen, le RN entend refondre totalement les missions du Parlement européen, qui ne serait plus composé que de « parlementaires nationaux délégués par les États membres ». Ce qui, précise le parti, « ne devrait cependant pas signifier la fin des élections européennes » comme on les connait depuis 1979. Des propositions qui souffrent toutefois d’importantes difficultés de mise en œuvre. Quand bien même le RN et ses alliés européens seraient, le 26 mai prochain, à la tête d’une majorité au Parlement de Strasbourg, de telles révisions des traités nécessitent de réunir l’unanimité du Conseil européen, regroupant les différents chefs d’État ou de gouvernement des 27 États membres.

Quasiment jamais abordées par le parti à la flamme en 2014, les questions environnementales et écologiques occupent désormais une place prépondérante dans son programme. Sous le prisme du « localisme », la formation nationaliste entend désormais détaxer les circuits courts, surtaxer les « importations mondialisées anti-écologiques », comme encourager les comportements vertueux en instaurant une « responsabilité nationale de l’entreprise (RNE), qui serait intégrée dans les critères d’attribution des marchés publics. Nombre des propositions restantes du Rassemblement national figuraient déjà dans ses précédents programmes électoraux. Du rétablissement des frontières nationales à la refonte du droit d’asile, en passant par l’arrêt de l’immigration légale, la priorité nationale, l’abrogation de la directive sur les travailleurs détachés, ou son opposition aux traités de libre-échange comme à l’élargissement de l’Union européenne.


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L’intelligence organisationnelle

Pour l’instant dans tous les domaines, autant à cause des idéologies ultralibérale, fédéraliste ou communiste, la perspicacité et l’intelligence organisationnelle sont quasi-inexistantes en France. Pourtant, ce manque d'intelligence organisationnelle est l'une des causes principales des revers Français au cours de son histoire. Pourtant, l’alternative au fédéralisme qui permet de gagner en efficacité se trouve connue des sciences.

Une organisation maillée dynamique, qui contrairement à une intégration statique, s'adapte constamment aux nouvelles conditions. Elle ajuste automatiquement ses trajectoires pour unir de nouvelles Nations qui se joignent à l’alliance et dispose de la flexibilité nécessaire pour se réorienter lorsqu'un État quitte ou rejoint ladite alliance.
De nos jours, lorsque survient une opportunité, une crise ou une innovation, une Nation doit être en mesure de réagir très vite. Sa capacité de réaction et l’efficacité de son action sont, dès lors, liées à son degré de flexibilité et à sa capacité d’adaptation.

Plus important encore, lorsque plusieurs États maillés sont interconnectés, l’organisation peut contourner les interférences, les blocages et les congestions beaucoup plus facilement. Une telle organisation accélère l’obtention de résultats.
En effet, une capacité organisationnelle optimale se matérialise par la possibilité à s'adapter en permanence et en toute circonstance aux aléas, aux à-coups ainsi qu’à l’émergence des besoins actualisés (des citoyens et des États).

Le fédéralisme maximise les faiblesses et minimise les forces. De fait, nivelle par le bas, socialise les pertes, égoïse les profits. De fait, méprise la démocratie autant que les peuples, … On comprend dès lors que certains pays d’Europe ne veulent pas de davantage d’intégration. Elle risquerait de les contaminer gravement et d’altérer leur santé.

L'intelligence organisationnelle permet aux citoyens d’accepter les évolutions amélioratives, là où a l’exact opposé, le fédéralisme est rejeté en masse par les peuples. L’appropriation du projet européen pose aujourd’hui un véritable problème et les coups de mentons fédéralistes n’y changeront jamais rien. L’adhésion est de 1^ère importance pour être autant utile aux citoyens d’aujourd’hui que célébrée par la grande histoire de demain.

De fait, le fédéralisme européen est un cancer démocratique.

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La flexibilité européenne, c’est l’avenir !

Tous les européens ont besoin d’une organisation qui reste flexible. Condition « sine qua non » (« condition nécessaire ») s'adapter à la nouveauté et aux conséquences non anticipées.
L’Europe des Nations et des Libertés est, de loin, la plus apte à relever les défis de sécurité et de performance socio-économique, de durabilité et d'écologie, d'unité et d'épanouissement personnel.

Dans un monde où tout va très vite et où notre mode de vie est souvent négligé, il nous arrive de manquer de temps. Ce qui importe donc, c’est la manière dont l’on va gérer le temps qui nous est imparti.
Une mauvaise gestion du temps, c’est une mauvaise gestion de ses priorités.

Le fédéralisme européen favorise les accords dits « faibles ».
Favoriser les accords forts, c’est reconnaitre qu’il est plus facile de se mettre d'accord à 2 qu’à 25 ou 190 !
Simplement parce que moins complexe, un accord bilatéral est de bien meilleure qualité, qu'un accord multilatéral.

Notre projet pour l’Europe est radicalement différent vous l’aurez compris (parce qu’indépendamment de tous facteurs extérieurs, lui respectera le bien-fondé de la démocratie et de la liberté).
Le vieux modèle fédéraliste qui a conduit à l’impuissance ; tellement inertiel, à contretemps et à rebours des nécessités.
Le fédéralisme, c'est de plus en plus d’inertie. Au final, un niveau d’inertie tel qu’il équivaudra la politique de l'horloge arrêtée. De celle qui donne quand même deux fois l'heure juste par jour … Et qui se trompe 86 398 fois toutes les 24 heures !
Il est ridicule de vouloir peser pour peser, au moins autant que de, peser à contre-temps !

À l’extérieur de l’Europe, le monde change. À l’intérieur de l’Europe, le monde change. Dans tous les cas, le monde change vite, l’Europe doit s’adapter vite.
Les besoins internes des européens changent, l’Europe doit aussi s’adapter.
Aujourd’hui, les changements sont tellement rapides qu'ils deviennent mortels. Il est donc incontestable qu’il faille être vif, énergique et dynamique.
Cette course au gigantisme, c'est une fuite en avant. Celle de la dégringolade au fond d’un gouffre abrupt !

Une lourde partie de nos incertitudes vient d’un monde en transformation perpétuelle, rapide et réflexe. De crise en crise, cette tendance à l’instantanéité nous entraine vers un chaos foudroyant. Nous pouvons résister, nous pouvons neutraliser ces ruptures d'équilibres. Mais pour cela, nous devons mettre en place une organisation souple, réactive et synchronisée avec les différentes attentes et besoins des peuples européens. Nous devons ajuster nos compétences et nos capacités de manière appropriée et avantageuse. S’il nous faut d’abords accepter les évidences, il faut aussi en accepter les conséquences et les solutions.
Seule la souplesse permet de réaliser des projets de plus grande amplitude et donc d'améliorer la force.

Il n'existe aucun domaine sur lequel nous nous interdisons de nous poser des questions.
Nous n'allons pas revoir nos fondamentaux, ils sont solides.
Nous n'allons pas baisser nos ambitions, elles sont stimulantes.
Mais nous allons voir comment nous pouvons être plus performant !

L’Europe des Nations s'inscrit dans une volonté d'autonomie et de coopération, de synergie et d'échange.
Une ambition est notre obsession, celle d’interconnecter la France avec le Futur !

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L’Europe, berceau de la démocratie …

L’Europe doit être au service des peuples et des nations millénaires qui la composent.
Son rôle doit être efficace. Il se doit seulement de nous permettre de réaliser avec nos voisins ce que nous ne pouvons pas réaliser seul.
Dans un esprit sain, il n’y a aucune confusion ... la France est un pays, l’Europe est un outil !

Ne faut-il pas avoir vraiment la haine de soi, la haine de son identité, la haine de son histoire pour refuser de bâtir à partir de l’existant, pour vouloir détruire son passé ?
L’Europe des Nations libres utilise l’existant et l’expérience pour bâtir, là où les fédéralistes cherchent la destruction et les décombres
L’Europe des Nations se structure facilement à partir de règles simples. Elle est réellement démocratique parce qu’elle est simple à comprendre. C’est aussi pour cette raison que cette organisation est la plus efficace.

Outre sa rapidité de mise en œuvre et sa rapidité de complétude, l’Europe des Nations est un modèle qui se bâtit à partir de l’existant et qui sait tirer le meilleur de l’expérience accumulée à travers une multitude de générations.
Construire l’Europe des Nations, c’est avoir une âme de bâtisseur parce qu’elle s’inscrit dans la continuité de constructions millénaires.
Au contraire, le fédéralisme européen déserte la liberté, échappe à la démocratie et sombre dans la destruction des âmes et des Nations.

Personne ne peut contester le fait qu’il est bien moins couteux et plus efficace de bâtir à partir de l’existant que de reconstruire sur des décombres, de bâtir à partir de l’existant qu’à partir de rien en subissant tous les tâtonnements de l’inexpérience … Il n’y a que l’opulence outrancière et ridicule pour penser que « faire et défaire, c'est avancer » !

Le fédéralisme, tombeau de la démocratie !

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En effet

L’Europe des Nations : Retour vers le futur !

Fédéralisme et fusion haute température, ou bien alliances et coopérations ; empire ploutocratique, ou bien démocraties et nations ? Être avaler, dévorer ou coopérer ? Se fédéraliser, s’uniformiser ou s’allier ?
Être des collabos soumis, voilà le projet fédéraliste … être libre, voilà le projet de l’Europe des Nations !
La fédéralisation, c’est l’inadaptation progressive de nos forces à notre l'environnement. C’est une dérive très grave …

Au-delà des palabres des insensibles, de fait, les résultats du fédéralisme européen sont à la fois lamentables et misérables. Au contraire, l’Europe des Nations est programmée pour atteindre de meilleurs résultats.
La ligne de fissure est structurelle car pour être performante, l'Europe doit respecter ses forces propres, ses démocraties, ses unités spécifiques et ses expériences accumulées. Qui peut contester cela ?

L’Europe des Nations libres permet de multiplier les dynamiques et de démultiplier les dynamismes.
Ce type d’organisation multi-cyclique nous permettra de lisser et d’amortir l’ensemble de nos activités économiques et sociales. Optimisation maximale de la prévisibilité des enjeux, des investissements et des retours sur investissement, voilà ce qu’elle permet ! De ce fait, elle nous donnera le pouvoir de renforcer notre capacité d’entreprendre, d’accroître nos potentiels industriels et nous assurera le meilleur développement de nos offres de produits et services à l’international.
Ses perspectives garantissent, à la fois, l’adhésion populaire et l’implication qui seules permettent d’atteindre la réussite. Plus encore, cette multi-dynamique efface, de fait, le quasi-monocyclisme inertiel et stressant du fédéralisme.
Il faut arrêter de se mentir à soi-même, le fédéralisme européen n'est pas viable ; C’est l’utopie des maboules !
L’Europe se trouve aujourd’hui dans une situation plus qu’inquiétante à cause de l’acharnement idéologique des fédéralistes.

Le fédéralisme est un nivellement par le bas, un affaissement bestial. Un système où l'on dégrade le « mieux » pour l'abaisser au niveau du « moins ». Lorsque qu’ils ne peuvent plus torturer le réel, les promesses fédéralistes deviennent « abracadadesque » pour masquer leurs incohérences majeures. (Il faut toujours avoir à l’esprit que ces incohérences, sont de de la souffrance !)

Imparable, l’Europe des nations est une élévation, un relèvement, une accélération. Un type d'organisation où chaque pays peut devenir à la fois chef de file ou pilier, pas seulement pour ouvrir le chemin aux autres mais aussi pour être maître de son destin.

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Flexibilité & intelligence organisationnelle !

Le modèle d’intégration et d’uniformisation fédérale est empesé, inflexible, intraitable, intransigeant, rigide et surtout étroit d’esprit, ... froid et inhumain, et même, à terme, sauvage et d’une brutalité effrayante.

Loin de là, avec l’Europe des Nations, la taille des informations reste à taille humaine, ce qui facilitera et fluidifiera progressivement les échanges d’information. La qualité des échanges est bien plus importante que le volume d’information échangées. Avec le fédéralisme, la centralisation des informations augmentera le volume avant traitement qu’il ralentira et rendra inefficace. L’inflation exponentielle du volume d’informations oblige au découpage pour faciliter la structuration démocratique. Avec le déploiement d’un système multi-nations chaque module de connaissances possédera son espace propre, son identité propre, …

De plus, nous voulons une Europe qui, par sa variété et sa richesse soit susceptible de s'adapter facilement toutes les situations, aux intérêts divers de ses membres adhérents. Pour cela, il est indispensable d’organiser un maillage adaptatif et efficient, modulable, modulaire et à mémoire de forme.
Cela revient à passer d’un système monomoteur, toussotant et patinant entre ses ratés, entre point mort et absence de motricité du couple franco-allemand - qui ne fonctionne par ailleurs que pendant de très rares périodes de pseudo-symbiose - à une organisation protéiforme, multimoteurs et multi-synergiques, qui avance perpétuellement en fonction des coopérations. Ce système mono-moteur n’a non-seulement eu qu’une utilité limitée mais est devenu très (trop) rapidement obsolète. Pour inspirer notre avenir et celui des générations suivantes, nous avons le devoir de le remplacer par une organisation à la fois véritablement motrice et effectivement porteuse, dans une configuration fluide et malléable qui se régénère automatiquement. Une organisation souple et réactive qui s'adapte parfaitement à l’accélération contemporaine des incertitudes et des changements.
Une entité capable de se ressourcer et de se régénérer indéfiniment, voilà ce qu’est l’Europe des Nations et des Libertés. Solide, résistante et durable, elle s'adaptera parfaitement à toutes les fluctuations situationnelles temporelles et intemporelles.

Puisque quand elle n’agit pas, elle réfléchit individuellement à son avenir et recherche instinctivement des synergies, l’Europe des Nations est en anticipations constantes par obligation conceptuelle et structurelle. Cette anticipation rationnelle, c’est l'art de prendre des décisions intelligentes.

L’Europe des Nations a certaines caractéristiques fondamentales et exclusives :
•Un ou plusieurs centres de gravité peuvent être menacé sans bloquer son fonctionnement,
•La communication entre États se fait rapidement et sans la lenteur d’une centralisation intermédiaire (prévisible à terme à cause du fédéralisme),
•Les délibérations, les prises de résolutions, les conventions de coopérations seront simplifiées, basiques et incomplexes.

Pour que l’idée de « cohésion européenne » survive, les Nations doivent se renforcer !

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