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FNJ présent sur place contre la Hausse de la délinquance à Contigné (Maine-et-Loire)
Lun 1 Aoû 2011 - 20:07
À Contigné, dans le Segréen rural, la population n’en peut plus d’une délinquance locale qui sévit régulièrement depuis l’automne dernier. Des vols, des menaces de mort, des bris de verre, et l’ancien bourg gallo-romain de Continius croit revivre les invasions barbares. Mais avec cette fois-ci non plus l’abandon par une Rome décadente, mais par l’État français. Un article récent du Courrier de l’Ouest raconte à ce titre le calvaire enduré depuis ces derniers mois par les habitants de cette commune de huits cents habitants d’habitude si tranquille.
Il aura fallu que le maire de Contigné, Philippe Chopin, alerte les médias locaux, pour que les choses commencent à peine à changer dans ce territoire désormais abandonné de la République. Mais que s’est-il passé, au juste, à Contigné ?
Le foyer des jeunes a été dégradé. Un appareil photo, un scooter et une voiture, volés. L’église, vandalisée. L’abri-bus, détruit. Une salle de classe est hors d’usage. Plusieurs autres ont vu leurs extincteurs être vidés. Les murs du réfectoire de l’école du village ont été maculés de légumes divers. Des panneaux de sens interdit ont été enlevés. La voiture du maire a été abimée à deux reprises, et celui-ci insulté puis menacé de mort. Un fil transparent a été tendu sur la route pour piéger les automobilistes. Pire, on signalait récemment trois départ de feux volontaires dans la déchetterie de la commune.
On peine à croire qu’une commune aussi banale que Contigné puisse être la victime de pareils délits. Les responsables ? Des jeunes de 15 à 17 ans, connus des services de police, mais systématiquement relâchés. Il n’en fallait pas plus pour que le Front national de la jeunesse dépêche sur place ses militants, pour observer la situation et alerter les habitants de la hausse de la délinquance « à Contigné comme en France » du fait de l’inefficacité de la politique de Nicolas Sarkozy en terme d’insécurité.
Pour cette action menée le 30 juillet dernier conjointement par les FNJ de Loire-Atlantique, du Maine-et-Loire et d’Indre-et-Loire, ce sont une dizaine de militants qui se sont donc donnés rendez-vous dans le village sinistré où, effectivement, les séquelles de la récente « guérilla urbaine » demeurent prégnantes dans le paysage. Sur place, des habitants toujours inquiets du climat ambiant, et surpris de la venue de nos militants. Surprise agréable et qui suscite l’intérêt et la curiosité d’une population se jugeant toujours plus délaissée par l’État.
Il aura fallu que le maire de Contigné, Philippe Chopin, alerte les médias locaux, pour que les choses commencent à peine à changer dans ce territoire désormais abandonné de la République. Mais que s’est-il passé, au juste, à Contigné ?
Le foyer des jeunes a été dégradé. Un appareil photo, un scooter et une voiture, volés. L’église, vandalisée. L’abri-bus, détruit. Une salle de classe est hors d’usage. Plusieurs autres ont vu leurs extincteurs être vidés. Les murs du réfectoire de l’école du village ont été maculés de légumes divers. Des panneaux de sens interdit ont été enlevés. La voiture du maire a été abimée à deux reprises, et celui-ci insulté puis menacé de mort. Un fil transparent a été tendu sur la route pour piéger les automobilistes. Pire, on signalait récemment trois départ de feux volontaires dans la déchetterie de la commune.
On peine à croire qu’une commune aussi banale que Contigné puisse être la victime de pareils délits. Les responsables ? Des jeunes de 15 à 17 ans, connus des services de police, mais systématiquement relâchés. Il n’en fallait pas plus pour que le Front national de la jeunesse dépêche sur place ses militants, pour observer la situation et alerter les habitants de la hausse de la délinquance « à Contigné comme en France » du fait de l’inefficacité de la politique de Nicolas Sarkozy en terme d’insécurité.
Pour cette action menée le 30 juillet dernier conjointement par les FNJ de Loire-Atlantique, du Maine-et-Loire et d’Indre-et-Loire, ce sont une dizaine de militants qui se sont donc donnés rendez-vous dans le village sinistré où, effectivement, les séquelles de la récente « guérilla urbaine » demeurent prégnantes dans le paysage. Sur place, des habitants toujours inquiets du climat ambiant, et surpris de la venue de nos militants. Surprise agréable et qui suscite l’intérêt et la curiosité d’une population se jugeant toujours plus délaissée par l’État.
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