- InvitéInvité
popularité
Mer 30 Juil 2014 - 22:26
- Froan Vamed
- Date d'inscription : 08/03/2013
Passion : Littérature, cinéma, jeux vidéo, musique, bandes dessinées et sculptures.
Re: popularité
Mer 30 Juil 2014 - 22:47
Les "cotes de popularité en berne", je n'y prête pas attention.
Chirac avait une cote de popularité assez similaire au début de son mandat... ça ne l'a pas empêché d'être réélu.
De toute façon, les médias ne cessent de basher Hollande depuis fin 2012. Ils préparent déjà l'alternance et la future élection de Juppé. Souvenez-vous de la manière dont Sarkozy était méchamment mis en difficulté au début de la campagne électorale par les journalistes (d'habitude tout sucre tout miel avec lui). C'est parce que Hollande était déjà désigné comme successeur. C'était décidé, et il ne devait pas en être autrement.
Et début 2011, les journalistes étaient tout gentils avec Marine, la caressait dans le sens du poil. Idem, c'est parce que DSK était dores et déjà le futur président, et ils mettaient donc en place les conditions pour un second tour Marine/DSK (avec Marine en sparing-partner). C'était avant que le dit DSK ne se prenne les pieds dans sa bite.
Toujours faire attention à ce montrent les médias, car ils indiquent la direction que va prendre le système.
Chirac avait une cote de popularité assez similaire au début de son mandat... ça ne l'a pas empêché d'être réélu.
De toute façon, les médias ne cessent de basher Hollande depuis fin 2012. Ils préparent déjà l'alternance et la future élection de Juppé. Souvenez-vous de la manière dont Sarkozy était méchamment mis en difficulté au début de la campagne électorale par les journalistes (d'habitude tout sucre tout miel avec lui). C'est parce que Hollande était déjà désigné comme successeur. C'était décidé, et il ne devait pas en être autrement.
Et début 2011, les journalistes étaient tout gentils avec Marine, la caressait dans le sens du poil. Idem, c'est parce que DSK était dores et déjà le futur président, et ils mettaient donc en place les conditions pour un second tour Marine/DSK (avec Marine en sparing-partner). C'était avant que le dit DSK ne se prenne les pieds dans sa bite.
Toujours faire attention à ce montrent les médias, car ils indiquent la direction que va prendre le système.
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