- Ethnophile
- Date d'inscription : 10/07/2013
Passion : Le bon sens
Humeur : Egale
L'incroyable fatuité et mauvaise foi des enseignants
Dim 14 Juil 2013 - 0:40
Il faut voir les choses en face et appeler un chat un chat : les gens, en général, de quelque race qu’ils soient, sont de braves gens… en général… mais il y a les autres, les VOYOUS. Une population dans laquelle il y a peu de voyous va automatiquement acquérir un haut niveau de vie et de civilisation. Par contre dans une autre population au milieu de laquelle vont pulluler les voyous, les braves gens n’auront aucune envie de concevoir, d’entreprendre, de créer, de fabriquer, de construire de bâtir… à quoi bon si c’est pour se faire menacer, racketter et voler aussitôt.
Tout est une histoire de proportion de voyous. Cela fait des millénaires et des millénaires que les hommes essaient d'améliorer le monde sans améliorer les hommes, c'est-à-dire sans les sélectionner. C'est impossible ! De plus, on commence tout juste à réaliser que l’éducation, si elle peut aider les gens à s’épanouir, ne les change pas… et que… tout est dans les gènes.
Le niveau de vie de la Scandinavie et du Japon s’explique facilement. La Scandinavie, comme le Japon étaient deux nids de pirates, c'est-à-dire de voyous dont les pires ont peu à peu quitté leur pays qu’ils avaient fini par rendre minable et, ils se sont installés ailleurs. La population de ces pays s’est donc peu à peu affinée et a pu petit à petit avoir une vie et une évolution « normale ». Ce sont aujourd’hui deux pays de pointe. L’Espagne saccagée par les arabes, puis plus tard par les Grandes Compagnies françaises qu’on avait repoussées jusque derrière les Pyrénées… l’Espagne aussi, a pu se sauver en déversant ses pires éléments, pillards dans l’âme, en Amérique du sud.
Il n’y a pas de secret, tout est dans les gènes. Certaines personnes, si les mathématiques n’existaient pas les inventeraient, si l’écriture n’existait pas l’inventeraient, si la musique ou la danse, ou la physique ou la chimie n’existait pas l’inventeraient. On appelle cela un don. Et comme la couleur de la peau, des yeux, des cheveux, la calvitie, la taille, l’embonpoint, le caractère ou l’inclination à l’alcoolisme ou à attraper certaines maladies… le don se transmet, un peu beaucoup ou fortement… tout se transmet. Les caractères particuliers d’un individu, s’ils ne ressortent pas tout de suite, ressortirons, immanquablement en plus ou moins marqués dans la génération suivante, ou chez l’oncle, le cousin ou le neveu. C’est inévitable.
Mozart, Beethoven, Bach étaient fils de musiciens. Certaines personnes inventeraient, le vol, le racket, le crime même s’il n’existait pas… c’est aussi un don… un don qui dans ce cas prend le nom de tare. Malheureusement il en est des dons comme des tares… elles se transmettent. Une population dans laquelle existe une minorité de voyous va construire un « grand » pays. Une population dans laquelle existe une majorité de voyous va construire un pays nul. Ces populations-là, même si elles comportent de bons éléments sont à sont à bannir absolument d’un territoire « sain ».
Nous sommes grosso-modo un territoire « sain ». Or, tous nos dirigeants, qu’ils soient de droite ou de gauche, surtout de gauche s’entêtent, ferment les yeux et refusent de voir cette simple réalité : il y a des populations dans lesquelles la proportion de voyous génétiques ou de nuls est effarante et de toute façon même s'ils le savent, ils comptent bien sur les enseignants pour y remédier. Ils me font penser à tous ces savants de l’époque de Galilée qui refusaient de croire que la Terre était sphérique, tant ils avaient peur qu’elle le soit. Certains gens du peuple l’avaient même compris depuis longtemps. Le seul fait que l’horizon soit circulaire et que le regard, d’un seul coup, était comme tangent et ne portait plus sur rien laissait entendre que l’observateur se trouvait sur une sphère. « C’est faux, c’est faux ! » hurlaient les savants à tue-tête… et ils étaient prêts à punir très sévèrement ceux qui osaient l’insinuer…à les décapiter même.
« C’est faux, c’est faux ! » hurlent aujourd’hui tous les beaux esprits, tous les « PENSEURS » !..."Tous les peuples sont égaux !". Et si la peine de mort n’était pas abolie, ils vous l’appliqueraient sur le champ. Et pourtant la Terre tournait… il a bien fallu se rendre à l’évidence. Et pourtant certaines populations sont littéralement infestées de voyous et de nuls… il y a des exceptions mais qui ne sont pas la règle… il va bien falloir se rendre à l’évidence. Il ne sert à rien de faire l’autruche. C’est même excessivement dangereux.
Ce qu’il y a de terrible c’est que les enseignants sont à 90% « éducationnistes », c'est-à-dire partisans de « l’éducation-qui-peut-tout », c'est-à-dire qu’ils croient dur comme fer au pouvoir quasiment magique de leur fonction. Eh bien non, il n’y a pas de mystère, il n’y a pas de magie, l’éducation n’a jamais transformé un âne en cheval ni fait voler les éléphants et barrir les papillons. L’éducation peut évidemment améliorer ou empirer une base mais elle ne peut pas changer la base. Quand on permet aux gens d’être ce qu’ils sont et qu’on les aide, ils évoluent, mais on ne les change pas.
Plus par prétention et par corporatisme égoïste que par philanthropie véritable, 90% de nos enseignants pourrissent la société en imbibant les cerveaux jeunes ou faibles des merveilleux pouvoirs de la divine EDUCATION : elle peut changer les gens. Evidemment, plus les gens sont nuls plus les enseignants se frottent les mains. L’afflux de populations majoritairement « nulles » dans le pays est pour eux une véritable manne. Les enseignants deviennent tout à coup grands, nobles, généreux, magnanimes, superbes, super-hyper-méga-indispensables… Ils vont changer les gens… si-si-si, puisqu’ils vous le disent… ils vont les changer. L’avenir, la puissance et la gloire leur sont donc assurées… des foules immenses d’ex-élèves et de disciples, éternellement reconnaissants, vont s’agenouiller à leur passage et leur baiser les mains et les pieds en pleurant.
Ce n’est pas l’éducation qui a fait Vinci, Mozart, Napoléon, Delacroix, Renoir… Elle les a épanouis, c’est tout. Personnellement avec l’enfance et la vie que j’ai eue, j’aurais dû verser cent fois, mille fois dans la délinquance ou l’homosexualité. Eh bien non, ça n’est pas arrivé. Ce n’était pas dans mes gènes… et je ne suis pas le seul dans ce cas. Alors, il est où ce mirifique, ce formidable, ce sublime, ce divin pouvoir de l’EDUCATION-QUI-PEUT-TOUT… il est où ! Si l’éducation entre pour 10% dans le destin de quelqu’un c’est bien le maximum.
TOUT EST DANS LES GÈNES ! Les enseignants sont pourtant bien placés pour le savoir. Certaines années ils ont des classes majoritairement brillantes, ou studieuses, ou turbulentes, ou médiocres, ou même nulles, ils le savent… et ils savent très bien qu’ils n’y peuvent rien, rien du tout, malgré tous leurs efforts. C’est comme ça, un point c’est tout. Ils le savent, bien sûr… ils ne sont pas assez stupides pour ne pas le savoir. « L’éducation peut tout ! »… C’EST FAUX ! Consciemment ou inconsciemment, donc, ils sont de mauvaise foi : ils prêchent pour leur paroisse et pas du tout dans l’intérêt de la collectivité.
Espérons que les catastrophes qu’ils auront largement contribué à générer et qui vont bientôt s’abattre sur le pays vont leur mettre un peu de plomb et un peu de bon sens dans la tête. Mais rien n’est moins sûr.
Tout est une histoire de proportion de voyous. Cela fait des millénaires et des millénaires que les hommes essaient d'améliorer le monde sans améliorer les hommes, c'est-à-dire sans les sélectionner. C'est impossible ! De plus, on commence tout juste à réaliser que l’éducation, si elle peut aider les gens à s’épanouir, ne les change pas… et que… tout est dans les gènes.
Le niveau de vie de la Scandinavie et du Japon s’explique facilement. La Scandinavie, comme le Japon étaient deux nids de pirates, c'est-à-dire de voyous dont les pires ont peu à peu quitté leur pays qu’ils avaient fini par rendre minable et, ils se sont installés ailleurs. La population de ces pays s’est donc peu à peu affinée et a pu petit à petit avoir une vie et une évolution « normale ». Ce sont aujourd’hui deux pays de pointe. L’Espagne saccagée par les arabes, puis plus tard par les Grandes Compagnies françaises qu’on avait repoussées jusque derrière les Pyrénées… l’Espagne aussi, a pu se sauver en déversant ses pires éléments, pillards dans l’âme, en Amérique du sud.
Il n’y a pas de secret, tout est dans les gènes. Certaines personnes, si les mathématiques n’existaient pas les inventeraient, si l’écriture n’existait pas l’inventeraient, si la musique ou la danse, ou la physique ou la chimie n’existait pas l’inventeraient. On appelle cela un don. Et comme la couleur de la peau, des yeux, des cheveux, la calvitie, la taille, l’embonpoint, le caractère ou l’inclination à l’alcoolisme ou à attraper certaines maladies… le don se transmet, un peu beaucoup ou fortement… tout se transmet. Les caractères particuliers d’un individu, s’ils ne ressortent pas tout de suite, ressortirons, immanquablement en plus ou moins marqués dans la génération suivante, ou chez l’oncle, le cousin ou le neveu. C’est inévitable.
Mozart, Beethoven, Bach étaient fils de musiciens. Certaines personnes inventeraient, le vol, le racket, le crime même s’il n’existait pas… c’est aussi un don… un don qui dans ce cas prend le nom de tare. Malheureusement il en est des dons comme des tares… elles se transmettent. Une population dans laquelle existe une minorité de voyous va construire un « grand » pays. Une population dans laquelle existe une majorité de voyous va construire un pays nul. Ces populations-là, même si elles comportent de bons éléments sont à sont à bannir absolument d’un territoire « sain ».
Nous sommes grosso-modo un territoire « sain ». Or, tous nos dirigeants, qu’ils soient de droite ou de gauche, surtout de gauche s’entêtent, ferment les yeux et refusent de voir cette simple réalité : il y a des populations dans lesquelles la proportion de voyous génétiques ou de nuls est effarante et de toute façon même s'ils le savent, ils comptent bien sur les enseignants pour y remédier. Ils me font penser à tous ces savants de l’époque de Galilée qui refusaient de croire que la Terre était sphérique, tant ils avaient peur qu’elle le soit. Certains gens du peuple l’avaient même compris depuis longtemps. Le seul fait que l’horizon soit circulaire et que le regard, d’un seul coup, était comme tangent et ne portait plus sur rien laissait entendre que l’observateur se trouvait sur une sphère. « C’est faux, c’est faux ! » hurlaient les savants à tue-tête… et ils étaient prêts à punir très sévèrement ceux qui osaient l’insinuer…à les décapiter même.
« C’est faux, c’est faux ! » hurlent aujourd’hui tous les beaux esprits, tous les « PENSEURS » !..."Tous les peuples sont égaux !". Et si la peine de mort n’était pas abolie, ils vous l’appliqueraient sur le champ. Et pourtant la Terre tournait… il a bien fallu se rendre à l’évidence. Et pourtant certaines populations sont littéralement infestées de voyous et de nuls… il y a des exceptions mais qui ne sont pas la règle… il va bien falloir se rendre à l’évidence. Il ne sert à rien de faire l’autruche. C’est même excessivement dangereux.
Ce qu’il y a de terrible c’est que les enseignants sont à 90% « éducationnistes », c'est-à-dire partisans de « l’éducation-qui-peut-tout », c'est-à-dire qu’ils croient dur comme fer au pouvoir quasiment magique de leur fonction. Eh bien non, il n’y a pas de mystère, il n’y a pas de magie, l’éducation n’a jamais transformé un âne en cheval ni fait voler les éléphants et barrir les papillons. L’éducation peut évidemment améliorer ou empirer une base mais elle ne peut pas changer la base. Quand on permet aux gens d’être ce qu’ils sont et qu’on les aide, ils évoluent, mais on ne les change pas.
Plus par prétention et par corporatisme égoïste que par philanthropie véritable, 90% de nos enseignants pourrissent la société en imbibant les cerveaux jeunes ou faibles des merveilleux pouvoirs de la divine EDUCATION : elle peut changer les gens. Evidemment, plus les gens sont nuls plus les enseignants se frottent les mains. L’afflux de populations majoritairement « nulles » dans le pays est pour eux une véritable manne. Les enseignants deviennent tout à coup grands, nobles, généreux, magnanimes, superbes, super-hyper-méga-indispensables… Ils vont changer les gens… si-si-si, puisqu’ils vous le disent… ils vont les changer. L’avenir, la puissance et la gloire leur sont donc assurées… des foules immenses d’ex-élèves et de disciples, éternellement reconnaissants, vont s’agenouiller à leur passage et leur baiser les mains et les pieds en pleurant.
Ce n’est pas l’éducation qui a fait Vinci, Mozart, Napoléon, Delacroix, Renoir… Elle les a épanouis, c’est tout. Personnellement avec l’enfance et la vie que j’ai eue, j’aurais dû verser cent fois, mille fois dans la délinquance ou l’homosexualité. Eh bien non, ça n’est pas arrivé. Ce n’était pas dans mes gènes… et je ne suis pas le seul dans ce cas. Alors, il est où ce mirifique, ce formidable, ce sublime, ce divin pouvoir de l’EDUCATION-QUI-PEUT-TOUT… il est où ! Si l’éducation entre pour 10% dans le destin de quelqu’un c’est bien le maximum.
TOUT EST DANS LES GÈNES ! Les enseignants sont pourtant bien placés pour le savoir. Certaines années ils ont des classes majoritairement brillantes, ou studieuses, ou turbulentes, ou médiocres, ou même nulles, ils le savent… et ils savent très bien qu’ils n’y peuvent rien, rien du tout, malgré tous leurs efforts. C’est comme ça, un point c’est tout. Ils le savent, bien sûr… ils ne sont pas assez stupides pour ne pas le savoir. « L’éducation peut tout ! »… C’EST FAUX ! Consciemment ou inconsciemment, donc, ils sont de mauvaise foi : ils prêchent pour leur paroisse et pas du tout dans l’intérêt de la collectivité.
Espérons que les catastrophes qu’ils auront largement contribué à générer et qui vont bientôt s’abattre sur le pays vont leur mettre un peu de plomb et un peu de bon sens dans la tête. Mais rien n’est moins sûr.
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