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Lettre ouverte, aux dirigeants de la CGT en réponse à leur tract injurieux.
Mar 3 Mai 2011 - 22:13
Jadis porte-flambeau du glorieux mouvement ouvrier, les dirigeants de la CGT viennent de déshonorer une fois de plus cet héritage en rédigeant contre le Front National un tract ridicule, mensonger, mais tellement révélateur.
La longue bafouille de la CGT est d’abord ridicule.
Faut-il que la direction cégétiste soit tombée intellectuellement si bas pour qu’elle produise une telle caricature ? Son tract contient tous les poncifs de la pensée bobo contre le Front National, celle qui se masque la réalité de ses échecs, celle qui refuse de traiter les sujets de manière rationnelle, préférant l’invective et l’injure aux débats d’idées.
C’est plus sûrement à la terrasse d’un café germanopratin que dans une usine ou des bureaux d’entreprise que ce texte à été conçu. Les travailleurs français, la base-même de la CGT, ne peuvent pas se retrouver dans cette succession de clichés de la pensée unique, qu’un Laurent Joffrin ou un Alain Duhamel auraient pu signer, et il est inquiétant de voir que la direction de la CGT ne s’en rend même plus compte…
Ridicule aussi, ce tract l’est assurément, quand il commet des erreurs grossières, présentant par exemple Carl Lang comme un « dirigeant frontiste », alors qu’il a quitté le parti depuis plus de deux ans. Voilà qui en dit long sur le sérieux de ce travail…
Il y a là dans ce texte une véritable offense à l’intelligence, qui montre le peu de cas que fait aujourd’hui la direction de la CGT de sa base.
Plus grave, ce tract est mensonger et insulte par ses mensonges les électeurs du Front National, et plus largement ces millions de travailleurs français ayant déserté les rangs de syndicats déconnectés de leurs problèmes.
La préférence nationale que le Front National propose ne profiterait pas aux « Français de souche » comme il est écrit dans ce texte, mais à l’ensemble des Français ; c’est une différence de taille. Nous considérons effectivement, comme le pratiquent nombre de pays dans le monde, et comme c’est encore la règle dans une partie de notre fonction publique, que les citoyens français doivent être à compétences égales, prioritaires sur les étrangers dans leur pays. Il n’y a là que du bon sens et une saine application des principes de la République française.
Mensonge aussi quand on affirme que le Front National « combat les libertés ».
Bien au contraire, il les défend toutes, à commencer par la liberté de pensée et d’expression. Il les défend bien plus sûrement que la CGT, qui les bafoue en excluant ses adhérents qui se présentent aux élections sous l’étiquette Front National.
Mensonge encore, quand on avance sans rire que le Front National est un parti « ultralibéral, pro Medef », alors que le mouvement de Laurence Parisot ne cesse de critiquer le Front National sur son projet économique, qu’elle juge trop social et trop protecteur.
En développant un projet cohérent de réarmement contre la mondialisation, le Front National démontre qu’il est le seul parti à défendre réellement, efficacement, les travailleurs français, quand la CGT se contente d’actions parsemées, cosmétiques, et qu’elle refuse d’aborder les véritables problèmes, ceux justement que le grand patronat veut taire : quid de l’Union européenne et de l’euro qui nous appauvrissent ? Quid de l’affaiblissement de l’État ? Quid de la ruine de nos PME ? Quid de la concurrence internationale déloyale qui provoque délocalisations et désindustrialisation ? Quid de l’immigration utilisée pour peser à la baisse sur les salaires des travailleurs français ? Voilà des questions que jamais la CGT ne pose !
Mensonge enfin quand on présente le Front National comme une force anti-syndicale.
Mais qui a tué le syndicalisme en France si ce ne sont les centrales syndicales, à commencer par la CGT, qui n’ont eu de cesse de mépriser l’intérêt véritable des travailleurs, en négociant dans leur dos avec les pouvoirs politique et économique des accords au rabais, trahissant pour quelques postes et avantages personnels les intérêts de millions de Français ? Qui a dégoûté les travailleurs français d’y adhérer si ce ne sont ces centrales syndicales, qui ne représentent plus que 7 % d’entre eux, taux le plus faible d’Europe !
Le Front National veut lui des syndicats puissants, indépendants, vraiment représentatifs, réellement soucieux des intérêts des travailleurs français. Il se donnera les moyens législatifs et réglementaires de cette ambition syndicale quand il sera au pouvoir, et assurera un contrôle du financement des organisations syndicales. Il encouragera la création de syndicats patriotes dans la mondialisation, quand aujourd’hui les états-majors des syndicats, CGT en tête, se vautrent dans une attitude d’acceptation et d’accompagnement des dérives ultralibérales !
Ce tract enfin est révélateur : en prenant la défense de l’euro, usant pour cela de la même vulgate techno que les économistes ultralibéraux du Medef, la CGT a démontré aux travailleurs, à ces « petits » qu’elle dit vouloir défendre, à quel point elle est du côté des « gros » !
On savait la CGT partisan comme le Medef et le pouvoir sarkozyte de l’ouverture totale des frontières, le rêve du grand patronat depuis des siècles.
On la sait maintenant fanatique de l’euro, la monnaie des banques ! Les travailleurs et retraités grecs, irlandais, portugais, qui aujourd’hui sont laminés et appauvris comme jamais dans le but exclusif de « sauver l’euro à tout prix » apprécieront ce coup de poignard dans le dos porté par l’état-major cégétiste !
Ceux qui se souviennent de l’engagement personnel de Bernard Thibault pour le OUI à la Constitution européenne de Monsieur Giscard en 2005, contre l’immense majorité de sa base, ne seront cependant pas surpris de cet aveu ultralibéral…
« Les bobos m’ont tuer » nous dirait la CGT du Conseil National de la Résistance, la CGT patriote de l’après-guerre, celle qui réunissait des millions de travailleurs français.
Le monde ouvrier, le monde employé, la fonction publique, les agriculteurs, se tournent en masse aujourd’hui vers le Front National et son projet de redressement. Alors, que l’état-major cégétiste continue de s’enfoncer dans sa dérive bobo. Il est à parier que les travailleurs se tourneront encore plus nombreux avec espoir vers le Front National et ses propositions pour l’emploi, le pouvoir d’achat et la réindustrialisation du pays, car travailleurs et retraités français n’ont que faire des diffamations, des insultes, des mensonges de la direction de la CGT.
Ils veulent le changement et ils ont compris où il se trouve !
La longue bafouille de la CGT est d’abord ridicule.
Faut-il que la direction cégétiste soit tombée intellectuellement si bas pour qu’elle produise une telle caricature ? Son tract contient tous les poncifs de la pensée bobo contre le Front National, celle qui se masque la réalité de ses échecs, celle qui refuse de traiter les sujets de manière rationnelle, préférant l’invective et l’injure aux débats d’idées.
C’est plus sûrement à la terrasse d’un café germanopratin que dans une usine ou des bureaux d’entreprise que ce texte à été conçu. Les travailleurs français, la base-même de la CGT, ne peuvent pas se retrouver dans cette succession de clichés de la pensée unique, qu’un Laurent Joffrin ou un Alain Duhamel auraient pu signer, et il est inquiétant de voir que la direction de la CGT ne s’en rend même plus compte…
Ridicule aussi, ce tract l’est assurément, quand il commet des erreurs grossières, présentant par exemple Carl Lang comme un « dirigeant frontiste », alors qu’il a quitté le parti depuis plus de deux ans. Voilà qui en dit long sur le sérieux de ce travail…
Il y a là dans ce texte une véritable offense à l’intelligence, qui montre le peu de cas que fait aujourd’hui la direction de la CGT de sa base.
Plus grave, ce tract est mensonger et insulte par ses mensonges les électeurs du Front National, et plus largement ces millions de travailleurs français ayant déserté les rangs de syndicats déconnectés de leurs problèmes.
La préférence nationale que le Front National propose ne profiterait pas aux « Français de souche » comme il est écrit dans ce texte, mais à l’ensemble des Français ; c’est une différence de taille. Nous considérons effectivement, comme le pratiquent nombre de pays dans le monde, et comme c’est encore la règle dans une partie de notre fonction publique, que les citoyens français doivent être à compétences égales, prioritaires sur les étrangers dans leur pays. Il n’y a là que du bon sens et une saine application des principes de la République française.
Mensonge aussi quand on affirme que le Front National « combat les libertés ».
Bien au contraire, il les défend toutes, à commencer par la liberté de pensée et d’expression. Il les défend bien plus sûrement que la CGT, qui les bafoue en excluant ses adhérents qui se présentent aux élections sous l’étiquette Front National.
Mensonge encore, quand on avance sans rire que le Front National est un parti « ultralibéral, pro Medef », alors que le mouvement de Laurence Parisot ne cesse de critiquer le Front National sur son projet économique, qu’elle juge trop social et trop protecteur.
En développant un projet cohérent de réarmement contre la mondialisation, le Front National démontre qu’il est le seul parti à défendre réellement, efficacement, les travailleurs français, quand la CGT se contente d’actions parsemées, cosmétiques, et qu’elle refuse d’aborder les véritables problèmes, ceux justement que le grand patronat veut taire : quid de l’Union européenne et de l’euro qui nous appauvrissent ? Quid de l’affaiblissement de l’État ? Quid de la ruine de nos PME ? Quid de la concurrence internationale déloyale qui provoque délocalisations et désindustrialisation ? Quid de l’immigration utilisée pour peser à la baisse sur les salaires des travailleurs français ? Voilà des questions que jamais la CGT ne pose !
Mensonge enfin quand on présente le Front National comme une force anti-syndicale.
Mais qui a tué le syndicalisme en France si ce ne sont les centrales syndicales, à commencer par la CGT, qui n’ont eu de cesse de mépriser l’intérêt véritable des travailleurs, en négociant dans leur dos avec les pouvoirs politique et économique des accords au rabais, trahissant pour quelques postes et avantages personnels les intérêts de millions de Français ? Qui a dégoûté les travailleurs français d’y adhérer si ce ne sont ces centrales syndicales, qui ne représentent plus que 7 % d’entre eux, taux le plus faible d’Europe !
Le Front National veut lui des syndicats puissants, indépendants, vraiment représentatifs, réellement soucieux des intérêts des travailleurs français. Il se donnera les moyens législatifs et réglementaires de cette ambition syndicale quand il sera au pouvoir, et assurera un contrôle du financement des organisations syndicales. Il encouragera la création de syndicats patriotes dans la mondialisation, quand aujourd’hui les états-majors des syndicats, CGT en tête, se vautrent dans une attitude d’acceptation et d’accompagnement des dérives ultralibérales !
Ce tract enfin est révélateur : en prenant la défense de l’euro, usant pour cela de la même vulgate techno que les économistes ultralibéraux du Medef, la CGT a démontré aux travailleurs, à ces « petits » qu’elle dit vouloir défendre, à quel point elle est du côté des « gros » !
On savait la CGT partisan comme le Medef et le pouvoir sarkozyte de l’ouverture totale des frontières, le rêve du grand patronat depuis des siècles.
On la sait maintenant fanatique de l’euro, la monnaie des banques ! Les travailleurs et retraités grecs, irlandais, portugais, qui aujourd’hui sont laminés et appauvris comme jamais dans le but exclusif de « sauver l’euro à tout prix » apprécieront ce coup de poignard dans le dos porté par l’état-major cégétiste !
Ceux qui se souviennent de l’engagement personnel de Bernard Thibault pour le OUI à la Constitution européenne de Monsieur Giscard en 2005, contre l’immense majorité de sa base, ne seront cependant pas surpris de cet aveu ultralibéral…
« Les bobos m’ont tuer » nous dirait la CGT du Conseil National de la Résistance, la CGT patriote de l’après-guerre, celle qui réunissait des millions de travailleurs français.
Le monde ouvrier, le monde employé, la fonction publique, les agriculteurs, se tournent en masse aujourd’hui vers le Front National et son projet de redressement. Alors, que l’état-major cégétiste continue de s’enfoncer dans sa dérive bobo. Il est à parier que les travailleurs se tourneront encore plus nombreux avec espoir vers le Front National et ses propositions pour l’emploi, le pouvoir d’achat et la réindustrialisation du pays, car travailleurs et retraités français n’ont que faire des diffamations, des insultes, des mensonges de la direction de la CGT.
Ils veulent le changement et ils ont compris où il se trouve !
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