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- verveineModérateurs
- Date d'inscription : 18/05/2011
Re: Opéra et Musique Classique
Jeu 16 Fév 2012 - 16:15
houla houla pas si vite pas tout en même temps , sinon mâme verveine va griller une connexion !
bruniquel j'écouterai plus tard hein !
chuis encore en train de télécharger Wagner
en plus j'ai un ordinateur gros , il ne se déplace pas avec moua....
bruniquel j'écouterai plus tard hein !
chuis encore en train de télécharger Wagner
en plus j'ai un ordinateur gros , il ne se déplace pas avec moua....
- patou9999
- Localisation : AGEN
Date d'inscription : 15/02/2012
Passion : OPERA et MUSIQUE CLASSIQUE
Humeur : attend la libération
Re: Opéra et Musique Classique
Jeu 16 Fév 2012 - 16:17
verveine a écrit:houla houla pas si vite pas tout en même temps , sinon mâme verveine va griller une connexion !
- verveineModérateurs
- Localisation : midi pyrénées
Date d'inscription : 18/05/2011
Passion : jardinage , écologie, spiritualité
Humeur : à géométrie variable
Re: Opéra et Musique Classique
Jeu 16 Fév 2012 - 16:30
faut que je réécoute le premier morceau , car je n'ai pas écouté de façon attentive , vu que je faisais autre chose en même temps !
- verveineModérateurs
- Localisation : midi pyrénées
Date d'inscription : 18/05/2011
Passion : jardinage , écologie, spiritualité
Humeur : à géométrie variable
Re: Opéra et Musique Classique
Jeu 16 Fév 2012 - 16:57
ha bé voilà kékun qui sait me pâârler
- patou9999
- Localisation : AGEN
Date d'inscription : 15/02/2012
Passion : OPERA et MUSIQUE CLASSIQUE
Humeur : attend la libération
Re: Opéra et Musique Classique
Ven 17 Fév 2012 - 8:26
Il faut faire des pauses de temps en temps, tu as raison.
- alessandro
- Localisation : FIRENZE - ITALIA - et en vacances dans le Sud de la France
Date d'inscription : 17/02/2012
Passion : CHANT
Humeur : Magnifique
Re: Opéra et Musique Classique
Sam 18 Fév 2012 - 9:12
Ciao Patrick
Peut-être je ferai VERDI après toi.
Peut-être je ferai VERDI après toi.
- Blanche d'IssyModérateurs
- Localisation : Rhône Alpes
Date d'inscription : 23/01/2011
Re: Opéra et Musique Classique
Sam 18 Fév 2012 - 10:00
ah chic! voici un coin où venir me cultiver! j'adore la musique (classique en particulier) mais je suis incapable d'en parler. C'est pour moi un vecteur d'émotions, et j'aime être transportée, rire, pleurer, m'exalter...sans pouvoir me résoudre à décortiquer. Mais je serai une élève attentive...merci!
Re: Opéra et Musique Classique
Sam 18 Fév 2012 - 10:09
J'ai écouté les ouvertures de Wagner proposées par Patrick.
J'ai été - comment dire ? - transporté, emporté, parfois au calme, parfois dans une tourmente, les émotions arrivant à toute allure...
J'ai ressenti comme une exaltation, en fait.
Beaucoup de cuivres, donc énormément de présence et de puissance dans sa musique. Beaucoup de variations, rien n'est linéaire.
C'est pour moi, avant tout, une musique que l'on ressent, plus que l'on écoute.
C'est une musique de sentiments.
L’ouverture du Hollandais volant est significative, à mon sens.
Quant à Karajan et au Philarmonique de Berlin, merci de ces cadeaux, Patrick !
J'ai été - comment dire ? - transporté, emporté, parfois au calme, parfois dans une tourmente, les émotions arrivant à toute allure...
J'ai ressenti comme une exaltation, en fait.
Beaucoup de cuivres, donc énormément de présence et de puissance dans sa musique. Beaucoup de variations, rien n'est linéaire.
C'est pour moi, avant tout, une musique que l'on ressent, plus que l'on écoute.
C'est une musique de sentiments.
L’ouverture du Hollandais volant est significative, à mon sens.
Quant à Karajan et au Philarmonique de Berlin, merci de ces cadeaux, Patrick !
- alessandro
- Localisation : FIRENZE - ITALIA - et en vacances dans le Sud de la France
Date d'inscription : 17/02/2012
Passion : CHANT
Humeur : Magnifique
Re: Opéra et Musique Classique
Sam 18 Fév 2012 - 10:13
Très grande et très bonne analyse Jupiter.
Wagner est comme cela.
Wagner est comme cela.
- In Memoriam
- Localisation : Gard ( 30 )
Date d'inscription : 24/02/2012
Passion : Litterature, écriture, dessin, violon, politique, psychologie
Humeur : Debout, Terre de France !!
Re: Opéra et Musique Classique
Dim 4 Mar 2012 - 23:49
Magnifiques oeuvres !!
Moi, je suis plus fanatique de Franz Schubert. Toutes ses musiques me transportent...
St-Saëns, j'aime beaucoup.
Verdi, j'adore le " Va Pensiero " ( Nabucco )
Pour ma part, j'ai fait du chant classique pendant deux ans, et j'ai étudié des oeuvres incroyables, comme le Requiem de Gabriel Fauré, l'Hallelujah de Haëndel et le Gloria de Vivaldi.
Je pratique aussi le violon ( en amatrice bien sûr ) et les morceaux que je préfère jouer sont les 4 saisons et Carmen.
Wagner je ne connais pas encore beaucoup... Ce sujet est très intéressant !
Moi, je suis plus fanatique de Franz Schubert. Toutes ses musiques me transportent...
St-Saëns, j'aime beaucoup.
Verdi, j'adore le " Va Pensiero " ( Nabucco )
Pour ma part, j'ai fait du chant classique pendant deux ans, et j'ai étudié des oeuvres incroyables, comme le Requiem de Gabriel Fauré, l'Hallelujah de Haëndel et le Gloria de Vivaldi.
Je pratique aussi le violon ( en amatrice bien sûr ) et les morceaux que je préfère jouer sont les 4 saisons et Carmen.
Wagner je ne connais pas encore beaucoup... Ce sujet est très intéressant !
Re: Opéra et Musique Classique
Mer 14 Mar 2012 - 10:51
Je voudrais revenir un instant sur une des œuvres de Wagner qui, je ne sais pourquoi, me "prend aux tripes" (car c'est bien de cela qu'il s'agit) et plus particulièrement, l'ouverture de Tannhauser.
Il y a un thème extraordinaire, cuivres puis trombones + cordes qui parle à mon âme. Je n'ai pas peur de le dire et de l'assumer. C'est véritablement ce que je ressens.
C'est comme un transport, une envolée, mais qui arrive graduellement, débutant doucement, presque timidement, mais qui est déjà fort présente...Cela poursuit par une montée progressive et enfin la puissance éclate, étourdissante, emportant tout sur son passage (comme la vague bleu Marine )...
Un moment de pause, l'émotion est forte puis se calme...avant de revenir toute aussi intense et puissante, comme un ressac sans cesse renouvelé.
J'aime vraiment cette ouverture, cette œuvre.
A chaque fois que je l'entends, je suis véritablement ailleurs.
Qu'a voulu exprimer Richard Wagner ici ? Je fais confiance aux spécialistes pour en dire un peu plus.
Je me permets de mettre cette oeuvre, dirigée à l'époque par Von Karajan et le Philarmoniker de Berlin.
Il y a un thème extraordinaire, cuivres puis trombones + cordes qui parle à mon âme. Je n'ai pas peur de le dire et de l'assumer. C'est véritablement ce que je ressens.
C'est comme un transport, une envolée, mais qui arrive graduellement, débutant doucement, presque timidement, mais qui est déjà fort présente...Cela poursuit par une montée progressive et enfin la puissance éclate, étourdissante, emportant tout sur son passage (comme la vague bleu Marine )...
Un moment de pause, l'émotion est forte puis se calme...avant de revenir toute aussi intense et puissante, comme un ressac sans cesse renouvelé.
J'aime vraiment cette ouverture, cette œuvre.
A chaque fois que je l'entends, je suis véritablement ailleurs.
Qu'a voulu exprimer Richard Wagner ici ? Je fais confiance aux spécialistes pour en dire un peu plus.
Je me permets de mettre cette oeuvre, dirigée à l'époque par Von Karajan et le Philarmoniker de Berlin.
- cocorico
- Localisation : Rhône
Date d'inscription : 12/02/2012
Passion : les femmes
Humeur : cool
Re: Opéra et Musique Classique
Mer 14 Mar 2012 - 11:13
je me doute que tu le sais déjà, mais pour les autres ces infos seront intéressantes !!!!!!!!!!!!
Tannhäuser:
Grand opéra romantique en 3 actes
Titre complet : Tannhäuser und der Sängerkrieg auf Wartburg (Tannhäuser et le tournoi des chanteurs à la Wartburg)
Livret du compositeur
Composition : 1e version 1843-1845 - 2e version 1859-1861
Création : 1e version : Dresde, Hofoper, le 19 octobre 1845
2e version : Paris, Opéra, le 13 mars 1861
Genèse
Durant les dernières semaines de son séjour à Paris, tandis qu'il achève la partition du Fliegende Holländer, Wagner s'immerge dans l'histoire allemande, espérant y trouver un sujet pour son prochain opéra. Un de ses amis lui suggère la lecture de la légende de Tannhäuser, racontée par le poète Ludwig Tieck. Plusieurs poètes avaient déjà utilisé la légende de Tannhäuser avant que Wagner ne s'y intéresse. Il complète ses sources avec le Tannhäuser de Heine, des écrits de E.T.A. Hoffmann et de Wolfram von Eschenbach, un poète du XIIIe siècle.
Wagner mit plus ou moins quatre ans à écrire le texte, puis la musique. L'ouverture se développe comme une sorte de mini-symphonie reprenant les thèmes principaux des trois actes. Tannhäuser est, après le Fliegende Holländer, le second opéra de maturité de Wagner. Même s'il contient des airs solos (l'Hymne à Vénus de Tannhäuser, la Romance à l'étoile de Wolfram et Dich, teute Halle d'Elisabeth), il marque une étape supplémentaire dans la mise en place de la dramaturgie musicale wagnérienne par la dissolution d'une structure construite sur les ensembles et les arias. L'élément crucial de cette disparition est la mise en place de la technique du leitmotiv (sorte de cellule musicale évoquant ou accompagnant l'apparition d'un personnage).
Au coeur de cet opéra se trouve une des thématiques importantes de l'oeuvre wagnérienne, l'opposition entre le profane et le sacré, entre le sensuel et le spirituel. Plus précisément, le héros de l'histoire, Tannhäuser, le chevalier ménestrel, est sauvé par l'amour d'une femme.
Créé en 1845 à Dresde, Tannhäuser fut profondément remanié par Wagner tout au long de sa vie, notamment à l'occasion de sa présentation parisienne à l'Opéra (version dite de Paris) en 1861. On distingue deux versions usuelles : la version dite de Dresde qui est la version imprimée en 1860 et la version dite de Paris qui comprend les modifications effectuées pour les représentations parisiennes mais dans un texte chanté en allemand.
Petite précision: Le château de Wartburg est situé à l'est de l'Allemagne, près de Eisenach (Thuringe). Construit à partir du XIe siècle, il fut le théâtre de concours de Minnesänger. Luther y résida.
L'histoire
Acte I
Près du château se dresse le Vénusberg, résidence de la déesse du printemps (ou de l'amour) laquelle attire les chevaliers de Wartburg pour les retenir prisonniers de ses charmes. Tannhäuser en est tout d'abord la victime consentante. Il finit par se lasser et parvient à échapper à l'emprise de la déesse. Il songe à aller à Rome, mais le Landgrave le convainc de retourner au Wartburg où Elisabeth (que Tannhäuser a aimée autrefois) se languit.
Acte II
Le Landgrave organise un concours de chant et offre la main de sa nièce (Elisabeth) au vainqueur (Tannhäuser a souvent remporté ce concours). En cours d'épreuve, Tannhäuser, possédé par la déesse de l'amour qu'il encense, provoque la fureur des chevaliers. Elisabeth prend sa défense mais le Landgrave le condamne à aller demander le pardon à Rome.
Acte III
Les pèlerins reviennent de Rome. Elisabeth et l'ami Wolfram attendent le retour de Tannhäuser. Il n'est pas parmi les arrivants. La nuit tombe. L'étoile du berger apparaît. Wolfram chante alors son amour pour Elisabeth. Tannhäuser arrive enfin et apprend à Wolfram que le pape ne consentira à lui pardonner que le jour où son bâton de pélerin fleurira. Elisabeth meurt et Tannhäuser expire au pied du cercueil. Des pèlerins arrivent, portant le bâton fleuri de Tannhäuser.
Tannhäuser:
Grand opéra romantique en 3 actes
Titre complet : Tannhäuser und der Sängerkrieg auf Wartburg (Tannhäuser et le tournoi des chanteurs à la Wartburg)
Livret du compositeur
Composition : 1e version 1843-1845 - 2e version 1859-1861
Création : 1e version : Dresde, Hofoper, le 19 octobre 1845
2e version : Paris, Opéra, le 13 mars 1861
Genèse
Durant les dernières semaines de son séjour à Paris, tandis qu'il achève la partition du Fliegende Holländer, Wagner s'immerge dans l'histoire allemande, espérant y trouver un sujet pour son prochain opéra. Un de ses amis lui suggère la lecture de la légende de Tannhäuser, racontée par le poète Ludwig Tieck. Plusieurs poètes avaient déjà utilisé la légende de Tannhäuser avant que Wagner ne s'y intéresse. Il complète ses sources avec le Tannhäuser de Heine, des écrits de E.T.A. Hoffmann et de Wolfram von Eschenbach, un poète du XIIIe siècle.
Wagner mit plus ou moins quatre ans à écrire le texte, puis la musique. L'ouverture se développe comme une sorte de mini-symphonie reprenant les thèmes principaux des trois actes. Tannhäuser est, après le Fliegende Holländer, le second opéra de maturité de Wagner. Même s'il contient des airs solos (l'Hymne à Vénus de Tannhäuser, la Romance à l'étoile de Wolfram et Dich, teute Halle d'Elisabeth), il marque une étape supplémentaire dans la mise en place de la dramaturgie musicale wagnérienne par la dissolution d'une structure construite sur les ensembles et les arias. L'élément crucial de cette disparition est la mise en place de la technique du leitmotiv (sorte de cellule musicale évoquant ou accompagnant l'apparition d'un personnage).
Au coeur de cet opéra se trouve une des thématiques importantes de l'oeuvre wagnérienne, l'opposition entre le profane et le sacré, entre le sensuel et le spirituel. Plus précisément, le héros de l'histoire, Tannhäuser, le chevalier ménestrel, est sauvé par l'amour d'une femme.
Créé en 1845 à Dresde, Tannhäuser fut profondément remanié par Wagner tout au long de sa vie, notamment à l'occasion de sa présentation parisienne à l'Opéra (version dite de Paris) en 1861. On distingue deux versions usuelles : la version dite de Dresde qui est la version imprimée en 1860 et la version dite de Paris qui comprend les modifications effectuées pour les représentations parisiennes mais dans un texte chanté en allemand.
Petite précision: Le château de Wartburg est situé à l'est de l'Allemagne, près de Eisenach (Thuringe). Construit à partir du XIe siècle, il fut le théâtre de concours de Minnesänger. Luther y résida.
L'histoire
Acte I
Près du château se dresse le Vénusberg, résidence de la déesse du printemps (ou de l'amour) laquelle attire les chevaliers de Wartburg pour les retenir prisonniers de ses charmes. Tannhäuser en est tout d'abord la victime consentante. Il finit par se lasser et parvient à échapper à l'emprise de la déesse. Il songe à aller à Rome, mais le Landgrave le convainc de retourner au Wartburg où Elisabeth (que Tannhäuser a aimée autrefois) se languit.
Acte II
Le Landgrave organise un concours de chant et offre la main de sa nièce (Elisabeth) au vainqueur (Tannhäuser a souvent remporté ce concours). En cours d'épreuve, Tannhäuser, possédé par la déesse de l'amour qu'il encense, provoque la fureur des chevaliers. Elisabeth prend sa défense mais le Landgrave le condamne à aller demander le pardon à Rome.
Acte III
Les pèlerins reviennent de Rome. Elisabeth et l'ami Wolfram attendent le retour de Tannhäuser. Il n'est pas parmi les arrivants. La nuit tombe. L'étoile du berger apparaît. Wolfram chante alors son amour pour Elisabeth. Tannhäuser arrive enfin et apprend à Wolfram que le pape ne consentira à lui pardonner que le jour où son bâton de pélerin fleurira. Elisabeth meurt et Tannhäuser expire au pied du cercueil. Des pèlerins arrivent, portant le bâton fleuri de Tannhäuser.
- patou9999
- Localisation : AGEN
Date d'inscription : 15/02/2012
Passion : OPERA et MUSIQUE CLASSIQUE
Humeur : attend la libération
Re: Opéra et Musique Classique
Mer 14 Mar 2012 - 23:22
Jupiter a écrit:Je voudrais revenir un instant sur une des œuvres de Wagner qui, je ne sais pourquoi, me "prend aux tripes" (car c'est bien de cela qu'il s'agit) et plus particulièrement, l'ouverture de Tannhauser.
Il y a un thème extraordinaire, cuivres puis trombones + cordes qui parle à mon âme. Je n'ai pas peur de le dire et de l'assumer. C'est véritablement ce que je ressens.
C'est comme un transport, une envolée, mais qui arrive graduellement, débutant doucement, presque timidement, mais qui est déjà fort présente...Cela poursuit par une montée progressive et enfin la puissance éclate, étourdissante, emportant tout sur son passage (comme la vague bleu Marine )...
Un moment de pause, l'émotion est forte puis se calme...avant de revenir toute aussi intense et puissante, comme un ressac sans cesse renouvelé.
J'aime vraiment cette ouverture, cette œuvre.
A chaque fois que je l'entends, je suis véritablement ailleurs.
Qu'a voulu exprimer Richard Wagner ici ? Je fais confiance aux spécialistes pour en dire un peu plus.
Je me permets de mettre cette oeuvre, dirigée à l'époque par Von Karajan et le Philarmoniker de Berlin.
Cette impression est dûe au fait que l'on a une lente montée à la fois sonore et harmonique.
Autrement dit, une graduation progressive qui donne de plus en plus d'émotion.
Et puis, on attend le thème, on sait qu'il va venir....
Donc, comme dans Lohengrin, car les cuivres sont lâchés, on touche le Ciel.
Pour moi, tous ces grands compositeurs étaient des médiums en ligne directe avec le magnétisme de l'Univers.
Leur inspiration est trop grande, trop forte, trop intense pour que seul le facteur humain puisse expliquer cela.
- francoise
- Localisation : sur la banquise là où la connerie humaine fait fondre les glaces
Date d'inscription : 18/09/2011
Passion : peintre et blogueuse en art pictural figuratif
Humeur : zen
Re: Opéra et Musique Classique
Mer 14 Mar 2012 - 23:50
romeo et juliette Prokofiev ... 1er mouvement. Ecoutez jusqu'au bout ça décoiffe.
C'est la danse des chevaliers, ici en accompagnement de la mise en scène :
Et toujours le même thème ici joué par un gamin au piano seul !!!
Re: Opéra et Musique Classique
Mar 31 Juil 2012 - 23:00
Il y a en ce moment sur la 3, la représentation de "Turandot" de Puccini dans le merveilleux cadre du Théâtre d'Orange.
Un régal pour celles et ceux qui aiment ! (comme moi ! )
Un régal pour celles et ceux qui aiment ! (comme moi ! )
Re: Opéra et Musique Classique
Mar 31 Juil 2012 - 23:28
J'attends avec une grande impatience le fameux air "Nessum Dorma"...
Re: Opéra et Musique Classique
Mar 16 Juin 2015 - 8:10
Jonas Kaufmann s'est longtemps refusé à chanter « Nessun dorma », le grand air de Calaf dans Turandot.
« J’aime beaucoup cet air et au début de ma carrière, je le trouvais tout simplement trop beau pour être gâché par une voix inexpérimentée avec ses imperfections vocales. Puis il est devenu tellement populaire et a été chanté par tout le monde, et je ne voulais pas nager dans le sens du courant. Néanmoins, je suis sûr que je vais chanter en concert un jour* », confiait le ténor allemand au webzine Operafocus. Ce jour est arrivé.
A Milan, dimanche dernier, 14 juin, le pas était franchi, non sans encombre, puisque l’émotion aidant, Jonas Kaufmann a oublié en cours de route les paroles de l’air. Le public milanais, pourtant peu réputé pour son indulgence, ne semble pas lui en avoir tenu rigueur, si l’on en juge aux applaudissements qui accueillent le « vincero » final.
« Nessun dorma » donne son titre au prochain album de Jonas Kaufman, consacré aux airs d’opéras de Giacomo Puccini. Sortie annoncée l'automne prochain (plus d'informations).
http://www.forumopera.com/video/quand-jonas-kaufmann-se-risque-a-nessun-dorma
Que j'aime ce ténoir ! Pour moi, il est exceptionnel !
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