- francoise
- Localisation : sur la banquise là où la connerie humaine fait fondre les glaces
Date d'inscription : 18/09/2011
Passion : peintre et blogueuse en art pictural figuratif
Humeur : zen
Les Arts et la société civile.
Dim 18 Sep 2011 - 22:25
Une civilisation se mesure à l'éloquence des ses arts. Les arts sont le reflet exact d'une civilisation à un moment donné de son existence. Ils marquent le sceau d'une époque.
Par exemple, les art ont permis d'effectuer une profonde transformation des mentalités durant la période de la Renaissance.
Comme une image vaut mieux qu'un long discours :
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Avant la renaissance, voici le genre de peinture qui était la règle.
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Avec la renaissance, l'art laïc se développe.
La Renaissance était cette période où l'on découvrait les nouveaux continents, où des inventions primordiales comme l'imprimerie ont eu lieu ou l'humanisme est apparu... L'art à cette époque était novateur, immense, inspiré. Nous sommes passés aux abords du 14e siècle, d'une iconographie essentiellement religieuse à un art laïc où l'homme avait repris sa place au centre du monde et non les dieux (et ses diverses représentations bibliques).
Parallèlement, c'est à cette époque que l'on découvre la peinture à l'huile qui permet une précision folle dans les détails. Des icônes religieuses auréolées d'or, l'on passe à des portraits de commerçants ou de simple tableaux de genre (scène d'échoppe, nature morte...). La peinture notamment a fait un bon vertigineux dans le progrès des arts (découverte de la perspective, de l'anatomie, du clair-obscur, du sfumato...) et permet une meilleure compréhension vis à vis du public.
Que retrouveront, de nous, nos futurs descendants dans 5 siècles, à part un art dégénéré minimaliste et abstrait (qui refuse les réalités et se complait à des détournements enfantins ou purement masturbatoires, prétendus modernes). L'art actuel (dit moderne) est bien en conformité avec cette civilisation en déclin, débile, fuyant et niant les réalités quotidiennes pour mieux enfumer des cerveaux !
Aujourd'hui, les peintres ont peur de s'engager dans des travaux réalistes qui mettent en exergue les travers de notre société. C'est bien qu'il y a un malaise dans notre société. Un malaise de l'expression, de la liberté de pensée de l'image et de la parole.
Par exemple, les art ont permis d'effectuer une profonde transformation des mentalités durant la période de la Renaissance.
Comme une image vaut mieux qu'un long discours :
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Avec la renaissance, l'art laïc se développe.
La Renaissance était cette période où l'on découvrait les nouveaux continents, où des inventions primordiales comme l'imprimerie ont eu lieu ou l'humanisme est apparu... L'art à cette époque était novateur, immense, inspiré. Nous sommes passés aux abords du 14e siècle, d'une iconographie essentiellement religieuse à un art laïc où l'homme avait repris sa place au centre du monde et non les dieux (et ses diverses représentations bibliques).
Parallèlement, c'est à cette époque que l'on découvre la peinture à l'huile qui permet une précision folle dans les détails. Des icônes religieuses auréolées d'or, l'on passe à des portraits de commerçants ou de simple tableaux de genre (scène d'échoppe, nature morte...). La peinture notamment a fait un bon vertigineux dans le progrès des arts (découverte de la perspective, de l'anatomie, du clair-obscur, du sfumato...) et permet une meilleure compréhension vis à vis du public.
Que retrouveront, de nous, nos futurs descendants dans 5 siècles, à part un art dégénéré minimaliste et abstrait (qui refuse les réalités et se complait à des détournements enfantins ou purement masturbatoires, prétendus modernes). L'art actuel (dit moderne) est bien en conformité avec cette civilisation en déclin, débile, fuyant et niant les réalités quotidiennes pour mieux enfumer des cerveaux !
Aujourd'hui, les peintres ont peur de s'engager dans des travaux réalistes qui mettent en exergue les travers de notre société. C'est bien qu'il y a un malaise dans notre société. Un malaise de l'expression, de la liberté de pensée de l'image et de la parole.
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