Macron : le « grand » débat de la fumisterie !

Cachez et tenez à distance ces Français que je ne saurais voir

Communiqué de Presse de Julien Sanchez
Porte-parole du Rassemblement National
Président du Groupe RN au conseil régional d’Occitanie
Maire de Beaucaire
18 janvier 2019
(Source)

Plusieurs médias m’ont appris hier soir que dans le cadre du « grand débat », le président de la République annonçait à l’occasion de son déplacement de ce jour dans le Lot à Souillac rencontrer les élus d’Occitanie et en premier lieu les Maires d’Occitanie. Certains médias souhaitaient à cette occasion pouvoir m’interroger en direct de l’événement.

Hélas, force est de constater que le grand débat annoncé n’en sera pas un.

Président du principal groupe d’opposition au conseil régional d’Occitanie (38 élus sur 157), je n’ai pas été invité à ce grand débat. Soit.
Mais, plus grave, Maire, je n’ai pas non plus été invité à ce titre.
Renseignements pris, pour mon département du Gard, ce sont seulement 50 Maires qui ont été triés sur le volet et jugés dignes de rencontrer le Président.

Dans un département du Gard où Marine Le Pen a obtenu 45,25% des voix à l’élection présidentielle, il a sans doute été estimé par l’Etat que le Maire de la 4e commune de ce département, membre du Rassemblement National, n’était pas assez représentatif ?

On le voit de jour en jour, ce grand débat n’en est pas un et vise uniquement à permettre au président de la République de se mettre en scène devant un public d’élus triés sur le volet en pleine campagne européenne.

Débattre 6 à 7 heures avec des amis en tenant le peuple à l’écart et en éliminant les Maires ayant une étiquette politique qui dérange est très facile : ça s’appelle la censure. Ça s’appelle l’exclusion.

Nul n’est dupe de cette opération de com qui s’inscrit dans la droite ligne de ce qu’a toujours fait Emmanuel Macron.
Déjà, le 21 novembre 2018, pour se faire pardonner de s’être débiné en n’allant pas rencontrer les Maires de France au Congrès des Maires, le président de la République avait organisé en catastrophe une cérémonie à l’Elysée avec 2000 Maires soigneusement sélectionnés dont aucun Maire du Rassemblement National ne faisait partie.

Emmanuel Macron n’a donc rien appris des épreuves qu’il traverse et, face aux Français comme face à leurs élus, poursuit sa façon de faire : le mépris, l’injure et l’exclusion au bénéfice de l’entre soi.


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Sanchez a raison, le peuple est écarté afin que le prince ne le voit pas.

C'est plus que de la fumisterie c'est une trahison , de plus les cahiers de doléances eux oui sont une vaste fumisterie on comprend bien que les personnes qui s'expriment le font que sur ce qui est politiquement correct ce n'est pas anonyme je crois bien, qui va se permettre de critiquer l'immigration dans un village où tout le monde se connait ce serait dire ouvertement pour qui on vote et beaucoup n'y sont encore pas près .
Après on va vous dire que le sujet comme d'autres n'intéressent pas les gens ....

Il n'est pas certain du tout de voir aboutir cette mascarade.

Macron : sournois, bête et méchant !

À moins d'être le pire idiot du pays, depuis ces 2 derniers mois, Macron a bien compris toutes les revendications de l'opinion populaire et des gilets jaunes. Alors, vous demandez-vous : pourquoi organise-t-il malgré tout ce débat ? Que cherche-t-il vraiment ? Ne gaspille-t-il pas notre temps et notre argent ? … En toute humilité, éventuellement même, vous dites-vous : nos dirigeants actuels envisagent peut-être des hypothèses spécifiques que nous ne maitrisons pas instinctivement ...
Pas du tout ! Il n'en est rien ! ... il ne s'agit que de manipulateurs froids, indifférents et égoïstes qui méprisent l'intérêt général !

Pourtant initiatrice et signée par Macron, sa lettre semble avoir été écrite par un adolescent d’à peine 15 ans, à peine du niveau de classe de seconde. À cette hauteur-là, ce n’est pas la lettre aux Français d’un président de la république, c’est un torchon …

Dans cette affaire, le calcul de Macron se révèle très loin d’avoir été établi sur des bases solides. Non seulement, il est simpliste, mais demeure même primitif (tentant ainsi d’échapper au seul bon sens) :

1.   Prendre position « contre » certaines revendications, alors qu'en réalité il est « pour », ou sait par avance qu'il n'aura que difficilement d'autre choix que de consentir,

2.   Prendre position « pour » certaines propositions, alors qu'il sait parfaitement par avance que les « résultats » des faux-débats les rejetteront …

3.   1 et/ou 2 pour, ensuite tout simplement, adopter chaque moindre mesure qui semblera contraire à sa propre volonté. Tentant ainsi de faire croire aux Français à sa pseudo-ouverture d'esprit …

4.   Insérer par avance des biais ou des faux dilemmes dans les discussions (ex : préférez-vous traverser l'atlantique en baignoire, en paquebot ou en avion ? Pensez-vous que guerre soit la 1ère solution à envisager ?). Cette façon de « fer » s'appelle « tordre le bras » aux français et certainement pas faire œuvre de débat ou de dialogue !

Bref, 3 nouvelles possibilités d'abuser encore de la confiance les Français !

Pour le règne de la souveraineté populaire, il y a une importante nécessité à décrypter et à signaler les arrière-pensées et machinations macroniaises. En effet, une nouvelle fois, il s'agit de la manifestation de l'insincérité permanente de Macron. De telles pratiques, en plus d'être contraire aux véritables besoins de la Nation, en plus de reconnaitre l’immense mépris de Macron pour le peuple, sont d'une extrême gravité pour tous les Français. Non seulement, elles renforcent la rupture de confiance entre élites et peuple mais obèrent aussi lourdement l'avenir de la France.

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Ce débat n'aboutira à rien il n'est pas là pour faire avancer les choses dans le sens de la volonté du peuple mais exactement pour l'inverse, gagner du temps, noyer les propositions et revendications dans un flot de blablas, mélanger les revendications essentielles avec des revendications insignifiantes parfois incohérentes (celles qui servent le plus le pouvoir pour décrédibiliser le reste). Le seul but de ce débat est le même qu'utiliser la force et des armes sur des manifestants non violents c'est à dire pour tenter de démobiliser les manifestants gilets jaunes qui se montrent aujourd'hui comme un puissant contre pouvoir.
Macron est trop soumis à la dictature européenne pour (quand bien même il le voudrait ce qui m'étonnerait) accepter d'infléchir sa politique dans le sens demandé par les Français gilets jaunes. Son problème qui est celui de la dictature européenne c'est que les peuples d'Europe se lèvent et si en son temps le FN était à la pointe de ce combat il a été relevé (dans le sens de la relève comme dans le sens de l'élévation) par bon nombre d'autres partis d'Europe. Aujourd'hui la France avec le mouvement des gilets jaunes repasse en tête des anti dictature et se retrouve en situation de donner l'exemple aux autres pays pour leur montrer la voie du retour à la souveraineté populaire et à la vraie démocratie.

Je crois sincèrement que ce mouvement sans avoir l'ampleur de la révolution française nous remet eu première place d'un pays modèle de démocratie dans le monde. Peut être certains trouveront mes propos excessifs et démesurés mais ils sont bien plus mesuré qu'il n'y parait. Dites vous que lors de la révolution les Français se sont révoltés sans avoir conscience de la réussite de leurs actes comme faire tomber le roi et encore moins de l'impact mondial de leur action, quand le peuple est poussé à bout il agit par désespoir pas dans l'intention d'écrire une page de livre d'Histoire.

La colère risque d'être énorme quand l'absence de résultats apparaitra

Ne parlons pas de ces pseudo-journalistes émasculés qui se prennent pour des précieuses ridicules ... non, n'en parlons pas ... n'en parlons pas …

En fait si, parlons-en !

Comme vous l'avez certainement remarqué, ces « pantins mécaniques » appellent les « gilets jaunes » à manifester en « ordre » ... (ils rêvent même secrètement de manifestations silencieuses …)
Des manifestations en ordre serré, ça s'appelle des défilés ... et pourquoi le petit doigt sur la couture du pantalon non-plus …

En déplorable journalistes qu'ils sont assurément, sans doute n’ont-ils pas remarqué que depuis 30 ans que les syndicats manifestent « en ordre », et ils n'ont rien obtenu de probant … Et si un jour, ces pantins trouvaient un semblant de courage, même hésitant, pour désigner les vrais responsables du bout du doigt ... on peut rêver ...

Les vrais responsables de la violence, ce sont les dirigeants qui ne sentent rien et qui n'écoutent rien !

Comme ces pantins ont été recrutés pour leurs caractères de pantins, ils vous asséneront que pour s'exprimer, il y a le grand débat imposé par Macron. « Vous savez le grand débat, ou comment étouffer les revendications les plus importantes ! »
Certainement, que sur les ronds point, il n'y avait pas assez de débat … Plus sérieusement, il se trouve que les macroniais ne les contrôlaient pas, le problème est ressenti plutôt là ...

Et puis un soi-disant débat où, sans transparence préalable, au final un homme seul doit trancher, ça porte un nom, ça s'appelle une fumisterie ...

Si la violence n'est pas légitime, la surdité n'est pas légitime non plus !
Et puisque dans cette affaire, elles sont inextricablement liées, nous condamnons tout autant l'une que l'autre !

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Ces journalopes ont eu le culot de dire que la manifestation des foulards rouge était une réussite en dépassant les 10 000 personnes. Ils ont eu l'indécence d'affirmer qu'il avaient crée une société indépendante pour effectuer le comptage. Alors qu'il n'en est rien, ce fut un grand flop. Par contre dès qu'il s'agit de parler véritablement de ce qui se passe un peu partout en France et de compter véritablement les blessés et les mutilés c'est une autre histoire. Tout ce "joli" monde frétille sur son siège et piaille de concert. Quand un opposant s’exprime tout les moyens sont bon pour l'empêcher de parler.
Quelqu'un devrait leur dire de préparer leur dossier pour l'ANPE.

Le débat de Macron avec les intellectuels descendu en flamme par l'un des participants

rt, le 20 mars 2019
(Source)

Invitée au débat d'Emmanuel Macron avec d'autres intellectuels, la sociologue Dominique Méda en est ressortie pour le moins frustrée, estimant que ces derniers avaient été « pris en otage » par un président qui n'a fait qu'« asséner ses convictions ».

« Après celui avec les maires, c’était au tour des intellectuels de tomber dans le piège : car de débat il n’y en eut point » : dans une tribune publiée par Libération, la sociologue Dominique Méda dresse un constat sans appel de la soirée du 18 au 19 mars, lors de laquelle 64 intellectuels ont été invités à l'Elysée par Emmanuel Macron, en guise de dernière étape du grand débat national.

La sociologue estime ainsi qu'il s'agissait tout simplement d'un « non-débat », consistant en une « litanie inexorable de « réponses » d'Emmanuel Macron aux questions posées par les intellectuels ». Déplorant le manque de temps dont disposaient les invités pour exposer leur vision, Dominique Méda explique qu'en conséquence, il n'y a eu qu'une « juxtaposition de questions-réponses au cours desquelles le président a eu tout loisir d’asséner ses convictions devant des intellectuels pris en otage ».

« En le regardant parler pendant huit heures, écoutant certes chacun et répondant en effet aux questions, j’ai compris à quoi nous servions. Comme les maires, nous constituions le mur sur lequel le président faisait ses balles, jouissant de la puissance de ses muscles et de la précision de ses gestes et donc de la propre expression, cent fois ressentie, de son moi. Nous étions son faire-valoir », juge-t-elle sans équivoque.

Plusieurs personnalités avaient préféré décliner l'invitation du président de la république. Dans une lettre ouverte, le philosophe Frédéric Lordon avait notamment justifié son choix en dénonçant la responsabilité, selon lui, du chef de l'Etat dans le climat de violence actuel : « Vous avez fait du peuple un ennemi de l'Etat. »

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Ils n'ont été invités que pour entendre le sermon du banquier

On va vite mesurer l'absence total de réforme qui découlera de ce faux débat qui s'est transformé en monologue d'un président aveugle et sourd convaincu d'être touché par la grâce et de n'avoir qu'à convaincre ce peuple naïf et simpliste que tout ce qu'il décide est parole d'évangile.
Ce débat est un amuse couillons et il est vexant de voir à quel point ce guignol nous prend pour des cons!

En effet il nous prends pour des andouilles.
Il semblerait que gens gens en sont conscient et qu'ils commencent à réagir.
L'embellie pour le prince dans les sondages a disparue et il commence à replonger.
J'espère qu'il va se noyer.
Plus de 70% des citoyens sondés pensent qu'il ne sortira rien du chapeau.
Vivement Marine

Aujourd’hui dans le cadre du Grand débat national, Macron s'est rendu à Beaupréau dans les Mauges pour débattre avec des enfants.

Il a enfin trouvé son niveau de compétence ...

Que de temps perdu !

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Au moins avec les enfants le risque d'être contredit est quasiment nul.

L’unique exploit de Macron : Sournois et Arrogant « en même temps » ?

Comme prévue par nos institutions, une dissolution de l’assemblée nationale et une nouvelle légitimation élective serait sans aucun doute la solution la plus respectueuse de la démocratie Républicaine.

Cependant, accroché au pouvoir comme un morpion, Macron pourrait lui préférer un referendum pour (se) sortir du « grand débat ». Et dans ce cas, choisira-t-il d’abuser la confiance des français ? Restera-t-il plonger dans le déni ?  Cherchera-t-il à marchander et à glisser parmi les demandes légitimes des pièges intolérables ? Prendra-t-il le risque de dissimuler des revendications embarrassantes sans les traiter ? Choisira-t-il de reculer pour mieux « sauter » !

Ou au contraire aura-t-il compris qu'il lui fallait accepter sainement et calmement pour avancer ? (Il est vrai que voir Macron accepter les revendications des Français de façon mature serait assez étonnant).

Il est plus sûr qu’il ne s’agissait pas d’un débat, il s’agissait plus sûrement un « grand bourrage de crâne » …
En effet, l’enfumage semble incontestable. Seuls les plus optimistes d’entre nous pensent que la couleur de la fumée reste à déterminé !

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L’atterrissage : débat-blues ou dépression post-partum ?

Vous allez pleurer pour un rien, vous allez avoir des sautes d'humeur, …

Pas de panique, les technos macroniais vous aideront à le surmonter au plus vite ... (ironie !)

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En attendant nous sommes dans l'expectative. Le banquier ne s'est pas encore décidé à parler.

gemini a écrit:En attendant nous sommes dans l'expectative. Le banquier ne s'est pas encore décidé à parler.

Cet escroc ne renoncera pas à ses privilèges il s'y agrippe comme un parasite, c'est aux Français de le foutre à la porte avec perte et fracas. On ne parlemente pas avec une sangsue ou une tique on s'en débarrasse sans ménagement.

CoqGaulois a écrit:

gemini a écrit:En attendant nous sommes dans l'expectative. Le banquier ne s'est pas encore décidé à parler.

Cet escroc ne renoncera pas à ses privilèges il s'y agrippe comme un parasite, c'est aux Français de le foutre à la porte avec perte et fracas. On ne parlemente pas avec une sangsue ou une tique on s'en débarrasse sans ménagement.

il faut faire preuve de patience

Entendre  les serpillères de la REM (du cul) nier qu'ils sont déconnectés … c'est hallucinant !

Et alors ce grand débat n'était-il pas fait pour se connecter à la population ? Et pour quoi alors ?

Est-ce un aveu de manipulation ou un mensonge de plus ?

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