Attentat islamiste dans le Thalys

07h02:   On en sait plus sur l'agression du héros du Thalys.
Selon la police, Spencer Stone était sorti en compagnie de quatre amis, trois femmes et un homme.
Une dispute a commencé à l’intérieur d’un bar ou d’un club.
D’après CBS, « une femme était harcelée et Stone s’en est mêlé ».
La police n’a pas précisé si Spencer Stone était en état d’ébriété mais a déclaré que « certains dans son groupe avaient consommé de l’alcool ».
Selon l’hôpital de UC Davis, le militaire de 23 ans se trouve dans un état « sérieux » mais il devrait «pleinement récupérer» Deux suspects asiatiques qui se sont enfuis à bord d’une Toyota Camry sombre sont recherchés par les autorités.
Il s’agit donc « d’une altercation entre deux groupes de personnes qui appréciaient un peu trop la vie nocturne. »
Plusieurs chaines ont diffusé cette nuit la vidéo de l'agression. Spencer Stone est la personne la plus massive, vêtue d’un t-shirt blanc.
Il affronte cinq adversaires qui lui tournent autour.
Des coups de poing volent des deux côtés et à la fin, un individu vêtu de blanc situé derrière lui le frappe au côté.
Une tâche, sans doute de sang, est visible

En savoir plus sur http://www.jeanmarcmorandini.com/article-343804-en-direct-la-video-choc-de-l-agression-du-heros-du-thalys-spencer-stone-aux-usa-regardez.html#tSJojXgeSbPabb7h.99

SNCF : l'effarant cout des portiques de securité dans les gares. 
Les portiques de sécurité sont entrés en service dimanche 20 décembre à la Gare du Nord, à Paris -

La SNCF va devoir dépenser 5 millions d'euros par an pour tenter de sécuriser les deux quais de départ du Thalys à la Gare du Nord. Une dépense imposée par Ségolène Royal, que personne n’a le droit de contester. Et pourtant…

"C’est une usine à gaz", disent les personnels de la SNCF en charge du dossier, "le gouvernement ne s’est absolument pas rendu compte de ce qu’il nous demandait". Les quais du Thalys n’ont rien à voir avec ceux de l’Eurostar et les sécuriser est effectivement une épreuve de force. 5 millions d’euros par an sont nécessaires pour les deux quais de la Gare du Nord: voilà le chiffre révélé dimanche 20 décembre par Guillaume Pépy, le PDG de la SNCF.
Rentrons dans le détail. Ce n’est pas l’équipement lui-même qui coûte cher, de l'ordre de 200.000 euros par portique et par an, appareil rayon X inclus. La SNCF a décidé dans un premier temps d’en louer douze exemplaires, huit étant déployés sur les quais. La compagnie a souhaité se donner une marge de manoeuvre en cas de panne.
En revanche, les agents indispensables à la réalisation des contrôles font exploser les coûts de l’opération. La SNCF doit en effet y employer 100 agents spécialisés, salariés d’une société de sécurité qui s’occupe des aéroports. Faisons le décompte: quatre portiques par quai, cela fait quatre agents. À côté, quatre agents supplémentaires pour les appareils rayons X. Derrière, deux agents pour d’éventuelles palpations de sécurité, et devant, deux agents pour gérer la file d’attente, demander à chacun de se préparer, faire gagner du temps à tout le monde.

100 agents spécialisés

Mais ce n’est pas tout: pour contrôler les flux de passagers, la SNCF a dû fermer un certain nombre d’accès aux quais. "Mais on ne peut pas les fermer avec des barrières, ce sont des issues indispensables en cas d’évacuation d’urgence, donc il faut poster des agents de sécurité pour empêcher les gens de passer, pas d’autre solution", expliquent les personnels de la SNCF. Un dispositif mis en place 7 jours sur 7 qui impose de constituer deux équipes travaillant chacune 8 heures, soit 100 personnes mobilisées à temps plein.
2,5 millions d’euros sont donc nécessaires par quai et par an, soit 5 millions d’euros au total. Une dépense indispensable pour la sécurité des voyageurs? "Plutôt une dépense politique", nous dit un expert "parce que nos partenaires européens ne nous suivront pas et que cette sécurité reste illusoire".

Une sécurité imparfaite

"Le problème", continuent ceux qui sont en charge de la mise en place et qui ne décolèrent pas devant les exigences de Ségolène Royal, "c’est que cette sécurité est imparfaite. D’abord, nos partenaires européens sur la ligne du Thalys n’ont pas exprimé d’empressement à nous suivre". Selon nos informations, les chemins de fer allemands ont pris la décision de ne pas mettre en place un tel dispositif.
Ensuite, la SNCF elle-même a déjà dû transiger à quelques reprises sur les quais de la Gare du Nord: "À certaines heures en fin de journée, il est impossible de totalement vider le quai des gens qui descendent avant de laisser passer ceux qui vont partir. Il faudrait totalement revoir la grille horaire, et là encore, nous ne sommes pas les seuls décisionnaires, on a été obligé de laisser les flux se croiser".
Ce qui marche pour l’Eurostar, conçu comme un passage de frontière, avec des passagers qui savent exactement à quelles formalités s’attendre, ne peut pas marcher pour le Thalys, un train conçu comme un symbole de la construction européenne, comme le symbole de l’espace Schengen, sans entrave, avec l’idée que l’on doit pouvoir aller à Düsseldorf aussi simplement que l’on va à Lyon. "Pour l’instant on fait ce qu’on nous demande" disent les responsables de la SNCF, "mais on n’imagine pas prolonger l’opération au-delà de la période d’état d’urgence, ou alors il faudra que le gouvernement nous explique comment faire".

Par Stéphane Soumier

Encore des dépenses inutiles... et qui va voir les prix du billet augmenter ? le consommateur

C'est tout le système de sécurité qu'il faut revoir pas juste deux quais en gare du nord.

Malgrés les attentats,et les morts,on n'a toujours pas tiré les lecons en France de ces drames

Petit témoignage personnel :

Ce matin, 6H41, Gare Montparnasse … Fréquentant régulièrement cette gare, je m’attendais à des mesures de sécurité un peu durcies …
Je traverse la gare sans voir le moindre uniforme. J’arrive à l’entrée du quai numéro 3, où m’attend le TGV pour Bordeaux.  Aucun contrôle ! Une femme-contrôleur se trouve derrière un petit comptoir au milieu du quai. Plongée dans ses papiers, elle ne lève pas une seule seconde la tête pour me voir passer à sa hauteur en longeant le train.
Je remonte tout le train pour atteindre ma voiture sans avoir croisé le moindre employé SNCF ni aucun personnel des forces de l’ordre.
Je monte dans la voiture et gagne ma place …
Dans ma valise aurait pu être cachés :

• deux kalashnikovs
  
• ou 5 pistolets mitrailleurs UZI
  
• et les munitions suffisantes pour décimer tous les voyageurs de deux wagons de TGV !
  

Ma large veste en cuir aurait pu en outre facilement dissimuler une ceinture d’explosifs …



Les directives de la madone du Poitou de mettre en place des portiques n’est pas arrivée jusqu’à la gare Montparnasse. On peut comprendre qu’il faille un peu de temps pour installer ces portiques mais l’absence totale de contrôle à l’entrée des quais me semble inadmissible.
Car, combien de morts pourrait faire un terroriste remontant deux wagons jumelés de TGV, 100 ? 200 ?
Dans cet environnement totalement clos, aucune échappatoire n’est possible, aucune cachette n’est offerte ! C’est le massacre assuré !
Après les 14 morts de janvier, le pouvoir avait organisé une marche blanche ! Après les 130 morts du 13 novembre, on va voter la déchéance de la nationalité pour les kamikazes qui se rateront …
Les questions me viennent en rafales :

• Combien faudra-t-il de morts pour que l’on saisisse le danger qui menace les Français ?
  
• Compte-t-on sur des militaires américains courageux pour bloquer un éventuel terroriste dans le TGV Paris-Bordeaux ?
  
• Tous les militaires sont-ils concentrés devant les mosquées au cas où des Français de souche chrétiens les attaqueraient ?
  
• François Hollande spécule-t-il sur un autre attentat pour reprendre 10 % dans les sondages ?
  

 

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