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chantalful
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Verseau Date d'inscription : 13/11/2011

J’étais, ce 1er mai, place de l’Opéra… Empty Gonfler la baudruche Méluche, voiture-balai de Hollande, pour faire de l’ombre à Marine

Ven 3 Mai 2013 - 9:11
Invité de France Inter mardi 30 avril, Jean-Luc Mélenchon s’en prend vigoureusement à Patrick Cohen et plus généralement à l’ensemble des journalistes :




« La première chose que vous trouvez à faire c’est de citer les ouvriers, combien y-a-t-il de patrons et proportionnellement combien cela représente par rapport au total du patronat ? Combien y a-t-il de classes supérieures proportionnellement qui votent Marine Le Pen, les gens qui gagnent plus de 10 000 euros ? »

Cet aveuglement est récurrent chez le coprésident du Parti de gauche : tous les sondages lui donnent tort, et même Le Monde démonte parfaitement ses dénis à répétition, statistiques à l’appui : les ouvriers votent plus FN et Marine Le Pen que les chefs d’entreprise, les CSP- que les CSP+, les plus pauvres que les plus riches, etc.

http://decodeurs.blog.lemonde.fr/2013/04/30/vote-fn-des-ouvriers-la-ou-jean-luc-melenchon-se-trompe/

Ainsi donc Jean-Luc Mélenchon reste enfermé, comme tous les sectaires, dans une vision idéologique figée. Selon lui, les milliardaires votent Marine Le Pen, contrairement aux ouvriers. En 2013, cette vision est tellement grotesque, elle est tellement fausse, que même ses copains du Monde et de France Infos sont obligés de le désavouer.

Comment expliquer ce déni de réalité ? Certes on peu accuser l’aveuglement involontaire. Jean-Luc Mélenchon serait l’enfant de ses lectures. Il parle d’un monde du travail et d’un salariat qu’il ne connaît pas, et sa déroute d’Hénin-Beaumont ne lui a rien appris.

Mais quand on arrive à ce point de matraquage d’une contrevérité malgré toutes les preuves contraires, j’ai peine à penser que Jean-Luc Mélenchon ignore la réalité et qu’il agit uniquement par bêtise. Alors pourquoi ? N’y a-t-il pas une autre explication ?

On peut se demander pourquoi le système médiatique met tant en avant Jean-Luc Mélenchon. N’est-il pas une béquille, ou plus exactement une baudruche qu’on gonfle exagérément ? Le but serait de faire de l’ombre à Marine Le Pen en détournant vers le Front de gauche le mécontentement qui s’exprime contre François Hollande et contre le gouvernement.



On s’expliquerait alors mieux la dernière émission « Des paroles et des actes » sur France 2, où Davis Pujadas, a servi la soupe à Jean-Luc Mélenchon en lui mettant des opposants pas trop méchants. Ce qui ne pas empêché ce dernier de se faire ramasser par François Lenglet, qu’il appelait familièrement par son nom de famille, et qui lui a rappelé quelques codes de politesse.

C’est dans le même cadre que s’inscrit la manifestation du 5 mai, où on parlera encore de « coup de balai » alors que paradoxalement Jean-Luc Mélenchon (qui a voté pour le traité de Maastricht) continue à défendre bec et ongles l’Union européenne. Contrairement au Mpep de Jacques Nikonoff qui appelle pourtant à la même manifestation pour « exiger la souveraineté de la France » dont Jean-Luc Mélenchon ne parle jamais.

http://www.m-pep.org/spip.php?article3296

Et bien évidemment, le coprésident du Front de gauche n’hésite pas à se projeter Premier ministre de celui qu’il appelait le « capitaine de pédalo » !

Toutes ces contradictions expliquent le déni de vérité de Jean-Luc Mélenchon sur le vote ouvrier et confirme son rôle de voiture-balai de la gauche. Mais il ne faut pas que la supercherie éclate au grand jour. Il faut continuer à mentir et mentir, comme sous l’Union soviétique. Les manifestants de Marine Le Pen ne s’y sont pas trompé le 1er mai, en scandant « Mélenchon au goulag ! »

Djamila GERARD

http://ripostelaique.com/gonfler-la-baudruche-meluche-voiture-balai-de-hollande-pour-faire-de-lombre-a-marine.html
chantalful
chantalful
Verseau Date d'inscription : 13/11/2011

J’étais, ce 1er mai, place de l’Opéra… Empty 1er mai : grandeur et limites du discours de Marine Le Pen

Ven 3 Mai 2013 - 9:13
Militant suisse contre l’islamisation de mon pays, je suis venu passer une semaine à Paris, et en ai profité pour assister, pour la première fois de ma vie, à une manifestation du Front national. Plusieurs choses m’ont marqué. Je trouve étonnant le dispositif policier qu’il faut avoir, en France, pour organiser une manifestation. J’ai également été impressionné par le nombre de militants que le FN doit réquisitionner pour son service d’ordre. Je rappelle qu’en Suisse, Oskar Freysinger, à peu près autant diabolisé que Marine Le Pen, se promène très souvent seul, et que, s’il doit parfois faire face à quelques insultes, sans oublier sa maison incendiée par des gauchistes il y a dix ans, il n’a jamais, à ce jour, été agressé physiquement, à ma connaissance. Pierre Cassen, qui m’a servi de guide une partie de la matinée, m’a certifié qu’en France, si Marine Le Pen se comportait comme Oskar, cela serait suicidaire.

J’ai ensuite remarqué une grande similitude entre la base du FN et celle de l’UDC. Un milieu populaire, des patriotes qui n’ont pas peur de se faire diaboliser en affirmant leur amour pour leur pays. Je sais qu’en France, s’engager au FN est un acte fort, qui peut vous valoir nombre de désagrément, pour vous et votre famille, voir vous valoir des ennuis professionnels, ce qui n’est pas, Dieu merci, encore le cas en Suisse. Les personnes de tout âge que je vois défiler ce matin-là sont, à n’en point douter, de la graine de vrais résistants.

J’ai été étonné par la popularité de Riposte Laïque, quand avec Pierre Cassen, nous regardions passer les manifestants. J’ai été impressionné par le nombre de personnes qui sont allés vers lui, simplement pour lui serrer la main, et remercier RL pour son oeuvre. Il y avait également très souvent un mot pour Christine Tasin, pourtant absente. J’ai même vu une télévision s’arrêter, pour interviewer le fondateur de notre site. Vu ce qu’il a dit sur ce gouvernement, je serais étonné que cela passe, mais enfin, on peut toujours espérer…

Puis je suis arrivé place de l’Opéra. J’espérais qu’il y aurait davantage de monde. Les derniers arrivants étaient là à 11 h 30, mais il fallait attendre midi pour que le discours commence. J’ai donc attendu sagement. J’ai été très ému, lorsque les dirigeants du FN sont montés sur la tribune, par l’ovation de la foule au vieux président historique, avec ce slogan qui partait du fond du coeur : « Merci Jean-Marie ». J’ai trouvé cela vraiment très bien, et je pense que chez nous, Christoph Blocher, le fondateur de l’UDC, n’a pas ce rapport charnel avec ses militants que le vieux chef du FN possède. Tous les responsables nationaux, comme Bruno Gollnisch, Florian Philippot, Steeve Briois, ont été très applaudis, ainsi que les deux députés, Marion Maréchal (ovationnée) et Gilbert Collard. J’ai demandé à un voisin pourquoi Louis Aliot était-il absent, on m’a répondu qu’il était sur un plateau de télévision.

J’ai ensuite écouté attentivement, place de l’Opéra, le discours de Marine Le Pen. Là encore, au niveau du charisme, je trouve beaucoup de similitude entre elle et Oskar. Mêmes qualités d’orateur, même amour du pays, de notre civilisation, même liberté de ton, même humour féroce contre leurs adversaires… Rien d’étonnant à ce que tous deux, dans leur pays, soient la bête noire des médias.

Je me sentais bien au milieu de cette foule, qui, bonne enfant, scandait spontanément « On est chez nous », « Mélenchon au goulag », « Hollande démission », et « France, Marine, Liberté ». J’aimais bien voir que de nombreux jeunes faisaient partie du public.

Marine a su trouver les mots justes pour parler de son pays, de son histoire, de son patriotisme, de la dégringolade de la gauche, de l’imposture Sarkozy, de la dictature de l’Union européenne et de la mondialisation libérale. J’ai beaucoup aimé son passage sur la lumière d’une Nation plongée dans les ténèbres, et son optimisme sur la France éternelle.

Son discours a duré une heure, et plusieurs choses m’ont tout de même étonné. D’abord, elle a parlé plus longtemps de Sarkozy que de Hollande. Ensuite, elle qui avait demandé la dissolution de l’Assemblée nationale n’a pas poursuivi sur ce terrain là, alors que ce gouvernement tombe plus bas tous les jours dans les sondages. Autre surprise, alors que, lors du défilé, plusieurs mots d’ordre virulents avaient été scandés contre Taubira, Marine Le Pen n’a même pas demandé sa démission, et n’a pas chauffé son public contre l’adoption scandaleuse de la loi sur le mariage homo. Enfin, j’ai constaté sa timidité, pour ne dire que cela, sur l’islamisation de la France. Elle préfère parler du communautarisme, comme si le mot « islam » l’effrayait. Là-dessus, Oskar Freysinger est vraiment d’un tout autre niveau, et Marine devrait s’en inspirer.

Ces quelques réserves ne m’ont pas empêché de l’applaudir à de nombreuses reprises, et d’entamer, à la fin d’un discours que j’ai applaudi à plusieurs reprises, une vibrante Marseillaise que moi, Suisse, j’ai eu du plaisir à chanter avec mes amis français.

Je rêve, pour terminer, d’un rapprochement entre le Front national de Marine Le Pen, l’UDC de Blocher-Freysinger, le Parti des Libertés de Geert Wilders, et de tous les partis patriotes d’Europe.

C’est notre meilleure chance de nous en sortir.

Hans Sutter
http://ripostelaique.com/1er-mai-grandeur-et-limites-du-discours-de-marine-le-pen.html
chantalful
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Verseau Date d'inscription : 13/11/2011

J’étais, ce 1er mai, place de l’Opéra… Empty J’étais, ce 1er mai, place de l’Opéra…

Ven 3 Mai 2013 - 9:17

Marine Le Pen avait à peine terminé son discours du 1er mai en l’honneur de Jeanne d’Arc que les commentaires autorisés s’empressèrent de discréditer la présidente du Front national par une cascade d’évidences mécaniques.

Évidemment, ses propos furent flous, fantasmatiques, populistes, démagogiques. Évidemment, Marine Le Pen a surfé sur les peurs et la crise économique, nous renvoyant ainsi aux « heures les plus sombres de notre histoire ». Évidemment, tout ne fut qu’exagération, déformation, manipulation, mensonge. Évidemment, s’exprimait une femme opportuniste, récoltant sans vergogne les dividendes politiques de l’affaire Cahuzac. Évidemment, Marine Le Pen n’a fait que renouer avec l’extrême droite d’avant-guerre !

Bref, nous fûmes les témoins d’une allocution terriblement dangereuse, à même d’égarer la nation française en la faisant rêver sur fond d’unité et de patriotisme. En d’autres termes, Marine Le Pen est et demeure un véritable danger pour la France !

Un danger ? Mais quel danger ?

Quel responsable politique est capable, aujourd’hui, de parler avec autant de souffle et de conviction nationale ? Quel responsable politique sait appeler un chat un chat ? Quel responsable politique a suffisamment de caractère pour dire « Non ! Cent fois non ! » ? Quel responsable politique prend les problèmes à bras le corps en pensant au peuple de France d’abord ? Quel responsable politique peut regarder en face son propre pays en demandant qu’il soit propre de toute illégalité, à commencer par celle qui légitime les illégaux ? Qui, en France, dénonce les problèmes inhérents à une immigration sans fin ? Qui demande le recours au référendum pour répondre à des questions de société ? Qui a le courage d’exiger le rétablissement de l’autorité de l’État ? Qui ose dénoncer les deux périls que sont mondialisme et islamisme fondamentaliste ? Qui en appelle au bon sens de la « priorité nationale » ? Bref, qui aime la France ?


Tous ceux qui, en ce 1er mai 2013, ont pris la peine d’être à Paris, place de l’Opéra, connaissent les réponses à ces questions, car ils connaissent la seule évidence que taisent les journalistes, à savoir que la France n’appartient pas au pouvoir, mais aux Français !

Maurice Vidal, le 3 mai 2013
http://www.bvoltaire.fr/mauricevidal/jetais-ce-1er-mai-place-de-lopera,21264
gemini
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J’étais, ce 1er mai, place de l’Opéra… Empty Re: J’étais, ce 1er mai, place de l’Opéra…

Ven 3 Mai 2013 - 9:17
Ce qui est vrai en Suisse ne l'est pas en France. Les gauchistes ont toute latitude pour agir. Les politiciens n'ont pas démarche honnête.
chantalful
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Verseau Date d'inscription : 13/11/2011

J’étais, ce 1er mai, place de l’Opéra… Empty J’aime le programme de Marine le Pen, par Philippe 50

Ven 3 Mai 2013 - 9:26
Marine LE PEN :
« Si j’étais présidente … »
J’ai retrouvé cet ancien entretien, qui date de 2010, accordé à Paris-Match, en juillet 2010.
Il a été réalisé par Mariana Grépinet.
Et je rêve… Si seulement les Français avaient voté pour elle, si seulement elle -ou un autre- avait pu appliquer ce programme… On ne serait pas dans la situation catastrophique qui est la nôtre !
Paris-Match : Chef de l’État, quelles mesures prendriez-vous immédiatement ?
MLP : Je fermerais les frontières.
Je ferais un moratoire sur l’immigration.
Puisque nous avons 5 millions de chômeurs,
– il n’y a aucune raison d’importer des chômeurs supplémentaires.
– Je mettrais en place une politique dissuasive d’’immigration, c’est-à-dire que je lancerais un signal très clair aux étrangers.
– Nous n’’avons plus les moyens de prendre en charge pour eux l’’éducation, les soins, les allocations familiales.…
– Je changerais le code de la nationalité pour supprimer le droit du sol.
– La nationalité française s’ hérite ou se mérite.
– J’’appliquerais aussi les lois en matière de déchéance de la nationalité.
– Ceux à qui nous avons eu la générosité d’’accorder la nationalité française doivent pouvoir la perdre s’ils ne respectent aucune des règles de notre pays.
– Je rétablirais ce que Nicolas Sarkozy a appelé fallacieusement « la double peine ».
– Un étranger qui a commis un crime ou un délit pourrait être renvoyé dans son pays.
François Fillon a récemment inauguré une mosquée à Argenteuil.
Que feriez-vous ?
– laïcité ferme, saine et juste.
– Les mosquées ne doivent pas être financées avec des fonds publics.
– J’’interdirais aussi les financements étrangers. Les lieux de culte doivent être financés par les fidèles.
– Je chasserais de l’’école toute revendication communautariste ou religieuse,
et je bannirais ces revendications en inscrivant, dans la Constitution, que la République ne reconnaît aucune communauté.
Vous prôneriez un retour au protectionnisme …
– J’’appelle cela le patriotisme économique.
– Je suis pour une taxe aux frontières, qui financerait en partie les retraites et permettrait de lutter contre la concurrence déloyale que représente l’’importation de produits issus de pays qui n’ont pas les mêmes charges ni les mêmes règles que nous.
– Mais surtout, je ferais des économies.
– Il faut lutter contre la fraude sociale.
– Et puis, il y a le coût de l’’immigration qui se chiffre en dizaines de milliards d’’euros par an.
Que feriez-vous pour relancer la croissance ?
– Il faut retrouver la maîtrise de notre monnaie. L’euro est condamné.
– Il faut mettre en place une « déprivatisation » de l’argent public et rétablir la Banque de France dans sa capacité de financer l’État.
– Une des choses qui nous ruine, c’est le recours aux emprunts auprès des marchés financiers internationaux.
Parmi les sympathisants frontistes, les ouvriers et employés vous plébiscitent.
Que feriez-vous pour eux ?
– Ils bénéficieront du rétablissement des frontières, puisque 64 % des emplois industriels ont disparu en dix ans à cause de la concurrence internationale.
Face à ceux que vous appelez les « banksters », quelles mesures mettriez-vous en place ?
– Il faut taxer la spéculation, revenir à la finance à la française.
– L’’entreprise doit pouvoir s’appuyer sur un capital qui ne soit pas spéculatif.
– Lorsque vous achèterez des actions, si vous les revendez le lendemain, vous paierez tellement d’’impôts que ça n’’aura plus d’intérêt.
– Plus vous conserverez longtemps vos actions, moins vous paierez d’’impôts.
Que proposeriez-vous contre les violences dans les banlieues ?
– Il faut revoir de fond en comble la politique contre l’’insécurité.
– Premièrement, on manque de places de prison, ce qui fait que notre système carcéral est une véritable honte.
– En attendant la construction de nouvelles prisons, je transformerais les hôpitaux et les casernes, que l’’État est en train de vendre, en centres carcéraux, éventuellement ouverts.
– Deuxièmement, je donnerais des instructions pour que les peines prononcées soient à la hauteur des méfaits commis.
– Il y a un effondrement de l’’échelle des peines qui fait que la sanction n’est plus crainte.
J’’imposerais la perpétuité réelle et définitive, et organiserais un référendum sur la peine de mort.
-Enfin, je protégerais la police et je lui donnerais des moyens pour remettre de l’ordre dans notre pays.
-Il faut aller dans les banlieues mettre les caïds hors de nuire.
-Je ferais voter la présomption de légitime défense pour les forces de police.
-Parce qu’’un État dans lequel les policiers ne peuvent plus se défendre est un État qui n’a plus qu’à tirer l’échelle.
Un État qui a peur est un État qui est mort…
Philippe 50
http://www.resistancerepublicaine.eu/2013/jaime-le-programme-de-marine-le-pen-par-philippe-50/#more-7144
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Ven 3 Mai 2013 - 9:26
Ils sont dans le déni de la réalité de l'évolution de la société. Ils font tout ce qu'ils peuvent pour dénaturer les choses et vider de son contenu le discours de Marine.


C'est dans l'air : suite du 1° mai


Un ramassis d'imbéciles qui prétend tous savoir.
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Ven 3 Mai 2013 - 9:28
Nous sommes de plus en plus nombreux à aimer le programme de Marine
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Ven 3 Mai 2013 - 9:30
Le FN n'a que faire des clivages socio-politiques. Il recrute dans toutes les couches de la société.
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Ven 3 Mai 2013 - 19:47
1er mai : bleu-blanc-rouge, amour de la France, de son histoire et de son peuple…

Après mon défilé initiatique du 1er mai frontiste de l’an dernier, j’avoue sans complexe y avoir pris un certain goût, savourant dès le saut du lit le plaisir joyeux de pouvoir côtoyer quelques heures durant des gens parlant la même langue que moi, de retrouver mes compatriotes, malgré un ciel bien peu engageant.

La place du Palais Royal à 9 h du matin est clairsemée de petits groupes aux allures patriotiques, le gros de la troupe se trouvant principalement réuni sous les arcades de la rue de Rivoli. Il est émouvant de voir sous la banderole de la Côte d’Azur les Provençaux s’époumoner d’une même voix que leurs voisins immédiats du Nord-Pas de Calais pour entonner une vibrante Marseillaise.

Serge Moati, le ventre débordant de son long manteau marron joue le réalisateur du film du jour tandis qu’un cordon sécuritaire viril se forme autour de la tête du cortège où se tiennent entre autres Marine, son père, Marion, Valérie Laupies, Gilbert Collard, Fabien Engelmann et Florian Philippot.

Une perceptible cohue règne autour de ce début de cortège avec des bousculades de caméramans et de photographes, professionnels ou amateurs, mon portable valsant même dans les airs à un moment donné tandis qu’une mêlée de match de rugby laisse craindre un instant un début de bastonnade d’objectifs, immédiatement calmée.

Un peu plus tard, la place de l’Opéra est à nous. Ayant abandonné un peu plus tôt le cortège pour récupérer des bonnes places devant la tribune, je suis campée avec mes amis sur un bout de trottoir surélevé, attendant le début des réjouissances devant un gigantesque panneau annonçant la couleur « Le peuple d’abord ». Peu à peu une foule bleu-blanc-rouge se masse et envahit la place, scandant « Mariiiine, on t’aaaaiiime ! ».

Après que les pontes du FN aient pris place devant un parterre enthousiaste, le soleil perce au moment même où la vedette Marine entame un discours nous transportant dès les premiers mots dans toute sa fougue patriote, agite nos tripes en évoquant la France éternelle, à laquelle le peuple répond en communion « on est chez nous ! ».


Sous les yeux admiratifs et attentifs de sa nièce Marion, elle évoque tour à tour le nombre spectaculaire d’adhésions depuis un an, la nécessité de rassembler sous une même bannière tous les Français, qu’ils soient de métropole, d’outremer ou adoptés mais amoureux sincères de notre terre, le refus de la repentance et la renaissance de la fierté de la nation. Elle est applaudie lorsqu’elle évoque l’immigration de masse en lien avec l’insécurité, le refus du communautarisme, le respect de la laïcité.

Avec un talent d’oratrice inégalable et diablement efficace, elle se lance ensuite dans une longue diatribe contre le système UMPS, condamnant principalement le quinquennat du « crocodile de marigot » Sarkozy, mais plus généralement l’ensemble de l’UMP contre lequel elle garde une dent acérée et rancunière pour lui avoir préféré les voix socialistes à celles de sa propre famille droitière. Elle n’oublie pas d’écorner aussi le quinquennat entamé par Hollande, oubliant cependant de condamner nommément ses ministres les plus détestables, mais également les financiers, la mondialisation esclavagiste et Bruxelles qui par sa politique méprisante emporte les peuples européens dans les « ténèbres ».

A l’évocation de cette première année hollandaise et de ses dérives, le peuple se met à scander en choeur « Hollande démission ! », ce qu’il fera d’ailleurs à plusieurs reprises durant toute cette matinée. Tour à tour sont évoquées les délocalisations, la baisse du pouvoir d’achat, les retraites, l’immigration et l’austérité non pour tous mais seulement pour les pauvres et les classes moyennes.

A la moitié de son discours enfin Marine aborde le communautarisme, le choc des civilisations, les « idéologies fondamentalistes extrémistes ». Je retiens mon souffle. Va-t-elle prononcer le nom de la communauté à laquelle je pense ? J’ai bientôt la réponse… « l’islamisme fondamentaliste »… Certes ce n’est pas encore tout-à-fait l’islam qui est dénoncé mais au moins elle en désigne les fidèles les moins intégrés, les plus intégristes. Applaudissements rassurants dans la foule.

Elle se rappelle une fois encore au bon souvenir de notre fibre patriote, nous rappelle l’indivisibilité et la souveraineté de notre peuple soudé par notre histoire et nos valeurs communes face aux chimères européistes, tandis que décidément en forme la foule scande « on est chez nous ! ». Elle dénonce l’inégalité et l’injustice de droits plus volontiers octroyés aux néo-arrivants prioritairement aux Français, des droits vérifiables et constatables chaque jour pour qui ouvre les yeux. Ne remettant pas en cause la générosité et la solidarité qui sont les nôtres, Marine réclame pourtant le bon sens élémentaire qui veut que la France prenne d’abord soin des Français avant de prendre soin des étrangers. Nourrit-on ses propres enfants en dernier ?

L’absence de déontologie n’est pas en reste dans son discours, d’abord dans les médias réduisant la liberté d’opinion et d’expression à une peau de chagrin, avec ensuite celle de la justice en berne, partialement rendue, faisant dangereusement pencher la balance de la Justice du seul côté gauche au risque de la faire tomber. Le mur de la honte du Syndicat de la Magistrature est hué.

Anticipant une prochaine arrivée au pouvoir, elle promet une justice mieux rendue, plus juste, une liberté garantie sur internet et ailleurs, au contraire des lois liberticides qu’entendent nous imposer les socialistes au pouvoir.

L’émotion m’étreint lorsqu’elle évoque le peuple qui se lève et la « longue cohorte » ininterrompue de nos aïeux partis depuis longtemps, morts pour défendre notre terre et trahis depuis par tant de leurs descendants, et dont la présence en ce jour grossirait à coup sûr nos rangs.

« Tenez bon ! » nous répète-elle, nous enjoignant de ne pas céder au désespoir, de nous rappeler que nous devons être fiers de nous, que nous devons nous relever et qu’ensemble les patriotes finiront par trouver la voie de la victoire.

Après près d’une heure d’un discours revigorant, le public en liesse hurle en conclusion ce mantra « Marine présidente ! » avant d’entamer la Marseillaise.

Au moment où les chefs du parti se lèvent pour quitter la tribune au milieu des ovations, c’est cette fois un spontané et émouvant hommage à la plus jeune et talentueuse de nos députés, la décoiffante et rafraichissante Marion, qui s’exprime avec ferveur et espoir joyeux, tous drapeaux dehors.

En repassant sur la place de l’Opéra une heure et demie plus tard, les affiches de Marine ont été arrachées par des passants. « Le peuple d’abord » est un concept qui, semble-t-il, ne fait plus l’unanimité.

Caroline Alamachère

Suite, photos du 1er mai, avec Marine Marion etc...sur
http://ripostelaique.com/1er-mai-bleu-blanc-rouge-amour-de-la-france-de-son-histoire-et-de-son-peuple.html
chantalful
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Verseau Date d'inscription : 13/11/2011

J’étais, ce 1er mai, place de l’Opéra… Empty Re: J’étais, ce 1er mai, place de l’Opéra…

Sam 4 Mai 2013 - 17:13
Chère Marine, ne m’oublie pas…


Marine, je t’ouvre mon cœur car je ne suis pas certaine d’être encore en mesure de le faire au 1er mai 2014, tant la vie devient impossible en ma commune du Bourget.

J’aimerais, sans prétention aucune, rester dans ton souvenir et dans celui de notre peuple, comme une petite clochette porteuse d’espoir certes, mais surtout d’une volonté sans faille de résister à toutes menaces, pour une nation que je chéris au plus profond de mon âme : la France.

Nous nous sommes entrevues quelques minutes, un éclair dans mes ténèbres qui, aujourd’hui encore, guide chacun de mes pas au travers d’une ville marécageuse infestée de crocodiles et de serpents. J’ai mal de me sentir impuissante à enrayer cette évolution qui consiste à chasser une population pour en installer impérialement une autre.

Mon cœur saigne quand des anciens combattants viennent se confier dans mon échoppe et me dire tout ce qu’ils subissent afin de les pousser à mettre en vente leurs pavillons. Dans leur rue, ils sont les deux derniers propriétaires blancs, chrétiens, décorés de la Croix de guerre. Je ne te donne que les exemples les plus soft : excréments dans leurs boîtes aux lettres, jets de pierres, de canettes dans les vitres en pleine nuit, saccage de leurs jardins, tags sur les murs fraîchement repeints….

Leurs yeux sont embués de larmes, ils éprouvent une honte profonde, celle de ne plus avoir vingt ans pour en découdre et résister encore à mes côtés ! Me laisser ici, au milieu de nulle part, comme ils disent, est pour eux un véritable déchirement, car nous savons que malheureusement, nous ne nous reverrons pas. Je demeure aux avant-postes, non par sacrifice, non par renoncement à une vie plus sereine, mais par amour de ce temps d’avant ne demandant qu’à renaître et qui nous va si bien au teint, à nous les filles de la patrie.

J’ai pris le temps d’écouter ton discours depuis la librairie où je suis emprisonnée ; j’ai entendu la lumière de ton cœur et ressenti le besoin de m’asseoir, là, juste à côté de toi, pour quelques instants encore.

Nul ne sait la profonde solitude dans laquelle je me trouve, et toi encore moins ; ceci n’est point de votre faute à tous, puisque je n’en parle jamais.

Pourtant, à l’heure où certains se retrouvent, se regroupent ou se rencontrent, je me souviens de ma vie d’avant : celle d’une femme, d’une mère libre, heureuse, emplie par la vie et son métier. Je suis en deuil de moi-même, comme toutes les victimes qui, un jour, regrettent d’avoir survécu.

Si je tente d’exprimer ce manque, l’on me rétorque « que l’on ne peut pas pleurer tout le temps et qu’il faut aussi savoir rire, déconner, que cela fait du bien… » Je referme alors bien vite ma coquille afin de me protéger de la suite, tant je la connais par cœur. La société ignore juste que le viol collectif, plus tout le reste, a détruit tout un pan de mon âme, de mon être et que le dérisoire, l’insouciance qui vont si bien à une femme, ont déserté ce corps que je traîne désormais comme un boulet.

Point de mari, point d’ami(e)s, point de confident(e)s, plus mon animal de compagnie emporté par leur haine, point de regard compréhensif ou de main tendue, point de caresses, point de bras où s’épancher, point d’écoute, point de tolérance ; juste des coups, des insultes, des menaces, des critiques, des jugements et parfois une nuée de pigeons heureux de me voir parce que j’écrase du pain pour eux… mais pour combien de temps encore ?

Marine, garde ma clochette au creux de tes mains, protège-la, moi, je retourne au combat.

Marie-Neige Sardin, le 3 mai 2013
http://www.bvoltaire.fr/marieneigesardin/chere-marine-ne-moublie-pas,21228

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Descriptions du produit
Présentation de l'éditeur
J'ai longtemps hésité avant d'écrire ce livre. Il raconte ma vie. La vie d'une femme française ordinaire. Une femme qui travaille, qui élève seule sa fille. Je suis libraire. Peut-être l'une des dernières du 93. J'ai subi vingt-six agressions en six ans. Elles se sont produites sur mon lieu de travail, dans mon immeuble, dans les rues de ma ville. Aucun de mes agresseurs n'a jamais été puni. Le Bourget était jadis une ville paisible et accueillante. Elle a profondément changé. Les violences dont j'ai été la victime, je ne les ai ni cherchées, ni provoquées. Elles me sont tombées dessus comme la foudre. Enormément de personnes vivent aujourd'hui en France ce que je vis dans ma banlieue. Ce livre est un cri d'alarme, un appel au secours : il faut que cela s'arrête. Il faut que quelqu'un dise non.
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