Encore une très bonne mise au point concernant l'immigration par Aldo Stérone

Merci à Aldo, de rappeler une réalité !

L'immigration sans remise en question :

Au fil des années, chaque peuple a reçu un bout de terre en héritage. Chaque peuple a eu la possibilité de choisir des règles de vie correspondant à sa vision du monde.

Certains ont choisi de domestiquer la nature. D’autres ont choisi de la subir comme une fatalité. Certains ont encouragé l’innovation alors que d’autres ont préféré chasser tous ceux qui voulaient changer l’ordre établi. Chez certains peuples, l’homme et la femme travaillent main dans la main alors que d’autres vivent en guerre civile sexuelle qui consomme leur énergie et leurs ressources.

Il n’y a ni bien, ni mal. Tous les choix se valent. Ils sont tous disponibles au même prix : c’est-à-dire gratuitement. Il y a juste des choix qui font qu’un pays prospère et d’autres qui font qu’un pays coule et devient un enfer pour ses habitants. La prospérité ne se mesure pas dans la hauteur des gratte-ciels, dans profondeur de la dette, ou la largeur de la couverture 3G ou le nombre de polluants industriels dans l’eau du robinet. Il est difficile de trouver une définition universelle du pays prospère. Peut-être parce qu’il n’existe pas de pays prospères sur tous les plans.

Par contre, on peut trouver une définition assez fédératrice du pays qui n’est pas prospère : quand les habitants commencent à se jeter à l’eau dans des embarcations de fortune, c’est qu’il y a un problème. Généralement, les humains se jettent à l’eau quand il y a péril en la demeure.



Toute fuite est fuite de quelque chose…

Quand après avoir exploré toutes les autres options, on décide de traverser la mer dans une barque, on doit au moins prendre le temps de la traversée pour se remettre en question. On s’éloigne de quoi au juste ? D’une société dont a fait soi-même partie ! Cette société a fait des choix que nous avons peut être défendu ou cautionné sans nous en rendre compte. Cette fuite et cette galère sont le résultat direct de ces choix.

On arrive vers un peuple qui dans son morceau de terre a mis en place des choix différents. Nous qui venons d’ailleurs, nous ne les comprenons pas toujours. Nous ne sommes peut-être pas d’accord avec mais il y a une chose que l’histoire de notre vie nous rappelle : ces choix ont permis de créer un pays vers lequel nous avons pu fuir et qui nous a donné une seconde chance. Par le fait même de venir vers ce pays, nous admettons que son peuple a fait des choix plus sains que les nôtres. Si on pense que les choix du pays que nous avons laissé derrière sont meilleurs, il faut être honnête et faire demi-tour pour revenir d’où l’on vient. Beaucoup préféreraient la mort.



Le poids des atavismes

Beaucoup d’immigrés en Europe sentent de manière paradoxale que leur pays d’origine était parfait et cherchent à le reproduire. Ceci donne vite des quartiers, voir des villes insupportables que les gens doivent quitter à nouveau.

Il se passerait quoi si on vidait la France de toute sa population et on la remplacerait par celle d’un pays africain ? Quelques années plus tard, les TGVs seraient à l’arrêt dans des terrains vagues ou serviraient de remparts à des bidons villes. La Tour Eiffel rouillerait puis tomberait un jour de vent en tuant des centaines d’habitants dans les baraques installées dans le Champ de Mars. On irait en âne de Paris à Grenoble et on s’armerait de sabres et de machettes pour éviter de tomber sur des bandits ou des gamins pleins de cracks et armés de kalachnikovs. Quand les caravanes en attrapent un, elles le bruleront vivant au vu et au su des autres afin de les tenir à distance. Le Louvre se transformera en une vaste habitation pour nécessiteux et familles nombreuses. On cassera les vitres, puis on les remplacera par du carton et des toiles déchirées. Les pierres des bâtiments de Versailles seront déchaussées une par une et des marchands les vendront aux abords des bidons-villes. Les fondations visibles de très haut serviront de point de repère aux avions de l’ONU qui viendront larguer de la semoule et des palettes de nourriture pour bébés. La Seine se remplira progressivement de poubelles et les eaux usées couleront directement dedans. Les cadavres de clochards et de chiens errants finiront aussi dedans. Cependant qu’ils pourriront de l’intérieur, ils gonfleront en montant doucement vers la surface.

Quand des nuées voleront dans le ciel, ça sera de gros cailloux lancés d’un quartier à l’autre dans des batailles entre habitants. Les hôpitaux manqueront de sang, de fils, de pansements et de médecins. Le sang séché et les mouches décoreront les murs. On crèvera de maladies anciennes. On regardera les nourrissons pleurer puis mourir. Les guérisseurs et les charlatans reprendront du service et il y aura des filles d’attente devant chez-eux.

Les cathédrales seront transformées en mosquées. Les prêtres scieront eux-mêmes les croix avant de se convertir. Le vitrail de Notre Dame sera cassé par des enfants et remplacé par de la tôle ondulée fixée au ciment.

Les majoritaires massacreront les minoritaires. Les forces de l’ordre tireront à vue. Au Quai des Orfèvres, on tortura pour le plaisir et les gens ne passeront plus devant. Le président sera élu à vie et seul sa mort violente assurera la transition vers un autre dictateur.



Où fuir après ?

Les jeunes Français mettront toutes les possessions dans des barques et les pousseront vers l’ouest dans une conquête futile et vouée à l’échec. Etant donné la distance entre Brest et la Nouvelle-Ecosse, les Canadiens ne verront jamais de boat-peoples arriver sur leurs cotes. Ils sauront qu’ils ont appareillé à 200 ou 300 dans un chalutier, mais personne ne saura à quel instant précis et où exactement la mer a décidé de stopper leur calvaire.

Emmigrer, quitter un pays devenu un enfer est un droit tout comme vouloir se guérir du cancer ou du SIDA. Par contre, vouloir passer la maladie aux autres est un crime. Le sort funeste que nous avons connu sur notre continent de naissance n’est pas du aux gènes ou à la couleur de la peau. Il est le résultat direct de choix de vie intrinsèquement pervers et contre nature. Si les martiens faisaient de tels choix, ils vivraient dans la même misère que les Africains. De ces peuples dont les enfants ne fuient pas dans des barques, il y a peut être plus à prendre que de l’aide sociale

On m'a retourné mon rapport d'impôt pour la raison suivante:Les fonctionnaires de revenu Canada et Québec : rapport NON ACCEPTÉ parce qu'à la question # 4 Ma réponse n'était pas assez "acceptable" ou "non convenable" ???Pouvez-vous le croire ? Ils ont retourné ma déclaration d'impôt sur le revenu !En réponse à la question # 4, " :... ... ... ... Avez-vous des personnes à charge ? : J'ai répondu :2.1 millions d'immigrants illégaux, 1.1 million de drogués, 4.4 millions de personnes inaptes à travailler, assistés sociaux etc etc 900 mille personnes dans plus de 85 prisons et 650 idiots au Parlement. Moi je pense que ...c'est parce que j'en ai oublié !!!!!