- CoqGaulois
- Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 13/01/2012
Passion : sport, moto, science, nature, jardinage, bateau
Humeur : La vie est trop courte pour avoir le temps de faire la tête
Pour la première fois de l'Histoire on ne cherche pas à "soigner" une maladie on investit tout sur un vaccin qui ne soigne pas.
Mar 15 Déc 2020 - 8:54
J'ai 64 ans et jamais de ma vie et, à ma connaissance, jamais de l'Histoire de la médecine on n'avait tout misé sur un vaccin pour prévenir de manière hypothétique le développement d'une maladie sans mettre un seul centime sur les moyens de soigner les personnes malades. PIRE QUE TOUT l'OMS qui avait en son temps vanté et promu l'hydroxychloroquine traitement très performant pour lutter contre des maladies virales graves comme le Paludisme et la Malaria a été jusqu'à l'interdire pour le traitement du Covi19. Ce médicament qui existe et est utilisé avec succès depuis des décennies a été interdit, dans un premier temps pour être remplacé par le remdevisir, médicament très controversé à l'inverse de l'hydrocychloroquine qui lui est utilisé dans les cas désespéré comme Ebola. Depuis le remdevisir a été lui aussi interdit en raison de sa toxicité mais l'interdiction stupide de l'utilisation de l'hydroxychloroquine est maintenu.
Il est de notoriété publique que tout les moyens financiers ont été placé dans la recherche sur un vaccin hypothétique dont la mise sur le marché sans respecter les protocoles établis de longue date présente un risque évident pour la santé publique. Les laboratoires ont parfaitement conscience de ce risque puisqu'ils ont fait signer par l'UE une charte de déresponsabilisation de leur part sur les conséquences éventuels d'un tel vaccin.
Personne ne semble choqué de l'absence de traitement et de l'absence de recherche dans ce domaine qui est pourtant le plus urgent.
L'interdiction de l'unique traitement dont les effets secondaires sont quasi insignifiants et qui a fait ses preuves pour soigner les maladies virales mortelles sans avoir pris le temps nécessaire d'en tester l'efficacité réelle est un véritable crime. Placer tout les moyens financiers dans un hypothétique vaccin dont on a abrégé dangereusement les tests est un autre crime.
Il est de notoriété publique que tout les moyens financiers ont été placé dans la recherche sur un vaccin hypothétique dont la mise sur le marché sans respecter les protocoles établis de longue date présente un risque évident pour la santé publique. Les laboratoires ont parfaitement conscience de ce risque puisqu'ils ont fait signer par l'UE une charte de déresponsabilisation de leur part sur les conséquences éventuels d'un tel vaccin.
Personne ne semble choqué de l'absence de traitement et de l'absence de recherche dans ce domaine qui est pourtant le plus urgent.
L'interdiction de l'unique traitement dont les effets secondaires sont quasi insignifiants et qui a fait ses preuves pour soigner les maladies virales mortelles sans avoir pris le temps nécessaire d'en tester l'efficacité réelle est un véritable crime. Placer tout les moyens financiers dans un hypothétique vaccin dont on a abrégé dangereusement les tests est un autre crime.
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