t'es un ancien si .....

Je suis né dans les années 70 et malgré tout j'ai connu beaucoup de ce que vous exposez là.
Les années 70, début 80, ça été mes plus belles années, j'en garde une nostalgie féroce.
J'aurai voulu naître 20 ans plus tôt histoire de ne subir cette époque lamentable qu'à ma retraite.

kabout a écrit:

et vous vous rappelez de celui-ci ? vous y avait gouter ?

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moi oui

Moi aussi, avec mon frangin un jour on à coupé les lanières du martinet, ce n'était pas une bonne idée car avec juste le manche c'est plus douloureux.

Une jurisprudence française de 1984 fait désormais apparaître implicitement le martinet comme étant hors-la-loi.

kabout a écrit:

et vous vous rappelez de celui-ci ? vous y avait gouter ?

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moi oui

kabout, ce sont de très mauvais moments que vous nous faites revivre.

Non seulement à la maison mais à l'école, c'était le temps des châtiments corporels et de la méthode pédagogique musclée. Comment oublier le martinet, les coups de règles en fer sur les doigts, les gifles en pleine tronche, plus le tirage de cheveux et des oreilles ? Biens sûr, c'était de la pure perversion, mais très efficace.

Merci les copains/copines pour ce fabuleux moment de nostalgie. Que la FRANCE est belle sur les chemins de l'école, en culotte courte et tablier. Génial ces sentiments de bonheur sans rien avoir de matériel, mais riche de nos odeurs paysannes, de la bonne odeur du pain des boulangeries, la chaleur du feu à bois de l'école et la craie qui crisse sur le tableau noir. Merci

Chevalier du martinet j'en ai bouffé et je n'en suis pas mort,mais il y a eu aussi les coups de régles sur les bouts des doigts a l'école....les temps ont bien changé,maintenant c'est les gamins qui font la loi a l'ecole,tout se perd.

Dans les années cinquante, l'école c'était du sérieux, l'instituteur représentait l'autorité absolue. Dans bien des campagnes de France il n'y avait pas de ramassage scolaire, souvent, il fallait marcher plusieurs kilométres par jour pour aller à l'école.

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La discipline envers les enfants était extrêmement sévère, il ne s'agissait pas d'arriver en retard. Au son de la cloche la porte d'entrée de l'école était fermée, et nous étions terrifiés à la pensée des punitions qui allaient s'en suivre, aussi bien à l'école qu'à la maison.

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Il y avait les classes des filles et les classes des garcons. 

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La plupart des écoliers de mon école communale portaient la blouse grise ou noire.

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