Don du sang ouvert aux homosexuels

A compter du printemps 2016 le don du sang est élargi aux homosexuels, ce qui était interdit depuis les années 80 en raison du SIDA. Ceci en raison du manque de dons de sang et d'une offre inférieure à la demande, business oblige, on reparlera de santé plus tard.
A savoir tout de même, ils devront n'avoir eu aucun rapport sexuel avec un homme depuis 1 an, je suppose que ce sera une déclaration sur l'honneur ?
Risque pour la santé publique sur une population de 100 000 individus, le nombre de personnes atteintes du VIH :
Homosexuels: 1006 cas répertoriés sur 100 000.
Hétérosexuels hommes: 6 cas sur 100 000.
Hétérosexuels femmes: 4 cas sur 100 000.

Soit un risque de contamination des échantillons de sang multiplié par 200, je vous rappelle au passage que les échantillons de sang sont brassés par lot de 100.

Je vous livre les chiffres fournis ce jour aux infos télévisées LCI (ou BFM j'ai un doute ayant zappé sur les deux chaînes)

je n'ai rien contre les homosexuels,mais niveaux dons du sang ils devraient s'abstenir car des contaminations il y en a eu et il en aura encore,il y a deja eu une affaire de sang contaminé avec des socialistes dans le lot,encore une aberation de la socialiste marisol Touraine,après ses salles de shoots !! c'est a celui qui nous pondera la plus grosse connerie.

je n'ai rien contre les homosexuels,mais niveaux dons du sang ils devraient s'abstenir car des contaminations il y en a eu et il en aura encore,il y a deja eu une affaire de sang contaminé avec des socialistes dans le lot,encore une aberation de la socialiste marisol Touraine,après ses salles de shoots !! c'est a celui qui nous pondera la plus grosse connerie.

Sur le plan du risque encouru c'est irresponsable ......Ils nous refont le coup du sang contaminé qui a rendu célèbre Laurent Fabius  et ses potes socialistes comme Badinter leur maître à penser.
Ces politiciens dogmatiques  sont toujours aussi  dangereux.

VIH : plus d’un tiers des migrants infectés après leur arrivée en France

35 à 49 % des migrants sont infectés par le VIH après être arrivés en France. C’est la conclusion effrayante d’une étude menée auprès de 880 personnes originaires d’Afrique.

L’estimation est alarmante. Plus d’un tiers des migrants qui vivent avec le VIH en France sont infectés après leur arrivée dans le pays. C’est la fourchette basse d’une étude menée par l’Agence nationale de recherche sur le sida (ANRS) et publiée dans le Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire (BEH) de l’Institut de Veille Sanitaire (InVS).
888 personnes ont accepté d’être suivies dans le cadre de ces travaux. Elles sont originaires de Côte d’Ivoire, du Mali, de la République Démocratique du Congo… Si les profils se distinguent par leur variété, les participants sont relativement jeunes. Leur âge médian est de 28 ans pour les femmes, 30 ans pour les hommes.
Malgré ces différences apparentes, 35 à 49 % des migrants sont infectés par le VIH après leur arrivée sur le territoire français. Une estimation qui confirme les résultats de travaux menés auparavant. Les hommes sont davantage touchés que les femmes. « Ce résultat est cohérent avec l’épidémiologie du VIH en Afrique, qui touche davantage les femmes que les hommes et à un âge plus précoce, analysent les auteurs. Étant donné que les femmes et les hommes sont arrivés sensiblement au même âge en France (30 et 28 ans en médiane, respectivement, dans notre échantillon), les femmes ont une plus grande probabilité d’avoir été déjà infectées par le VIH lorsqu’elles arrivent en Europe. »
Les hommes ayant des comportements plus risqués, ce décalage pourrait s’expliquer. La probabilité est d’autant plus élevée s’ils ont migré à un jeune âge ou s’ils sont présents depuis longtemps dans l’Hexagone. Cette conclusion rend d’autant plus important le développement de la prévention et du dépistage au sein de ces populations isolées. L’utilisation des TROD (tests rapides à orientation diagnostique) et des autotests en milieu communautaire et associatif doit le permettre. Une activité en progression, à en croire une autre étude publiée dans le BEH : le nombre de TROD réalisés depuis 2012 a quasiment doublé.
Pourquoi Docteur



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