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Napoléon I
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Attaques terroristes: entre ingérence, mort de l’assimilation, déculturation et immigration massive Empty Attaques terroristes: entre ingérence, mort de l’assimilation, déculturation et immigration massive

Lun 12 Jan 2015 - 17:06

Excellent article disponible via ce lien pour une version plus agréable à lire:
http://glorieusefrance.fr/face-aux-attaques-terroristes-fin-de-lingerence-au-moyen-orient-assimilation-et-affirmation-de-nos-valeurs-et-regulation-de-limmigration/


Attaques terroristes: entre ingérence, mort de l’assimilation, déculturation et immigration massive



L’horreur. Pendant trois jours, les Français, et dans une moindre mesure les autres pays occidentaux, peu habitués aux attaques de cette ampleur, ont retenu leur souffle. Puis, par millions, les Français se sont relevés et se sont rassemblés à travers la France. Après les États-Unis[1], l’Espagne[2] et le Royaume-Uni[3], c’est donc au tour de la France d’être victime d’une attaque terroriste islamiste. Elle l’avait déjà été, il est vrai, en 1995 en raison de son soutien au gouvernement algérien face aux mouvements islamistes[4].

Avec 17 morts ces derniers jours, le tribut payé par la France est bien lourd. Des voitures jetées sur la foule[5] au massacre des locaux de Charlie Hebdo, en passant par les attaques au couteau de policiers dans des commissariats[6] et à la prise d’otages de Vincennes, nous ne sommes certainement pas en présence de « déséquilibrés criant Allahu Akbar pour se donner du courage ».

Nous sommes en revanche en présence de combattants commettant des actes de guerre. Certains sont préparés et entraînés tandis que d’autres agissent dans le plus grand amateurisme conformément aux recommandations de l’État islamique de novembre dernier[7] : « Si vous ne pouvez pas trouver d’engin explosif ou de munition, alors isolez l’Américain infidèle, le Français infidèle, ou n’importe lequel de ses alliés. Écrasez-lui la tête à coup de pierre, tuez-le avec un couteau, renversez-le avec votre voiture, jetez-le dans le vide, étouffez-le ou empoisonnez-le »… Tous agissent au nom d’une cause. Il est certes possible de considérer qu’ils la défendent mal ou qu’ils ne disposent que d’une bien piètre connaissance théologique de leur religion, mais il n’en demeure pas moins qu’ils se battent au nom de l’Islam. Il ne suffit donc pas d’affirmer que ces individus n’ont rien à voir avec cette religion. Il convient au contraire de se demander quelles raisons amènent une minorité non marginale de musulmans dans le monde à s’en revendiquer pour mener « une guerre sainte contre l’occident ». Pourquoi cette minorité non marginale de musulmans fait-elle le choix de l’Islam de Médine au détriment de l’Islam de La Mecque ? Pourquoi ces derniers choisissent-ils le djihad par le glaive plutôt que celui par la plume et l’esprit ?

Sami Awad Aldeeb Abu-Sahlieh, directeur du droit arabe et musulman à l’Institut suisse de droit comparé de 1980 à 2009, écrivait à ce propos[8] : « Il y a des musulmans paisibles, des musulmans terroristes et des musulmans qui oscillent entre les deux. Chacune de ces catégories prétend représenter le vrai Islam, rejetant les autres. Je n’ai le droit de disqualifier aucune de ces catégories. Chacune de ces catégories a le droit se dire musulmane. Mais on peut dire que le musulman paisible suit l’islam de La Mecque, le musulman terroriste suit l’islam de Médine, et celui qui oscille doute entre les deux islams. Celui qui prétend que l’islam est une religion de paix a raison, et celui qui prétend que l’islam est une religion terroriste a aussi raison, mais vous devrez dire de quel islam il s’agit… ».

C’est en substance, mais dans un langage, il est vrai, moins châtié, ce que disent certains islamistes à travers le monde, notamment liés à l’État islamique, en réponse aux journalistes athées ou aux autorités islamiques modérées en France prétendant leur attribuer des mauvais points de théologie islamique: «Je ris de voir ces prostitués venir nous apprendre notre religion[9] ! » Rappelons que le cheikh Ahmed al-Tayeb de l’université Al-Azhar, l’une des plus prestigieuses autorités de l’islam sunnite, indiquait condamner les actes de « barbarie » de l’État islamique tout en affirmant ne pas être compétent pour dire si leurs auteurs étaient musulmans ou non[10][11].

Par ailleurs, s’il s’agit d’un acte de guerre, il ne s’agit en rien d’une déclaration de guerre. Aussi douloureux que cela soit pour nous à reconnaître, nous sommes déjà en guerre depuis plusieurs années sur des terres que ces terroristes considèrent être les leurs. Afghanistan, Libye, Centrafrique, Mali, Syrie, Irak… De l’Afrique au Moyen-Orient, que nous soyons aux côtés des islamistes face à ce que nous qualifions de dictateurs ou opposés à eux, les armées françaises combattent et nos dirigeants s’ingèrent dans la politique de ces régions. Nos « alliés » également. Ainsi, les drones engagés au Pakistan, au Yémen et en Somalie par l’administration américaine auraient fait, selon un sénateur américain en février 2013, plus de 4 700 morts[12].

Est-il dès lors si surprenant que dans le cadre de cette guerre asymétrique nos ennemis tentent de répliquer sur notre sol avec les armes dont ils disposent ? Nos dirigeants sont coupables de ne pas nous avoir suffisamment prévenus. De nous laisser croire depuis trop longtemps que nous sommes en paix et en sécurité. Nous ne le sommes pas, mais les combats ont principalement lieu en dehors de notre territoire. Preuve en est le départ imminent de notre groupe aéronaval, le Charles de Gaulle et sa trentaine d’appareils. Il devra soutenir la campagne de bombardements aériens contre les forces jihadistes de l’État islamique qui entendent revenir sur les frontières en Irak et en Syrie datant des protectorats français et britanniques et des accords Sykes-Picot[13]. Ce même Irak ou nous sommes intervenu une première fois en 1991 et où, en 2003, nos alliés américains inventèrent la fable des armes de destruction massive pour constituer autour d’eux une coalition à laquelle, heureusement, nous ne fîmes pas partie. Un jour, il nous faudra nous demander pourquoi plus nous les combattons, plus ils se renforcent. Plus nous en tuons, plus leurs frères, fils et neveux viennent renforcer leurs effectifs.

Un ami m’a livré un témoignage que nous français devrons prendre en compte même si nous nous partageons pas forcement le contenu : « j’ai régulièrement l’occasion de parler avec la famille de ma femme qui habite à Damas en Syrie. Nos pensées se tournent tous les jours vers ce qui se passe là-bas, à Alep, Deraa Deir Al Zor, Reqaa. L’occident  est en grande partie responsable de cela. Ce sont eux, les Occidentaux, qui diffusent la haine toute la journée contre ce monde arabe qui leur explose à la gueule. Lorsque nous voyons les morts, les abominations qui se passent en Syrie, l’image des souks, des lieux que nous connaissons, complètement détruits… Plusieurs fois je me suis posé la question : est-ce le sort des arabes que de connaître la guerre et la souffrance en Palestine, en Syrie, en Libye ? L’homme occidental lui, est protégé de tout ça. Il contemple son oeuvre du 8ème arrondissement de Paris tout en donnant des leçons de morale. Face à cela, des gens pensent que l’Occident, dans sa morgue et son suprémacisme civilisationnel, mérite la guerre. Il mérite de subir ce qu’il fait subir aux autres peuples dont une partie pense que leurs 12 morts ne vaudront jamais les pays entiers détruits avec le soutien des journalistes et des dirigeants occidentaux. » Bien sûr, le monde musulman n’a pas attendu les Occidentaux pour se déchirer entre chiites et sunnites, entre Turques, Iraniens et Arabes, entre panislamisme et panarabisme… Mais nous ne devons pas pour autant occulter les conséquences de notre ingérence dans la région.

Ces attaques sont en réalité la conséquence de trois dramatiques virages pris par nos gouvernants :

1) Notre politique d’ingérence qui s’est fortement atlantisée depuis 10 ans au nom d’un occident derrière lequel se cachent bien trop souvent les États-Unis d’Amérique ;

2) Le fait que depuis 40 ans, nous ayons abandonné notre politique d’assimilation qui avait pourtant fait ses preuves auprès des immigrés italiens, polonais, portugais et des premiers algériens. Le fait que depuis 40 ans nous n’assumions plus les valeurs de la France.

3) La victoire éclatante, enfin, de ce mondialisme matérialiste dont l’un des aspects est l’immigration non contrôlée qui vient encore fragiliser le second point.
Le retour à une position d’équilibre dans le monde musulman

.

Il nous faut au contraire revenir à une vision gaulliste des relations internationales qui n’accepte pas ce choc des civilisations qui opposerait l’occident au monde musulman voulu par quelques néo-conservateurs protestants. Revenons dans cette région à la politique étrangère historique de la France.

Prenant sa source sous le Second Empire, la politique arabe de la France fut réellement conçue par le général de Gaulle après le règlement de l’affaire algérienne, afin de redonner à la France la plénitude de ses atouts historiques, géographiques et culturels que ce soit dans son ancien empire qu’au sein des anciennes possessions britanniques. Brandissant sa politique d’indépendance nationale et de troisième voie, la France entendait s’adresser à tous les peuples, peu importe leurs dirigeants. Le Général de Gaulle reconnaissait le peuple russe, le peuple chinois et le peuple arabe et par conséquent s’adressait à leurs gouvernements, quels qu’ils soient.

Malheureusement, en particulier depuis les présidences de Nicolas Sarkozy et de François Hollande et à la suite des américains, la France est devenue l’alliée indéfectible des Monarchies du Golfe. Oubliant les effets commerciaux et politiques si bénéfiques à long terme de la politique du général de Gaulle, nos dirigeants tombèrent avec bassesse dans une politique de court terme (à la recherche des pétrodollars) dramatiquement incohérente. Une politique nous emmenant à devenir les alliés des tombeurs de l’islam radical, du Caire à Bamako, et -outre Suez – le meilleur allié des bailleurs de fonds de leurs ennemis. Pire, grands ennemis de Bachar El Assad et de la République islamique d’Iran dans la guerre de Syrie, les Occidentaux y sont de fait devenus les alliés des jihadistes et de leurs parrains tout en luttant désormais contre ces derniers en Irak…

Quel drame que d’avoir choisi, pour quelques juteux contrats, de nous allier à ces monarchies wahhabites finançant et endoctrinant les jeunes générations du Maroc à l’Indonésie en passant par les Philippines et… la France.

C’est également attaché aux dirigeants plus qu’aux peuples que la France éprouva de grandes difficultés en 2011 lors des printemps arabes, dont les meneurs ont, il est vrai, bien été aidés par les américains. Ces printemps arabes qui de la Tunisie à l’Égypte en passant par le Yémen et la Libye ne sont pas parvenus à amener au pouvoir les partisans minoritaires de la démocratie sociale à l’occidentale. Victoire des islamistes puis retour des hommes de l’ancien régime en Tunisie et en Égypte, chaos en Libye et au Yémen, révolution matée par notre allié saoudien au Bahrein…

Il est, dès lors, de l’intérêt de la France de ne plus participer aux croisades atlantistes désireuses d’imposer la démocratie libérale occidentale en Irak, en Libye ou en Syrie. Ces guerres trop souvent menées dans le seul but de consolider notre approvisionnement en hydrocarbures. Peut-on combattre le régime syrien et ensuite déplorer l’absence de coordination entre nos services de renseignement respectif dans la guerre contre le terrorisme ? Peut-on décemment armer des rébellions en Syrie et ensuite s’inquiéter de voir déferler sur nos côtes des individus fuyant le chaos ?

À l’inverse, il est nécessaire de cesser notre connivence avec des pays finançant le terrorisme comme l’Arabie Saoudite et le Qatar. Cessons de voir en l’Iran une dictature infréquentable et dans les monarchies du Golfe de précieux alliés sans pour autant tomber dans l’excès inverse en rompant nos relations diplomatiques avec ces derniers.

Adoptons une position d’équilibre dans cette région en cessant de privilégier le sunnisme sur le chiisme et le panislamisme sur le panarabisme. Laissons l’Histoire y suivre son cours tout en continuant à commercer avec les peuples au lieu de nous évertuer à dénoncer des régimes un peu trop indépendants ou à sombrer dans la connivence la plus honteuse avec des pétrodictatures au moins autant condamnables.

L’exception notable à cette politique de non-ingérence doit être lorsque la France, reprenant son rôle historique de fille aînée de l’Église, utilise sa diplomatie pour faire pression sur les dirigeants du monde arabe lorsque les minorités chrétiennes sont persécutées. La politique française ne doit pas consister à vouloir imposer notre modèle occidental « décadent, pornographique, matérialiste et individualiste » qu’ils vomiront à jamais, ne nous faisons pas d’illusions. Mais elle ne doit pas pour autant s’interdire d’apporter son soutien à la communauté des chrétiens à laquelle la France appartient.
On ne s’assimile qu’à ce qu’on admire

.

CaptureContrairement à ce qu’indiquent leurs cartes d’identité, ces terroristes ne se sentaient aucunement français. Leur allégeance va à l’Ummat islamiyya, la nation islamique, et peu leur importe que de nombreux musulmans n’en veuillent pas pour représentants. Comment de jeunes Français en arrivent-ils là ? L’une des raisons et que l’on ne s’assimile qu’à ce qu’on admire.

C’est pourquoi, sur le plan interne, la France doit assumer et affirmer ses valeurs et faire cesser cette déculturation qui frappe son peuple. Nous ne parlons pas ici de môles valeurs dont nous n’assumerions pas l’origine chrétienne. Nous parlons au contraire des valeurs issues de l’héritage hellénique, latin, catholique et des lumières qui forgèrent chez nous l’amour de la beauté des arts, y compris des nus et des représentations divines, de la philosophie et de sa libre expression, du droit et du rationalisme scientifique. Ces héritages qui permirent ce savant mélange entre épanouissement des individus et dépassement collectif. Qui nous firent proclamer la sacralisation de la vie et des droits fondamentaux qui en découlent, la méritocratie et l’Égalité, dont l’un des corollaires fut la mise en oeuvre d’une instruction publique d’excellence sous la troisième République, la Liberté et la Fraternité découlant directement de notre héritage catholique. Et enfin, notre fameuse laïcité, héritage du Nouveau Testament[14] : « Rendez à César ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui appartient à Dieu » (Marc, XII, 13-17; Matthieu, XXII,21; Luc, XX, 25)

La France doit également mettre un point d’honneur à protéger ses traditions régionales et nationales. À protéger les familles. Non pas en s’opposant aux avancées technologiques ou à l’évolution des moeurs, mais en s’assurant que ces dernières ne viennent pas détruire frontalement ce qui selon nous fait partie de notre civilisation française.

Toutes ces valeurs, ces principes, ces héritages, nous devons en être fiers, nous devons les brandir face à ceux qui veulent les détruire et les affirmer devant ceux qui veulent paisiblement s’installer sur notre territoire. C’est seulement ainsi que nous pourrons renouer avec notre modèle d’assimilation[15] qui, ignorant les races, permet à n’importe qui, dès lors qu’il décide de consentir à l’important effort visant à faire siennes notre histoire et notre culture, de devenir français à part entière.

Nous devons admettre que dans le monde, des individus aient des valeurs qui diffèrent des nôtres sans pour autant leur être inférieurs. Pour certains peuples, la religion est ce qu’il y a de plus sacré dans le monde[16]. Devant la vie humaine parfois[17]. Mais ceux qui pensent ainsi doivent comprendre que si nous les respectons, ils n’ont pas pour autant leur place en France s’ils renoncent à s’assimiler à notre mode de pensée. Les musulmans désireux de vivre dans une nation laïque à la culture chrétienne sont les bienvenus s’ils s’assimilent. En revanche, à l’égard de ceux qui désirent importer leur mode de vie, leurs traditions, leurs valeurs et afficher dans l’espace public leur religion, ne faisons aucune concession. Nous n’en voulons pas. Clamons le haut et fort : en France, même lorsqu’elles sont odieuses, les caricatures ne doivent pas être synonyme de mort pour leurs auteurs, pas plus que ne sont tués les auteurs des très nombreuses caricatures anti-juives dans la presse arabe et musulmane.

Nous devons recréer un modèle français fier et respecté. Craint et admiré.  » Rendre la République chère aux citoyens, respectable aux étrangers, formidable aux ennemis.«  Napoléon Bonaparte, Premier Consul, 4 nivose an VIII. Et non pas un modèle si insipide qu’une part de la jeunesse de notre pays, en quête d’identité, de valeurs et de sens à leur existence, ait besoin de se tourner vers l’islamisme.

Mais si nous ne devons pas oublier qu’on ne s’assimile qu’à ce qu’on admire, il convient de se souvenir des sages paroles du Général de Gaulle rappelant qu’on assimile des individus, pas des peuples.
On assimile des individus, pas des peuples

.

Depuis 40 ans, la France a cédé aux sirènes du mondialisme matérialiste et faussement humaniste, en accueillant des millions d’immigrés à la demande du patronat français, ce que le parti communiste en son temps dénonçait[18]. Ces derniers ne virent malheureusement rapidement plus l’exploitation honteuse d’une main-d’oeuvre bon marché au profit d’un nouvel électorat qu’ils s’empressèrent de choyer. Comment la France, pays d’immigration depuis les années 1860, pourrait-elle décemment intégrer économiquement et assimiler culturellement cette immigration massive depuis les années 1970 ? En 2012, selon l’INSEE[19] et suite à 40 ans d’immigration incontrôlée, la France compte 3,9 millions d’étrangers, 5,8 millions d’immigrés et 6,8 millions d’enfants d’immigrés. La somme des deux (immigrés + enfants d’immigrés) fait 12,6 millions de personnes équivaut à près de 19 % de la population totale (27% pour la tranche des 25-54 ans). Sans compter ceux que les statistiques ne comptabilisent déjà plus parmi les immigrés. Somme-nous en mesure dans des temps si courts de bâtir ensemble une société cohérente ? Ceux qui ont vécu dans les banlieues françaises ne peuvent honnêtement répondre par l’affirmative.

Lutter contre le mal-être de populations immigrées, notamment dans les banlieues françaises, qui parfois les mènent jusqu’en Syrie, commence par rétablir de bonne condition d’accueil de ces populations. Or, force est de constater qu’au regard de l’importance des flux et de la crise économique que nous traversons, ce n’est plus possible. Cette rupture de certains avec la société française a été particulièrement visible lors des minutes de silence organisées suite à l’attentat de Charlie Hebdo lorsque de nombreux individus refusèrent de s’y prêter dans les écoles[20]. Ou encore quand des messages de félicitations ou de compréhension à l’égard des terroristes apparurent sur les réseaux sociaux[21][22].

Nous ne pourrons pas non plus éviter les questions liées à l’ouverture d’établissements pénitentiaires spéciaux, en Guyane pourquoi pas, pour les milliers de potentiels terroristes revenant du Moyen-Orient qui ne doivent ni demeurer en liberté, ni trouver en prison une nouvelle réserve de conversions. De même, il nous faudra réévaluer les moyens attribués aux services de renseignement et veiller à ce qu’enfin, les peines de prison soient intégralement appliquées. Le terroriste Amedi Coulibaly avait par exemple bénéficié d’une remise de peine d’un an en 2014[23].

L’immense engouement des rassemblements du dimanche 11 janvier 2015 démontre que les Français savent se mobiliser lorsqu’ils sont odieusement attaqués. Ne reste plus qu’à transformer cette mobilisation en actes en cessant notre ingérence dans le monde musulman et notre malsaine connivence avec les monarchies du Golfe, en revenant à la politique d’assimilation de la France depuis deux siècles et, enfin, en régulant drastiquement l’immigration dans notre pays afin d’accueillir décemment ceux que nous choisirons.

Alexandre Mandil
Conseiller National de France Bonapartiste

Source: http://glorieusefrance.fr/face-aux-attaques-terroristes-fin-de-lingerence-au-moyen-orient-assimilation-et-affirmation-de-nos-valeurs-et-regulation-de-limmigration/
Froan Vamed
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Passion : Littérature, cinéma, jeux vidéo, musique, bandes dessinées et sculptures.

Attaques terroristes: entre ingérence, mort de l’assimilation, déculturation et immigration massive Empty Re: Attaques terroristes: entre ingérence, mort de l’assimilation, déculturation et immigration massive

Lun 12 Jan 2015 - 18:39
Chapeau, c'est du bon ! :aplaudissement:

Le plus tragique, c'est que ce soit le peuple français doive payer de son sang les exactions de son gouvernement.
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