- InvitéInvité
Buenos Aires
Sam 8 Mar 2014 - 20:46
Buenos Aires
Rio de la Plata, coulant comme une artère
Ton eau épaisse glisse en bordure de la ville.
Immortelle cours d’eau qui suit ainsi son fil,
Gorgé de cet argile te donnant couleur terre.
Avenue Cordoba, ta musique j’entends,
D’un vieux bandoléon aux notes si magiques,
Qui s’offrent généreuses à de rêveurs passants;
Chantant tous les espoirs en mélodie tragique.
Le soir venu appelle, en fumées d’asado,
Les âmes des gauchos épris de liberté.
Vent de Patagonie, froid soufflant sur le chaud
Apportant avec lui l’amer goût du maté.
Quand la belle argentine, cheveux lisses et tirés,
Sait donner la caresse de son pied langoureux.
Du pas de ce tango, je reste émerveillé.
Comment te résister, ne pas être amoureux.
JYL
Copyright n° 51268
Rio de la Plata, coulant comme une artère
Ton eau épaisse glisse en bordure de la ville.
Immortelle cours d’eau qui suit ainsi son fil,
Gorgé de cet argile te donnant couleur terre.
Avenue Cordoba, ta musique j’entends,
D’un vieux bandoléon aux notes si magiques,
Qui s’offrent généreuses à de rêveurs passants;
Chantant tous les espoirs en mélodie tragique.
Le soir venu appelle, en fumées d’asado,
Les âmes des gauchos épris de liberté.
Vent de Patagonie, froid soufflant sur le chaud
Apportant avec lui l’amer goût du maté.
Quand la belle argentine, cheveux lisses et tirés,
Sait donner la caresse de son pied langoureux.
Du pas de ce tango, je reste émerveillé.
Comment te résister, ne pas être amoureux.
JYL
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