Hommage à l'Algérie Française
Sam 2 Juil 2011 - 9:48
Un texte remarquable de Pierre-Jean Vaillard, très célèbre chansonnier des années 50-60 (pourrait-on écrire le même genre de texte de nos jours ?):
"Fellagha"
Quand ma pensée s'en va vers l'Afrique du Nord
Je me sens, tout d'un coup, bourrelé de remords
Que l'Algérie soit une province française,
C'est évident, bien sûr, bien qu'à tous ça ne plaise
Que des hommes aient fait d'un bled qui n'était rien,
Ce beau pays algérien
Nul ne peut dire le contraire...
...Seulement, ces temps-ci, il faut compter, là bas,
avec un mécontent, un certain fellagha.
Et, petit fellagha, c'est à toi que je pense
En voyant ta rancune à l'égard de la France.
J'ai beaucoup réfléchi et ma méditation
Me décide à venir te demander pardon.
Oui, pardon, Fellagha, pardon pour mon grand-père
Qui vint tracer des routes et labourer la terre.
Il est tombé chez toi, il a tout chamboulé.
Où poussaient des cailloux, il a foutu du blé
Et, mettant après cela le comble de l'ignoble,
Où poussaient des cailloux il a fait un vignoble
Pardon, cher petit Fellagha,
Oh, pardon de tous ces dégâts.
Et mon affreux grand-père (il faut qu'on le confesse)
N'était pas seul de son espèce.
Ces autres scélérats ont bâti des cités
Ils ont installé l'eau et l'électricité.
Et tu n'en voulais pas, c'est la claire évidence
Puisque avant qu'arrive la France
Tu n'avais, en dehors de la Casbah d'Alger,
Que la tente ou bien le gourbi pour te loger
Et tu t'éclairais à l'huile
Nos maisons, bien sûr, c'était la tuile.
De l'électricité, là encore soyons francs,
Tu ne demandais pas qu'on te mette au courant
Tu t'es habitué à ces choses infâmes
Mais à regret et la mort dans l'âme
Stoïquement, d'ailleurs, supportant ces malheurs,
Avec courage et bonne humeur.
Mais tu engraissais, mais de mauvaise graisse
Car tu prenais le car, (une invention traîtresse)
Ce même car que, pris d'un délire divin,
Tu devais, un beau jour, pousser dans le ravin.
Je comprends ta rancœur, je comprends ta colère,
Tu n'es pas au niveau des Arabes du Caire
Tu gâches et tu vis mieux qu'un fellagha égyptien.
A quoi Nasser ... Nasser a rien.
Nous avons massacré les lions, les panthères,
Nous avons asséché les marais millénaires.
Les moustiques sont morts... les poux, De Profundis.
Nous avons tout tué, jusqu'à la Syphilis.
Ah! Pardon, Fellagha, pour tous ces carnages.
Nous avons fait tout cela, c'est bougrement dommage.
Car si d'autres idiots l'avaient fait, inspirés
C'est nous qui maintenant, viendrions vous libérer,
Et bouffer les marrons cuits pour ces imbéciles.
C'aurait été moins long et beaucoup plus facile.
Bien pardon, Fellagha, de t'avoir mieux nourri,
Et d'avoir à tes pieds nus, mis (oh maladresse),
Des souliers...
Dont tu voudrais nous botter les fesses.
C’est fait…
"Fellagha"
Quand ma pensée s'en va vers l'Afrique du Nord
Je me sens, tout d'un coup, bourrelé de remords
Que l'Algérie soit une province française,
C'est évident, bien sûr, bien qu'à tous ça ne plaise
Que des hommes aient fait d'un bled qui n'était rien,
Ce beau pays algérien
Nul ne peut dire le contraire...
...Seulement, ces temps-ci, il faut compter, là bas,
avec un mécontent, un certain fellagha.
Et, petit fellagha, c'est à toi que je pense
En voyant ta rancune à l'égard de la France.
J'ai beaucoup réfléchi et ma méditation
Me décide à venir te demander pardon.
Oui, pardon, Fellagha, pardon pour mon grand-père
Qui vint tracer des routes et labourer la terre.
Il est tombé chez toi, il a tout chamboulé.
Où poussaient des cailloux, il a foutu du blé
Et, mettant après cela le comble de l'ignoble,
Où poussaient des cailloux il a fait un vignoble
Pardon, cher petit Fellagha,
Oh, pardon de tous ces dégâts.
Et mon affreux grand-père (il faut qu'on le confesse)
N'était pas seul de son espèce.
Ces autres scélérats ont bâti des cités
Ils ont installé l'eau et l'électricité.
Et tu n'en voulais pas, c'est la claire évidence
Puisque avant qu'arrive la France
Tu n'avais, en dehors de la Casbah d'Alger,
Que la tente ou bien le gourbi pour te loger
Et tu t'éclairais à l'huile
Nos maisons, bien sûr, c'était la tuile.
De l'électricité, là encore soyons francs,
Tu ne demandais pas qu'on te mette au courant
Tu t'es habitué à ces choses infâmes
Mais à regret et la mort dans l'âme
Stoïquement, d'ailleurs, supportant ces malheurs,
Avec courage et bonne humeur.
Mais tu engraissais, mais de mauvaise graisse
Car tu prenais le car, (une invention traîtresse)
Ce même car que, pris d'un délire divin,
Tu devais, un beau jour, pousser dans le ravin.
Je comprends ta rancœur, je comprends ta colère,
Tu n'es pas au niveau des Arabes du Caire
Tu gâches et tu vis mieux qu'un fellagha égyptien.
A quoi Nasser ... Nasser a rien.
Nous avons massacré les lions, les panthères,
Nous avons asséché les marais millénaires.
Les moustiques sont morts... les poux, De Profundis.
Nous avons tout tué, jusqu'à la Syphilis.
Ah! Pardon, Fellagha, pour tous ces carnages.
Nous avons fait tout cela, c'est bougrement dommage.
Car si d'autres idiots l'avaient fait, inspirés
C'est nous qui maintenant, viendrions vous libérer,
Et bouffer les marrons cuits pour ces imbéciles.
C'aurait été moins long et beaucoup plus facile.
Bien pardon, Fellagha, de t'avoir mieux nourri,
Et d'avoir à tes pieds nus, mis (oh maladresse),
Des souliers...
Dont tu voudrais nous botter les fesses.
C’est fait…
Re: Hommage à l'Algérie Française
Sam 2 Juil 2011 - 10:11
L'ALGÉRIE DE PAPA
Eh bien oui. c'en est fait des formules anciennes,
Et l'Algérie devient Algérie Algérienne.
Assez de colonies, et nous ne voulons pas
Voir se perpétuer "l'Algérie de PAPA".
La roue tourne, morbleu! La vie est la plus forte :
Puisque Papa est mort. son Algérie est morte.
Le progrès est en marche. emboîtons-lui le pas!
Si l'on disait, quand même, un peu "merci" à Papa?
On dit qu'il n'a pas fait tout ce qu'il eût dû faire.
C'est possible; après tout. nul n'est parfait sur terre.
Et pourtant, si Papa n'était jamais venu.
Où serait l'Algérie. chers messieurs de l'O.N.U ?
Car avant que Papa n'invente l'Algérie.
La contrée s'appelait vaguement "BARBARIE"...
Souviens-toi. Mohammed ! on y crevait de faim !...
Il me semble. à présent, qu'on s'y porte assez bien.
"Merci. Papa"... Les gosses mouraient comme des mouches.
Or, Fatma. de nos jours, sait comment on accouche.
"Merci. Papa"... Sans lui. cette population
N'aurait pas augmenté. je pense. par millions.
Te souvient-il des oueds où buvaient quatre chèvres
Et de ces grands marais où l'on crevait de fièvre?
Regarde le Jardin nommé "Mitidja" !
"Merci Papa ! Merci Papa ! Merci Papa !"
C'est lui qui vint bâtir ces villages, ces villes,
Et de l'école. aussi, t'apprit enfin l'usage.
Il n'y a pas d'écoles partout?
Peut-être; mais avant, il n'yen avait pas du tout.
Au temps d'Abd-el-Kader les universitaires
N'existaient pas sur cette terre,
Et si Papa -toujours- n'avait pas mis du sien,
Monsieur Ferhat Abbas serait-il pharmacien?
Monsieur Ferhat Abbas. s'il n'était pas mort de fièvre,
Irait pieds nus, sans doute, et garderait les chèvres ;
Je suis ravi qu'il soit habillé comme moi.
Mais. un peu de pudeur! un peu de bonne foi !
Etre civilisé comprend la politesse.
Savoir dire "merci" n'est pas une bassesse.
Et si Papa n'est point toujours parfait,
Est-ce une raison pour oublier ce qu'il a fait?
L'Algérie de Papa recule dans l'Histoire.
Admettons. Mais Papa ne s'en va pas sans gloire...
Et si toi, Mohammed, quand il est arrivé.
Tu ne te nourrissais que des fruits du palmier ;
Les temps ayant changé, maintenant que tu manges
De la viande et du pain. sans compter les oranges.
Et puisqu'il est question de partager tout ça
Avec les héritiers de ce bon vieux Papa.
Crois-tu que ce serait bien délicat
De ne leur laisser que... des dattes?
Eh bien oui. c'en est fait des formules anciennes,
Et l'Algérie devient Algérie Algérienne.
Assez de colonies, et nous ne voulons pas
Voir se perpétuer "l'Algérie de PAPA".
La roue tourne, morbleu! La vie est la plus forte :
Puisque Papa est mort. son Algérie est morte.
Le progrès est en marche. emboîtons-lui le pas!
Si l'on disait, quand même, un peu "merci" à Papa?
On dit qu'il n'a pas fait tout ce qu'il eût dû faire.
C'est possible; après tout. nul n'est parfait sur terre.
Et pourtant, si Papa n'était jamais venu.
Où serait l'Algérie. chers messieurs de l'O.N.U ?
Car avant que Papa n'invente l'Algérie.
La contrée s'appelait vaguement "BARBARIE"...
Souviens-toi. Mohammed ! on y crevait de faim !...
Il me semble. à présent, qu'on s'y porte assez bien.
"Merci. Papa"... Les gosses mouraient comme des mouches.
Or, Fatma. de nos jours, sait comment on accouche.
"Merci. Papa"... Sans lui. cette population
N'aurait pas augmenté. je pense. par millions.
Te souvient-il des oueds où buvaient quatre chèvres
Et de ces grands marais où l'on crevait de fièvre?
Regarde le Jardin nommé "Mitidja" !
"Merci Papa ! Merci Papa ! Merci Papa !"
C'est lui qui vint bâtir ces villages, ces villes,
Et de l'école. aussi, t'apprit enfin l'usage.
Il n'y a pas d'écoles partout?
Peut-être; mais avant, il n'yen avait pas du tout.
Au temps d'Abd-el-Kader les universitaires
N'existaient pas sur cette terre,
Et si Papa -toujours- n'avait pas mis du sien,
Monsieur Ferhat Abbas serait-il pharmacien?
Monsieur Ferhat Abbas. s'il n'était pas mort de fièvre,
Irait pieds nus, sans doute, et garderait les chèvres ;
Je suis ravi qu'il soit habillé comme moi.
Mais. un peu de pudeur! un peu de bonne foi !
Etre civilisé comprend la politesse.
Savoir dire "merci" n'est pas une bassesse.
Et si Papa n'est point toujours parfait,
Est-ce une raison pour oublier ce qu'il a fait?
L'Algérie de Papa recule dans l'Histoire.
Admettons. Mais Papa ne s'en va pas sans gloire...
Et si toi, Mohammed, quand il est arrivé.
Tu ne te nourrissais que des fruits du palmier ;
Les temps ayant changé, maintenant que tu manges
De la viande et du pain. sans compter les oranges.
Et puisqu'il est question de partager tout ça
Avec les héritiers de ce bon vieux Papa.
Crois-tu que ce serait bien délicat
De ne leur laisser que... des dattes?
Re: Hommage à l'Algérie Française
Sam 2 Juil 2011 - 10:12
La babouche et le Pied Noir
Il était un petit pied noir
Qui logeait dans une babouche
Tous deux faisaient plaisir à voir
Marchant du matin jusqu'au soir
La babouche autour du pied noir
Et le pied noir dans la babouche
La babouche dit un jour: pourquoi
Trainer ce pied noir avec moi ?
marcher ensemble quel calvaire
Il est lourd... moi je suis légère
S'il voulait libérer les lieux
Seule, je marcherais beaucoup mieux
Dès lors la babouche travaille
Pour blesser le pied, le tenaille,
Le comprime, fait tant d'efforts
Que le pied noir ayant un cor
Et prenant la mouche
Se retire de la babouche
Le pied noir, lui, s'est replié
Bien sûr dans ses petits souliers
Mais il a poursuivi sa route
Et la plus étonnée sans doute
Fut la babouche qui n'a pas compris mais vu
Que sans le petit pied noir elle ne marche plus
Il était un petit pied noir
Qui logeait dans une babouche
Tous deux faisaient plaisir à voir
Marchant du matin jusqu'au soir
La babouche autour du pied noir
Et le pied noir dans la babouche
La babouche dit un jour: pourquoi
Trainer ce pied noir avec moi ?
marcher ensemble quel calvaire
Il est lourd... moi je suis légère
S'il voulait libérer les lieux
Seule, je marcherais beaucoup mieux
Dès lors la babouche travaille
Pour blesser le pied, le tenaille,
Le comprime, fait tant d'efforts
Que le pied noir ayant un cor
Et prenant la mouche
Se retire de la babouche
Le pied noir, lui, s'est replié
Bien sûr dans ses petits souliers
Mais il a poursuivi sa route
Et la plus étonnée sans doute
Fut la babouche qui n'a pas compris mais vu
Que sans le petit pied noir elle ne marche plus
Re: Hommage à l'Algérie Française
Sam 2 Juil 2011 - 10:12
COUSCOUS
Dans les auberges parisiennes
On sert maintenant très souvent
Un plat qu'autant qu'il m'en souvienne
On n'y voyait jamais avant.
Ce plat qu'on fabrique en série
Et qui semble bien plaire à tous
Nous est arrivé d'Algérie
Et ça s'appelle le couscous.
Je ne sais pas ce qui se passe
Mais j'ai l'impression que ce plat
La sauce n'est pourtant pas grasse
Me reste un peu sur l'estomac.
Car sans être un vrai plat de riche
Etant même accessible à tous
Avec son mouton, ses pois chiches,
Il nous revient cher, ce couscous.
Pour en obtenir la recette
Songez qu'on envoya Bugeaud
Il y laissa quelques casquettes
Quelques zouaves, quelques chevaux.
Il y trouva des lions, des moustiques
Des figuiers, pas mal de cailloux,
Et des gens qui bouffaient des briques
Ou - Mais pas souvent - du couscous.
Dans ces contacts entre deux races
L'un donne à l'autre ce qu'il a
C'est un échange qui se passe
Nous, nous apprim's à ces gens-là
A lire, à cultiver la terre
La méd'cine et la loi pour tous
Eux ? La seul' chos' qu'ils savaient faire
Ils nous ont appris... le couscous.
Dès lors, pendant cent trente années
Des Français vinrent en bateau
Avec eux des villes sont nées,
Des vignobles, des hôpitaux.
Puis quand le pays fut prospère
On les a virés d'une secouss'
Disant: " Nous gardons vos affaires
Et vous, vous emportez l'couscous ".
Cette histoire, qui paraît folle,
Présente au moins un intérêt:
C'est d'apprendre à la Métropole
Tout un monde qu'elle ignorait.
Car nombreux sont ceux qui s'écrient
Au restaurant, d'une voix doue'
" ça existait donc l'Algérie
Puisqu'il existe le couscous !
Les rapatriés d'Algérie
Dans tout ça... font un peu bâtards...
Cert' ils ont quitté leur pays
Sous le choc d'un pied quelque part.
Mais, las de les entendre geindre,
Ceux qui n'aim'nt pas se fair' de mouss
Leur dis' : Quoi? Vous n'êt' pas à
plaindre
Puisqu'à Paris, y'a du couscous.
Envoi
Princes ! Si par quelque féerie,
Bugeaud revenait, s'il disait:
" J'vous avais donné l'Algérie.
Qu'en files-vous? ". On répondrait:
" Nous avons lâché blé, pétrole,
Oran, Bône et Béni-Messous...
Mais la France qui n'est pas folle,
N'abandonn'ra jamais l'couscous!
Dans les auberges parisiennes
On sert maintenant très souvent
Un plat qu'autant qu'il m'en souvienne
On n'y voyait jamais avant.
Ce plat qu'on fabrique en série
Et qui semble bien plaire à tous
Nous est arrivé d'Algérie
Et ça s'appelle le couscous.
Je ne sais pas ce qui se passe
Mais j'ai l'impression que ce plat
La sauce n'est pourtant pas grasse
Me reste un peu sur l'estomac.
Car sans être un vrai plat de riche
Etant même accessible à tous
Avec son mouton, ses pois chiches,
Il nous revient cher, ce couscous.
Pour en obtenir la recette
Songez qu'on envoya Bugeaud
Il y laissa quelques casquettes
Quelques zouaves, quelques chevaux.
Il y trouva des lions, des moustiques
Des figuiers, pas mal de cailloux,
Et des gens qui bouffaient des briques
Ou - Mais pas souvent - du couscous.
Dans ces contacts entre deux races
L'un donne à l'autre ce qu'il a
C'est un échange qui se passe
Nous, nous apprim's à ces gens-là
A lire, à cultiver la terre
La méd'cine et la loi pour tous
Eux ? La seul' chos' qu'ils savaient faire
Ils nous ont appris... le couscous.
Dès lors, pendant cent trente années
Des Français vinrent en bateau
Avec eux des villes sont nées,
Des vignobles, des hôpitaux.
Puis quand le pays fut prospère
On les a virés d'une secouss'
Disant: " Nous gardons vos affaires
Et vous, vous emportez l'couscous ".
Cette histoire, qui paraît folle,
Présente au moins un intérêt:
C'est d'apprendre à la Métropole
Tout un monde qu'elle ignorait.
Car nombreux sont ceux qui s'écrient
Au restaurant, d'une voix doue'
" ça existait donc l'Algérie
Puisqu'il existe le couscous !
Les rapatriés d'Algérie
Dans tout ça... font un peu bâtards...
Cert' ils ont quitté leur pays
Sous le choc d'un pied quelque part.
Mais, las de les entendre geindre,
Ceux qui n'aim'nt pas se fair' de mouss
Leur dis' : Quoi? Vous n'êt' pas à
plaindre
Puisqu'à Paris, y'a du couscous.
Envoi
Princes ! Si par quelque féerie,
Bugeaud revenait, s'il disait:
" J'vous avais donné l'Algérie.
Qu'en files-vous? ". On répondrait:
" Nous avons lâché blé, pétrole,
Oran, Bône et Béni-Messous...
Mais la France qui n'est pas folle,
N'abandonn'ra jamais l'couscous!
- ahele
- Localisation : paris
Date d'inscription : 29/04/2011
Passion : sans politique/polars/livres/musiques
Humeur : de plus en plus confiante en l'avenir !
Re: Hommage à l'Algérie Française
Dim 3 Juil 2011 - 23:11
oui, merci jean paul !!
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum