Marine Le Pen, invitée du Talk Orange - Le Figaro
Mer 30 Oct 2013 - 10:06
Suivez ce mercredi, en direct à 12h, l'interview de la députée FN du Vaucluse, Marion Maréchal - le Pen.
http://video.lefigaro.fr/figaro/emissions/le-talk-orange-le-figaro/1629135879001/
Remplacée au dernier moment par Marine Le Pen.
http://video.lefigaro.fr/figaro/emissions/le-talk-orange-le-figaro/1629135879001/
Remplacée au dernier moment par Marine Le Pen.
- InvitéInvité
Re: Marine Le Pen, invitée du Talk Orange - Le Figaro
Mer 30 Oct 2013 - 10:07
Merci pour l'info
- sakura FN
- Localisation : AILLEURS...
Date d'inscription : 14/12/2012
Passion : UN NOUVEAU MONDE MEILLEUR...
Re: Marine Le Pen, invitée du Talk Orange - Le Figaro
Mer 30 Oct 2013 - 10:10
Merci Jupiter de l'info...
Mais sur quelle chaine de TV...?
Mais sur quelle chaine de TV...?
Re: Marine Le Pen, invitée du Talk Orange - Le Figaro
Mer 30 Oct 2013 - 10:13
Sur le lien que j'ai indiqué, Sakura, mais pas avant midi aujourd'hui.Sakura FN a écrit:Merci Jupiter de l'info...
Mais sur quelle chaine de TV...?
- InvitéInvité
Re: Marine Le Pen, invitée du Talk Orange - Le Figaro
Mer 30 Oct 2013 - 12:37
Bon... loupé le début alors, j'attendrais un post de la vidéo
- Zabou18Modérateurs
- Date d'inscription : 12/04/2012
Passion : Ma famille, mon pays, l'histoire
Re: Marine Le Pen, invitée du Talk Orange - Le Figaro
Mer 30 Oct 2013 - 13:09
Ce n'était pas Marion (étant retenue ailleurs) mais Marine.
- InvitéInvité
Re: Marine Le Pen, invitée du Talk Orange - Le Figaro
Mer 30 Oct 2013 - 14:17
Beau discours emprunt de vérité.
- Denis22
- Date d'inscription : 13/01/2012
Passion : la politique, l'histoire de France
Re: Marine Le Pen, invitée du Talk Orange - Le Figaro
Mer 30 Oct 2013 - 17:01
Ce journaliste est neutre et fait preuve d'un professionnalisme exemplaire. Par conséquent, je crains pour la suite de sa carrière...
- pomcaramel
- Localisation : pas très loin de lyon
Date d'inscription : 12/03/2012
Passion : nature, cueillette des champignons mais pas hallucinogènes
Re: Marine Le Pen, invitée du Talk Orange - Le Figaro
Mer 30 Oct 2013 - 18:56
En effet, c'est le seul qui honore sa profession et il est fidèle à lui même à chaque interview.Denis22 a écrit:Ce journaliste est neutre et fait preuve d'un professionnalisme exemplaire. Par conséquent, je crains pour la suite de sa carrière...
C'est quand même fou que l'on soit obligé de le préciser alors que dans un monde normal tous devraient avoir le même professionnalisme.
Re: Marine Le Pen, invitée du Talk Orange - Le Figaro
Mer 30 Oct 2013 - 23:35
Marine Le Pen réclame une dissolution
Après avoir constaté la grogne, notamment les violents affrontements de la semaine dernière en Bretagne contre le projet d'écotaxe, Marine Le Pen prévient: «La France est un peuple léger et cruel. Tout peut arriver. Le plus inquiétant serait la multiplication de conflits sociaux qui ne seraient plus sous contrôle. Le pouvoir a entendu le danger de cette cristallisation des conflits, lesquels sont beaucoup moins contrôlables que ceux de l'Industrie, cornaqués par des syndicats complices.» Quant à la chute de François Hollande dans les sondages, «cela pose le problème de l'obéissance, souligne-t-elle, car en démocratie, la perte de légitimité entraîne une perte d'obéissance. Si le peuple commence à considérer que le président, tout élu qu'il est, perd gravement sa légitimité, tout le contrat social s'effondre.»
«Le sommet de l'État subit. Nous atteignons un point de délitement du pouvoir aggravé par la crise économique et financière»
Louis Aliot, vice-président du Front national
En écho, Gilbert Collard, le député du Gard, répète ce qu'il a déjà dit au Parlement: «J'ai honte et beaucoup de tristesse pour la France. Même s'ils sont socialistes, je préférerais qu'ils soient bons.» Lui, regrette le «manque de réaction» du pouvoir face à «l'espionnage de nos entreprises, de nos brevets et de nos armées». «Il est vrai, ajoute-t-il, que l'on ne peut pas s'occuper de Leonarda et d'Obama!» Gilbert Collard dénonce un «dysfonctionnement» du pouvoir: «Le Parlement ne compte pas. Une majorité disciplinaire fait semblant de discuter mais le vrai débat parlementaire, la discussion sur la loi, n'existent pas. Ce qui est grave dans une démocratie.» L'élu regrette enfin qu'au Parlement «des ministres prennent des engagements qu'ils ne tiennent plus dans la rue quand ils sont face aux réalités». Il conclut: «L'État n'a pas de tête.»
Louis Aliot, vice-président du Front national, pointe lui aussi la fragilité du pilotage: «Maintenant, ces présidents ont tellement de majorités composites et peu d'autorité qu'ils sont les joujoux de leur propre majorité. Le sommet de l'État subit. Nous atteignons un point de délitement du pouvoir aggravé par la crise économique et financière.»
Le conseiller régional de Languedoc-Roussillon prône lui aussi la «dissolution», voire un «référendum institutionnel» car, selon lui, «ceux qui gouvernent ne sont pas représentatifs des forces du pays» et «le lien entre le peuple et les gouvernants n'existe plus».
Florian Philippot, vice-président du FN, voit cette crise comme «l'un des symptômes les plus violents que l'on n'ait jamais vécus. L'État français s'effondre, il n'a plus de souveraineté et le président est nu. Mais les causes sont anciennes parce que nous avons tout transféré à Bruxelles.» Symbole sans doute «le plus triste», selon lui, de cet effondrement du pouvoir: «l'affaire Leonarda». «Imaginez le général de Gaulle intervenant dans une affaire pareille, dit-il. C'est inimaginable parce que justement l'autorité de l'État existait.»
http://www.lefigaro.fr/politique/2013/10/30/01002-20131030ARTFIG00514-marine-le-pen-reclame-une-dissolution.php
Marine Le Pen était l'invitée mercredi 30 octobre du «Talk Orange-Le Figaro».
Marine Le Pen ne voit pas d'autre «possibilité» que la dissolution de l'Assemblée nationale. Invitée mercredi du «Talk Orange-Le Figaro», la présidente du Front national commentait la crise politique que traverse la France: «Le problème de ces reculades et prises de paroles contradictoires est l'absence de cap. Le président de la République ne sait pas ce qu'il veut.» Euro, immigration, fiscalité… aux yeux de l'eurodéputée, rien ne va. «Quand on est dans le flou, conseille-t-elle, il faut revenir au peuple. Il n'y a pas d'autre moyen. Il faut se demander si la seule sortie valable n'est pas le retour aux urnes.» S'imposeraient donc de «nouvelles élections législatives pour savoir ce que veulent les Français» car, selon elle, un éventuel changement de premier ministre «ne changerait strictement rien».Après avoir constaté la grogne, notamment les violents affrontements de la semaine dernière en Bretagne contre le projet d'écotaxe, Marine Le Pen prévient: «La France est un peuple léger et cruel. Tout peut arriver. Le plus inquiétant serait la multiplication de conflits sociaux qui ne seraient plus sous contrôle. Le pouvoir a entendu le danger de cette cristallisation des conflits, lesquels sont beaucoup moins contrôlables que ceux de l'Industrie, cornaqués par des syndicats complices.» Quant à la chute de François Hollande dans les sondages, «cela pose le problème de l'obéissance, souligne-t-elle, car en démocratie, la perte de légitimité entraîne une perte d'obéissance. Si le peuple commence à considérer que le président, tout élu qu'il est, perd gravement sa légitimité, tout le contrat social s'effondre.»
«Le sommet de l'État subit. Nous atteignons un point de délitement du pouvoir aggravé par la crise économique et financière»
Louis Aliot, vice-président du Front national
En écho, Gilbert Collard, le député du Gard, répète ce qu'il a déjà dit au Parlement: «J'ai honte et beaucoup de tristesse pour la France. Même s'ils sont socialistes, je préférerais qu'ils soient bons.» Lui, regrette le «manque de réaction» du pouvoir face à «l'espionnage de nos entreprises, de nos brevets et de nos armées». «Il est vrai, ajoute-t-il, que l'on ne peut pas s'occuper de Leonarda et d'Obama!» Gilbert Collard dénonce un «dysfonctionnement» du pouvoir: «Le Parlement ne compte pas. Une majorité disciplinaire fait semblant de discuter mais le vrai débat parlementaire, la discussion sur la loi, n'existent pas. Ce qui est grave dans une démocratie.» L'élu regrette enfin qu'au Parlement «des ministres prennent des engagements qu'ils ne tiennent plus dans la rue quand ils sont face aux réalités». Il conclut: «L'État n'a pas de tête.»
Louis Aliot, vice-président du Front national, pointe lui aussi la fragilité du pilotage: «Maintenant, ces présidents ont tellement de majorités composites et peu d'autorité qu'ils sont les joujoux de leur propre majorité. Le sommet de l'État subit. Nous atteignons un point de délitement du pouvoir aggravé par la crise économique et financière.»
Le conseiller régional de Languedoc-Roussillon prône lui aussi la «dissolution», voire un «référendum institutionnel» car, selon lui, «ceux qui gouvernent ne sont pas représentatifs des forces du pays» et «le lien entre le peuple et les gouvernants n'existe plus».
Florian Philippot, vice-président du FN, voit cette crise comme «l'un des symptômes les plus violents que l'on n'ait jamais vécus. L'État français s'effondre, il n'a plus de souveraineté et le président est nu. Mais les causes sont anciennes parce que nous avons tout transféré à Bruxelles.» Symbole sans doute «le plus triste», selon lui, de cet effondrement du pouvoir: «l'affaire Leonarda». «Imaginez le général de Gaulle intervenant dans une affaire pareille, dit-il. C'est inimaginable parce que justement l'autorité de l'État existait.»
http://www.lefigaro.fr/politique/2013/10/30/01002-20131030ARTFIG00514-marine-le-pen-reclame-une-dissolution.php
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