Pétition contre la dissolution de la BAC de Millau, (adressée à Manuel Valls).

Pourquoi c'est important

Millau est une petite ville où il faisait bon vivre mais depuis quelque temps l'insécurité et la délinquance ne cessent d'augmenter. C'est pourquoi nous voulons que la brigade anti- criminalité reste dans notre ville, ces hommes font un travail exemplaire y compris le policier mis en examen qui n'a plus le droit d'exercer sa profession, pourtant il est considéré comme le meilleur et a déjà été décoré pour acte de bravoure. Nous sommes contre la dissolution de la BAC, nous avons besoin d'eux dans cette ville où règne l'insécurité qui ne cesse de gagner du terrain et c'est inconcevable! Cordialement


http://www.avaaz.org/fr/petition/Soutien_a_la_bac_de_Millau//?tta

Les gauchos feraient mieux de dissoudre les associations racistes anti- blancs (SOS racisme, MRAP etc..) qui ont une part de responsabilité dans cette montée de la haine et de la criminalité de la racaille qu'elles soutiennent par leur silence inadmissible lors de leurs menaces envers les Blancs. Plus que jamais la racaille criminelle des banlieues se sent forte et impunie et même soutenue.

Polémique autour de la BAC de Millau

Les propos d'un élu de Millau comparant les méthodes des policiers de la BAC à celles en vigueur sous Franco ont suscité l'indignation du sous-préfet et de certains syndicats de police, qui reconnaissent toutefois une fracture avec la population.

Paul Boulvrais, sous-préfet de Millau, a affiché "le soutien et la confiance sans réserve des autorités de l'Etat" aux policiers de Millau et en particulier ceux de la brigade anti-criminalité, lors d'une conférence de presse hier. Le haut fonctionnaire a estimé que les déclarations de Jean-Dominique Gonzalès, l'adjoint PS au maire de Millau et conseiller général, constituait un "amalgame injurieux relevant de l'analphabétisme historique". Il a également exclu la dissolution de la BAC comme le réclamait l'élu.

Environ 150 personnes avaient manifesté vendredi à Millau pour demander le démantèlement de l'unité, accusant ses membres d'avoir des comportements de "cowboy". Une pétition avait recueilli 450 signatures. M. Gonzalès avait alors comparé ses méthodes à celles en vigueur dans l'Espagne de Francisco Franco. "Nous sommes dans un régime hyper sécuritaire. Lorsque j'étais adolescent, je passais mes vacances en Espagne et même sous le gouvernement Franco, ce n'était pas comme ça. Nous sommes dans un régime véritablement totalitaire". "Si on était dans le monde des +bisounours+, les interpellations de nuit se feraient avec des bouquets de fleurs", a dit le sous-préfet. Les "contrôles de nuit ne sont pas un exercice de convivialité", a ajouté M. Boulvrais.

De son côté, le syndicat SGP Unité FO, majoritaire chez les policiers en tenue, a fait part de sa "vive indignation" face à des "propos totalement inadmissibles". Mais si les syndicats Unsa-police et Alliance ont aussi dénoncé les déclarations du conseiller général, ils ont mis en cause une politique du chiffre. "Les citoyens millavois sont victimes (...) de la culture du résultat", écrit l'Unsa dans un communiqué.

"La politique sécuritaire locale trouve désormais ses limites", dit le bureau Midi-Pyrénées d'Alliance. "La course aux résultats (...) privilégiant le quantitatif au qualitatif a certes contribué à améliorer les statistiques mais elle a surtout réussi à exaspérer la population". De son côté, le maire PS de Millau Guy Durand s'est désolidarisé des propos de son adjoint et a appelé au "dialogue républicain entre la population et sa police".

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/04/05/97001-20110405FILWWW00677-polemique-autour-de-la-bac-de-millau.php


BAC de Millau : Alliance veut poursuivre J.-D. Gonzales

Nouveau rebondissement dans l'affaire de la BAC de Millau. Cette fois, c'est le syndicat de policiers Alliance qui, lors d'une entrevue, ce mardi après-midi, avec la préfète Danielle Polvé-Montmasson, a fait part de son souhait de voir le conseiller général (PS) de Millau-ouest, Jean-Dominique Gonzales, être traîné en justice. « Nous lui avons demandé d'envisager des poursuites judiciaires contre cet élu via un dépôt de plainte », explique Gilles Rouziès, secrétaire régional adjoint d'Alliance, en précisant que la représentante de l'État dans le département doit, très bientôt, rencontrer le procureur de la République de Rodez, Yves Delpérié, afin de déterminer si lesdites poursuites sont réalisables.

« Pour nous en tout cas, assimiler, comme l'a fait cet élu local, la BAC de Millau à la police de Franco est injurieux », insiste le secrétaire régional Luc Escoda en rappelant : « Les policiers de Millau, et surtout les agents de la brigade anticriminalité que nous soutenons fortement, sont avant tout des fonctionnaires de la République et pas des fascistes ».
« Sur le fond, cet élu a raison »

Mais dans le même temps, le syndicaliste avoue partager, uniquement sur le fond, le problème soulevé par le conseiller général millavois. « Nous dénonçons la politique du chiffre instaurée à Millau. C'est pourquoi nous comprenons la « bâtonnite » critiquée par les Millavois et nous le disons tout net : plutôt que de faire cette course aux chiffres qui, on le voit, coupe la police de la population, il vaut mieux cibler les actions sur la vraie délinquance », annonce Luc Escoda qui, sans demander la suppression de la BAC - « Ce serait idiot » - souhaite vivement de « nouvelles orientations dans l'action de la police ».

http://www.ladepeche.fr/article/2011/04/13/1057819-bac-de-millau-alliance-veut-poursuivre-j-d-gonzales.html
complémentaire :
https://www.facebook.com/pages/Soutien-%C3%A0-la-BAC-de-Millau/113573992070950


La loi des statistiques et des chiffres bidons conduit à ces impasses. Les policiers et gendarmes doivent se désolidariser de leurs hiérarchies et faire leur vrai boulot protéger les honnêtes gens contre la racaille.

Il faut un juste milieu entre la course aux chiffres de SARKOZY et le laxisme de Hollande (le récépissé pour un contrôle des papiers ..et la peur de la bavure quitte à se faire tuer au lieu de tirer sur le délinquant).
Je plains ces policiers !!!.

Signée des deux mains!

Pétition nulle et non avenue.
pourquoi pas dissoudre toute la police tout bonnement.
Qu'est-ce que les gens ont dans la tête,avec leur pétitions débiles?
Et même pas une contre manif,ni des habitants,ni des policiers locaux?????
on croit rêver,de la a ce que tout le monde leur donnent raison,on est presque pas loin.
Et nabil,l'innocent au mains pleines(de drogue)s'il ne fonçait sur la police,pourrait être encore vivant.