- pipilleetjeannot
- Localisation : Maine et Loire
Date d'inscription : 03/03/2012
Passion : bénévolat aux personnes âgées
Humeur : Toujours bonne
Interwiew tout de grandeur, en sagesse et en vérité de Marion Maréchal Le Pen
Jeu 19 Nov 2015 - 19:29
Marion Maréchal-Le Pen : "L'ennemi est partout, il est chez nous, il est nous"
Par Marion Maréchal-Le Pen
Réaction. Marion Maréchal-Le Pen s'est peu exprimée depuis les attentats de Paris. Elle livre à Valeurs actuelles sa réaction en exclusivité. Pour la tête de liste FN aux élections régionales en PACA, "Nous avons rendez-vous avec l'histoire, elle nous offre le choix: le suicide ou le sursaut. Tâchons de répondre présents".
Alors que le sang séché de mes compatriotes tache encore les trottoirs de Paris, la sidération se mêle à la tristesse mais surtout à la colère. "Une colère froide qui nous saisit le cœur" comme l'a si bien dit Marine Le Pen. Si la communion autour de nos morts, de nos blessés et de leurs familles est indispensable, elle n'est pas suffisante.
Seuls la dignité et le recueillement qu'exigent l'instant et son horreur nous empêchent de crier cette colère, de dénoncer les responsables, de supplier qu'enfin soient prises les mesures qui s'imposent. Dans ce chaos, une lueur d'espoir. Hier, les Français se sont vus définitivement restituer l'arme dont ils auront besoin pour se défendre: leur conscience. Elle leur a été jeté au visage, non sans écorchures. L'amoncellement des mots et des illusions du politiquement correct, tel un tas de feuilles mortes, a fini de se disperser sous l'effet des bourrasques de la réalité. La saison de l'hiver français est venue et son souffle glacé n'épargne aucun des foyers. Campagnes, métropoles, villes et villages, personne n'y échappe. Il ne sera désormais plus possible de vilipender ceux qui, hier, n'ont eu de cesse d'analyser, prévenir et alerter sous la pluie des "racistes, xénophobes, fascistes". Il ne fait désormais plus de doute sur le camp d'où émane la haine.
Combien aujourd'hui, l'énergie du premier ministre dépensée dans la "lutte contre le Front national" apparaît décalée, pour ne pas dire minable. Tant de salive et de temps qui auraient dû être consacrés à lutter contre la véritable menace qui plane sur notre pays: l'islamisme et son pendant terroriste.
Il ne sera plus possible non plus de faire glisser la responsabilité des bourreaux vers les victimes. Le temps du "les départs au djihâd sont la conséquence de l'islamophobie" est fini. Le retour en force de l'islamisme est un phénomène mondial, soutenu et financé d'ailleurs par un certains nombres de pays "partenaires", comme l'Arabie saoudite, auprès desquels François Hollande et Nicolas Sarkozy aiment tant s'afficher. Et ce poison de l'islamisme a gravement contaminé notre pays, en particulier nos banlieues et une partie de ceux qui y vivent.
L'ennemi n'a pas de visage, pas de frontière, pas de nationalité. Il est partout, il est chez nous, il est nous. Prospérant sur le terreau favorable de l'immigration de masse, du communautarisme, de la fracture sociale. Mais aussi et surtout, sur l'adhésion béate de la gauche et de la fausse droite au modèle multiculturel. Celui du droit à la différence contre le droit de la France de rester elle-même.
Un poison qui s'est aussi répandu par la faiblesse de notre système immunitaire. La honte de nous-même, l'auto-culpabilisation, la rupture de la chaîne du temps par la confiscation de notre héritage historique, spirituel et culturel empêchent ce système d'assurer notre survie.
Alors je le dis simplement, je ne serai pas de la génération qui s'excuse. Mais de celle qui revendique son héritage et le défend.
Les mots ne suffisent plus, des mesures d'ordre public s'imposent: un contrôle effectif des frontières, le désarmement des banlieues, la fermeture des mosquées radicales et des organisations islamistes, l'interdiction du financement des mosquées par des Etats étrangers, une charte publique de points non négociables imposés aux imams qui souhaitent prêcher en France. Mais aussi, l'expulsion des imams radicaux, la déchéance de nationalité et l’expulsion des étrangers radicalisés liés de près ou de loin à un projet terroriste, l'arrêt des négociations en vue de l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne. Mais surtout, l'arrêt de l'immigration de peuplement et le retour de l’amour de la France dans les manuels scolaires. Nous avons rendez-vous avec l'histoire, elle nous offre le choix: le suicide ou le sursaut. Tâchons de répondre présents.
Source: VALEURS ACTUELLES
Par Marion Maréchal-Le Pen
Réaction. Marion Maréchal-Le Pen s'est peu exprimée depuis les attentats de Paris. Elle livre à Valeurs actuelles sa réaction en exclusivité. Pour la tête de liste FN aux élections régionales en PACA, "Nous avons rendez-vous avec l'histoire, elle nous offre le choix: le suicide ou le sursaut. Tâchons de répondre présents".
Alors que le sang séché de mes compatriotes tache encore les trottoirs de Paris, la sidération se mêle à la tristesse mais surtout à la colère. "Une colère froide qui nous saisit le cœur" comme l'a si bien dit Marine Le Pen. Si la communion autour de nos morts, de nos blessés et de leurs familles est indispensable, elle n'est pas suffisante.
Seuls la dignité et le recueillement qu'exigent l'instant et son horreur nous empêchent de crier cette colère, de dénoncer les responsables, de supplier qu'enfin soient prises les mesures qui s'imposent. Dans ce chaos, une lueur d'espoir. Hier, les Français se sont vus définitivement restituer l'arme dont ils auront besoin pour se défendre: leur conscience. Elle leur a été jeté au visage, non sans écorchures. L'amoncellement des mots et des illusions du politiquement correct, tel un tas de feuilles mortes, a fini de se disperser sous l'effet des bourrasques de la réalité. La saison de l'hiver français est venue et son souffle glacé n'épargne aucun des foyers. Campagnes, métropoles, villes et villages, personne n'y échappe. Il ne sera désormais plus possible de vilipender ceux qui, hier, n'ont eu de cesse d'analyser, prévenir et alerter sous la pluie des "racistes, xénophobes, fascistes". Il ne fait désormais plus de doute sur le camp d'où émane la haine.
Combien aujourd'hui, l'énergie du premier ministre dépensée dans la "lutte contre le Front national" apparaît décalée, pour ne pas dire minable. Tant de salive et de temps qui auraient dû être consacrés à lutter contre la véritable menace qui plane sur notre pays: l'islamisme et son pendant terroriste.
Il ne sera plus possible non plus de faire glisser la responsabilité des bourreaux vers les victimes. Le temps du "les départs au djihâd sont la conséquence de l'islamophobie" est fini. Le retour en force de l'islamisme est un phénomène mondial, soutenu et financé d'ailleurs par un certains nombres de pays "partenaires", comme l'Arabie saoudite, auprès desquels François Hollande et Nicolas Sarkozy aiment tant s'afficher. Et ce poison de l'islamisme a gravement contaminé notre pays, en particulier nos banlieues et une partie de ceux qui y vivent.
L'ennemi n'a pas de visage, pas de frontière, pas de nationalité. Il est partout, il est chez nous, il est nous. Prospérant sur le terreau favorable de l'immigration de masse, du communautarisme, de la fracture sociale. Mais aussi et surtout, sur l'adhésion béate de la gauche et de la fausse droite au modèle multiculturel. Celui du droit à la différence contre le droit de la France de rester elle-même.
Un poison qui s'est aussi répandu par la faiblesse de notre système immunitaire. La honte de nous-même, l'auto-culpabilisation, la rupture de la chaîne du temps par la confiscation de notre héritage historique, spirituel et culturel empêchent ce système d'assurer notre survie.
Alors je le dis simplement, je ne serai pas de la génération qui s'excuse. Mais de celle qui revendique son héritage et le défend.
Les mots ne suffisent plus, des mesures d'ordre public s'imposent: un contrôle effectif des frontières, le désarmement des banlieues, la fermeture des mosquées radicales et des organisations islamistes, l'interdiction du financement des mosquées par des Etats étrangers, une charte publique de points non négociables imposés aux imams qui souhaitent prêcher en France. Mais aussi, l'expulsion des imams radicaux, la déchéance de nationalité et l’expulsion des étrangers radicalisés liés de près ou de loin à un projet terroriste, l'arrêt des négociations en vue de l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne. Mais surtout, l'arrêt de l'immigration de peuplement et le retour de l’amour de la France dans les manuels scolaires. Nous avons rendez-vous avec l'histoire, elle nous offre le choix: le suicide ou le sursaut. Tâchons de répondre présents.
Source: VALEURS ACTUELLES
- sakura FN
- Localisation : AILLEURS...
Date d'inscription : 14/12/2012
Passion : UN NOUVEAU MONDE MEILLEUR...
Marion : la France n'est pas une terre d'islam...
Lun 30 Nov 2015 - 15:08
Marion a raison et parle au nom de la France... . .
- calimero
- Localisation : entre Cognac et Pineau
Date d'inscription : 16/10/2013
Passion : aviation
Re: Interwiew tout de grandeur, en sagesse et en vérité de Marion Maréchal Le Pen
Lun 30 Nov 2015 - 15:17
Sacré nénette quand même. Entre elle et sa tante, quel belle équipe.
Une vraie chance pour la France...
Une vraie chance pour la France...
- kabout
- Localisation : picardie
Date d'inscription : 20/02/2015
Passion : tir, armes.
Re: Interwiew tout de grandeur, en sagesse et en vérité de Marion Maréchal Le Pen
Mar 1 Déc 2015 - 23:02
Les musulmans ne peuvent être français que sous condition, juge Marion Maréchal-Le Pen
Pour la candidate Front National en Paca Marion Maréchal-Le Pen, les musulmans ne pouvent être Français « qu’à la condition seulement de se plier aux moeurs et au mode de vie » hérités de l’histoire notamment chrétienne du pays.
« Qui n’a pas vibré au sacre de Reims et à la fête de la Fédération n’est pas vraiment Français », a lancé la députée FN, lors d’un meeting à Toulon (Var). Pendant plusieurs siècles, les rois de France ont été sacrés dans la cathédrale de Reims, symbole de l’alliance entre le pouvoir royal et l’Eglise catholique. La fête de la Fédération est elle un symbole républicain, la célébration du premier anniversaire de la prise de la Bastille.
« Nous ne sommes pas une terre d’Islam, et si des Français peuvent être de confession musulmane, c’est à la condition seulement de se plier aux moeurs et au mode de vie que l’influence grecque, romaine, et seize siècles de chrétienté ont façonné », a-t-elle ajouté : « Chez nous, on ne vit pas en djellaba (longue robe à capuchon traditionnelle dans les pays arabes, ndlr), on ne vit pas en voile intégral et on n’impose pas des mosquées cathédrales ».
Avant ce discours centré sur « l’identité », le maire de Béziers (Hérault) Robert Ménard s’était exprimé à la tribune, affirmant vouloir « retrouver » la France de Charles Martel. « Je veux retrouver notre France, celle de Louis XIV, de Napoléon, et celle, si le ministère de l’Intérieur me l’autorise, de Charles Martel », souverain des Francs qui a affronté les armées musulmanes lors de la bataille de Poitiers en 732, a-t-il lancé.
« Je veux continuer à vivre dans un pays ou l’on parle Français et non pas un espèce de sabir de banlieue », « je veux continuer à me promener dans des villages bâtis à l’ombre des églises, je veux une crèche dans mon hôtel de ville », a poursuivi le maire de Béziers. [...]
Source
Merci à Clementin-e-s Hautain-e-s
Pour la candidate Front National en Paca Marion Maréchal-Le Pen, les musulmans ne pouvent être Français « qu’à la condition seulement de se plier aux moeurs et au mode de vie » hérités de l’histoire notamment chrétienne du pays.
« Qui n’a pas vibré au sacre de Reims et à la fête de la Fédération n’est pas vraiment Français », a lancé la députée FN, lors d’un meeting à Toulon (Var). Pendant plusieurs siècles, les rois de France ont été sacrés dans la cathédrale de Reims, symbole de l’alliance entre le pouvoir royal et l’Eglise catholique. La fête de la Fédération est elle un symbole républicain, la célébration du premier anniversaire de la prise de la Bastille.
« Nous ne sommes pas une terre d’Islam, et si des Français peuvent être de confession musulmane, c’est à la condition seulement de se plier aux moeurs et au mode de vie que l’influence grecque, romaine, et seize siècles de chrétienté ont façonné », a-t-elle ajouté : « Chez nous, on ne vit pas en djellaba (longue robe à capuchon traditionnelle dans les pays arabes, ndlr), on ne vit pas en voile intégral et on n’impose pas des mosquées cathédrales ».
Avant ce discours centré sur « l’identité », le maire de Béziers (Hérault) Robert Ménard s’était exprimé à la tribune, affirmant vouloir « retrouver » la France de Charles Martel. « Je veux retrouver notre France, celle de Louis XIV, de Napoléon, et celle, si le ministère de l’Intérieur me l’autorise, de Charles Martel », souverain des Francs qui a affronté les armées musulmanes lors de la bataille de Poitiers en 732, a-t-il lancé.
« Je veux continuer à vivre dans un pays ou l’on parle Français et non pas un espèce de sabir de banlieue », « je veux continuer à me promener dans des villages bâtis à l’ombre des églises, je veux une crèche dans mon hôtel de ville », a poursuivi le maire de Béziers. [...]
Source
Merci à Clementin-e-s Hautain-e-s
- Solaris
- Date d'inscription : 09/01/2015
Passion : L'Histoire
Re: Interwiew tout de grandeur, en sagesse et en vérité de Marion Maréchal Le Pen
Mer 2 Déc 2015 - 1:35
Elle a raison on enlève tous les éléments qui rappellent le christianisme (galette des rois, sapin de noël - même si en fait ça n'a rien à voir - dans les écoles, collèges, lycées etc) pour les remplacer par des éléments de l'Islam ... Il y a bien une volonté politique de la part de l'UMPS de remplacer nos valeurs par celles de la Charia et d'un Islam radical.
Depuis quelques années je le dis et redis, dans certains pays il y a une identité forte : États-Unis, Russie, Israël, Chine, Inde, Japon, Italie, Espagne, Angleterre même pour les pays d'Afrique, du Maghreb, du Moyen-Orient ... On peut la définir, trouver des éléments communs aux habitants d'un même pays, mais la France ... Quelle identité ? On a déconstruit notre identité en instrumentalisant l'école, on a déconstruit notre Histoire, nos valeurs ... Sommes-nous voués à être le seul peuple à ne plus avoir d'identité ?
Depuis quelques années je le dis et redis, dans certains pays il y a une identité forte : États-Unis, Russie, Israël, Chine, Inde, Japon, Italie, Espagne, Angleterre même pour les pays d'Afrique, du Maghreb, du Moyen-Orient ... On peut la définir, trouver des éléments communs aux habitants d'un même pays, mais la France ... Quelle identité ? On a déconstruit notre identité en instrumentalisant l'école, on a déconstruit notre Histoire, nos valeurs ... Sommes-nous voués à être le seul peuple à ne plus avoir d'identité ?
- pipilleetjeannot
- Localisation : Maine et Loire
Date d'inscription : 03/03/2012
Passion : bénévolat aux personnes âgées
Humeur : Toujours bonne
Re: Interwiew tout de grandeur, en sagesse et en vérité de Marion Maréchal Le Pen
Mer 2 Déc 2015 - 10:16
est-il possible d'avoir le lien de cette intervention, merci à vous
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