- astarté
- Date d'inscription : 22/08/2013
Passion : la liberté !
multiplication des cyberattaques
Mer 14 Jan 2015 - 19:45
Depuis deux jours des hackers islamistes, par un groupuscule du nom de FALLAGA TEAM, piratent de nombreux sites de l’hexagone et y insère une propagande extrémiste. Ce soir, ils s’attaquent à des milliers de boites emails.
Il semblerait qu’à l’heure où nous écrivons cet article, les islamistes en cyber-guerre contre l’hexagone se sont attaqués à une base de données de comptes mails d’étudiants et professeurs de l’Ecole Nationale Supérieure des Ingénieurs en Arts Chimiques Et Technologiques à Toulouse.
Des milliers de comptes mail ont d’ors-et-déjà été piratés. Et les attaques ne devraient pas s’arrêter là. Une autre attaque pirate a craqué des fichiers de cartes bancaires et diffusent désormais les informations avec les codes utiles.
Plus que jamais, la méfiance est de mise. Si vous êtes où avez été dans cette école toulousaine, vérifiez vos données sur le net afin de limiter les soucis éventuels.
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Dans la nuit du 11 au 12 janvier, des groupes de hackers ont utilisé les failles de serveurs informatiques pour diffuser des professions de foi islamistes.
Dimanche 11 janvier à 20 h 50, la page d’accueil du site Internet de la médiathèque de Montélimar est bloquée sur une image diffusant une déclaration de foi islamiste. L’établissement fait partie des quelque 200 bibliothèques dont les sites Web ont été piratés le week-end dernier pendant quelques heures par des groupes de hackers radicaux.
Les sites des bibliothèques ne constituent pas une cible spécifique, mais font partie des milliers de sites d’organismes publics – mairies, institutions culturelles, hôpitaux – touchés depuis le week-end. Les activistes se sont attaqués aux failles de serveurs tels que celui de la société Décalog, qui héberge les sites de nombreuses bibliothèques. “Les techniciens de la société Décalog ont rétabli la situation dès lundi matin et comblé la faille utilisée par les hackers", explique la responsable informatique de la médiathèque de Montélimar.
Aucune donnée piratée
Le scénario a été identique à la médiathèque de la Seyne-sur-Mer, qui, comme la médiathèque de Montélimar, a porté plainte au nom de la mairie. “Aucune donnée n’a été récupérée, ni dans le catalogue, ni dans la base des usagers”, rassure Julien Barlier, directeur de la bibliothèque.
Cette cyberattaque, menée par des “hacktivistes” probablement basés en Tunisie, d’après les premiers éléments de l’enquête de police, serait une réaction à la déclaration des Anonymous, qui ont annoncé il y a quelques jours vouloir traquer les djihadistes sur Internet. “Des groupes d’hacktivistes musulmans se sont sentis agressés, voyant l’action des Anonymous comme une action contre la religion musulmane, ce qui, bien évidemment n’était pas le cas”, déplore sur son site Zataz.com Damien Bancal, journaliste spécialiste de la cybersécurité. L’un de ces groupes de hackers, MECA, a annoncé au journaliste une attaque de grande envergure le 15 janvier.
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sur libération :
lus d'un millier de sites de mairies, conseils généraux ou d'entreprises ont été piratés depuis la semaine dernière, par des cyberactivistes se revendiquant islamistes.
Plus d’un millier de sites internet français ont été piratés depuis l’attentat contre Charlie Hebdo par des hackers se revendiquant comme islamistes, et le mouvement pourrait connaître un pic jeudi, ont indiqué des experts à l’AFP. «Plus d’un millier de sites ont été touchés au total, plus ou moins fortement. Ces sites sont majoritairement de petite taille», a résumé François Paget, expert chez l’éditeur de logiciels anti-virus McAfee (groupe Intel).
Des dizaines d’acteurs du secteur de la sécurité informatique étaient réunis mercredi par le Clusif, club de la sécurité de l’information français qui fait référence en matière d’analyse de la cybercriminalité, pour la présentation d’un «Panorama» de l’année 2014.
Depuis une semaine, des sites de mairies, conseils généraux, universités, églises ou entreprises subissent des campagnes de «defacement», soit une prise de contrôle par des pirates qui affichent sur la page d’accueil des messages à caractère idéologique. «Il n’y a de Dieu qu’Allah», «Death to France» (Mort à la France) ou encore «Death to Charlie» (Mort à Charlie): ces actions sont revendiquées par des «cyberjihadistes» originaires du Maghreb ou de Mauritanie.
«Les revendications initiales parlaient d’un point d’orgue le 15 janvier», indique Gérôme Billois, expert du Cercle européen de la sécurité informatique et consultant pour le cabinet Solucom.
Difficile de savoir quel crédit donner à ces annonces postées par des groupes d’activistes : «Ce ne sont bien sûr que des suppositions, mais on pourrait par exemple assister jeudi à l’attaque de sites plus visibles, à des attaques plus groupées, ou à un changement de technique», estime Gérôme Billois.
«Pour l’instant, c’est plus du "cybervandalisme" que des attaques sophistiquées de haut niveau. On n’est pas encore face à des groupes très structurés», estime François Paget.
Il semblerait qu’à l’heure où nous écrivons cet article, les islamistes en cyber-guerre contre l’hexagone se sont attaqués à une base de données de comptes mails d’étudiants et professeurs de l’Ecole Nationale Supérieure des Ingénieurs en Arts Chimiques Et Technologiques à Toulouse.
Des milliers de comptes mail ont d’ors-et-déjà été piratés. Et les attaques ne devraient pas s’arrêter là. Une autre attaque pirate a craqué des fichiers de cartes bancaires et diffusent désormais les informations avec les codes utiles.
Plus que jamais, la méfiance est de mise. Si vous êtes où avez été dans cette école toulousaine, vérifiez vos données sur le net afin de limiter les soucis éventuels.
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Dans la nuit du 11 au 12 janvier, des groupes de hackers ont utilisé les failles de serveurs informatiques pour diffuser des professions de foi islamistes.
Dimanche 11 janvier à 20 h 50, la page d’accueil du site Internet de la médiathèque de Montélimar est bloquée sur une image diffusant une déclaration de foi islamiste. L’établissement fait partie des quelque 200 bibliothèques dont les sites Web ont été piratés le week-end dernier pendant quelques heures par des groupes de hackers radicaux.
Les sites des bibliothèques ne constituent pas une cible spécifique, mais font partie des milliers de sites d’organismes publics – mairies, institutions culturelles, hôpitaux – touchés depuis le week-end. Les activistes se sont attaqués aux failles de serveurs tels que celui de la société Décalog, qui héberge les sites de nombreuses bibliothèques. “Les techniciens de la société Décalog ont rétabli la situation dès lundi matin et comblé la faille utilisée par les hackers", explique la responsable informatique de la médiathèque de Montélimar.
Aucune donnée piratée
Le scénario a été identique à la médiathèque de la Seyne-sur-Mer, qui, comme la médiathèque de Montélimar, a porté plainte au nom de la mairie. “Aucune donnée n’a été récupérée, ni dans le catalogue, ni dans la base des usagers”, rassure Julien Barlier, directeur de la bibliothèque.
Cette cyberattaque, menée par des “hacktivistes” probablement basés en Tunisie, d’après les premiers éléments de l’enquête de police, serait une réaction à la déclaration des Anonymous, qui ont annoncé il y a quelques jours vouloir traquer les djihadistes sur Internet. “Des groupes d’hacktivistes musulmans se sont sentis agressés, voyant l’action des Anonymous comme une action contre la religion musulmane, ce qui, bien évidemment n’était pas le cas”, déplore sur son site Zataz.com Damien Bancal, journaliste spécialiste de la cybersécurité. L’un de ces groupes de hackers, MECA, a annoncé au journaliste une attaque de grande envergure le 15 janvier.
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sur libération :
lus d'un millier de sites de mairies, conseils généraux ou d'entreprises ont été piratés depuis la semaine dernière, par des cyberactivistes se revendiquant islamistes.
Plus d’un millier de sites internet français ont été piratés depuis l’attentat contre Charlie Hebdo par des hackers se revendiquant comme islamistes, et le mouvement pourrait connaître un pic jeudi, ont indiqué des experts à l’AFP. «Plus d’un millier de sites ont été touchés au total, plus ou moins fortement. Ces sites sont majoritairement de petite taille», a résumé François Paget, expert chez l’éditeur de logiciels anti-virus McAfee (groupe Intel).
Des dizaines d’acteurs du secteur de la sécurité informatique étaient réunis mercredi par le Clusif, club de la sécurité de l’information français qui fait référence en matière d’analyse de la cybercriminalité, pour la présentation d’un «Panorama» de l’année 2014.
Depuis une semaine, des sites de mairies, conseils généraux, universités, églises ou entreprises subissent des campagnes de «defacement», soit une prise de contrôle par des pirates qui affichent sur la page d’accueil des messages à caractère idéologique. «Il n’y a de Dieu qu’Allah», «Death to France» (Mort à la France) ou encore «Death to Charlie» (Mort à Charlie): ces actions sont revendiquées par des «cyberjihadistes» originaires du Maghreb ou de Mauritanie.
«Les revendications initiales parlaient d’un point d’orgue le 15 janvier», indique Gérôme Billois, expert du Cercle européen de la sécurité informatique et consultant pour le cabinet Solucom.
Difficile de savoir quel crédit donner à ces annonces postées par des groupes d’activistes : «Ce ne sont bien sûr que des suppositions, mais on pourrait par exemple assister jeudi à l’attaque de sites plus visibles, à des attaques plus groupées, ou à un changement de technique», estime Gérôme Billois.
«Pour l’instant, c’est plus du "cybervandalisme" que des attaques sophistiquées de haut niveau. On n’est pas encore face à des groupes très structurés», estime François Paget.
- krys3d
- Localisation : 84
Date d'inscription : 06/03/2012
Passion : liberté
Humeur : bonne
Re: multiplication des cyberattaques
Mer 14 Jan 2015 - 22:05
N'allez pas les prendre pour des génies du cyberterrorisme.
L'immense majorité des sites hacké, sont des CMS open source comme Wordpress et Joomla, tellement connus et utilisés dans le monde pour leur gratuité que tout le monde en connait les failles !
L'immense majorité des sites hacké, sont des CMS open source comme Wordpress et Joomla, tellement connus et utilisés dans le monde pour leur gratuité que tout le monde en connait les failles !
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